Nos gouvernants et les différents ministres de l’Education Nationale ne cessent de se présenter comme des réformateurs d’une école qui aurait besoin de se « moderniser », dénonçant l’immobilisme de tous ceux qui s’y opposeraient.
Mais toute réforme est-elle par principe positive ? Ce n’est pas l’avis que nous portons sur celles engagées (voie professionnelle, lycée, orientation, programmes de l’école élémentaire,..). Pour autant notre syndicalisme, qui est porteur d’une vision de l’école et de la société, ne doit-il pas avoir des projets pour l’école si l’on veut assurer la réussite de tous ?
VENDREDI 13 NOVEMBRE à 20 h 30
fac Victor Ségalen à Brest.
Forum animé par
, Samuel JOHSUA, Annick MADEC et Denis PAGET.
Samuel Johsua : professeur en Sciences de l’Éducation à l’Université de Provence. Membre du conseil scientifique d’ATTAC. Auteur de « L’École pour tous » (éd. La Dispute, 2000) ; « Une autre école est possible » (éd. Textuel, 2003).
Annick MADEC : sociologue. Maître de conférences à l’UBO. Auteur de « Citoyenneté et politiques sociales » (avec Numa Murard, éd. Flammarion, 1995) ; « Chronique familiale en quartier impopulaire » (éd. La Découverte, 2002).
Denis PAGET : professeur de lettres. Chercheur à l’Institut de recherche de la FSU. Auteur d’« Aventure commune et savoirs partagés » (éd. Syllepse, 2006) ; « L’invention du Second degré, Petite histoire des collèges et des lycées » (éd. du Temps, 2008).