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6 juin 2012 3 06 /06 /juin /2012 09:57

 

poulet11

Social mercredi 06 juin 2012

« Abasourdis » : ce mot revenait en boucle dans la bouche des délégués syndicaux FO, CFDT et CGT, après la réunion du comité central d’entreprise du groupe Doux, mardi, à Châteaulin (Finistère).


Les élus du personnel ont claqué la porte en milieu d’après-midi, refusant de signer une motion de confiance à la nouvelle direction.

 

« Elle nous demandait d’approuver un texte dans lequel elle garantissait les emplois et le maintien des marques commerciales, le non-démantèlement de l’entreprise, la non-participation majoritaire de banques ou de groupes industriels au capital de Doux, explique Raymond Gouiffes, délégué central CGT.

 

Nous étions d’accord avec tous ces points. Mais, dans la foulée, elle nous a parlé d’une première vague de licenciements dans les emplois administratifs, et ça, nous ne pouvions pas le cautionner. »


Même sentiment de colère chez Nadine Hourmand de FO et Jean-Luc Guillart de la CFDT : « Nous n’avions plus confiance dans cette direction. »


L’ancien directeur convoqué


L’ancien directeur général Guy Odri et l’ex-secrétaire général Herrick Pinguet seront convoqués, le 11 juin, devant les nouveaux dirigeants pour s’expliquer sur leur gestion passée. Raymond Gouiffes appelle les salariés à manifester, ce jour-là, devant les fenêtres du siège.

 

« Ces deux personnes ont contribué à la fermeture de 13 sites, depuis 2003, et à la suppression de milliers d’emplois, explique le délégué. Nous le leur rappellerons bruyamment. »


Les élus du personnel ont quand même obtenu la nomination du cabinet d’expertise comptable Syndex pour une mission d’audit sur le groupe. « Nous lui demanderons d’enquêter sur l’état des finances et sur d’éventuelles pistes de repreneurs. »


La FNSEA veut une « introspection »


Au-delà des difficultés du groupe Doux, Xavier Beulin, président de la FNSEA, réclame « une introspection, un travail de fond sur les filières animales et singulièrement sur la filière avicole ». La filière française a des problèmes de compétitivité face à ses concurrentes européennes.


« Elle a aussi des difficultés avec les acheteurs de la grande distribution qui pressurent quand même beaucoup les entreprises. »


Jean-Paul LOUÉDOC.

 

http://www.ouest-france.fr/actu/economieDet_-Groupe-Doux.-Les-syndicats-ont-quitte-la-table-des-discussions_3634-2084148_actu.Htm

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6 juin 2012 3 06 /06 /juin /2012 09:46

6 juin 2012 -

 

Au cinquième jourde grève, ladétermination des agents de service des écoles de la ville estintacte. Les associations des parents d'élèves (APE) s'organisent pour encadrer l'activité périscolaire (garderie et cantine). La mairie ne veut pas entendre parler de négociations au plan local.


C'est le cas depuis une semaine maintenant: à l'heure de midi, les agents de service des écoles, en grève à l'appel de la CGT BMO, se réunissent devant ou dans le hall de l'hôtel de ville. Hier encore, ils étaient une centaine à maintenir leurs revendications: une revalorisation du régime indemnitaire de 30 € au 1er juillet 2012 et de 20€ au 1er juillet 2013. «Notre demande est dans les clous par rapport à ce qui est perçu par nos collègues du grand Ouest».

 

Juché sur une chaise face, micro à la bouche, Éric Pélennec, délégué CGT, lit aussi un courrier adressé par la direction du Pôle culturel, éducatif et sportif de la ville, informant des nouvelles dispositions prises cejour. «Un repas froid sera servi dans les restaurants scolaires ouverts. Seront ouverts les restaurants scolaires dans lesquels un effectif d'un adulte pour 30 enfants sera observé afin d'assurer les conditions minimales de sécurité. Aucun vacataire ne sera recruté en compensation des agents grévistes. Dans les restaurants fermés, la direction prend acte que certaines associations de parents souhaitent apporter et encadrer les repas des enfants sous leur responsabilité».

«La situation dégénère»

«La situation dégénère», jugent certaines APE, comme celle de l'école Sanquer. «Depuis lundi, on nous parle de grève illimitée. Les enfants, les parents, les enseignants et les personnels scolaires se retrouvent en difficulté. Pour les enfants de maternelle, la sieste n'est pas assurée, ce qui a des conséquences sur le travail de l'après-midi. Pour les parents, les employeurs sont de moins en moins compréhensifs. Nous pouvons être solidaires sur un jour de grève ou deux, mais là, ça devient compliqué.

 

Nous avons rencontré les responsables du service éducation de la mairie. Aucune solution n'est proposée ni envisagée. Le maire est invisible et ne se prononce pas. Nous sommes très en colère. Combien de temps ce conflit va-t-il durer?». Hier, la poursuite de la grève n'a pas été soumise au vote de l'assemblée générale. «C'est un message d'ouverture, a estimé Éric Pélennec. On sursoit au vote, on ne met pas la pression mais on veut des négociations».

Une assemblée générale ce matin à 11h

Rendez-vous a, en revanche, été donné aux grévistes aujourd'hui, à 11h, derrière la maison du Peuple, pour décider de la reconduction du mouvement. «Le vote se fera à bulletin secret. D'autres modalités d'actions pourraient être décidées.

 

Le mouvement est actuellement supporté par les agents des écoles. Des actions sporadiques ont eu lieu dans d'autres services mais il faut bien l'admettre, ça n'a pas pris». Les grévistes entendent, eux, négocier l'heure d'absence à midi comme une heure de prise de repas.

 

«Nous aussi, nous avons le droit de manger. Et on peut tenir encore longtemps comme ça. La machine est lancée, il ne faut pas l'arrêter. Quant aux parents qui veulent encadrer les enfants entre midi et 14h, où vont-ils le faire? Chez eux. L'encadrement, dans l'école, est soumis à convention». Dans l'après-midi, Marc Sawicki, adjoint délégué à la politique éducative, indiquait dans un courrier adressé aux parents d'élèves que «la collectivité s'inscrirait dans le cadre des mesures qui vont être décidées par le nouveau gouvernement enmatière de politique salariale». Pas de négociation au plan local. Statu quo, donc.

  • Karine Joncqueur

Commentaire: Soutien aux justes revendications des  grévistes, honte aux "responsables" qui ne jouent que le "pourrissment"  du mouvement.

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6 juin 2012 3 06 /06 /juin /2012 09:31

charles-douxpoulet11

 

Déclaration des comités NPA de Crozon Châteaulin Carhaix.

 

 

 

Le groupe Doux en faillite, c’est toute la chaine agro-alimentaire qui est sinistrée.

 

D’énormes subventions publiques et Européennes ont été englouties pour rien.

 

* C’est la faillite du fer de lance de l’agriculture productiviste en Bretagne.

* C’est la faillite des politiques menées en France pendant 15 ans voire plus.

* C’est la preuve que l’Europe libérale est un non sens ingérable et          incontrôlable.

* C’est du vol manifeste.

 

La faillite n’est qu’un leurre masquant une énorme évasion fiscale et un redéploiement du trust.

 

Les éleveurs et les salariés sont les premières victimes de ce négrier des temps modernes.


En cas de sinistre, généralement le préfet de région est interpelé ainsi que celui du département. Il faut donc prendre des mesures d’intérêt général.

 

Dans ce cas présent une mesure d’urgence s’impose. Un ou plusieurs gestionnaires ou administrateurs doivent investir le groupe. Non seulement un épurement des comptes doit entrer en vigueur mais aussi la justice financière.

 

Une expropriation de la famille Doux et une destitution des proches collaborateurs s’impose.

 

Il est évident que les salariés doivent s’organiser et prendre en main leur destin par le biais d’un système coopératif ou d’économie mixte. Les hommes politiques élus en place ne leur seront d’aucune utilité.


Les éleveurs doivent liquider les « quantités restantes » du système Doux et revenir progressivement à une agriculture paysanne.


Il est évident qu’un mouvement de solidarité se manifestera dans tout le pays les circuits courts doivent fonctionner à plein. Même la grande distribution sera prenante par peur de boycott.


On ne peut pas concevoir une politique agricole sans consulter les paysans ni un agro-alimentaire à visage humain sans l’avis et la participation des travailleurs eux même.

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6 juin 2012 3 06 /06 /juin /2012 09:16

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6 juin 2012 3 06 /06 /juin /2012 08:57

 

imagrrges

 

Ce samedi 2 juin, sest tenue àVannes dans les locaux de l’hôtelMercure, une conférence intitulée les"Assises bretonnes sur l'immigration". Organisée par la frange dure de lextrême droite bretonne. Parmi les organisateurs les militants identitaires de Jeune Bretagnequi présentent une dizaine de candidats-es aux législatives dans notre région intitulée « Bretagne, nous avons foi en toi » et ceux d’Adsavmouvement indépendantiste d’extrême-droite.

 

Ces fossoyeurs de la démocratie ont montré leur vrai visage en agressant violemment des jeunes issus de l’immigration venus protester contre la tenue d’une telle réunion dans leur ville. Trois jeunes gens se sont retrouvés hospitalisés au nom d’une prétendue « résistance de patriotes bretons face à l’invasion islamique ».

 

Une fois de plus, le NPA 29 tient à dénoncer des idées et des pratiques nauséabondes qui sous couvert de régionalisme ou de nationalisme breton ne sont que des idées racistes et fascistes qui visent à faire des personnes d’origine étrangère et de leurs enfants des boucs émissaires de la crise.

 

Les salarié-es du groupe Doux peuvent en témoigner aujourd’hui, personne en Bretagne, comme dans le reste de la France, ne peut croire un seul instant que la crise, les licenciements, le chômage, l’exclusion sociale soit liés à la présence ou non des travailleurs d’origine étrangère. C’est plutôt du côté de l’Europe des banques et du CAC 40 qu’il faut chercher les responsables de la crise !

 

Pas de division entre nous, les solutions simplistes portées par le FN et ses clones identitaires n’apportent aucun espoir aux victimes de la crise. En opposant les bretons aux français, les français aux immigrés, c’est la logique de la haine et de la division qui l’emporte sur la logique de la solidarité et de l’unité.

 

Le NPA 29 appelle l’ensemble des forces de la gauche sociale et politique à se retrouver dans l’unité la plus large pour combattre les idées racistes et fascistes portées par les différentes composantes de l’extrême droite.

 

Il appelle, par ailleurs, l’ensemble des électrices et électeurs de notre région à boycotter dans les urnes tous les candidat-es se réclamant de ses idées nationalistes, racistes et xénophobes.

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6 juin 2012 3 06 /06 /juin /2012 08:33

 Photo F.vignette paysage

 

 

Depuis l'été dernier, à Brest, des personnes étrangères en demande de papiers, pour la plupart demandeuses d'asile politique, sont abandonnées à la rue, parfois avec des enfants. Ces personnes ne trouvent souvent pour dormir que le hall d’entrée de l’AFTAM (association mandatée pour accueillir et accompagner les demandeurs d'asile à leur arrivée à Brest).

Face à cette situation, des occupations de bâtiments publics ont eu lieu, avec les personnes concernées, pour exiger des logements. Pour l’instant, ces luttes ont toujours débouché sur une solution d’hébergement. Mais ces hébergements sont toujours précaires, de courte durée, et parfois loin de Brest.

Comme si cela ne suffisait pas, la préfecture du Finistère a annoncé la cessation du paiement des chambres d’hôtels à plus de 100 personnes qu’elle hébergeait. Ces personnes sont donc menacées d’être tout simplement mises à la rue jeudi 7 juin, comme c’était déjà le cas la semaine dernière.

En plus de maintenir des dizaines de personnes dans la précarité d’un hébergement en hôtel, renouvelé (ou non) de semaine en semaine, le préfet s’arroge le droit de faire le tri entre les familles qui mériteraient d’être hébergé-e-s et les personnes sans enfant.

Le logement est un droit. L’Etat a l’obligation légale de loger les personnes demandeuses d’asile.
Pour obtenir des logements pour tous et toutes,
Français-es ou étranger-e-s, avec ou sans papiers 
RASSEMBLEMENT
Place de la Liberté jeudi 7 juin à 18h

 

La prochaine réunion est fixée au lundi 11 juin, 18h à la salle des syndicats

 

 

Casss-papiers, LDH, MRAP, Planning familial, FSU, SUD/Solidaires,


UL CGT Brest, NPA, EE Les Verts, UDB, POI, PCF, Les Alternatifs

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5 juin 2012 2 05 /06 /juin /2012 11:43

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Les enseignements de la faillite annoncée du volailler industriel Doux :

 

la recherche de la compétitivité basée sur le seul prix est un leurre, la politique agro exportatrice est à revoir, les politiques agricoles doivent aussi se préoccuper de l’emploi et du maintien des fermes en France. 

 

La faillite du volailler industriel Doux est la faillite d’un système qui recherche la compétitivité à tout prix (délocaliser pour trouver des bassins d’emplois bon marché). C’est la faillite d’un système qui se base sur l’exportation de « minerai », une production industrielle basée sur une agriculture intégrée, concentratrice et sans avenir. C’est la faillite d’une politique publique : Doux a accaparé les deniers publics (plus d’un milliard d’euros en 15 ans) et s’est tenu la tête sous le robinet des subventions européennes pour un résultat catastrophique. Enfin, c’est la faillite d’une politique agricole qui ne tient pas compte des paysans et de l’emploi.

La Confédération paysanne dénonce la conduite de Charles Doux, une des grandes fortunes de France (au rang 146, selon le magazine Challenges), qui va mener les salariés de son groupe au chômage et qui conduit les paysans, qui ont cru aux promesses de ce que l’on n’appelait pas encore la contractualisation, vers la sortie.

 

La Confédération paysanne demande aux ministres de l’agriculture et du redressement productifs de tout faire pour qu’aucun emploi ne soit supprimé, pour qu’aucune ferme ne disparaisse. L’expérience du marché exportateur et de la recherche de la compétitivité est un échec dont il faut faire le bilan.

 

La Confédération paysanne propose de revenir à une politique de relocalisation de la production et de la consommation, dans une perspective de souveraineté alimentaire européenne.



Contact :

Philippe COLLIN, Porte Parole : 06.76.41.07.18
Gérard DURAND, Secrétaire National référent du pôle élevage : 06.80.72.32.74
Mathilde THERY, Relations presse : mthery@confederationpaysanne.fr, 01.43.62.18.71

 

http://www.confederationpaysanne.fr/doux-faillite-vocation-exportatr-deviennen-pa_421-actu_2203.php

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5 juin 2012 2 05 /06 /juin /2012 11:25
André Menesguen du NPA et Annick Burbaud sa suppléante, sur la 6è circonscription.

Dans la 6e circonscription du Finistère, qui va de Carhaix à la presqu’île de Crozon en passant par Châteaulin, siège du groupe Doux, les difficultés financières du volailler, placé en redressement judiciaire vendredi, ne devraient pas trop bousculer les rapports de force entre droite et gauche.

 

Avec 59,26% des voix au second tour de la présidentielle, cette dernière a bon espoir de gagner la bataille. L’avenir du géant de la volaille, qui représente 2 700 emplois dans l’Ouest, n’en a pas moins éclipsé les autres sujets. A l’image de la une du Télégramme qui circulait samedi dans les allées du marché de Carhaix : «Groupe Doux : et maintenant ?»

 

C’est la question que tout le monde se pose.  

 

«C’est un traumatisme énorme, on sent beaucoup d’émotion», souligne Matthieu Guillemot, porte-parole du candidat du NPA ( André Menesguen: note du Blog) , tout en distribuant ses tracts et en réclamant «la restitution des subventions».

 

Pour lui, «ça va être l’occasion de voir s’il y a une différence entre gestion de droite et gestion de gauche». Jean-Pierre Jeudy, ancien maire communiste de la ville et aujourd’hui militant du Front de gauche, s’interroge de son côté sur les raisons d’une telle déconfiture. «Maintenant, il va falloir se demander comment on en est arrivé là», observe-t-il, pointant des «délocalisations au Brésil» sur lesquelles Doux a «tout misé».


Derrière son comptoir d’œufs, Philippe, 49 ans, ancien routier reconverti dans l’élevage et l’abattage de volailles bio, a son idée : «Il y a eu un gros problème de gestion, estime-t-il. On a confondu chiffre d’affaires et bénéfices. Mais si Doux ferme, ça va faire de gros dégâts, dans les usines, mais aussi chez tous ceux qui travaillent pour eux, les éleveurs, les fabricants d’aliments… Tout va se casser la figure.»


Le sujet est sensible à Carhaix.

 

La circonscription est située entre Châteaulin, où l’usine Doux emploie 700 personnes, et Plouray, où un site d’abattage du groupe compte 130 salariés. L’élevage de volailles y a longtemps été l’une des principales ressources. «C’est ici, dans les années 50, qu’est née l’aviculture française, rappelle Christian Troadec, maire de Carhaix et candidat divers gauche aux législatives.

 

Il y avait partout des petits poulaillers où les industriels venaient s’approvisionner. C’est une sacrée page qui se tourne.» Venu serrer des mains entre un stand de charcuterie et les étals de fruits et légumes, l’édile était vendredi à Châteaulin, où il a rencontré les employés, «inquiets pour leurs salaires», et la direction.  

 

«Quand je me suis trouvé dans le grand bureau de Briec Bounoure [un des dirigeants historiques de Doux, ndlr], en face de quelqu’un qui voit tout s’écrouler, ça fiche un drôle de sentiment», raconte-t-il. Mais le concurrent direct de Richard Ferrand, le candidat PS, n’a pas été surpris par les déboires du volailler.

 

«Il y avait des problèmes de règlement des éleveurs depuis plusieurs années. Et, ces derniers temps, des ruptures d’approvisionnement des élevages en aliments, indique-t-il. Tout le monde savait que c’était fragile et il aurait fallu les aider au moment opportun.»


Sur le marché de Carhaix, certains voient aussi dans la sortie de route du volailler «la fin d’un système productiviste» à bout de souffle.  

 

«Il faut arrêter de tuer les sols et de prendre les animaux pour des machines, lance Caroline, productrice de fromages. Quand on entre dans un poulailler, mieux vaut ne pas regarder au fond, ça donne le mal de mer ! Espérons que le gouvernement mettra en place des choses pour produire différemment, plus propre et en équilibre avec la nature.»


Samedi, Marie-Anne Haas, chef d’entreprise et candidate du Front national, était aussi dans les allées du marché de Carhaix. Avec un seul message concernant Doux : «On peut sauver l’outil, mais il y aura des licenciements.»

 

http://www.liberation.fr/politiques/2012/06/03/hauts-fourneaux-et-basses-cours-s-invitent-dans-la-campagne_823390

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5 juin 2012 2 05 /06 /juin /2012 11:00

 

charles-doux

Économie mardi 05 juin 2012

Le comité central extraordinaire du groupe Doux a commencé, ce mardi matin à 9 h 30, en présence des délégués du personnel.

 

FO et la CFDT appellent à débrayer à partir de 10 h 30.

 

Nadine Hourmant déléguée Force Ouvrière se dit « pas confiante du tout pour la pérennité des emplois (3 400 CDI en France). Elle demande aux commerçants, aux artisans du Pays de Châteaulin » de se joindre au mouvement par solidarité.

 

http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Doux-a-Chateaulin.-FO-et-la-CFDT-appellent-a-un-debrayage_39382-2083841_actu.Htm

 

Commentaire: Doux le seul qui ne perd rien !  Où sont passées les subventions de la PAC? Qu'il les rende !

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5 juin 2012 2 05 /06 /juin /2012 10:38

5 juin 2012 

 

Une vingtaine de personnes ont participé hier, en fin d'après-midi, à une réunion proposée par le collectif Casss-Papiers, à la salle des syndicats, pour réfléchir àune stratégie commune face au problème posé par la situation des demandeurs d'asile qui arrivent régulièrement à Brest et que l'État a obligation d'héberger.

 

Les militants du Casss-Papiers constatent que «le droit au logement d'urgence est loin d'être automatique». Si les luttes engagées sont pour l'instant couronnées de succès, ils se demandent comment mettre en place une vraie politique dans le département du Finistère.

Conditions de vie indignes

Ils ont rappelé la situation de demandeurs d'asile qui dorment toujours dans les couloirs de l'Aftam, association censée les prendre en charge, et de ceux logés en camping ou à l'hôtel, dont l'hébergement arrive à terme demain et jeudi.

 

Les participants à cette réunion, où étaient représentés quelques associations, syndicats et partis politiques, ont insisté sur le fait que «l'hôtel coûte très cher et n'est pas une solution. Ce sont des conditions de vie totalement inadaptées, indignes, inacceptables».

 

Le nouveau collectif élargi qui a été créé hier soir à la salle des syndicats invite à une nouvelle manifestation jeudi, à 18h, place de la Liberté. Les militants insistent toujours pour que le droit soit respecté et «pour qu'un hébergement collectif d'urgence soit trouvé. Il y a, à l'Harteloire, une ancienne caserne de gendarmerie, qui appartient à l'État, où vivaient des familles et qui pourrait être rénovée. Cela coûterait moins cher que l'hôtel, où les gens sont maintenus dans des conditions de précarité quotidienne».

  • Guy Pellen

http://brest.letelegramme.com/local/finistere-nord/brest/ville/demandeurs-d-asile-creation-d-un-collectif-elargi-05-06-2012-1726561.php

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