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5 mars 2013 2 05 /03 /mars /2013 09:36

5 mars 2013 à 07h00

 

 

La CGT, FO, FSU et Solidaires des Côtes-d’Armor relaient l’appel national des confédérations CGT et FO, qui s’opposent aux dispositions de l’Accord national interprofessionnel (ANI) sur la flexibilité, signé le 11 janvier.

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"Dans le privé, cet accord organise une plus grande flexibilité pour les salariés, un recul de leurs droits individuels et collectifs au bénéfice des employeurs. Pour la fonction publique, l’application du pendant de cet accord entraînerait la déréglementation du statut", estiment les syndicats, qui appellent à un rassemblement départemental à Saint-Brieuc, ce mardi, place de la Liberté, à 10 h 30.

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http://saint-brieuc.letelegramme.com/local/cotes-d-armor/saint-brieuc/ville/saint-brieuc-accord-sur-la-flexibilite-manifestation-demain-matin-04-03-2013-2024792.php

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http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Saint-Brieuc.-700-personnes-contre-l-accord-sur-l-emploi_40771-2169776-pere-redac--22070-abd_filDMA.Htm

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5 mars 2013 2 05 /03 /mars /2013 09:31

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5 mars 2013 à 07h02

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La CGT, FO, la FSU et Solidaires, soutenus par plusieurs formations politiques dont le Parti communiste et le Parti de gauche, appellent à un rassemblement intersyndical contre l'accord interprofessionnel du 11 janvier, ce mardi à 11 h, place de la Liberté.

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http://brest.letelegramme.com/local/finistere-nord/brest/ville/brest-rassemblement-intersyndical-demain-a-11-h-04-03-2013-2024839.php

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5 mars 2013 2 05 /03 /mars /2013 09:10

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4 mars 2013 à 20h10 

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La Direction générale de l’aviation civile (DGAC) a-t-elle fourni des chiffres fiables concernant le futur trafic de passagers au départ de Nantes ? Certains en doutent.

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L’argument choc pour la construction de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, c’est l’explosion prévisible du nombre de passagers voulant prendre l’avion à Nantes à l’horizon 2050 : neuf millions, soit cinq fois plus qu’en 2005. Et c’est sur ces bases, notamment, que le si contesté projet a été bâti.

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Problème, selon des opposants, le calcul avancé par la DGAC aurait oublié un élément majeur.

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Et au regard de ce qui est arrivé à d’autres aéroports français placés dans des situations similaires, il faudrait en fait diviser l’estimation par deux. Une nouvelle pierre dans le jardin des partisans du projet.

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http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/nantes/notre-dame-des-landes-les-comptes-de-la-dgac-contestes-04-03-2013-2024870.php


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Les gains financiers mis en doute (Le Tél)

5 mars 2013 

 

La DGAC a-t-elle réellement ignoré cette concurrence des LGV ?

 

En décembre dernier, le chargé de communication de la DGAC, Éric Héraud, nous envoyait par e-mail cette réponse : « Je me répète : la DGAC n'intègre pas dans ses prospectives les aspects rail ». En février, le même responsable affirmait le contraire au site Terraeco.net (*). Éric Héraud fournissait pour preuve un document... daté du 8 janvier 2013, soit quelques jours seulement après la demande de renseignements formulée par Le Télégramme. L'estimation du nombre de passagers a-t-elle réellement été gonflée ?

 

Ce (nouveau) doute intervient après celui exprimé, il y a deux semaines, sur une autre estimation ayant servi à justifier le futur aéroport de Notre-Dame-des-Landes. La DGAC avait, en effet, affirmé que le nouvel aéroport ferait gagner à la collectivité 911 M? sur la période 2012-2042. Le bénéfice ainsi calculé proviendrait des gains de temps de trajet pour se rendre à l'aéroport. Comment ces gains ont-ils été calculés ? Hervé Kempf, chroniqueur au Monde, est parvenu à se faire communiquer deux notes censées expliquer ces chiffres. Dans sa chronique du 24 février dernier, le journaliste exprimait sa perplexité et relayait l'une des observations des experts du Collectif d'élus doutant de la pertinence de l'aéroport (Cedpa) : « Une reconstitution des extrapolations possibles conduit à une évolution statistique aberrante ».

* À Terra eco, la DGAC a tout de même reconnu qu'elle n'avait jamais pris en compte la future gare d'Orly dans ses estimations.

  • H. C.

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/cotesarmor/les-gains-financiers-mis-en-doute-05-03-2013-2024998.php

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4 mars 2013 1 04 /03 /mars /2013 13:56

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Publié dans : Hebdo Tout est à nous ! 184 (28/02/13)

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Sarkozy avait fait de la LRU (Loi liberté et responsabilité des universités) « une des plus grandes réussites de son mandat»… aux conséquences désastreuses.

 

L’autonomie financière des établissements a mis un tiers d’entre eux en déficit. Une dégradation sans précédent des conditions d’études pour les étudiants et de travail pour les personnel. La réforme Fioraso, ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche (ESR), renforce la logique de la LRU en lui donnant une cohérence territoriale : appliquer l’austérité et assujettir le secteur aux besoins du patronat.


Cette réforme va mettre le secteur au service de « la croissance et de la compétitivité » et répondre « aux besoins des secteurs économiques et de leurs évolutions prévisibles ».

 

Les capitalistes ont besoin de solutions pour maintenir leurs profits. La ministre leur propose l’accélération de « l’innovation » en déplaçant cette tâche du secteur privé vers le public…et ceci à budget constant voire en diminution ! C’est un nouveau coup dur porté à la recherche fondamentale. Cette évolution est en cohérence avec la destruction des secteurs « recherche et développement » d’entreprises comme Sanofi qui licencient des centaines de salariéEs tout en augmentant leurs profits (en partie grâce au Crédit impôt recherche, vrai cadeau au patronat, 150 millions pour Sanofi en 2012).


Le public… au service du privé !


Dans chaque région, l’ensemble des organismes de l’ESR seront fusionnés dans des pôles uniques (sauf en Île-de-France où il y en aura plusieurs) qui engloberont les acteurs économiques locaux. La disparité de moyens entre régions riches et pauvres va s’accroître suite à un transfert de compétences aux collectivités territoriales (en lien avec l’acte III de la décentralisation). Ces pôles permettront d’accélérer le transfert de compétences du public vers le privé et de spécialiser chaque organisme pour les entreprises locales. La boucle est bouclée !


Enfin, une des mesures de la réforme consiste à casser la reconnaissance des diplômes.

 

Chaque université aura le droit de délivrer ses diplômes, alors qu'auparavant il fallait qu’ils soient tous vérifiés par le ministère. C’est-à-dire que chaque université pourra spécialiser ses diplômes comme bon lui semble car le contrôle ne se fera qu’à posteriori. Ainsi, les diplômes ne seront plus reconnus nationalement. Les jeunes ne pourront plus se défendre sur le marché du travail en négociant collectivement leurs salaires et leurs droits en fonction de leur qualification.


Ce projet est inacceptable, il faut le retirer et abroger les précédentes réformes.

 

En 2007 et 2009, les étudiantEs, puis les personnels, s’étaient mobiliséEs contre la LRU. Celle-ci avait fini par s’appliquer. Aujourd’hui, face à la loi Fioraso, l’explosion de la précarité et des déficits budgétaires, un début de mobilisation voit le jour. Les AG commencent à se constituer. Les tâches de l’heure : construire et amplifier la mobilisation côté étudiant comme côté personnels ; travailler aux convergences « de la maternelle à l’université » et entre le public et le privé.

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Jean-Baptiste Krebs et Sylvain Pyro

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4 mars 2013 1 04 /03 /mars /2013 13:37

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L’Union européenne a décidé d'autoriser l'utilisation des farines animales, interdites depuis 1997, pour nourrir les poissons d'élevage. 

 

Les élevages industriels présentent des conditions scandaleuses : surpeuplement des bassins, gavage, utilisation de médicaments, en particulier d'antibiotiques. Les éleveurs industriels prétendaient lutter contre la disparition de certaines espèces de poissons, alors qu'ils ont largement contribué à piller les océans pour alimenter leurs élevages.

 

Ils invoquent à nouveau la protection des ressources maritimes pour remplacer les farines de poisson par des « protéines animales transformées » (PAT), des déchets de porcs et de volailles impropres à la consommation humaine, broyés et transformés qui reviennent moins cher.


L'industrie agroalimentaire gagne sur tous les tableaux : poissons industriels produits à moindre coût et déchets immangeables rentabilisés !

 

À l'occasion du Salon de l'agriculture, François Hollande assure que « la France n'introduira pas ces protéines animales pour ce qui la concerne », mais ne dit rien des poissons importés nourris avec ces mêmes farines !


Et ce n'est qu'un début.

 

Malgré ses dénégations, « pas prévu d'ici 2014 », la Commission européenne envisage bel et bien d'étendre à l'alimentation des porcs et volailles l'autorisation des farines animales. Elle finance depuis 2007 des recherches en ce sens. On imagine bien que les 1, 7 million d'euros qui y avaient déjà été consacrés en août 2012, n'ont pas été dépensés pour la curiosité scientifique !


CorrespondantEs commission nationale écologie du NPA

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4 mars 2013 1 04 /03 /mars /2013 13:34

Gael Quirante le "meneur"

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« Douze relaxes: la lutte continue mais nous sortons renforcés!»

 

Une volée d’applaudissements salue Olivier Besancenot. Hier, la cour d’appel de Versailles a rendu son arrêt dans l’affaire qui a valu à plusieurs postiers de comparaître devant la justice après avoir «séquestré» plusieurs cadres de leur direction dans leurs bureaux à Nanterre, lors d’un mouvement social, en mai 2010.


En première instance, quinze postiers, parmi lesquels Olivier Besancenot, avaient été condamnés à des amendes avec sursis.

 

Hier, les magistrats ont finalement relaxé douze d’entre eux. Pour les trois autres, dont Gaël Quirante, le meneur, ils ont confirmé la peine: 1500€ d’amende avec sursis et 500€ de dommages et intérêts pour chacune des treize parties civiles.

 

Les intéressés ont d’ores et déjà annoncé qu’ils allaient se pourvoir en cassation.

 

Quelques minutes avant l’audience, les avocats des parties civiles faisaient grise mine. «Je ne me fais aucune illusion, soupire Me Bernard Dartevelle. De toute façon, ils vont bénéficier de l’impunité. On est venus pour rien.» Dès le début d’après-midi, la tranquille rue Carnot avait pris des airs de piquet de grève. Une tente avait été installée devant le monument historique hébergeant la cour d’appel.

 

Des drapeaux aux armes des syndicats claquaient dans le vent. Des élus de gauche et des syndicalistes de tout le pays et de toutes les branches avaient fait le déplacement, alors que la loi sur l’amnistie des syndicalistes est discutée au Parlement. On apercevait Mgr Gaillot ou encore Xavier Mathieu, figure de proue des Conti. «Même si elle n’est pas complète, c’est une belle victoire», martèle-t-il.

 

Micro à la main, Gaël Quirante, le leader de la contestation dans le département, ne boude pas son plaisir même s’il est condamné: «Aujourd’hui, la Poste a pris une petite claque. Les salariés et les syndicalistes se retrouvent dans le box, et pas ceux qui suppriment des emplois ! Il faut arrêter cela.»

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http://www.npa2009.org/content/les-postiers-syndicalistes-f%C3%AAtent-leur-victoire-le-parisien-01032013

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4 mars 2013 1 04 /03 /mars /2013 13:09

 

 

 

Kenichi WATANABE, est le réalisateur du documentaire : « Le monde après Fukushima » qui sera diffusé le mardi 5 mars à 22h25 sur ARTE dans le cadre de la programmation spéciale "Fukushima deux ans après ".  

Jeudi 7 mars autre documentaire « Fukushima, chronique d’un désastre » à 22h50


Kenichi Watanabe donnera une conférence  le Lundi 4 mars à 20h à la Péniche Antipode – 55 quai de la Seine, Paris 19è

Projection en avant-première du documentaire de Kenichi Watanabe (77mn), "Le monde après Fukushima", suivie d’une rencontre avec le réalisateur.

 Réservation indispensable

Contact : Canal Bio - 46 bis quai de la Loire, 75019 Paris / 01 42 06 44 44

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link

 

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4 mars 2013 1 04 /03 /mars /2013 12:29
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Publié par Alencontre le 3 - mars - 2013

«La dette d’aujourd’hui est le vol d'hier par la classe dominante».

Par António Simões do Paço, revista Rubra

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«Il est temps pour le gouvernement de s’en aller» et «Qui doit de l’argent ici c’est le banquier», a-t-on crié hier dans les rues de 40 villes au Portugal.

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Les manifestations d’hier, le 2 mars 2013, dans 40 villes du Portugal ont réuni, selon la presse, 1,5 million de personnes contre la troïka (FMI, BCE, UE) et le gouvernement de coalition de droite de Passo Manuel Mamede Passos Coelho du PASD (Parti social-démocrate)  qui sous le couvert du «paiement de la dette», une dette qui n’est pas publique mais privée et «nationalisée» au service des privés qui l’ont contractée, opère une vaste contre-réforme. Son but est de détruire «l’État-providence», de réduire les salaires et les subventions, d’opérer les licenciements massifs et, enfin, de permettre un transfert massif de ressources du Travail vers Capital.


A Lisbonne, le début de la manifestation à la place Marques de Pombal, qui se terminait au Terreiro do Paço, en face du Tage, donc à une distance de 2,6 km, a connu une affluence massive de personnes désireuses de se débarrasser du gouvernement de droite et de la troïka.


Lorsque la tête de la manifestation a commencé à marcher, les 1500 mètres de l’Avenida da Liberdade, qui s’étendait devant elle, étaient déjà comblés par une marée humaine qui criait des slogans tels que: «Il est temps pour le gouvernement de s’en aller» ou «Qui doit de l’argent ici c’est le banquier».


Comme le 25 Avril 1974, début de la Révolution des Œillets, on a crié: «Le peuple uni ne sera jamais vaincu».

 

La dimension internationale des problèmes auxquels les Portugais et les peuples du sud de l’Europe sont confrontés n’a pas été oubliée: «Espagne, Grèce, Irlande, Portugal – notre combat est international», ont scandé les manifestant·e·s. A Porto, la deuxième ville du pays, il y avait 400 000 personnes, la plus grande manifestation jamais vue dans la capitale du Nord, qui ont rempli l’énorme place des Alliés.


«Voleurs», «pourris», «pillards» sont d’autres termes qui sont apparus sur les affiches qui ont été confectionnées et portées par les gens. «On ferait mieux de voter pour Ali Baba, au moins nous savons qu’ils sont seulement 40 voleurs», déclarait une affiche.


Les manifestations ont été convoquées par le collectif "Que se Lixe a Troika", une constellation de groupes de militants, et non par les partis de gauche et les syndicats. BE (Bloque de gauche) et PCP (Parti communiste portugais) ont annoncé, toutefois, leur adhésion et certains dirigeants et députés du BE, du PCP et du PS (Parti socialiste) étaient présents.

 

Pour la première fois, la plus grande centrale syndicale, la CGTP (Confédération générale des travailleurs portugais), dirigée par le Parti communiste, a publiquement adhéré à une initiative qui n’était pas promue par elle-même.

 

Cependant, António José Seguro, secrétaire général du PS, le principal parti (quantitativement) d’opposition, a choisi d’être absent dans une petite ville de l’Alentejo où il n’y a pas eu de manifestation. Il s’est exprimé de manière ambiguë en se référant à la nécessité de changer de politique, mais pas de gouvernement. Un indicateur de crise: presque 24 heures après, ni le président, Antonio Cavaco Silva, ni le gouvernement n’ont encore parlé de ces manifestations.


Un autre signe de l’association des manifestations d’hier à la révolution de 25 Avril 1974 a été le chant de «Grândola, ville brune». Cette chanson de José Afonso a servi de signal pour que des militaires se soulèvent pour renverser la dictature salazariste déclinante (dirigée, après la mort de Salazar en 1968, par Marcelo Caetano). Ainsi des dizaines de milliers de bouches du nord au sud du pays – et même à l’étranger, comme à Paris, où une centaine de manifestants se sont concentrés devant le Consulat du Portugal – ont entonné cet hymne renvoyant à la Révolution des Œillets.

«Le 25 Avril que mon père a fait, je dois le refaire moi», a dit une femme de 46 ans, Isabel Mora, qui défilait à côté de sa fille de 16 ans.

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http://alencontre.org/divers/portugal-15-million-contre-la-troika-et-le-gouvernement-de-droite.html

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4 mars 2013 1 04 /03 /mars /2013 11:24

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Mercredi 6 mars RDV Place du parlement à partir de 12h  Rennes

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À l’automne dernier, le déclenchement par les pouvoirs publics de l’opération "César" visant à expulser les occupants de la ZAD s’est heurté à une résistance suffisamment acharnée pour mettre en échec les projets de la préfecture et de Vinci. Alors même que de plus en plus de forces se concentraient sur la ZAD pour reconstruire à plus grande échelle ce que les flics avaient détruit, la préfecture a décidé d’augmenter la pression, en multipliant les blessures (une centaine de blessés lors de l’offensive des 24 et 25 novembre) et en essayant d’enfermer ceux qui tombaient dans les sales pattes de ses sbires.

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Le lundi 26 novembre 2012, 5 personnes ont été interpellées par des gendarmes en civil, infiltrés derrière la barricade du Sabot.

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Selon des témoins, il n’y a pas eu de sommations. Pourtant, elles ont été accusées de ne pas avoir obéi aux ordres de dispersion. Selon les personnes arrêtées, les gendarmes ne portaient pas de brassard au moment de l’interpellation et ne l’ont mis qu’après. Elles ont également été rouées de coup (visages tuméfiés, bleus sur le corps). Ayant tenté de se défendre contre un agresseur non-identifié en l’absence de brassards visibles, elles sont accusées de violence envers les gendarmes. En l’absence de preuves formelles (photos, vidéos, témoignages), le juge a validé la version policière au détriment de celle des accusé(e)s.

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Depuis cet évènement, Cyril est toujours emprisonné en attente de procès en appel.

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Il a été condamné notamment à cinq mois d’emprisonnement faute d’une défense préparée. Il sera jugé à la cour d’appel de Rennes le 6 mars prochain.

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Nous appelons toutes les personnes solidaires de la ZAD et de ceux qui luttent pour la défendre à venir soutenir Cyril en se rassemblant devant la cour d’appel pour partager des réflexions, des textes, un repas, et notre mépris face à leur procédures.

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Quimper: Covoiturage Mercredi à 9h00 - parking de Fly  zone de Gourvily

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4 mars 2013 1 04 /03 /mars /2013 10:28

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Lettre ouverte à la FCPE

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POUR UNE REFORME DE L’ECOLE PARCE QUE LA FCPE C’EST (AUSSI) NOUS !
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Conseils locaux ou adhérents de la FCPE d’arrondissements parisiens, nous demandons le report de la réforme des rythmes scolaires à Paris. Nous ne partageons pas le discours de la FCPE à Paris comme sur le plan national à propos de cette réforme.

Oui nous nous sommes battus contre la semaine de 4 jours notamment parce qu’elle supprimait 2 heures de classe remplacées par l’aide personnalisée au détriment des RASED. On nous dit aujourd’hui que la seule chose qui compte est le retour aux 4 jours et demi et qu’on verra plus tard pour le reste ! Mais pour quoi faire ? Du périscolaire ?

La logique comptable du gouvernement précédent n’a pas été modifiée.

Les lourds contenus des programmes non plus Nos enfants feront leur rentrée 2013 dans des classes surchargées
En quoi la fatigue et le décrochage scolaire vont-ils être résorbés avec parfois plus de 30 enfants par classe ? Une réforme des rythmes est nécessaire mais elle ne peut réussir indépendamment des moyens qui l’accompagnent. Nous ne partageons pas le choix binaire formulé par les dirigeants de la FCPE qui consisterait entre « attendre que l’école soit parfaite sur le papier » ou se satisfaire de ce qui « se présente ».

Nous ne voulons pas attendre les « autres étapes », alors que dans de nombreuses écoles, il y a déjà tant à faire pour le périscolaire, pour l’accueil des enfants porteurs de handicap, pour les élèves en grande difficulté. Non seulement il manque des animateurs titularisés et correctement formés mais aussi des ASEM, des AVS, des RASED, des médecins scolaires … Nous voulons des engagements clairs, en particulier pour un temps périscolaire gratuit de qualité et pour tous les enfants quels que soient leur école et leur quartier.

Nous déplorons le discours de la FCPE mettant en garde les parents contre les réunions proposées par « certains enseignants » et leur visée corporatiste. Nous contestons un discours qui ne reflète pas la diversité des points de vue des adhérents et conseils locaux FCPE parisiens, un discours qui attise les tensions entre parents et enseignants, voire entre parents adhérents eux-mêmes.
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Nous appelons les parents de la FCPE à se saisir de la mobilisation actuelle
, pour permettre au plus grand nombre de parents de comprendre les enjeux de cette réforme, de débattre et d’obtenir pour 2014 les moyens d’une réforme réussie.
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Parents FCPE et membres du collectif « Prenons le temps pour nos enfants »
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vendredi 19 avril

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  Concert à Lannion

 

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Dimanche 28 avril

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Mardi 7 mai

 Yves-Marie Le Lay,

Président de

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  Douarnenez

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