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13 janvier 2011 4 13 /01 /janvier /2011 08:31

13 janvier 2011 - Le Télégramme

 

Des affiches portant le titre «La mafia juive, les grands prédateurs internationaux » ont été placardées au centre-ville de Concarneau, dans le courant de la semaine dernière. Depuis, la plupart ont été lacérées ou arrachées, seuls quelques morceaux subsistent avenue Pierre-Guéguin ou à l'entrée de la Ville-Close.

 

Ces affiches antisémites sont la reproduction de la couverture de «La mafia juive», un livre d'Hervé Ryssen, auteur controversé, présenté comme proche de l'extrême droite. Sur son blog, l'écrivain reconnaît cette promotion de son ouvrage à Concarneau. Sammy Ghozlan, président du Bureau national de vigilance contre l'antisémitisme a annoncé son intention de déposer plainte auprès des services de police de Concarneau.

 

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Plounéour-Ménez (29). La mallette d'un médecin juif retrouvée

12 janvier 2011 - 

 

Rebondissement dans les recherches sur la famille juive de Plounéour-Ménez, victime de la Shoah. La mallette médicale du père a été retrouvée.

Une petite mallette de médecin en cuir marron, usée par les années. C'est tout ce qui reste d'Ihil Perper, médecin juif déporté à l'automne 1942 au camp d'extermination nazi de Sobibor, avec sa femme et ses trois enfants. «Plusieurs indices nous amènent à confirmer l'identité du propriétaire de la mallette, précise Christine Berthou-Ballot, conservatrice des archives municipales de Brest. La sacoche a été retrouvée dans le grenier de la mairie de Plounéour-Ménez, dernier lieu de résidence de la famille Perper».

Mallette et stéthoscope

Une origine confirmée par le témoignage de Solange Briant, originaire de Plounéour-Ménez. «Je peux vous dire avec certitude que les meubles de la famille ont été entassés dans le grenier de la mairie à leur départ. C'est là que j'ai trouvé une mallette de cuir marron dans laquelle il y avait un stéthoscope», écrivait-elle, dans une lettre adressée à Marie-Noëlle Postic, auteur du livre «Sur les traces perdues d'une famille juive en Bretagne», publié en 2007. Fascinée, à l'époque (entre1944 et 1946), la petite Solange avait emporté la mallette et laissé le stéthoscope sur place. C'est en novembre dernier, soit environ 65ans après, qu'elle a restitué l'objet historique aux archives municipales de Brest, à la suite d'un appel à témoignages relayé par les journaux.

Faire revivre une histoire

C'est probablement pour fuir la persécution des lois antijuives de 1940 que cette famille d'origine ukrainienne décidait de quitter Brasparts pour s'installer dans la commune voisine de Plounéour-Ménez. Le docteur Perper continuera d'y exercer sa profession pendant les neuf mois qui précédèrent son arrestation par la gendarmerie française. «L'intérêt de cette découverte est de faire revivre une histoire concrète, qui s'est passée à côté de chez nous», explique Julien Simon, coauteur de la pièce de théâtre «La vie comme la vie». Avec sa troupe, il tente de restituer la mémoire des victimes de la Shoah sous le régime de Vichy, en collaboration avec la première littéraire du lycée Pavie, à Guingamp (22). La mallette les y aidera certainement. Pratique Prochaine représentation de la pièce «La vie comme la vie», le 10 février à Guingamp.

  • Mathilde Debry

http://www.letelegramme.com/local/finistere-nord/morlaix/stthegonnec/ploueourmenez/plouneour-menez-29-la-mallette-d-un-medecin-juif-retrouvee-12-01-2011-1171675.php

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13 janvier 2011 4 13 /01 /janvier /2011 08:26

13 janvier 2011 - 

 

La moitié environ des cheminots bretons participant à une enquête sur la souffrance au travail se sont plaints d'un «stress» lié à leur emploi, selon une étude du cabinet Transversales, rendue publique par le comité d'établissement régional des cheminots de Bretagne. Par ailleurs, 41% de ces salariés ont évoqué une «fatigue anormale en raison du travail» et 37% une «pression hiérarchique», selon les résultats de cette enquête.

La peur de changements de situation

Et 40% des cheminots participant à l'étude «s'attendent à vivre un changement indésirable dans leur situation professionnelle», du fait des changements organisationnels à la SNCF. Au total, un tiers des 3.940 cheminots bretons ont répondu au questionnaire, distribué à tous. Il ne s'agissait pas d'obtenir un échantillon se voulant représentatif, mais «avant tout de laisser s'exprimer les agents qui le souhaitaient», selon ColetteFranciosi, du cabinet d'audit Transversales.

 

Les résultats de l'étude ont été présentés et débattus, lundi à Rennes, en présence notamment de représentants syndicaux, de médecins du travail et de la direction de la SNCF. Pierre Delanoue, de la direction des ressources humaines de la SNCF, a précisé qu'un plan d'action a déjà été mis en place depuis le début de l'année 2010 par la SNCF, qui prévoit, entre autres, une sensibilisation des managers à ce problème. Le même type d'enquête avait été mené dans la région Paca au début de l'année 2010. Les cheminots normands seront les prochains à être interrogés.

 

 

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/finistere/sncf-de-la-souffrance-au-travail-chez-les-cheminots-bretons-13-01-2011-1172856.php link


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12 janvier 2011 3 12 /01 /janvier /2011 17:42

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12 janvier 2011 3 12 /01 /janvier /2011 13:46

 

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Source: Le Télégramme

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12 janvier 2011 3 12 /01 /janvier /2011 09:42

 

 

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12 janvier 2011 3 12 /01 /janvier /2011 09:30

Procession à Rgeb, près de Sidi Bouzid, pour les victimes de la répression policière, le 10 janvier 2011 (Reuters).


Aux bruits dans la cuisine, je devine qu'il est environ 7 heures. Mon oncle marmonne je ne sais quoi tandis que ma cousine lui prépare un café serré. Comme d'habitude. En Tunisie, je ne porte jamais de montre. A quoi bon puisque là-bas, rien ne presse. Les journées se répètent inexorablement sans que personne ne bronche.

Ici, la routine n'a rien d'un concept abstrait. Elle est une maladie avec laquelle on apprend à vivre parce qu'au fond, il n'y a pas d'autre choix. Et il fallait bien plus qu'une étincelle pour mettre le feu aux poudres. Car « le patron des patrons », comme le surnomment les Tunisiens, veille au grain, impitoyable avec les frondeurs. La simple évocation de son nom donne des frissons. Ben Ali n'est pas qu'un président, c'est aussi un tabou.

Son portrait géant sur l'avenue Habib-Bourguiba, l'équivalent tunisois des Champs-Elysées, en est la tragique illustration : quoi que vous
fassiez, quoi que vous disiez, il vous voit, il vous entend.

« Si la police apprend [ma plaisanterie], c'est la fin »

En plein déjeuner, en cette magnifique journée de juin, ma voisine s'est risquée à une petite plaisanterie sur les lunettes du raïs. Immédiatement, les éclats de rire firent place à l'inquiétude. Bondissant de sa chaise, ma cousine scruta par la fenêtre grande ouverte la présence d'éventuels badauds, qui auraient pu, par malheur, entendre cette boutade ma foi très amusante. « Si la police l'apprend, c'est la fin », dit-elle effrayée.

Mais apprend quoi au juste ? Que Zineb, cette vieille dame débonnaire, n'aime pas les lunettes du grand manitou ? Les champions européens de la démocratie n'en tiennent pas rigueur à « leur ami » lorsqu'ils visitent le pays du Jasmin. Ils savent mais feignent de regarder ailleurs.

La croissance économique est au beau fixe et la lutte contre les islamistes est un succès. Quand vous les interrogez sur ce qui fâche, ils s'amusent à nuancer, comme Jacques Chirac, que le droit de l'homme le plus élémentaire est de pouvoir manger.

En Tunisie, on apprend très tôt à être terre à terre

Chez moi, les gens sont très loin des considérations politiques. A Le Kef ville située près de la frontière algérienne , il n'y a même pas de grande avenue pour se distraire et regarder les touristes. Les hivers sont rudes, les étés brûlants.

Le chômage n'est pas qu'un enjeu social majeur, il est ancré dans les mœurs. Les jeunes étudient puis rejoignent presque naturellement, une fois leur diplôme en poche, la légion d'intellos assise du matin au soir dans les cafés.

Pour une ville de 45 000 habitants, le nombre de cafés par habitant frôle le record. A chaque coin de rue, l'odeur de la fleur d'oranger, pourtant si douce d'accoutumée, est en réalité la matérialisation olfactive du malheur des jeunes. Ils sont ingénieurs, urbanistes ou comptables, et parviennent de plus en plus mal à relativiser leur situation.

Les anciens, épuisés, les regardent ; les yeux empreints de culpabilité. Par leur inertie, ils ont presque sacrifié une génération toute entière.

Les discussions sont totalement sclérosées. Que dire à des amis que vous voyez tous les jours et que vous avez quittés il y a à peine quelques heures ? Rien, si ce n'est la même chose que la veille à la même heure. Le débat n'existe pas. Le rêve non plus, puisqu'en Tunisie, on apprend très tôt à être terre à terre, surtout dans les régions les moins favorisées.

Tous les matins, mon vieil oncle passe à la caisse

Dans les médias locaux, toujours la même chansonnette : le modèle tunisien est un exemple à suivre. Soyez reconnaissants de vivre sur cette terre bénie.

Oui, Ben Ali a à son actif quelques réalisations majeures. Mais depuis plus d'une décennie, le pays s'essouffle. Aujourd'hui, il suffoque, ne parvenant même plus à reprendre sa respiration. Le patron peut largement mieux faire.

Le grand Ouest tunisien est totalement abandonné. La cause, tout le monde la connaît : la politique du « boss ». Les régions littorales à fort potentiel touristique monopolisent toute l'attention. Le gouvernorat du Kef, comme beaucoup d'autres régions, n'entre pas dans ce schème.

Alors, tous les matins, c'est le même rituel. Après que ma cousine a servi son café à mon vieil oncle, ses quatre fils, tous diplômés de quelque chose d'intéressant, font la queue pour lui dire bonjour, et lui quémander l'équivalent en dinars d'un ou deux euros. Multipliée par quatre, c'est une somme pour un homme à la retraite.

Il se lance dans une sorte de sermon pour tenter maladroitement de les sortir de leur apathie. Rien n'y fait. Tous les matins, il passe à la caisse. C'est ça ou les priver de ce qu'il leur reste de liberté ; c'est-à-dire le café.

Trois ou quatre paquets de clopes, huit cafés par jour

En les accompagnant, je suis toujours mal à l'aise. En Europe, un diplôme – et j'en suis la preuve – n'apporte pas forcément un boulot. Néanmoins, je suis libre ; et cette liberté, dans mes moments de détresse, me donne le courage de croire en un futur meilleur.

Eux n'ont pas ce luxe. Ils bousillent leurs poumons à fumer trois ou quatre paquets de cigarettes goudronnées et boivent jusqu'à huit tasses de cafés par jour. Dans le caoua qui fait l'angle de ma rue, certains ont même leur place attitrée. Les plus téméraires se cachent le soir pour s'envoyer quelques bières, quand bien sûr, ils en ont les moyens.

Tu ne peux pas te plaindre, sauf si tu as de l'argent

Mon cousin Kerim pensait s'en être sorti, au moins momentanément. Un commerçant de Monastir l'a employé pendant près de deux ans pour effectuer des livraisons de marchandise. A chaque fin de mois, au moment de lui verser son salaire, il lui disait qu'il était juste mais qui le payerait le mois prochain. Il lui donnait de temps à autre quelques petites avances ; de quoi lui permettre de préserver les apparences, entretenir un petit peu ses parents et ses cinq frères et sœurs.

Un jour, cet exportateur de dattes a mis la clé sous la porte. La faillite. Kerim en tout et pour tout avait à peine touché cinq mois de salaire. Aucun contrat, juste la parole de ce charlatan qui a profité des largesses du système.

Fin de l'histoire. En Tunisie, tu ne peux pas te plaindre, sauf si tu as de l'argent. Lui n'est qu'un pauvre prolétaire. Affaire classée, Dieu reconnaîtra les siens.

Des Kerim aux droits bafoués et aux espoirs déchus, il y en a des centaines de milliers. Alors, le sacrifice de Mohamed Bouazizi [jeune marchand de Sidi Bouzid qui s'est immolé à la fin du mois de décembre 2010, ndlr] n'a rien d'étonnant. Comme il savait qu'il n'allait rien rater ou presque, il s'est permis de partir à l'entracte. Il a anticipé parce qu'il connaissait d'avance la fin de la pièce.

Son immolation par le feu aurait pu passer inaperçue. Seulement, ils sont des millions de Mohamed Bouazizi à commencer à trouver le café qu'on leur sert tout bonnement infect.

Photo : procession à Rgeb, près de Sidi Bouzid, pour les victimes de la répression policière, le 10 janvier 2011 (Reuters).

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12 janvier 2011 3 12 /01 /janvier /2011 09:16

 

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12 janvier 2011 3 12 /01 /janvier /2011 09:10

 

Communiqué du NPA.
Répression en Tunisie :
halte à la complicité du gouvernement français.

Après les manifestations du week-end, ce sont des dizaines de morts qui sont à déplorer en Tunisie. Le mouvement de révolte s'étend et touche de grandes villes du pays, comme Sousse.


Les forces de répression font preuve d'une violence et d'une brutalité inouïe à tel point qu'elles n'hésitent pas à tirer sur la foule des manifestants, voire sur les cortèges funéraires.

Le régime du dictateur Ben Ali est dénoncé maintenant comme le responsable du chômage, de la misère, de la confiscation des libertés les plus élémentaires, de la corruption qui permet l'enrichissement d'une petite clique au pouvoir à commencer par sa famille et celle de sa femme.


Président en exercice depuis 27 ans, Ben Ali s'en est pris violemment aux manifestants dans son dernier discours, n'hésitant pas à les traiter de « terroristes » ce qui laisse augurer de la poursuite d'une répression féroce.


Dans ces conditions, le quasi silence, la passivité du gouvernement français est intolérable. Pire, Bruno Le Maire, ministre de l'Agriculture, vient de déclarer, ce matin, que Ben Ali était « mal jugé et qu'il avait fait beaucoup de choses ».


Alors que les manifestations continuent avec leur lot de morts, de blessés, d'arrestations, que les libertés sont baillonnées, cette déclaration d'un ministre responsable national de l'UMP, appelé à travailler au projet de Sarkozy pour la présidentielle de 2012, est un aveu de complicité avec le dictateur tunisien.


Le gouvernement français fait passer ses petits arrangements entre amis avant les exigences légitimes du peuple tunisien qui n'en peut plus de ce vieux dictateur.


Le NPA, engagé dans le mouvement de solidarité avec le peuple tunisien, sera présent au rassemblement le 11 janvier, à 18h, à l'ambassade de Tunisie.


Olivier Besancenot, porte-parole du NPA, prendra la aprole au meeting unitaire prévu le 13 janvier, à 18h, à la Bourse du Travail de Paris.

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11 janvier 2011 2 11 /01 /janvier /2011 11:16

 


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 St. Divy  doit dire
NON À LA CENTRALE !

       

VENDREDI 14

20h30
Réunion        

Salle polyvalente du Valy Lédan 

St Divy
         
DIMANCHE 16

10h
Maison des Bruyéres 

St Divy

marche vers Lanvian


Email : association.stdivy@alicedsl.fr

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11 janvier 2011 2 11 /01 /janvier /2011 10:44

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En 2010, le revenu moyen des agriculteurs aurait augmenté de 85 % selon l’Insee et de 66 % selon le service statistique du ministère de l’Agriculture (SSP).

 

Cela s’explique principalement par la baisse du prix des engrais, la réduction du volume de produits phytosanitaires et la flambée du prix des céréales. On soulignera au passage que le gouvernement a choisi exceptionnellement de ne communiquer que le chiffre du SSP et de taire celui de l’Insee.


La direction de l’Insee, censée pourtant être indépendante, a accepté de ne pas faire de publicité de ses chiffres, méprisant ainsi le travail de ses agents. L’opération consiste à faire croire qu’il n’y aurait qu’un seul chiffre incontestable, alors que les estimations divergent fortement selon la méthode utilisée. Et il ne faut pas compter sur les médias capitalistes pour décrypter cette petite cuisine.


Même si ces chiffres sont spectaculaires, ils ne compensent pas la chute des deux dernières années : le revenu moyen reste légèrement inférieur à celui de 2007 et proche de celui des années 1990. Surtout, ces chiffres cachent de grosses inégalités, en évolution et surtout en niveau. La statistique publique ne fournit pas, malheureusement, les revenus selon la taille des exploitations. Mais on peut avoir un aperçu indirect de ces inégalités en regardant les revenus par secteur d’activité.

 

Ainsi, le revenu moyen d’un exploitant en grandes cultures est de près de 3 000 euros par mois alors que celui d’un éleveur de bovin viande n’est que de 1 000 euros.
Tout ceci montre que les agriculteurs ne forment pas une classe sociale. Il y a, d’un côté, des chefs d’entreprise (qui se considèrent comme tels et qui pleurnichent sur leurs faibles revenus… comparés à ceux des patrons !) qui exploitent des salariés agricoles et perçoivent l’essentiel des aides européennes (20 % des agriculteurs touchent 80 % des aides), et, d’un autre côté, des paysans travailleurs qui gagnent autour et souvent moins que le Smic.

 

Les intérêts des premiers sont défendus par la FNSEA, dont le nouveau président est Xavier Beulin, un céréalier de la Beauce, qui cumule les responsabilités dans les conseils d’administration et préside Sofiproteol, un géant de l’agro-industrie. Il prône d’ailleurs un rapprochement avec le patronat de l’agro-industrie et la grande distribution et veut axer son mandat sur la baisse du poids de la fiscalité sur les entrepreneurs.


Nous défendons quant à nous les intérêts des paysans appauvris par le pillage des grands groupes capitalistes. Il faut imposer la redistribution radicale des aides pour permettre à chacun d’avoir un revenu minimum garanti de 1 500 euros net par mois, développer l’auto-organisation pour contrôler les prix agricoles, et ouvrir la perspective d’un gouvernement des travailleurs qui exproprierait les gros exploitants capitalistes et réorganiserait l’agriculture en fonction des besoins humains et de la nécessité de préserver notre environnement.


Zapo

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