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22 novembre 2010 1 22 /11 /novembre /2010 10:49
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21 novembre 2010 7 21 /11 /novembre /2010 10:56

mediapart270310

 

Les syndicats, à l'exception de Force ouvrière, absent de la réunion, de la CFTC et de la CFE-CGC, qui n'ont pas signé le texte commun mais ont participé aux débats, ont précisé que les modalites des "actions multiformes" seront précisées par les "organisations territoriales et professionnelles".

 

Elles pourront prendre la forme des rassemblements, des meetings ou d'arrêts de travail, précise le communiqué signé par la CFDT, CGT, FSU, Solidaires et UNSA.

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21 novembre 2010 7 21 /11 /novembre /2010 10:36

 

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21 novembre 2010 7 21 /11 /novembre /2010 10:17

Communiqué du NPA.

 


Mis sur le marché en 1976 par les laboratoires Servier, le Médiator, médicament censé traiter les diabétiques et utilisé comme coupe-faim, a été retiré du marché, en France, en 2009, bien après un pays comme l’Espagne.


Une étude récente citée par l’Agence française sanitaire des produits de santé (Afssaps) évaluait le nombre de décès imputé à ce médicament entre 500 et 1000.

C’est le long aboutissment d’une série de recherches et d’études faites, dans plusieurs étrangers et en France, sur des malades ayant utilisé le Médiator ou des médicaments voisins au vu des molécules utilisés.


Comment une famille de molécules interdites mondialement, à la fin du siècle dernier, pouvait-elle se retrouver dans ce médicament, le Médiator, dont l’interdiction n’a été pronocée que l’année dernière ?


C’est un scandale insupportable qui met encause les liens entre les laboratoires pharmaceutiques et les agences publiques du médicament.

Pour Jacques Servier, le fabricant, ces révélations sont une manoeuvre « pour gêner le gouvernement ». Il est vrai qu’en 2009, année de l’interdiction du Médiator, il avait été fait Grand Croix de la Légion d’honneur par N. Sarkozy.


Il a rajouté également que le lien de causalité entre ces décès et la prise de Médiator n’était pas prouvé. Nora Berra, nouvelle secrétaire d’état la Santé, a fait le 17 novembre une déclaration similaire sur « la relation d’imputabilité entre le médicament et ses effets ».

Cette prise de position ne laisse pas d’inquiéter de la part de Nora Berra qui a travaillé pendant 10 ans pour des laboratoires pharmaceutiques.


L’Afssaps doit pouvoir disposer de ressources financières publiques et être placé sous contrôle démocratique et indépendant, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui.


Sur le fond, c’est la preuve que la santé et la vie de la population est incompatible avec les intérêts privés. L’expropriation des laboratoires et la création d’une industrie publique, disposant de fonds publics, travaillant en lien étroit avec les usagers, démocratiquement organisés, est une nécessité de santé publique.


Le 20 novembre 2010.

Source : http://siteinfosecusante.free.fr/spip.php?article1378

 

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Médicaments frelatés

Quand Sanofi-Aventis se débarrasse d’un gêneur (Basta)

Par Agnès Rousseaux (4 novembre 2010)


Il était l’un des cadres dirigeants de l’entreprise. Le vétérinaire Jacques Poirier a été licencié par le groupe pharmaceutique Sanofi-Aventis pour avoir lancé une alerte sanitaire concernant un médicament, le Lovenox, dont une partie des molécules sont produites en Chine. Le lanceur d’alerte a assigné son employeur aux Prud’hommes.


Jacques Poirier est vétérinaire et ancien expert auprès de l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments (AFSSA). Cadre dirigeant de l’entreprise pharmaceutique Sanofi-Aventis, il est licencié en 2003 pour avoir osé lancé une alerte sanitaire. Il a notamment refusé de cautionner des pratiques douteuses de la firme concernant la fabrication de l’énoxaparine, une molécule - l’héparine - entrant dans la fabrication de médicaments anticoagulants.

L’énoxaparine est produite à partir d’intestins de porcs. Plus de 500 millions de doses sont fabriquées chaque année. La moitié de cette matière première animale provient de Chine. Jacques Poirier met en garde à plusieurs reprises Sanofi-Aventis sur ces approvisionnements chinois. Avec raison : selon la Fondation sciences citoyennes, une centaine de morts ont été enregistrées en 2008 aux États-Unis et en Allemagne, sans oublier plus de 800 chocs allergiques.


Médicaments contaminés


Les patients concernés ont reçu une héparine commercialisée par le laboratoire américain Baxter, en provenance de Chine. Il est démontré que les doses administrées contiennent une substance frelatée, la chondroïtine sulfate, provenant du cartilage des cochons. L’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS) reconnaît que des lots du médicament Lovenox de Sanofi-Aventis sont également contaminés par cette substance. Pourquoi l’entreprise pharmaceutique n’a-t-elle pas écouté les recommandations de Jacques Poirier ? Peut-être parce que le chiffre d’affaires annuel de la fabrication de ces médicaments anticoagulants s’élève à plus de 3 milliards d’euros...


Jacques Poirier a été Directeur général de la société Aventis-Pharma, intégrée aujourd’hui dans le groupe Sanofi-Aventis. Ce qui n’empêche pas la firme de se débarrasser de lui. Sa demande de « généralisation de procédures de contrôle rigoureuses des matières premières dont sont extraites les héparines », n’était sans doute pas du goût de son employeur. Soutenu par la Fondation Sciences Citoyennes, il a saisi le Conseil des Prud’hommes de Boulogne-Billancourt pour contester ce licenciement. L’audience se déroule ce 4 novembre 2010.

Agnès Rousseaux

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21 novembre 2010 7 21 /11 /novembre /2010 10:11

Vers une reconnaissance des dégâts causés par les discours de l’Eglise catholique ?

Act Up-Paris - publié en ligne : 20 novembre 2010
Après avoir dit que le préservatif aggravait l’épidémie de sida, après s’être mêlé de questions sur lesquelles il n’a aucune expertise, le pape semble enfin prendre en compte le principe de réalité. Il admet enfin que le préservatif protège du sida et ne l’aggrave pas. Est-ce une prise de conscience de la complicité de l’Eglise catholique dans la propagation de l’épidémie de VIH ?
L’exemple qu’il prend de l ’« homme prostitué » reste cependant, très limité. Si le pape veut vraiment lutter contre l’épidémie, il faut qu’il aille beaucoup plus loin, Il faut qu’il reconnaisse que les politiques d’abstinence et de fidélité sont des échecs et sont directement responsable de la mort et de la contamination de centaine de millier de personnes. Mis en place sous l’influence de la morale religieuse, ces politiques d’abstinence ont détourné les gouvernements de véritables programmes de prévention. Moins de 20% de la population mondiale a aujourd’hui accès au préservatif alors même que l’épidémie de sida touche plus de 40 millions de personnes et qu’elle continue de s’étendre dramatiquement.

Le pape et l’Eglise catholique restent toujours homophobes, anti-avortement, et complices de 25 ans de propagation du sida à travers le monde.
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20 novembre 2010 6 20 /11 /novembre /2010 18:17

 

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20 novembre 2010 6 20 /11 /novembre /2010 18:14

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20 novembre 2010 6 20 /11 /novembre /2010 12:12

 




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20 novembre 2010 6 20 /11 /novembre /2010 11:52

Par Ingrid Hayes et Samy Johsua


Le congrès annuel du Parti de gauche va s'ouvrir sur une belle ambiguïté.

 

Popularisée par Jean-Luc Mélenchon, la "révolution par les urnes" est censée porter la même radicalité que Besancenot (la révolution)… tout en étant réaliste. La révolution, la vraie, c'est fini n'est-ce pas ? Après l'échec des révolutions du siècle passé admettons honnêtement que la question se discute. Alors vive la "révolution par les urnes" ? Holà ! Qu'on prouve fausse l'affirmation que ce fromage est du roquefort implique… que ce n'en est pas. Mais si on affirme que c'est du gruyère, il faut le prouver à nouveau frais. Le difficulté d'en faire la preuve dans le livre Qu'ils s'en aillent tous montre que ce n'est pas chose aisée.


Laissons de côté les pays lointains où les conditions sont très différentes. Où donc nos camarades du Parti de gauche, avec qui nous partageons nombre de combats de tous les jours et c'est heureux, ont-il vu possible une "révolution par les urnes" dans notre beau pays de France ? Aucune des Républiques successives, y compris la première, chère à Mélenchon, ne s'est installée par "les urnes". Des révolutions, de tout type (ratée, réussie, inachevée, réprimée), on n'en manque pas. "Par les urnes", pas une seule. On a eu en revanche trois secousses brutales en 80 ans : juin 1936, 1944, mai 1968. On peut les relier à l'essentiel des grandes conquête sociales.


Le Front Populaire, 1936. La droite perd les élections. "Modération" dit Blum ! Mais la grève démarre, s'étend, puis explose. C'est d'elle (et d'elle seule) que procèdent tous les succès sociaux, dont les fameux congés payés et la semaine de 40 heures qui n'étaient pas dans le programme du front électoral de gauche.


La Libération. Tous les acquis sociaux sont contenus dans le programme du Conseil national de la Résistance. Loin "des urnes", il lui a fallu une guerre mondiale (excusez du peu) et la Résistance. Certes, il ne s'agit pas d'un programme socialiste. Mais il prévoit quand même, entre autres, la nationalisation de l'énergie, des assurances et des banques, la création de la Sécurité sociale, le droit de vote pour les femmes. Et ces points seront engagés dès la mise en place du gouvernement, et avant toute élection.


Mai 68. Qui se souvient que les élections de juin 1968 ont vu un raz-de-marée historique en faveur de la droite ? Et en l'occurrence la mémoire populaire a raison. Elections ou pas, le "Joli mai" a bouleversé les consciences et les rapports de force, et, indépendamment même des maigres avancées des accords de Grenelle, le ton sera donné pour plus de dix ans. La poussée du mouvement des femmes arrachera le droit à l'avortement… d'un gouvernement de droite. Même la construction du PS d'Epinay et son succès de 1981 ne sont que les ombres portées du grand ébranlement.


Et au regard de ces succès historiques, qu'est-ce que "les urnes" ont apporté ? 1981 ? Allons… Soyons beaux joueurs et admettons des avancées notables (la cinquième semaine de congés payés, la retraite à 60 ans que nous défendons aujourd'hui). Plus l'épisode singulier que constitue l'abolition de la peine de mort. Puis les longues années du renoncement, de la trahison des promesses, et enfin le basculement dans la gestion libérale dure. Et ceci jusqu'au gouvernement de la gauche plurielle. Fin, le 21 avril 2002, dans la catastrophe, pour cette "révolution par les urnes".


Sans doute pour ses partisans cet épisode n'est pas la "révolution par les urnes" attendue. Donc confirmation : la "révolution par les urnes" n'a jamais montré le bout de son nez. C'est en fait une recherche et un espoir pour le futur ? Bien irréaliste ! En effet : écoutez les discours de Blum, puis ceux de Dominique Strauss-Kahn ou de Martine Aubry. Vous sentez la différence ? Comment ce qui n'a pas été possible avec les socialistes de l'époque, entièrement dans le cadre "des urnes" évidemment, mais qui gardaient encore la référence prolétarienne au cœur, pourrait l'être aujourd'hui avec des sociolibéraux décomplexés, n'ayant toujours pas tiré le bilan des désastreuses années Mitterrand/Jospin ? D'où une conclusion têtue : la révolution, c'est… la révolution, bouleversement général impossible à imaginer dans les institutions en place. Et une autre conclusion qui ne l'est pas moins : si tu veux obtenir des réformes (pour peu qu'elles aient une certaine ambition), prépare la révolution !


Ainsi, même inaboutie, la mobilisation sur les retraites aura des effets majeurs dans le rapport de force avec le pouvoir. Le plus grave aurait été une défaite sans la lutte. Le défi a été relevé, et c'est de la plus haute importance. Or, au moment où se posait la question de l'extension sur le terrain de la grève, Jean-Luc Mélenchon, solidaire pourtant avec nous des grévistes, bataillait pour… les urnes, par un référendum cette fois-ci. Mais comment obtenir de M. Sarkozy un référendum qui évidemment n'aurait que confirmé le désaveu que montrait déjà la rue ? Si ce n'est justement… par la rue et la mobilisation sociale !

 

On n'en sort pas : la révolution par les urnes, à la mode référendaire en l'occurrence, c'est un couteau sans dents.

Il n'y a pas l'ombre d'un doute que dans un pays comme le nôtre, les élections sont d'une importance décisive pour l'expression des évolutions politiques et idéologiques. De même la présence institutionnelle y est un enjeu majeur. La combinaison de l'activité dans les deux sphères est à discuter, à redéfinir en permanence. Nul ne sait à quoi ressemblerait une révolution dans le futur. Certainement pas un coup de tonnerre dans un ciel serein, un "grand soir" qui n'a jamais existé dans aucune révolution passée. L'important dans ce débat est que dans tous les cas et de toutes manières, c'est en dehors de la sphère parlementaire que se joue le rapport de force principal. De ceci, en tout cas, le passé en atteste. On peut défendre que ce qui fut vrai est devenu faux. Mais de révolution par "les urnes", point.


Réactualisation de l'illusion réformiste, le "mélenchonisme" est mille fois préférable au réalisme froid des énarques socialistes. Mais pour ce qui est de changer de système, si le chemin qui mène à la Rome écosocialiste est difficile à tracer, celui de Mélenchon est à coup sûr une impasse.

Ingrid Hayes, Samy Johsua, membres du conseil politique du Nouveau Parti anticapitaliste (NPA)

Source : http://www.lemonde.fr/idees/article/2010/11/19/la-reactualisation-de-l-illusion-reformiste_1442471_3232.html

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20 novembre 2010 6 20 /11 /novembre /2010 11:26


Après onze CDD à l’École de musique du Penthièvre (Côtes-d’Armor), le contrat d’Armand Zvénigorodsky, professeur de violoncelle, n’a pas été renouvelé.

 

Une autre contractuelle (celle-là même qui l’avait remplacé lors d’ un arrêt maladie au printemps dernier), a été nommée à sa place par Loïc Cauret, président du Smivu et maire PS de Lamballe.


De ce fait, 21 élèves de sa classe sur 24 ont choisi de ne pas se réinscrire cette année à l’École de musique. Ils veulent continuer à apprendre le violoncelle avec leur professeur. Des cours gratuits « de résistance » ont commencé en début d’année.


Un comité de soutien à Armand Zvénigorodsky, a été créé, regroupant déjà plus d’une centaine d’adhérents. Site internet, page face­book, tracts, les membres du comité multiplient les actions pour réclammer la réintégration du professeur.


Après onze ans, une lettre simple a informé Armand du non-renouvellement de son contrat. Sans la moindre explication. Il est vrai que le climat à l’école de musique s’était fortement dégradé : mise en cause du syndicat des profs par le directeur, auprès des non-syndiqués créant une ambiance de chasse aux sorcières ; lettre de délation contre un syndiqué, entraînant un entretien préalable à sanction (qui ne déboucha finalement sur rien vu la nullité du dossier), décisions pédagogiques causant des bouleversements importants pour le personnel et les élèves, prises sans aucune concertation et annoncées aux parents d’élèves avant même les profs... On a ainsi vu des élèves apprendre à leur prof que l’ensemble qu’il encadrait serait supprimé (et la part de salaire qui allait avec...).


Le directeur, qui n’a pas hésité à faire l’éloge en conseil pédagogique de Jacques Médecin, l’ancien maire de Nice qui disait partager 99, 9 % des idées du FN, en direction de son subordonné d’alors, Armand Zvénigorodsky, dont tout le monde connaissait l’engagement antiraciste, a fini par partir, après un an.


Reste la décision de Loïc Cauret (le directeur ayant avant de partir, rejeté l’entière responsabilité de cette décision sur l’élu). L’élu PS qui préside aussi le centre de gestion, la communauté de communes, etc. a donc pris la décision seul, sans même en informer la plupart des autres élus membres du syndicat mixte qui gère l’école de musique, et qui l’apprennent finalement par la presse.


Une première pétition, en direction des usagers, du monde de la musique a recueilli près de 300 signatures. Une deuxième vient d’être lancée, notamment sur internet. Elle ouvre le débat sur la précarité et la permissivité des lois laissant aux collectivités publiques la possibilité d’employer des salariés pendant des années en CDD et d’en interrompre le renouvellement sans justification.


Car le cas d’Armand n’est pas isolé ! Des milliers de travailleurs sont pris dans l’étau de la précarité et des CDD renouvelés dans les fonctions publiques, à la merci de décisions non motivées de leur employeur, un politique.


Armand a été candidat de la LCR aux dernières législatives, face à Loïc Cauret. Il a été candidat NPA aux régionales. Il est militant antiraciste, syndicaliste. Et en l’absence de justifications de la part du président de l’école de musique, on ne peut que se questionner.


Signez la pétition !


www.comite-de-soutien-a-armand.com

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