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29 octobre 2010 5 29 /10 /octobre /2010 13:37
vendredi 29 octobre 2010 Ouest France  

Ambiance et slogans inchangés au sein du défilé.Période de vacances, lycéens absents : on pouvait s'attendre hier à un dernier baroud syndical contre la réforme des retraites. Mais c'est surtout la détermination qui s'est exprimée.

 

Même ambiance


Peu après 11 h le brouillard qui enveloppait la foule dans son coton humide, a eu la bonne idée de se lever. Les pétards ont tonné, les cornes ont résonné et le défilé est parti, CFDT en tête avec un peu en arrière un animateur qui s'époumonait à alterner des slogans sur un ton grave ou aigu que les manifestants devaient rependre timidement. Un groupe, soucieux des problèmes de longévité expliquait que « Pour faire de vieux os, virez Sarko ». Une incitation reprise souvent en d'autres termes tout au long du défilé. Tambourins, sifflets et tambours étaient toujours de sortie. En bref : c'était comme d'habitude.


Même si la mobilisation a toutefois baissé d'un ton pour cette septième manifestation on ne peut pas dire pour autant qu'il s'agit d'un flop. Ce qui donne à penser que l'amertume est encore plus forte que la lassitude. Et qu'elle n'est pas prête à disparaître. Reste maintenant à savoir si la prochaine manifestation ne sera pas la manif de trop ? Rien n'est moins sûr si l'on en juge par la détermination des manifestants qui ont toujours répondu présent aux six éditions précédentes. Alors, une de plus...

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29 octobre 2010 5 29 /10 /octobre /2010 13:31

 

 

6 500 manifestants à Quimper.
Le mouvement social ne retombe pas. C'est le constat qu'on peut faire après le défilé quimpérois d'hier. Certes, on n'a pas vu les grandes foules des six manifestations précédentes. Mais durant près de 35 minutes, un cortège de 6 500 personnes a arpenté le parcours habituel en centre-ville. Alors que le texte de loi a été voté et en pleines vacances scolaires, les responsables syndicaux n'étaient pas mécontents. D'ores et déjà, même si une prochaine manif est programmée pour le 6 novembre, certains pensent qu'il faut garder les acquis d'un mouvement social qui a duré longtemps, uni. Sortir lorsque le mouvement est à son maximum, et non sur le déclin.

A Brest, un cortège moins fourni

 

A Brest, selon notre comptage, 6 000 manifestants ont défilé dans les rues. Deux fois moins que la dernière fois. Cependant, les syndicats, eux, ont compté presque autant de monde (de 16 000 selon la CFDT à 20 000 pour Solidaires). La police a dénombré 5 500 manifestants. FO bloquera de nouveau le dépôt pétrolier ce vendredi et demain samedi.


• Morlaix

 

Près de 4 500 manifestants ont répondu à l'appel de l'intersyndicale, soit environ la moitié du nombre de participants qui avait pris part au dernier rassemblement. Et loin du record du 16 octobre où quelque 10 000

manifestants étaient descendus dans la rue. Ils étaient 120 sur l'ïle de Batz.


A Quimperlé

 

2 500 personnes ont défilé dans le centre-ville et dans les zones de Kergoaler et Kervidanou. La quatre-voies a été bloquée dans les deux sens pendant cinq heures et demi, de 10 h à 15 h 30, entre Riec-sur-Bélon et Guidel. Une centaine de manifestants ont investi la RN165 hier matin et le pont de Kerfleury, à Rédéné, hier après-midi, créant de nombreux bouchons aux alentours de Quimperlé.


300 personnes à Douarnenez.

 

Les unions locales CFDT, CGT, FO et le « Collectif douarneniste pour l'avenir de nos retraites » avaient appelé à participer au rassemblement de Quimper mais pour la première fois depuis le mouvement sur les retraites, un cortège était également prévu jeudi après-midi à Douarnenez à l'initiative de « Penn-sardin En arch ! » (Penn-sardin en colère). Créé il y a tout juste une semaine, ce collectif est parvenu à rassembler 300 personnes hostiles à la réforme menée par le gouvernement.


• Trois fois moins de manifestants à Carhaix.

 

Avec moins de 1 000 manifestants, contre près de 3 000 le samedi 16 octobre, la mobilisation carhaisienne contre la réforme des retraites affichait un net recul, hier matin, dans les rues de la ville.

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29 octobre 2010 5 29 /10 /octobre /2010 13:25

29 octobre 2010 - Le Télégramme


Six mille manifestants ont défilé, hier, dans les rues de Quimper, au lendemain de l'adoption du texte de loi sur les retraites. Une réussite pour les syndicats. Ils se disent prêts à poursuivre le bras de fer avec le gouvernement.


 

«Ce n'est jamais trop tard». Six mille Cornouaillais semblaient partager, hier, le sentiment d'Isabelle Letty, la secrétaire de l'union du Pays de Cornouaille de la CFDT. À l'occasion de cette septième journée de manifestation contre le texte de loi de réforme des retraites, la mobilisation a pourtant baissé d'un cran. En pleines vacances scolaires, l'intersyndicale est malgré tout parvenue à réunir 6.000 manifestants.

 

Près de la moitié moins que lors de la dernière journée de mobilisation. Une évolution à tempérer: le 19 octobre, 3.000 lycéens avaient rejoint le cortège. Ils n'étaient que quelques dizaines hier. «Une manière de rappeler que la contestation de la réforme compte davantage que les vacances», pour Paul, élève en classe de première au lycée Thépot. Des lycéens, prêts à poursuivre l'action dès la rentrée, mais pas à n'importe quel prix: «Tout dépendra de la suite des événements, mais on est prêts à poursuivre sur des actions ponctuelles... Notre but est d'abord d'étudier».

«On a gagné l'opinion publique»

Dans le cortège, l'intersyndicale affichait également sa détermination, après le vote de l'Assemblée nationale. «Contrairement à ce que le gouvernement souhaiterait faire croire, la loi réformant les retraites n'est pas encore bouclée», rappelait hier l'intersyndicale, quelques minutes avant que le cortège ne s'élance. Tant que les décrets d'application ne sont pas publiés, les syndicats veulent toujours y croire. «C'est la raison pour laquelle nous ne sommes pas du tout dans une logique d'acceptation.» Secrétaire départemental Sud PTT, Yves Abiven ne veut pas imaginer «un facteur de 65ans pousser un vélo chargé... Et puis, on ne peut pas accepter partir à 67 ans pour arriver à une retraite de 1.200 €». Un combat loin d'être vain pour Isabelle Letty: «L'action syndicale a gagné l'opinion publique... J'espère que les gens vont s'en rappeler lorsqu'il faudra retourner aux urnes».

Dans les entreprises aussi

D'autant que, dans le cortège, les retraites ne sont pas le seul motif de mécontentement. Salariée dans le public, Christine, la quarantaine, entend rester mobilisée: «Tous les jours, un membre du gouvernement nous explique que ça ne sert à rien d'aller manifester. Mais ce n'est pas la dernière réforme qui nous attend». Hier, le projet de loi de réforme du financement de la Sécu était déjà sur toutes les lèvres.

 

Secrétaire de l'union locale CGT de Quimper, Gildas Le Goff estime d'ailleurs nécessaire de poursuivre la mobilisation dans la rue comme dans les entreprises: «Après des avancées à l'hôpital et à La Poste, la mobilisation gagne dans les entreprises privées». Dans ces conditions, l'intersyndicale n'entendait pas rendre les armes, hier, à l'issue de cette septième journée de manifestation. «On va échanger, réfléchir de manière démocratique et essayer d'être encore plus forts». La prochaine journée d'action est d'ores et déjà programmée le samedi 6novembre.

  • Jean Le Borgne
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29 octobre 2010 5 29 /10 /octobre /2010 13:20

29 octobre 2010 - Le Télégramme


Dans l'arrondissement de Morlaix (60 communes), la deuxième manifestation avait lieu à Batz où un insulaire sur cinq a défilé dans une ambiance conviviale. Selon les organisateurs, 120 personnes ont protesté contre la réforme des retraites. Soit deux fois plus que le 19 octobre. Le cortège est parti, à 15h, de la place de l'Église, pour un tour du bourg.

 

La manifestation s'est terminée vers 16h, par un goûter offert avec café et gâteaux. Quelques manifestants brandissaient des feuilles de palmes: la palme de «l'injustice», la palme de «l'argent roi» ou encore la palme de «l'inégalité». D'autres reprenaient en choeur ces slogans: «À Batz la réforme de la retraite» ou «La manif Batz son plein». Un jeu de mots repris du titre d'un petit article en Une du Canard Enchaîné de l'édition de cette semaine, daté du 27octobre.

«Ça ne bouge pas que dans les grandes villes»

«C'est important pour nous de montrer que ça ne bouge pas que dans les grandes villes. Même dans le milieu rural les gens sont concernés et motivés», témoigne une commerçante de l'île. Un vent de fronde souffle sur Batz car les insulaires pourraient bien remettre ça le 6 novembre.

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29 octobre 2010 5 29 /10 /octobre /2010 13:16

28 octobre 2010 à 15h15 - Le Télégramme


A Douarnenez (29), la manifestation contre la réforme des retraites a démarré à 14 h 30 devant la mairie et a rassemblé environ 300 personnes.

 

Initiée par le collectif  "Penn Sardin en colère", cette manifestation était une première à Douarnenez depuis le début de la grogne sociale concernant la réforme des retraites.

 

Traditionnellement, les Douarnenistes allaient grossir les rangs des manifestants à Quimper. "C'est un vrai succès", disait un des manifestants, satisfait de voir l'étendue de la mobilisation. Gwenolé Larvol, un des porte-paroles de ce collectif, qui rassemblait formations syndicales et formations politiques, soulignait surtout que "la mobilisation n'est pas finie".

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29 octobre 2010 5 29 /10 /octobre /2010 13:11

29 octobre 2010 - Le Télégramme


Les chiffres n'atteignent pas les sommets enregistrés le 19 octobre. Néanmoins, plusieurs milliers de manifestants - près de 11.000 selon nos estimations - ont dit une nouvelle fois «Non» à la réforme des retraites.

 

La bataille des chiffres, avec ses énormes disparités, risque une nouvelle fois de reprendre à l'occasion de cette septième manifestation de masse contre la loi de réforme des retraites. Aux 5.400 manifestants comptabilisés par la police, s'opposent les 18.000 évoqués par la CGT, et les 20.000, voire plus, avancés par Solidaires ou Force Ouvrière.

 

Raisonnablement, le chiffre réel se situe, à notre humble avis, à mi-chemin entre ces deux extrêmes. Et ce seraient donc entre 10.000 et 12.000 personnes qui ont foulé le bitume brestois, hier. C'est d'ailleurs le chiffre avancé par Hervé Goachet, de la CFDT, à l'issue du défilé. Au-delà des chiffres, on retiendra le sentiment de satisfaction unanime affiché par les responsables syndicaux.

 

«Nous étions inquiets. Pour cause de vacances, nombre de nos militants étaient absents et n'ont pu participer à la campagne d'affichage par exemple. Au final, nous sommes très agréablement surpris par la mobilisation» témoigne Hervé Goachet. Sourires également à la FSU «plutôt étonné par la mobilisation», et sur les visages de Marc Hébert pour Force Ouvrière : «C'est super de voir encore autant de monde», et d'Olivier Cuzon, de Sud : «Les gars sont toujours motivés pour le combat. Il n'y a pas d'essoufflement».

 

Olivier Pichon, pour la CGT, ne dit pas autre chose. «Contrairement à ce que veulent nous faire croire certains médias nationaux, les salariés sont toujours motivés. Nous savons tous que la loi qui vient d'être votée ne va pas régler le problème des retraites. La preuve, on nous annonce déjà une nouvelle réforme pour 2013. Quant à la réflexion sur l'emploi des jeunes, il faudrait que l'on nous explique comment on va faire pour créer un million d'emplois alors que l'on allonge les années de cotisation des actifs». Jean-Roger Guiban, de l'Unsa, croyait dur comme fer à une forte mobilisation : «En 2006, l'exécutif avait parié sur les vacances de février pour casser la grogne anti-CPE, sans succès». Hier, son visage rayonnant en disait plus long qu'un discours.

«Le gouvernement a du souci à se faire»

Tous ont maintenant les yeux braqués sur le samedi 6 novembre, jour programmé de la huitième manifestation. Avec l'espoir que les familles entières, moins nombreuses hier que lors des derniers défilés, ne viennent gonfler les rangs des opposants. D'ici là, le combat devrait se poursuivre sous d'autres formes. «Nous appelons tous les salariés à se réunir dans les entreprises pour décider de différentes actions» a annoncé l'intersyndicale en préambule au défilé d'hier, avec de petits relents de menaces à la clé. «La loi adoptée ou pas, l'affaire n'est pas finie. Le gouvernement et le patronat ont du souci à se faire dans la période qui vient».

  • Alain Coquil
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29 octobre 2010 5 29 /10 /octobre /2010 12:43

29 octobre 2010 à 07h36 - Le Télégramme


La tension monte au sein du personnel de BritAir. L'intersyndicale de la compagnie aérienne bretonne basée à Morlaix (29) lance un appel à une grève générale reconductible du samedi matin à 0 h 01 à dimanche à 23 h 59.


La grogne porte principalement «sur les efforts demandés aux salariés et sur la décision prise par l'actionnaire unique Air France d'affréter une compagnie étrangère pour effectuer des vols en France en lieu et place des filiales de droit français du groupe Air France qui voient depuis des années leur activité diminuer», souligne dans un communiqué l'intersyndicale. Cette dernière regroupe l'ensemble des syndicats représentatifs des pilotes, hôtesses, stewards, mécaniciens et personne au sol. La compagnie étrangère à laquelle fait allusion l'intersyndicale en question est VLM Airlines, filiale de la compagnie irlandaise City jet, elle-même propriété à 100 % d'Air France. «Il y a des moyens disponibles dans le groupe. On ne perçoit pas une forte dynamique dans le développement de la compagnie bretonne», commente un pilote.

Vols perturbés

La date de ce mouvement coïncide avec la date de départ de la Route du Rhum, course dans laquelle est engagé le bateau BritAir sponsorisé par la compagnie régionale. «La direction semble préferer mobiliser ses ressources pour l'organisation des festivités, plutôt que de tenter de rétablir la confiance et le dialogue social», ironise l'intersyndicale. BritAir assure des vols au départ de Brest, Lyon, Nantes, Rennes, Orly et Roissy.

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29 octobre 2010 5 29 /10 /octobre /2010 12:39

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L'ANCIC (Association nationale des centres d'interruption de grossesse et de contraception), la Cadac (Coordination des associations pour le droit à l'avortement et à la contraception) et le Planning familial, soutenus par des associations, des syndicats et des partis politiques, dont Lutte Ouvrière, appellent à manifester, à Paris, pour la défense du droit à l'avortement et contre le démantèlement de l'hôpital public.

Comme initialement prévu, la manifestation aura lieu samedi 6 novembre, rejoindra la manifestation contre la loi sur les retraites et contre toutes les attaques du gouvernement.

Départ : samedi 6 novembre à 14 heures à Paris, place d'Italie

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29 octobre 2010 5 29 /10 /octobre /2010 12:24

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Guerre d'Algérie



Un livre récemment publié, François Mitterrand et la guerre d'Algérie, écrit par l'historien Benjamin Stora et le journaliste François Malye, fait état de certains faits étouffés par Mitterrand, son entourage, mais aussi les principaux partis politiques : l'exécution de nationalistes algériens pendant la guerre d'Algérie, qu'il avait approuvée en tant que garde des Sceaux.

Ministre de l'Intérieur dans le gouvernement du socialiste Guy Mollet en novembre 1954, lors du déclenchement de la guerre d'Algérie, Mitterrand fut ensuite ministre de la Justice à partir du 1er février 1956, pendant seize mois. Dès son entrée en fonction, il donna son accord pour que soient appliquées des condamnations à mort et, un mois plus tard, il signa les décrets décidant des « pouvoirs spéciaux », visant les combattants nationalistes algériens et ceux qui les soutenaient. Les personnes « prises en flagrant délit de participation à une action contre les personnes ou les biens » furent désormais jugées par des tribunaux militaires d'exception, « sans instruction préalable » et « même si ces infractions (étaient) susceptibles d'entraîner la peine capitale ».

S'ajoutant aux centaines de milliers de crimes commis par l'armée française et les ultras, partisans de l'Algérie française, 198 prisonniers politiques furent ainsi exécutés durant la guerre d'Algérie, parfois au rythme de cinq par jour. L'ouverture partielle du registre des grâces montre que, pendant qu'il était garde des Sceaux, Mitterrand a donné son accord pour la peine de mort dans 80 % des cas connus qui lui ont été soumis, dont celui du militant communiste Fernand Yveton, exécuté le 11 février 1957 pour avoir posé une bombe qui n'explosa pas.

De même qu'il s'était montré très discret sur ses sympathies envers le régime de Vichy pendant la Seconde Guerre mondiale, Mitterrand n'est jamais revenu sur les exécutions capitales qu'il a approuvées. Quant à tous ceux qui l'ont soutenu, avant et après son accession à la présidence, du Parti Communiste aux intellectuels qui s'affirmaient pourtant anticolonialistes, ils furent tout aussi discrets sur cette période de la vie de Mitterrand. Cela aurait nui à l'étiquette d'« homme de gauche » qu'ils avaient affichée sur ce politicien carriériste, fidèle défenseur de l'empire colonial français.

Marianne LAMIRAL

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29 octobre 2010 5 29 /10 /octobre /2010 12:16

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