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22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 13:14

Réunis en assemblée générale le 21 octobre ,à l'initiative de la FSU , les enseignants du 1er et 2nd degrés appellent l'ensemble de leurs collègues et toute la population à participer aux manifestations prévues pendant les vacances et aux initiatives locales pour la défense des retraites.


Le 1er rendez-vous aura lieu samedi 23 octobre à 11H , devant la permanence du député Christian Ménard sous la forme d'un " apéro citoyen "
Prévoir: banderolles, pain , pancartes , pâté , musique , verre , percussions  ..., dans un esprit de solidarité et de convivialité.

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22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 12:58

 

 

Faits divers jeudi 21 octobre 2010 Ouest France

Un groupe de 80 lycéens de Pierre Guéguin filtre depuis 10h le carrefour de l'hôpital. Pas de blocage, mais des automobilistes invités à klaxonner s'ils souhaitent aller plus loin après une petite discussion avec les manifestants.

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22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 12:34

  vendredi 22 octobre 2010 Ouest France


Près de 200 manifestants ont exprimé leurs inquiétudes concernant la situation financière de l'association. Le président, Yves Derrien, refuse cependant d'évoquer le détail du plan social.

Paroles et banderoles

Près de 400 personnes venues de tout le département ont participé, hier, à l'assemblée générale de la fédération ADMR 29 au centre des arts et congrès de Fouesnant. À l'extérieur, plusieurs centaines de manifestants ont dénoncé la situation financière catastrophique de l'association. « Non aux licenciements », « C'est pas à nous de payer », pouvait-on lire sur les banderoles. « On ne vous fait pas confiance », a crié un salarié à l'adresse d'Yves Derrien, le président, à la fin de la réunion. Un face à face tendu entre les gouvernants et les personnels qui s'interrogent sur leur avenir. L'ADMR emploie actuellement 3 700 salariés répartis dans 92 associations.


Des comptes contestés


Les comptes ont été présentés. Le déficit atteint 1,77 million d'euros pour 2009 contre 982 846 euros en 2008. Ce qui fâche, ce sont certaines dépenses comme les frais de repas dépensés à l'occasion du 60e anniversaire de l'association (41 746 euros). D'autres problèmes, plus structurels, ont fortement creusé le trou comme la double tarification des heures (celles payées par le conseil général et celles payées par la caisse régionale d'assurance-maladie). Bref, selon les gouvernants, le budget prévisionnel table sur un déficit de 268 000 euros au 30 juin 2010 pour la fédération, et 762 000 euros pour les associations. Des mesures sont proposées pour améliorer la situation. La cotisation fédérale passe ainsi à 1,71 € par heure (au lieu de 1,84 €). « On ne comprend rien aux comptes qui ne sont pas certifiés, dénonce un manifestant. On nage dans le flou ».


Combien d'emplois supprimés ?


La question est sur toutes les lèvres. « Je ne peux pas donner de réponse, a répondu le président, Yves Derrien. Il faut attendre le 3e volet du plan de sauvegarde de l'emploi, début novembre ». Dans les rangs, on confirme la diminution d'un tiers des 125 équivalents temps plein de la fédération. Le chiffre de 51 licenciements est avancé par les syndicats. « Le plan social est inévitable. 2009 est une année difficile [...] Il faut prendre des mesures courageuses », a conclu le président. Les représentants du personnel dénoncent le chantage effectué auprès de certains salariés : « On les incite à diminuer leur temps de travail et à signer des avenants à leur contrat. C'est inadmissible ! ».


Le conseil général « solidaire »


Gilbert Montfort, vice-président du conseil général, a précisé la position du Département : « Le maintien des personnes âgées à domicile est une priorité [...] Le conseil général s'appuie sur le monde associatif. En 2009, près de 4 millions d'heures ont été effectuées. 62 % de ces heures ont été assurées par l'ADMR [...] Pendant la procédure de sauvegarde, le conseil général a poursuivi son partenariat : aucune réduction d'heures et de services n'ont été imposés. Seules les charges de structures ont subi des abattements [...] Il faut un mode de gouvernance plus compréhensif de l'ensemble des usagers, des bénévoles et des salariés. »


Motion de 22 associations


Une motion écrite et approuvée par 22 associations, soit 25 % du réseau a été lue lors de la réunion : « Faut-il que le conseil fédéral soit devenu sourd pour ne pas entendre les interrogations des élus, des salariés et des personnes aidées [...] Une réflexion de fonds doit être engagée d'autant que certaines associations sont confrontées à une baisse d'activité [...] Une structure qui ne sait plus motiver ses acteurs est une structure en grand péril. » Ces associations demandent notamment un changement de l'équipe fédérale. Le fossé se creuse...

 

Lucile VANWEYDEVELDT

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22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 12:19

 

Congres

 

Social vendredi 22 octobre 2010 Ouest France

À l’initiative d’élèves de 1ère en bac pro, une soixantaine de lycéens de l’établissement ont barré à 7 h 30 la rue de Saint-Ilan et établi un barrage filtrant à l’entrée du lycée, laissant passer, à pied, les élèves et professeurs qui le souhaitent. Le blocage a été levé à 9 h 30 par les lycéens qui se rendaient dans la zone commerciale de Langueux pour participer à d’autres actions.

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22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 12:10

 

 

Social vendredi 22 octobre 2010

Après avoir bloqué brièvement leur établissement hier matin, les élèves de la Cité scolaire Chateaubriand, à Combourg, sont à nouveau dans l’action aujourd’hui. Ce matin, ils sont environ 200 à défiler pacifiquement dans les rues de la ville, rejoints par 15 à 20 lycéens venus de Tinténiac. Un baroud d’honneur avant les vacances scolaires qui débutent demain.

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22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 09:56

22 octobre 2010 à 08h59


Une centaine de lycéens de l'Harteloire et de Dupuy-de-Lôme bloquent en ce moment le pont de l'Harteloire où ils ont installé des feux de poubelle. Circulation bloquée donc alors que du dépôt de bus, bloqué également, aucun bus n'a pu prendre son service ce matin. Seuls circulent les bus de ligne (en partie) 22, 24, 25, 27 assurées essentiellement par les affrétés. 
 
Du côté du boulevard Blum, circulation fluide en revanche. La cité Kerichen, lycée vauban et écoles comprises, sont pourtant toutes bloquées, mais sans incidence sur le trafic.

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22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 09:55

22 octobre 2010 à 09h18 - Le télégramme


Lorient connait ce matin de très gros encombrements générés par quatre barrages installés aux accès principaux de la zone portuaire par plus de 200 militants cégétistes auxquels se sont joints des militants de Sud. Des feux de poubelle ont été allumés vers 5 heures ce matin, et l'un des barrages filtrant bloque les camions-citernes.


Camions, voitures essaient de se frayer un chemin. de nombreux lorientais ont abandonné leur véhicule et poursuivent leur route à pied.

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22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 09:53

22 octobre 2010 à 09h23


Des manifestants bloquent actuellement les rond-points de Saint-Léonard et du Liziec. Ils empêchent les véhicules de rejoindre la voie-express, dans le sens Lorient-Nantes. Une perturbation qui entraine d'importants bouchons dans le secteur des zones du Prat et de Saint-Léonard. Un groupe de lycéens s'est retrouvé en ville et s'apprête à partir manifester.

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22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 09:44

22 octobre 2010 - Le Télégramme


Leur concours en poche, une kyrielle de professeurs stagiaires des collèges et lycées a débuté l'année scolaire, sans réelle formation. Réforme oblige. Réunis mercredi, à l'IUFM, quatre d'entre eux tirent un premier bilan. Un nombre de places au concours de professeurs des écoles qui diminue. Une formation quidure plus longtemps. Les étudiants del'IUFM deSaint-Brieuc digèrent mal la «masterisation».


David, Erwan, Thomas et Hélène (*), âgés de 22 à 26 ans, font partie des fameux professeurs stagiaires des collèges et lycées. Ils ont débarqué comme des fleurs, dans leurs établissements respectifs, à Saint-Brieuc et dans le reste des Côtes-d'Armor, il y a moins de deux mois. Goûtant les premiers, à la «masterisation» de la formation aux métiers de l'enseignement (voir ci-dessous). Réunis autour d'une table de la cafétéria de l'Institut universitaire de formation des maîtres (IUFM), ils boivent un café. Décompressent de leur première journée de «séminaire de formation», depuis la rentrée.

Problèmes d'autorité

On veut savoir. Parachutés sans réelle formation dans des classes, ayant à gérer une trentaine d'élèves, à leur proposer des cours consistants, on imagine ces jeunes profs vivre des montées de stress fulgurantes et des moments de solitude. Mais qu'en est-il vraiment? David, qui enseigne l'histoire-géographie au niveau collège, l'annonce d'emblée, il rencontre pas mal de soucis: «J'ai des problèmes d'autorité avec quelques élèves. Je n'ai pas su les recadrer dès le départ. Mes collègues m'avaient prévenu. Même pour eux, ces classes étaient difficiles», soupire-t-il. Et d'ajouter:«J'ai commis l'erreur de proposer des exercices trop compliqués au début. Les élèves l'ont mal vécu». «Ce sont eux qui vont pâtir de nos débuts hésitants», poursuit Erwan, professeur dans un lycée briochin.

L'aide des autres profs

Mais à les écouter, le bilan n'est pas catastrophique. Et ils tombent tous d'accord: «Si la rentrée s'est globalement bien déroulée, c'est grâce à la solidarité des collègues. Ils nous ont donné beaucoup de conseils, notamment pour préparer les cours», assure Hélène. Alors que cela était prévu dansla réforme, nos quatre enseignants débutants n'ont pas de tuteurs. «Il y a un mouvement très suivi des professeurs titulaires qui refusent ce tutorat. Au final, ce sont des inspecteurs pédagogiques régionaux (IPR) qui assureront cette mission», indique David. Pour l'instant, les professeurs bretons de l'enseignement secondaire (collèges et lycées), donnent neuf heures de cours par semaine (ils touchent 1.670€ net mensuels). Contre 18 heures, comme cela était défini dans la réforme. Le rectorat a fait un geste.

Bientôt à temps complet

Neuf heures ça ne paraît pas beaucoup... «C'est sans compter les cinq à six heures que je passe dans l'établissement, pour les questions de discipline et les discussions avec les collègues. Et les dix à onze heures nécessaires à la préparation de mes cours», explique David. «Au début, il me fallait une journée pour préparer une évaluation d'une heure», complète Hélène. Quant aux mi-temps restants, ils sont assurés par des titulaires sur zone de remplacement (TZR). Mais les professeurs stagiaires devraient goûter au temps complet à la rentrée des vacances dela Toussaint.

 

«Nous sommes tous angoissés de passer à 18 heures. Nous venons à peine de trouver un certain équilibre», confie Thomas. Le collectif des enseignants stagiaires de Bretagne multiplie, d'ailleurs, les actions auprès du rectorat, afin qu'il maintienne le mi-temps jusqu'à la fin de l'année scolaire. Leur goût du métier a-t-il pris une claque? «Les conditions dans lesquelles nous évoluons sont difficiles, mais le travail reste formidable», tranchent-ils tous, sans sourciller.

  La masterisation. Un nom un peu barbare, celui de la réforme de la formation des enseignants. Le fameux concours de recrutement des professeurs (des écoles ou du secondaire), se passe désormais à Bac+5, au lieu de Bac+3. Les étudiants se formeront en amont, dans des masters dédiés. Ilssont mis en place depuis cette année dans les instituts universitaires de formation des maîtres (IUFM). Auparavant, la formation pédagogique se déroulait après obtention du concours à bac+3, via l'alternance entre classes et IUFM.

Pourquoi un tel système?

Le ministère de l'Éducation nationale développe ses arguments: «Il s'agit d'élever le niveau de qualification des personnels enseignants, au moment du recrutement; d'intégrer la formation des maîtres dans le dispositif LMD (licence, master, doctorat): à terme les enseignants qui seront recrutés disposeront d'un master. Mais aussi de préserver les possibilités de réorientation, pour les étudiants qui ne seront pas recrutés, et de préparer progressivement au métier, avant les concours».

Année de transition pour les professeurs stagiaires

Alors, pourquoi les professeurs stagiaires qui débutent depuis la rentrée dans les classes, ne sont-ils pas formés? Parce qu'ils sont dans une année de transition. Ils sont les derniers à avoir passé le concours de recrutement. De fait, ils ne profitent ni de l'année de formation en alternance entre IUFM et classes (qui a disparu), ni de la formation en master (qui vient d'apparaître). Étudiants, prétendants au concours de professeurs des écoles, ils sont 90 inscrits en master1 (Bac+4), et 60 en master2 (Bac+5) métiers de l'enseignement, à l'Institut universitaire de formation des maîtres (IUFM) de Saint-Brieuc. Etils ont peur. Peur de voir le métier d'instituteur se précariser. Explications.

60 places au concours cette année en Bretagne

«Le temps de formation s'allonge puisque le concours se passe désormais à Bac+5. Et le nombre de places diminue. Cette année, 60 pour toute la Bretagne. Et peut-être seulement 30, l'année prochaine», lance Clémence Bailleul, 23 ans, en M2. «Du coup, beaucoup d'étudiants sortant de l'IUFM bénéficieront, certes d'un Bac+5 en métiers de l'enseignement, mais pas du concours. Il leur faudra, alors, aller d'écoles en écoles pour déposer des CV et faire des remplacements», déplore PaulineLePotier, 22ans, en M1. «Les étudiants ont, effectivement, la crainte de voir naître deux statuts pour les professeurs des écoles. Ceux qui seront titulaires, le concours en poche, bénéficiant de la sécurité de l'emploi et les autres, précaires», note Joël Divry, directeur de l'IUFM.

Moins d'inscrits que prévu à l'IUFM

Cela a-t-il un impact sur le nombre d'inscrits à l'IUFM, cette année? «Nous pensions avoir un nombre conséquent d'étudiants en M1, à savoir 240 et une centaine en M2.On savait qu'il y aurait des pertes, mais pas une telle fuite, constate Joël Divry. Pour les étudiants, il est difficile de s'engager sur un master en deux ans, sans connaître le nombre de places au concours.» Autre explication à cette baisse d'effectifs: il n'est pas nécessaire de réaliser un master en IUFM, pour se présenter au concours.

 

* À leur demande, leurs prénoms ont été modifiés.

  • F.J.
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22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 07:39

21 octobre 2010 à 09h31 - Le Télégramme


Le mouvement de protestation contre la réforme des retraites se poursuit ce jeudi matin à Brest. Des manifestants ont bloqué le dépôt pétrolier du port de commerce avant d'être délogés par les CRS vers

9 h 30. Une heure plus tard, c'est la gare de Brest qui était bloquée. Quelque 300 lycéens occupaient les rails. A proximité, 150 métallos remontés du port de commerce assistaient à la scène. Vers 12 h 30, il restait 80 manifestants prêts à quitter les lieux.

 



Une centaine de manifestants bloquaient les deux accès au dépôt pétrolier de Brest depuis ce matin 5 h. Vers 9 h, 19 fourgons de CRS sont arrivés sur les lieux. Quelques minutes plus tard, le sous-préfet a lancé les sommations réglementaires avant d'ordonner la dispersion des manifestants par une soixantaine de policiers. Voyant les forces de l'ordre avancer, les manifestants ont allumé les importantes barricades dressées aux deux entrées du dépôt. Avant de battre en retraite. Le dépôt pétrolier est désormais débloqué. L'activité a repris peu après 10 h.

Métallos et lycéens à la gare

 
Après avoir été délogés, une quarantaine de manifestants ont pris la direction du port de commerce en passant par le rond-point des Foulques pour y retrouver les 300 métallos qui ont débrayé ce matin. Ces derniers ont tenu vers 9 h une assemblée générale devant le bassin du Matterhorn pour décider des actions à mener. Vers 10 h 30, le cortège est monté à la garde de Brest, rejoignant une centaine de lycéens mobilisés depuis ce matin. Ces derniers ont investi les rails, bloquant le trafic ferroviaire pendant plusieurs minutes. Ils ont ensuite quitté la gare avant d'y revenir peu avant midi.


Nouvelle action demain matin


Vers 12 h 30, le mouvement commençait à s'essoufler. Il ne restait plus que 80 personnes (lycéens, CGT marins, étudiants, FO et Sud rail) à bloquer la gare. Une AG a eu lieu sur les rails. Les participants ont décidé de retourner demain matin à l'aube bloquer le dépôt pétrolier. Une nouvelle assemblée générale, destinée aux étudiants devait avoir lieu à 12 h 45 à la faculté Victor Segalen.

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