Depuis ce matin, la CGT tient un piquet de grève dans le hall du centre hospitalier de Quimperlé. Le syndicat entend dénoncer le projet de réforme des retraites actuellement discuté au Parlement. « Nous avons décidé d’engager une grève reconductible, nous serons donc là tous les jours désormais. Nous sommes une vingtaine à nous relayer pour expliquer aux gens pourquoi nous faisons ça », explique Didier. Le fonctionnement de l’hôpital n’est pas du tout perturbé.
Les lycéens s’étaient donné rendez-vous à 11 h place de la gare, à Rennes. Deux mille sont venus. Ils défilent actuellement de lycée en lycée pour battre le rappel.
13 octobre 2010 Le Télégramme
Quelque 4.000 personnes ont défilé, hier, dans les rues quimperloises. Environ 500 manifestants ont bloqué la voie express pendant plus d'une demi-heure.
Forte mobilisation, hier, à Quimperlé, contre la réforme des retraites. Environ 4.000 personnes ont défilé dans les rues, soit un
millier de plus que lors de la manifestation du 2 octobre. En tête et à l'intérieur du cortège, les lycéens se sont fait entendre. A leurs côtés, des professeurs, des retraités, des représentants
de partis politiques, du personnel hospitalier, des salariés d'Impress, de Glatfelter, des Papeteries de Mauduit, de Bigard, de Duc, ou encore de Capitaine Cook. Le parcours a mené les
manifestants du Coat-Kaër à la basse-ville, avant de reprendre le chemin de la salle des fêtes.
Voie express bloquée à hauteur de Kergostiou
Une fois au Coat-Kaër, léger flottement dans l'assistance. Certains ont déjà quitté le cortège, d'autres souhaitent poursuivre la manifestation. Des membres de la
CGT de l'entreprise Glatfelter de Scaër lancent alors le mouvement. Environ 500 personnes prennent la direction de la gare, dans l'optique d'un blocage, comme le 2 octobre. La gendarmerie a
anticipé et barre l'accès aux voies. Les manifestants poursuivent leur route en direction de Kergostiou et envahissent la voie-express, bloquant l'ensemble des voies. Le trafic routier est
interrompu, mais pas de gros bouchons, des déviations ayant été rapidement mises en place par la gendarmerie. Vers 13h45, après plus d'une demi-heure de blocage, les manifestants quittent la
voie-express.
Nouvelle manifestation samedi
La date de la prochaine manifestation est d'ores et déjà arrêtée. Elle se déroulera samedi. Une assemblée générale, ouverte à tous, est prévue demain soir, à 18 h,
au Coat-Kaër, pour préparer cette nouvelle mobilisation.
Avec plus de 2500 manifestants dans les rue de Carhaix la mobilisation est en hausse par rapport aux 2000 personnes ayant manifesté le 2 octobre.
Face au mépris affiché par Sarkozy et Woerth son ministre de la retraite des Bettencourt, face au cynisme du roitelet de Neuilly la détermination ne faiblit pas bien au contraire. C'est l'ensemble de la population qui a défilé ce matin dans les rues de Carhaix pour exprimer son ras le bol de n'être pas écouté et respecté par la clique au pouvoir.
Lycéen, salariés, retraités, chômeurs, précaires... tous ont manifestés derrière la même banderolle et avec le même objectif : exiger le retrait sans condition de la loi Sarkozy-Medef de casse de la retraite par répartition.
Tous sont conscient de l'importance d'empêcher les prévaricateurs d' essayer d'en finir avec le programme du CNR pour livrer aux spéculateurs et aux banquiers l'avenir de leurs retraites.
Et si la manifestation s'est déroulée dans une ambiance bon enfant, le gouvernement par son attitude provocatrice portera l'entière responsabilité du durcissement du mouvement qu'il aura lui même provoqué. Car ce gouvernement en guerre contre son peuple devra se soumettre ou se demettre...
D'ores et déja une nouvelle manifestation aura lieu samedi à Carhaix le 16 octobre à Carhaix.
12 octobre Le Télégramme
De mémoire de manifestant, on n'avait encore jamais vu ça. Suite à la mobilisation du 2 octobre dernier à Carhaix, où la gendarmerie avait estimé le nombre de personnes dans la rue à 200 (contre 2.000 selon les organisateurs), le collectif de défense des retraites du centre-Bretagne avait organisé, ce matin, un comptage officiel du nombre de personnes descendues dans la rue.
Profitant de "l'entonnoir" offert par une rue étroite, deux responsables du collectif ont ainsi comptabilisé 1.500 manifestants, sous un panneau "Souriez, vous êtes comptés". "A deux personnes près, on était d'accord", a même expliqué l'une des deux militantes.
Toutefois, au cortège parti de la place du Champ-de-Foire sur les coups de 11h sont encore venues s'ajouter plusieurs centaines de personnes, portant le nombre de total des manifestants à environ 2.000. Soit un chiffre "très satisfaisant" pour les organisateurs, et ce d'autant plus que l'intersyndicale (CGT-CFDT) avait appelé ses sympathisants à aller manifester à Brest, Quimper, Morlaix et Quimperlé.
12 octobre 2010 à 12h11 - Le Télégramme
Les lycéens ont grossi le cortège de manifestants ce matin, à Pontivy. De 3.000 le 2 octobre dernier, le nombre de manifestants a grimpé à 4.500 aujourd'hui. Le cortège s'étalant sur 700 mètres de long a bien sûr demandé le maintien de la retraite à 60 ans. "Nous, on est aussi là parce qu'on veut avant tout un travail quand on finira nos études", lançait Pierre, un lycéen de 16 ans.
C'est une première à Rostrenen depuis le début de la contestation contre la réforme des retraites : les lycéens de Rostrenen sont descendus dans la rue, ce matin. Une manifestation qui a rassemblé une centaine d'élèves. Trente d'entre eux devaient ensuite prendre la direction de Saint-Brieuc pour se joindre à la manifestation briochine.
13 octobre 2010 à 10h55 - Le Télégramme
Dans la suite du mouvement débuté mardi matin, à l'occasion du débrayage national contre la loi sur les retraites, les élèves du lycée professionnel de Rostrenen ont décidé, après une assemblée générale de poursuivre le mouvement, 150 à 200 d'entre eux ont une nouvelle fois traversé le centre ville pour se rendre devant le lycée privé de Campostal afin de rallier à eux les élèves.
Portes fermées et présence de gendarmes ont eu raison de leur projet. ("Le sabre et le goupillon" çà marche toujours! Note du blog). Le cortège s'est ensuite dirigé vers la cité administrative ou il est resté un bon moment.
La manifestation qui souhaitait gagner le rond stratégique de la route de Saint Brieuc sur la RN 164, a du faire demi-tour, " la gendarmerie nous en a interdit l'accès faute d'une autorisation préfectorale", explique un responsable. " Nous organiserons demain une nouvelle assemblée pour décider de la suite du mouvement ".
mardi 12 octobre 2010
Fillon, Woerth, Morano, Copé et tous les porte flingues de Sarkozy voscifèrent en boucle à l'assemblée et dans les médias sur une prétendue manipulation de la jeunesse.
C'est le cauchemar du pouvoir : si la jeunesse de ce pays converge avec les salariés, la lame de fond contre le gouvernement va se transformer en tsunami.
Seulement voilà, dire aux jeunes qu'ils sont manipulés, c'est les traiter d'imbéciles et le but recherché, contenir la montée de la mobilisation, risque bien de l'attiser, et c'est tant mieux.
Parce que justement de plus en plus de jeunes comprennent parfaitement la situation, le fait que leur génération est sacrifiée, qu'elle vivra moins bien que les générations précédentes, ils rejoignent la mobilisation.
Les jeunes ont bien compris que la retraite par répartition, acquise de haute lutte par les anciens, risque de ne plus exister que dans les livres d'histoire.
Alors oui, nous assumons. Nous en appelons à la jeunesse, à son dynamisme, à son enthousiasme pour balayer les fossiles réactionnaires de l'UMP.
Ensemble, jeunes, salariés, chômeurs, précaires, imposons le retrait du projet ! Chassons Sarkozy et tous ses sbires, maintenant !
Brest
06 42 22 96 37
brest.npa@gmail.com
Quimper
06 59 71 42 21
Le blog sur les
questions maritimes
Le blog de solidarité avec
Pour plus de détails voir les liens:
Soirée prisonniers palestiniens
mardi 16 avril
20H30
Maison des syndicats
Quimper Gourmelen
vendredi 19 avril
8 h 45
Fermez Cofrents
(pays Valencian)
Concert à Lannion
Dimanche 28 avril
Brennilis
Mardi 7 mai
Yves-Marie Le Lay,
Président de
Sauvegarde du Trégor
Douarnenez
Librairie l'Ivraie à 20h00