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12 février 2013 2 12 /02 /février /2013 12:47

12 février 2013 à 10h34 

 

"Les voyous ce n'est pas nous, ce sont les patrons de Goodyear, d'ArcelorMittal"...

 

 Plusieurs centaines de manifestants sont rassemblés ce matin devant le siège Goodyear France à Rueil-Malmaison, dans les Hauts-de-Seine. C'est là que s'est ouvert peu après 9H30 un comité d'entreprise extraordinaire. Mais cette réunion est aussi l'occasion pour les salariés d'autres sites menacés d'exprimer leur colère et leur inquiétude.

Alors que l'usine Goodyear d'Amiens-Nord et ses 1.173 postes sont menacés, ce CCE doit porter notamment sur les mesures d'accompagnement dans le cadre de ce projet de fermeture" et sur "le contexte économique", selon un porte-parole de la direction. "On commence à donner des orientations sur les mesures d'accompagnement, on rentre dans le concret".


Point de rencontre de l'inquiétude des salariés d'autres usines en danger

 
Les salariés d'entreprises touchés par des plans sociaux (Sanofi, ArcelorMittal, PSA) étaient appelés à se rassembler devant le siège de Goodyear
Une centaine de membres des forces de l'ordre en contrôlaient les abords.
Les premiers manifestants venus dès l'aube par un temps gris et froid ont été rejoints vers 9H00 par quelque 750 salariés de l'usine Goodyear d'Amiens Nord, vêtus d'un tee-shirt noir ou rouge portant l'inscription "Goodyear patrons voyous".


"Les voyous ce n'est pas nous, ce sont les patrons"


"Pousser des mecs à bout, ça c'est de la violence, les voyous ce n'est pas nous, ce sont les patrons de Goodyear, d'ArcelorMittal", a lancé Mickael Wamen (CGT). "On veut que notre action fasse boule de neige".
Selon lui, les représentants syndicaux allaient rentrer "dans la salle du CCE avec la boule au ventre".


Besancenot : "la population relève la tête"

 
Délégué CGT d'ArcelorMittal, Jean Mangin a expliqué "s'attendre à tout" : "A Strasbourg, on a été parqués comme des bêtes, menottés (...). On est venu pacifiquement montrer notre solidarité".
Venu soutenir "la démarche de convergences des luttes", Olivier Besancenot (NPA) a observé que "la population relève la tête".

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http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/france/social-goodyear-sanofi-psa-arcelormittal-menaces-les-salaries-se-rassemblent-12-02-2013-2003101.php

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12 février 2013 2 12 /02 /février /2013 12:41

12 février 2013 à 12h23 

 

Environ 550 personnes, en grande majorité des enseignants du primaire, mais aussi quelques parents et retraités, ont manifesté à 11 h dans les rues de Quimper contre la loi d'orientation Peillon sur les rythmes scolaires.


Parmi les critiques les plus entendues dans les rangs des manifestants : la dénonciation d'une réforme lancée dans la précipitation sans que toutes ses conséquences soient mesurées, ou encore, le rejet de l'inégalité imposées aux enfants selon leur situation dans une commune "riche" qui pourrait offrir un accompagnement aux heures périscolaires ou une commune "pauvre" sans moyens.

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http://quimper.letelegramme.com/local/finistere-sud/quimper/ville/quimper-rythmes-scolaires-550-manifestants-dans-la-rue-12-02-2013-2003132.php

 

http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Quimper.-Les-professeurs-contre-la-semaine-de-4-jours-et-demi-des-2013-dans-la-rue_40771-2163225-pere-bre_filDMA.Htm

 

http://www.ouest-france.fr/region/bretagne_detail_-Rennes.-Un-millier-de-manifestants-dans-la-rue-contre-la-reforme-Peillon_40823-2163181_actu.Htm

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11 février 2013 1 11 /02 /février /2013 08:48
Social dimanche 10 février 2013

La semaine risque d’être tendue pour les salariés de l’industriel Gad qui possède un site à Josselin.

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Un comité central d’entreprise extraordinaire se déroulera mercredi à Quimperlé. Première étape avant des restructurations prévues. À l’ordre du jour : « Le point sur la situation économique de l’entreprise. » Gad SAS, détenue à 65 % par la coopérative Cecab et à 35 % par le groupement de producteurs de porcs Prestor, est entrée depuis longtemps dans une spirale de l’endettement et des pertes d’exploitation évaluées à 300 000 € par semaine.

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À Josselin, le site, qui compte 650 salariés, tourne comme celui de Lampaul-Guimiliau, dans le Finistère (850 salariés), à peine à la moitié de sa capacité. La direction étudie plusieurs scénarios, dont celui du dépôt de bilan. La grande crainte des salariés : que la cure d’amaigrissement ne provoque la fermeture d’un abattoir.

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http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Josselin.-L-abattoir-Gad-en-saura-plus-sur-son-avenir-mercredi_40771-2162518-pere-redac--56121-abd_filDMA.Htm

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11 février 2013 1 11 /02 /février /2013 08:27

 

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En solidarité avec le peuple tunisien et après l'assassinat de Chokri Belaïd, notre camarade Alain Krivine s’est rendu à Tunis vendredi 8 février pour participer à ses obsèques au nom du NPA. A cette occasion, il a pu rencontrer les principaux responsables du Front populaire et a eu de longs entretiens avec la Ligue de la Gauche Ouvrière. La révolution entame une deuxième étape difficile et décisive. Le NPA sera plus que jamais aux côtés de celles et ceux qui se battent pour elle.

 

Montreuil, le 10 février 2013

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10 février 2013 7 10 /02 /février /2013 14:50

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10 février 2013 7 10 /02 /février /2013 14:37
9 février 2013 à 20:30 Par LILIAN ALEMAGNA
Emmenés par leur numéro 2, Guillaume Bachelay, une délégation PS s'est rendue vendredi soir au 36e congrès du PCF à Saint-Denis. Ils se sont même permis quelques échanges acides avec leur ex-camarade Jean-Luc Mélenchon

Ça faisait bien longtemps qu’on n’avait pas vu des socialistes rester si longtemps en terre communiste. Fin septembre, lors de la Fête de l’Humanité il s’en était même fallu de peu pour qu’aucun ne réponde à l’invitation du secrétaire national du PCF, Pierre Laurent... Hier, ils étaient trois à se rendre à Saint-Denis au 36e congrès des communistes: le numéro 2 du parti et député de Seine-Maritime, Guillaume Bachelay; le député de Haute-Garonne et responsable des élections au PS, Christophe Borgel; et Luc Carvounas, sénateur du Val-de-Marne et chargé chez les socialistes des relations avec les autres formations politiques. «Un haut niveau de représentation» a insisté Pierre Laurent à plusieurs reprises.


On sent le chef du PCF plus que satisfait de redevenir le centre des attentions des socialistes après plusieurs années de relative indifférence. Le PS s’intéresse de nouveau au PCF. En témoignent les critiques virulentes de ses dirigeants lorsque les communistes postent une vidéo de voeux sur Internet où ils critiquent François Hollande ou bien lorsqu’ils s’opposent au Sénat où ils disposent d’une minorité de blocage...

Brader

Certes, à leur arrivée vendredi soir peu avant 19 heures, ils sont allés tout droit vers une salle proche de l’entrée. Pas question de traverser les allées remplies de communistes ou de faire un tour dans la plénière où se déroulent les débats... Des huées, ça aurait forcément fait mauvais genre quand on veut montrer une image de rassemblement. Là, pas de risque. Après 20 minutes d’entretien avec une délégation composée de Pierre Laurent, Olivier Dartigolles, porte-parole du PCF, et Francis Parny, chargé des relations avec les autres partis, les voilà devant une nuée de micros et caméras.


En pensant très forts aux futures alliances locales pour les municipales, Bachelay insiste a fond sur «la culture commune» que socialistes et communistes «ont dans les collectivités».  

 

«La gauche est diverse mais elle ne doit pas être divisée», poursuit le député de Seine-Maritime. Laurent acquiesce: «Nous avons une culture commune de gestion des collectivités locales. Il serait dommageable de brader cet acquis». Bachelay en remet une couche: «Il faut s’inspirer de ce qui marche au plan local pour l’appliquer au plan national».


Mais pas question pour le PCF de se ranger à la politique gouvernementale que soutient le PS. La veille, à la tribune, Laurent avait été clair: «Nous ne parions en rien sur l'échec. Ce sont les choix gouvernementaux actuels qui nous font craindre cet échec et qui nous conduisent en permanence à mettre en avant des choix alternatifs crédibles.» Le PCF est très loin de lâcher le Front de gauche pour retourner jouer aux satellites socialistes...

Champagne et petits fours

Le petit groupe ressort vite du hall. Quelques pas sous la pluie pour se rendre dans une autre salle pour la réception organisée par le chef du PCF. Où sont les socialistes? Bien en face de Laurent. Bien visibles. Derrière eux prend place Pascal Durand, le numéro un d’Europe Ecologie – Les Verts. «J’essaie d'être cohérent!» plaisante-t-il lorsque Laurent le cherche du regard depuis l’estrade.


A leur gauche, Jean-Luc Mélenchon, ex-candidat Front de gauche à la présidentielle mais aussi plus de 30 ans au PS avant de le quitter en 2008, n’a pas un regard pour ses anciens camarades.

 

Bachelay, Borgel et Carvounas s’attardent. Prennent champagne et petits fours. Répondent aux questions des journalistes curieux de les voir si longtemps. «Entre les socialistes et les communistes, il y a une longue histoire, reprend Bachelay. Avec des divergences mais aussi une culture commune.» Dartigolles s’approche, insiste sur «la tonalité constructive de l'échange» et annonce de prochaines discussions, à l’assemblée nationale ou en groupe de travail bilatéraux pour «trouver des sujets» sur lesquels ils pourraient construire une certaine unité. Premières idées: «renforcement de la loi bancaire», «session de sites rentables»...

«On va voir Jean-Luc?»

«On va voir Jean-Luc?» lance d’un coup Bachelay. Avec Borgel, suivis des journalistes, les voilà près d’une table fournies en macarons auprès de leur ancien camarade. «Je les connais d’avant et de pendant et dans les luttes je les ai vus tous les deux», souligne Mélenchon. «Celui-là je l’ai vu à Sanofi», dit-il à l’adresse de Borgel, «celui-là à Petroplus», pour Bachelay. «On est ensemble dans les luttes, poursuit le député européen. Vous voyez, je fais aussi des compliments!»

 

Réponse cinglante de Borgel: «C’est bien de le reconnaître». Mélenchon reprend: «On a un désaccord sur la façon de faire. Pour l’instant les électeurs leur ont donné raison.» Bachelay du tac au tac : «C’est bien qu’on le note tous». Puis, cherchant un satisfecit de ses anciens camarades, Mélenchon leur lance, en souriant: «Mais je n’ai pas démérité (…) je me suis pas mal débrouillé», en référence à ses 11,1% au premier tour de la présidentielle. Borgel, acide: «Oui, et à la fin on a gagné». Il faudra encore bien d’autres buffets communistes pour réconcilier Mélenchon avec les socialistes.

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http://www.liberation.fr/politiques/2013/02/09/au-congres-du-pcf-les-socialistes-prennent-leurs-aises_880632

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10 février 2013 7 10 /02 /février /2013 13:52

Publié dans : Hebdo Tout est à nous ! 181 (06/02/13)

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Michel Sapin, ministre du Travail, a affirmé la semaine dernière que la France était « un État totalement en faillite ».

 

Il s'est ensuite justifié, en se réfugiant derrière l'ironie et l'humour… Étrange humour ministériel qui ressemble à un franc cynisme.


En effet le ministre, en verve, a poursuivi en affirmant : « C’est la raison pour laquelle il a fallu mettre en place des programmes de réduction des déficits et aucune sirène ne doit nous détourner de cet objectif de la diminution des déficits, c’est fondamental pour le financement de notre économie et la création d’emplois. »

 

Et d'ajouter sur Radio J qu’il y avait « une urgence sociale et une urgence économique » et que c'était pour cela que le gouvernement avait « pris des décisions immédiates en termes de relance de l’Europe de la croissance, de politique d’emploi ».  Il a reçu le prompt soutien de l’ancien Premier ministre Michel Rocard : « Il y a le feu » !


Dans les pas de Fillon


Ironie ou pas, Sapin a souligné ainsi la continuité de sa politique avec celle de la droite. Comme l'ensemble du gouvernement, il reprend à son compte la propagande de la droite. Comme Fillon le déclarait en 2007, il dit à sa façon :

« Je suis à la tête d'un État qui est en situation de faillite sur le plan financier. Je suis à la tête d'un État qui est depuis 15 ans en déficit chronique. Je suis à la tête d'un État qui n'a jamais voté un budget en équilibre depuis 25 ans. Ça ne peut pas durer. »

 

La droite n'a pas manqué de s'emparer du propos. Valérie Pécresse a demandé « au gouvernement de mettre en conformité ses actes avec ses déclarations ». Sans doute, encore de l'ironie, comme si le gouvernement n'en faisait pas assez !


Alors, sans ironie, si tous ces politiciens ne sont pas de fieffés hypocrites, il ont une façon simple de mettre un terme au déficit, en faisant payer les riches, ne serait-ce qu'en refusant de leur payer les intérêts de la dette.


Yvan Lemaitre

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10 février 2013 7 10 /02 /février /2013 13:33

 

Publié dans : Hebdo Tout est à nous ! 181 (06/02/13)

 

Tandis que l’État français multiplie les mesures dilatoires pour empêcher Georges Abdallah de rentrer au Liban, les pressions étatsuniennes se font plus fortes.


Dans une pétition adressée à l’ambassadeur de France à Washington, 21 membres du Congrès américain exigent des autorités son maintien en détention, faisant fis de la pseudo-indépendance de la justice française. La France est-elle sous protectorat étatsunien ? De leur côté, les autorités françaises tentent de négocier avec leurs homologues libanais les modalités éventuelles de l’expulsion de Georges Abdallah.

 

Elles voudraient imposer que celle-ci se déroule dans la discrétion absolue, sans manifestation populaire, pour celui qui est pour beaucoup de Libanais un symbole de la résistance à l’occupation sioniste. L’ambassadeur de France à Beyrouth multiplie les pressions allant dans ce sens pour dicter au peuple libanais ce que voudrait imposer l’administration américaine. Le Liban serait-il toujours sous protectorat français ?


Mobilisation de la gauche libanaise


Mais la crise diplomatique et politique engendrée par le refus obstiné de Manuel Valls de signer l’arrêté d’expulsion, qui permettrait à Georges de retrouver ses proches et son pays, ne cesse de s’approfondir, ravivant les clivages politiques. Ainsi, loin de faiblir avec les reports répétés de la justice française, les actions de protestation se multiplient, et les déclarations politiques des organisations de la gauche libanaises se radicalisent.

 

« Tous ensemble organisons la riposte et préparons le grand jour de son retour parmi nous… Debouts, nous ne laisserons pas les Américains, les sionistes et leurs valets décider ce qui est juste pour nous ou pas ! » (déclaration de la direction du PCL à la réunion des comités de soutien libanais à Georges Abdallah).


Après d’incessants reports d’audience, d’appels du parquet et de pourvoi en cassation , une nouvelle audience à huis clos et en visioconférence doit se tenir le 28 février. L’État français ne peut plus tergiverser. Il devra choisir s’il décide de garder Georges Abdallah en otage à vie ou s’il le libère.


D’ici là, c’est bien la mobilisation internationale et notre capacité ici à multiplier les actions de soutien qui seront déterminantes.

 

Toutes les énergies, toutes les propositions doivent être exploitées. Là où n’existe pas de collectif de soutien local, il est tout à fait possible d’organiser sans plus tarder des rassemblements devant les préfectures, dans un cadre unitaire quand cela est possible. Toutes les informations permettant de confectionner du matériel d’agitation sont disponibles sur le blog du collectif pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah1. Le temps nous est compté… Sachons répondre à l’urgence le la situation.


Solidarité internationale ! Libérons Georges Abdallah !


Alain Pojolat


1. http://liberonsgeorges.over-blog.com/

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10 février 2013 7 10 /02 /février /2013 12:04
Social vendredi 08 février 2013

Une nouvelle réunion tripartite se tiendra lundi, à Rennes, pour discuter de revitalisation du site PSA à la Janais.

 

L’État, la direction du groupe et les syndicats se retrouveront dans les locaux de la préfecture, rue Martenot.

« Lors des précédentes réunions tripartites, aucune avancée significative pour les salariés n’est apparue concrètement », déplore la CGT qui appelle à débrayer à partir de 12 h sur le site.

Ensuite, les salariés formeront un cortège qui partira de La Janais pour rejoindre la rue Martenot, siège de la préfecture. La CGT appelle tous les sous-traitants et tous ceux qui se sentent concernés par l’avenir du site à rejoindre ce mouvement à 13 h.

 

Un pique nique de soutien: Les organisations du Front de Gauche (PCF, Parti de gauche, Gauche unitaire, Fédération pour une alternative sociale et écologique, Gauche anticapitaliste) appellent à participer au pique-nique solidaire organisé par le comité de soutien aux salariés de PSA lundi, à 12 h, place de la mairie à Rennes.

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Ensuite, les participants iront rejoindre le rassemblement prévu à 13 h 30, à la préfecture Martenot, au moment de l’ouverture de la réunion tripartite entre l’État, le groupe PSA et les collectivités locales. « Ce sera l’occasion d’exiger qu’il n’y ait aucun licenciement à PSA », indiquent les organisations de gauche.

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http://www.ouest-france.fr/region/bretagne_detail_-Rennes.-Lundi-un-pique-nique-de-soutien-avec-les-salaries-de-PSA_40823-2162112_actu.Htm

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10 février 2013 7 10 /02 /février /2013 11:55

10 février 2013 

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Hier, un peu plus d'une centaine de manifestants se sont regroupés devant les locaux de France 3, à Rennes, pour réclamer une véritable télévision publique bretonne.

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Lancées par le collectif Ai'ta et rejoint par plusieurs associations culturelles et partis politiques (Kevre-Breizh, 44 = Breizh, Bretagne Réunie, UDB, EELV), deux autres manifestations se déroulaient au même moment à Brest (350 personnes) et Nantes.

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« Une télévision publique bretonne de plein exercice c'est important, notamment au niveau des temps d'antenne », a souligné Paul Molac, député du Morbihan. « C'est dans la mission de France 3 d'être une chaîne régionale et pas parisienne », a déclaré Tangi Louarn, président de Kevre Breizh, à Brest.

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Une délégation a été reçue par les responsables de France 3 Bretagne, à Rennes.

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http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/bretagne/medias-manifestations-a-rennes-et-brest-pour-une-tele-publique-bilingue-en-bretagne-10-02-2013-2000286.php

 

http://www.ouest-france.fr/region/bretagne_detail_-Rennes.-Une-centaine-de-manifestants-devant-France-3-Bretagne_40823-2162380_actu.Htm

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http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Brest.-une-chaine-humaine-pour-une-tele-bilingue-publique_40779-2162372------29019-aud_actu.Htm

 



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