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27 août 2010 5 27 /08 /août /2010 11:54

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FACE À LA XÉNOPHOBIE ET À LA POLITIQUE DU PILORI :
LIBERTÉ, ÉGALITÉ, FRATERNITÉ


Une avalanche de discours et d’annonces provocatrices s’est abattue depuis plusieurs jours sur notre pays.

 

Jusqu’au plus haut niveau de l’Etat, on entend des propos qui étaient jusqu’à présent l’apanage de l’extrême droite. Le président de la République, lui-même, montre du doigt des communautés et des groupes sociaux entiers, stigmatise les Roms, les Gens du voyage, les étrangers, les Français qui ne
sont pas « de souche », les parents d’enfants délinquants, etc.

 

Ce faisant, il ne lutte en rien contre la délinquance, qui est répréhensible pour tout individu sans distinction de nationalité ou d’origine : il met
délibérément en cause les principes qui fondent l’égalité républicaine, alors que déjà une crise sociale et économique d’une extrême gravité menace la cohésion de la société tout entière.


En quelques jours, les plus hautes autorités de l’Etat sont passées de l’exploitation des préjugés contre les Gens du voyage au lien, désormais proclamé, entre immigration et délinquance, puis à la remise en cause de la nationalité française dans des termes inédits depuis 1945. Ce qui est à l’oeuvre dans cette démarche s’inscrit dans une logique de désintégration sociale porteuse de graves dangers.


Il ne s’agit plus du débat légitime en démocratie sur la manière d’assurer la sûreté républicaine, mais bien d’une volonté de désigner comme a priori dangereuses des millions de personnes à raison de leur origine ou de leur situation sociale. Quelle que soit la légitimité que confère l’élection, aucun responsable politique n’a reçu mandat de violer les principes les plus élémentaires sur lesquels la République s’est construite.


Parce que le seuil ainsi franchi nous inquiète pour l’avenir de tous, nous, organisations associatives, syndicales et politiques diverses mais qui avons en commun l’attachement aux principes fondamentaux de la République laïque, démocratique et sociale, rappelons avec force que l’article 1er de la
Constitution « assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion », et que toutes propositions qui méconnaîtraient cette règle fondatrice de la démocratie constituent une atteinte à la paix civile.


Nous n’accepterons sous aucun prétexte que le nécessaire respect de l’ordre public soit utilisé pour créer des distinctions entre les habitants de ce pays et désigner des boucs émissaires.


Nous appelons donc l’ensemble des citoyens de ce pays à manifester publiquement leur opposition aux stratégies de stigmatisation et de discrimination et aux logiques de « guerre » qui menacent le vivre
ensemble.


A cet effet, nous proposons à la signature en ligne un « Appel citoyen » refusant toute politique de la peur ou de la haine. Nous appelons à un grand rassemblement citoyen à l’occasion du 140e anniversaire de la République, le samedi 4 septembre à Paris et partout en France, pour dire ensemble
notre attachement à la liberté, à l’égalité et à la fraternité qui sont et qui resteront notre bien commun.

 
Pour signer l’Appel en ligne : 

 

http://nonalapolitiquedupilori.org/


Dans le cadre de cet appel national de 50 associations, partis et syndicats



RASSEMBLEMENT SAMEDI 4 SEPTEMBRE à 10 H 30

Place de la Liberté à BREST à l’appel de :

Association France Algérie,

Association France Palestine Solidarité (AFPS),

Association Républicaine des Anciens Combattants (ARAC),

Cass’ Papiers,

Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement (CCFD), Collectif Anticapitaliste,

Ligue des Droits de l’Homme (LDH),

Les Amis de l’Humanité,

Peuples Solidaires,

Planning Familial (MFPF),

CFDT,

CGT,

FSU,

Solidaires,

Autre Gauche-BNC,

Europe Ecologie,

FASE 29,

La Gauche debout !,

NPA,

PCF,

PS,

UDB …


Cet appel reste ouvert aux organisations qui veulent s'y associer




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27 août 2010 5 27 /08 /août /2010 05:46

 

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26 août 2010 4 26 /08 /août /2010 18:05

 


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26 août 2010 4 26 /08 /août /2010 12:16

 




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26 août 2010 4 26 /08 /août /2010 12:13

 




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26 août 2010 4 26 /08 /août /2010 11:40
Article publié le 21 Août 2010
Par Olivier Schmitt
Source : LE MONDE
Taille de l'article : 507 mots

Extrait :

A MOINS de deux ans de l'élection présidentielle de 2012, on assiste à des reclassements, importants à l'intérieur des partis de gauche, comme dans la structure de leur électorat.

 

Depuis le début des années 1990, les sympathisants de gauche étaient classés en quatre grandes familles de poids quasi égal :

 

la « gauche sociale-libérale » (27 %, séduite par Dominique Strauss-Kahn),

la « gauche antilibérale » (25 %, qui rassemble du NPA à Martine Aubry),

la « gauche interventionniste » (24 %, sensible aux thèses de Jean-Luc Mélenchon et du PCF)

et la « gauche populaire et autoritaire » ou « contre-gauche » (24 %, proche de Ségolène Royal).

 

note du blog: hélas pour la suite, faut s'abonner!

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26 août 2010 4 26 /08 /août /2010 11:34
Récit

Après avoir tracté tout l’été, les centrales ont appelé hier à une mobilisation de grande ampleur, le 7 septembre, contre le projet de réforme.



Par LUC PEILLON

Jamais la rentrée sociale n’aura débuté aussi tôt. Réunis hier après-midi, les syndicats ont confirmé leur appel à la mobilisation du 7 septembre contre la réforme des retraites, jour de l’ouverture du débat parlementaire sur le projet du gouvernement.

 

«Les organisations syndicales considèrent aujourd’hui que rien n’est joué et appellent tous les salariés du privé et du public, les demandeurs d’emploi, les jeunes et les retraités à poursuivre la construction d’une mobilisation de grande ampleur», ont ainsi déclaré sept des huit organisations de salariés, à l’issue de la réunion organisée au siège de la Fédération syndicale unitaire.

 

Seul Force ouvrière, qui demande le retrait complet du texte, n’a pas signé la déclaration finale, tout en se joignant à la mobilisation. Et revient, de fait, dans l’intersyndicale après plusieurs mois d’absence. «Nous nous étions retirés car nous ne sentions pas de volonté réelle d’en découdre, explique Bernard Devy, de FO. Maintenant que nous sommes au pied du mur, nous ne voulons pas diviser la classe ouvrière.»


Encouragés par les remontées de la base et par le maintien de l’action militante durant la période estivale, les syndicats se risquent même à un pronostic optimiste : «Nous avons maintenu la pression tout l’été, je pense que ça va payer», glisse Eric Aubin, le «monsieur Retraites» de la CGT. «Beaucoup de salariés nous ont appelés pour se renseigner, et les premiers pointages des unions départementales sont assez encourageants.»


Avions

 

L’organisation de Bernard Thibault s’est aussi beaucoup dépensée pour que la journée du 7 septembre soit une réussite : tractages aux péages d’autoroutes, sur le Tour de France, les côtes touristiques et lors des festivals.«Il fallait absolument préparer la mobilisation dès cet été», reconnaît Eric Aubin.

 

CGT et FSU ont même loué des avions à banderole sur les plages du Var et des Landes pour appeler à la manif. La CFDT, elle, s’est délestée de 60 000 tracts sur les retraites (en plus des 250 000 consacrés à sa traditionnelle campagne sur les saisonniers) et a commencé à démarcher députés et sénateurs. Un travail de lobbying qu’elle devrait accentuer d’ici l’ouverture du débat parlementaire.


Bref, les syndicats n’ont rien lâché pendant l’été, conscients que tout allait se jouer début septembre. «Beaucoup de gens ont également découvert pendant leurs vacances les conséquences du projet de loi sur leur propre situation, estime Bernard Devy, de FO. Cette prise de conscience devrait gonfler les rangs des manifs.»

 

Sans parler des fonctionnaires, qui ont eu vendredi confirmation de la part du chef de l’Etat, et en direct de son lieu de villégiature, que leur rémunération de base (le point d’indice), serait gelée en 2011… Dans plusieurs grandes entreprises aussi, les syndicats ont déjà annoncé leur participation à cette journée, comme à la RATP ou à la SNCF. Avec blocage des transports à la clef.


Les syndicats devraient être aussi appuyés par les partis politiques : du NPA au PS, on s’agite autour d’un dossier aussi emblématique pour la gauche que potentiellement risqué pour la majorité. Fragiliser le gouvernement sur la dernière grosse réforme du quinquennat est une occasion qui, par définition, ne se représentera pas deux fois. C’est dire si toute la famille de gauche devrait se retrouver dans la rue.


Crescendo

 

L’enjeu d’une mobilisation réussie le 7 septembre est d’autant plus important que les confédérations partent de haut. Les deux dernières manifestations, les 27 mai et 24 juin, avaient connu une participation crescendo, la dernière rassemblant entre 1 et 2 millions de salariés. Difficile, dès lors, de faire moins bien. Mais, si la mobilisation est réussie, reste à savoir pour quels débouchés ? Déjà ficelé par le gouvernement, le projet de loi ne pourra désormais être modifié que lors du débat parlementaire, qui s’ouvre le 7 septembre.

 

De son côté, le ministre du Travail, Eric Woerth, a bien laissé entendre que des efforts pourraient être faits sur la pénibilité, les carrières longues et les polypensionnés, sous forme d’amendements gouvernementaux. Mais rien sur le point dur du projet : le report de 60 à 62 ans de l’âge légal, dont les syndicats font un casus belli.


Impossible pour le gouvernement, dans ces conditions, de fissurer le front syndical, et notamment l’unité CFDT-CGT, en lâchant quelques contreparties secondaires. François Chérèque comme Bernard Thibault le savent : aucune de leur organisation ne se relèverait d’un soutien à cette réforme.

 

En cas de succès, c’est donc vers un affrontement dur que s’orientent syndicats et gouvernement. Avec cette fois-ci un autre problème, en cas de fort tangage : la fragilisation du capitaine. Si, dans son entourage, on assure qu’Eric Woerth «est en pleine forme», prêt «à affronter le débat parlementaire», on s’inquiète, côté syndical, d’un ministre «qui a la tête ailleurs». On a souvent prédit - à tort - une rentrée chaude. Celle-ci pourrait être brûlante.

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26 août 2010 4 26 /08 /août /2010 11:28

Par LILIAN ALEMAGNA

 

 

Reprendre pied… au bord de la mer. Après une saison agitée en interne, des luttes sociales difficiles et un échec cinglant aux régionales (2,5% contre 6,9% pour le Front de gauche), Olivier Besancenot et les siens entament aujourd’hui leur opération sauvetage du Nouveau Parti anticapitaliste (NPA).

Quatre jours d’université d’été à Port-Leucate (Aude) pour disserter du «socialisme du XXIe siècle». Et mettre à plat, à trois mois du prochain congrès, en novembre, les différends qui minent les militants depuis un an : la stratégie électorale, la question du voile et le choix des successeurs de Besancenot.


Alliances


L’épineux sujet des relations avec les autres formations de gauche en vue de 2012 doit être tranché au congrès. Mais les militants attendent de pouvoir avancer là-dessus dès cette rentrée. «Les délais pour préparer le congrès sont courts. Ce serait pas mal de profiter de cette université d’été pour clarifier notre stratégie», plaide Danièle Obono, comptant, au sein de la direction, parmi les plus enclins aux alliances avec le Front de gauche.

 

«Le NPA n’est pas divisé entre plus unitaires et moins unitaires… réfute Omar Slaouti, ancienne tête de liste aux européennes. La vraie question à poser est : que peut-on attendre des autres partis sur leur programme et sur leur indépendance par rapport au PS ? C’est la frontière sur laquelle on travaille.» «Il y a besoin de rendre le NPA plus utile, plus crédible, milite pour sa part Christian N’Guyen, au comité exécutif. Etre ancré dans la réalité pour préparer un renversement du système capitaliste sans pour autant attendre le grand soir.»


Deuxième chantier : la place de ces nouvelles militantes qui portent le foulard. Dans un parti tiraillé par les questions de religion, laïcité et féminisme, les débats sur le sujet devraient faire le plein.


Enfin, cette université d’été pourrait être la dernière d’Olivier Besancenot comme porte-parole unique du NPA. Le leader anticapitaliste a annoncé, avant les vacances, son «envie de prendre une place nouvelle dans la direction», et de laisser la place à plusieurs de ses camarades. «Mais c’est encore un tabou au sein de la direction. On n’en a jamais parlé ouvertement entre nous !» soupire un membre de l’exécutif.


Mobilisation

 

Pas question pour autant de régler tous ces problèmes en quatre jours. «On ne veut pas que cette université d’été soit simplement un lieu de débat interne, fait valoir Sandra Demarq, une des dirigeantes. L’axe principal sera de combattre Sarkozy, sur les retraites et sur la sécurité.» Besancenot et les siens veulent faire de leur rentrée la première mobilisation «unitaire» contre la réforme des retraites. Vendredi, des représentants de la fondation Copernic, d’Attac, de la CGT, du Parti de gauche, du PCF et des Verts précéderont l’intervention de Besancenot.

 

«Le mot d’ordre est simple, explique Frédéric Borras, de la direction : Faire converger les luttes et les mobilisations pour obtenir le retrait pur et simple de la réforme Woerth.» En appelant à la «grève générale reconductible» à partir des manifestations du 4 et du 7 septembre, le NPA espère ressouder ses troupes sur le terrain de la lutte sociale.


«Notre université d’été, contrairement à d’autres, ne sera pas axée sur 2012 et le candidat», ironise Sandra Demarq. Mais on en causera quand même beaucoup.

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26 août 2010 4 26 /08 /août /2010 08:54
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26 août 2010 4 26 /08 /août /2010 08:38

26 août 2010 - Le Télégramme


Enora Moalic a vécu un an au coeur d'une communauté rom, en République Tchèque. Un séjour que cette Douarneniste, âgée de 24 ans, n'est pas près d'oublier.

À l'évocation du débat qui fait rage en France actuellement autour des expulsions de Roms, Enora Moalic a les larmes aux yeux, la rage au coeur. Le monde dans lequel on renvoie ces Tsiganes, elle le connaît. Elle en a vu la misère et, du haut de ses24ans, en a parfaitement saisi l'absurdité.

«La mode c'est l'extrême droite»

Dans le cadre d'un Service volontaire européen, Enora est partie à Karvinà, un ancien fief communiste à la frontière polonaise où, dans des barres d'immeubles, vivent 66.000 personnes. Dont une forte proportion de Roms, rejetés par le reste de la communauté. «Étonnamment, même par les jeunes, note Enora. Là-bas, la mode c'est d'être d'extrême droite.Pour faire quelque chose, il faut être d'ailleurs». Enora, qui s'apprête à entrer en école d'éducateurs, a donc quitté sa douce Bretagne l'an passé pour aller s'occuper des enfants Roms de Silésie. Et la jeune femme d'égrener ses souvenirs avant de prévenir que «le sort réservé aux Roms de Slovaquie, de Bulgarie et de Roumanie est pire!».

La misère des enfants

À Karvinà, les petits Roms sont scolarisés, «maisdans des établissements pour retardés mentaux». Les mères sont souvent des adolescentes, prostituées pour bon nombre et sans contraception. «On leur reproche de faire beaucoup d'enfants pour les prestations sociales mais, dans le même temps, on leur ferme la porte à l'emploi», souligne encore Enora, évoquant ces ribambelles de gosses qui venaient à elle dans le froid des rues de Karvinà. «Leur repas se limitait souvent à un paquet de chips. Nous, on leur apportait des jeux, des coloriages. Une fois, j'ai réussi à les emmener au zoo, en train. Inoubliable». «Ce que nous faisions peut paraître peu, reconnaît Enora. Mais ce que nous devions faire, c'était juste venir voir, chaque jour, s'ils étaient encore vivants. Nous les écoutions, jouions avec eux, prenions soin d'eux. Ils n'avaient rien de tout cela».

Le cliché des roulottes

Cette misère ne l'a pas découragée. Pourtant, elle ne s'y attendait pas. Elle avait choisi cette mission, inspirée par les films de Tony Gatlif. «La musique Tsigane, l'ambiance des roulottes et des femmes aux longues jupes virevoltantes... des clichés, c'est tout, reconnaît à présent Enora. Même la musique qu'ils écoutent aujourd'hui est nulle». Ce qui ne l'est pas, c'est ce qu'Enora a rapporté de Karvinà. Comme, par exemple, le souvenir poignant de la solidarité dont font preuve entre eux les enfants menacés. «J'ai l'image de ce petit de deux ans qui s'occupait de son frère d'un an, qui partageait sa sucette. J'avais jamais vu ça».

 

Et puis - non négligeable - il y a cette nouvelle langue que la jeune étudiante déjà trilingue peut ajouter à son CV. Le Tchèque, appris en huit mois («Il fallait bien!»). Et enfin, chevillée au corps désormais, cette envie de changer le monde. Tout simplement.

 

Pratique Trente organisations appellent à manifester, le samedi 4 septembre, à 14h, contre les mesures prises actuellement par le gouvernement, «qui menacent le vivre ensemble».

 

Plus d'informations sur http://nonalapolitiquedupilori.org

  • Marie-Line Quéau
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