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25 juin 2010 5 25 /06 /juin /2010 11:00

Derry mural

 

Note: Désolé de "pinailler", mais le titre n'est pas correct : Irlande du Nord ne traduit pas "Northern Ireland" , Nord de l'Irlande oui. Il n'y a aucune raison d'accepter le découpage britannique qui voudrait une Irlande du Nord et une du Sud comme il y a deux Corée. Depuis Marx et Engles les marxistes sont pour l'indépendance de toute l'Irlande. Par contre "Derry" est correct!

 


Trente-huit ans après le Dimanche sanglant du 30 janvier 1972, la publication du rapport Saville a établi la responsabilité de l'armée britannique dans la mort de treize manifestants dans la ville de Derry, en Irlande du Nord.

Le Premier ministre, David Cameron, a présenté ses excuses aux familles des victimes. Mais combien d'autres crimes commis par l'armée britannique et les forces paramilitaires contre les nationalistes, mais surtout contre la population catholique de l'Ulster, continuent-ils à être couverts par la loi du silence ?

En 1921, après des siècles d'oppression coloniale et des décennies de lutte, la Grande-Bretagne fut contrainte d'accorder son indépendance à l'Irlande, ou plus exactement au sud de l'île puisque les six comtés du nord, qui forment l'Ulster, (Note: encore le "pinailleur", l'Ulster compte 9 comtés, dont trois comme le Donegal sont en République, c'est un faux "Ulster" de 6 comtés pour augmenter la "majorité protestante) restaient au sein du Royaume-Uni. Pour continuer à y assurer sa domination, l'impérialisme britannique s'appuya sur la majorité protestante, dans le but de contrer l'influence des nationalistes au sein de la minorité catholique.

Les catholiques d'Irlande du Nord étaient considérés comme des citoyens de seconde zone, victimes de discriminations dans tous les domaines : droits civiques, travail, logement, etc. La population catholique vivait majoritairement dans des taudis, connaissant un taux de chômage allant de 20 à 40 %, les patrons protestants embauchant peu de travailleurs catholiques et leur réservant les emplois non qualifiés. Le suffrage censitaire rejetait de fait les catholiques hors de la vie politique : pour voter, il fallait être propriétaire ou payer un loyer en titre, ce qui excluait toutes les familles ouvrières en situation précaire, tandis qu'un patron disposait, lui, de plusieurs votes.

Les années soixante virent la renaissance du mouvement nationaliste, en même temps que les milices officielles loyalistes s'en prenaient aux catholiques. En 1968 et 1969 se succédèrent des manifestations pour l'égalité des droits, égalité dans les urnes, mais aussi dans le travail et l'attribution de logements.

 

La plupart furent violemment réprimées par la RUC, la police composée à 95 % de protestants, qui pratiquait en outre des expéditions punitives dans les ghettos catholiques, usant des mêmes méthodes que les milices loyalistes qui multipliaient les assassinats, mettaient à sac et incendiaient les quartiers catholiques. Après les émeutes d'août 1969, surtout à Belfast et Derry où la population des ghettos catholiques tint tête à la police pendant plusieurs jours, le gouvernement travailliste de Londres céda sur le suffrage censitaire et promit d'accorder l'égalité des droits civiques. Mais il envoya aussi des troupes britanniques. Dans un premier temps, elles furent accueillies favorablement par les catholiques, qui espéraient qu'elles les protégeraient des pogroms menés par les loyalistes. Ils n'allaient pas tarder à déchanter.

Les troupes britanniques se conduisirent en Irlande du Nord en armée colonialiste, comme elles l'avaient fait durant des siècles dans toute l'île, soutenant les forces paramilitaires loyalistes et adoptant leurs méthodes. En août 1971, le gouvernement britannique décida d'interner sans procès les « suspects » d'association avec le terrorisme, formulation très extensible qui valut l'internement à bien des gens dont le seul tort était d'avoir « l'air irlandais », et l'armée quadrilla les ghettos catholiques. L'IRA répondit par des actions de guérilla tandis que les manifestations de masse se succédèrent, toujours plus nombreuses. Le 30 janvier 1972, resté dans les mémoires sous le nom « Bloody Sunday » ou Dimanche sanglant, les paras tirèrent sur les manifestants désarmés de Derry, tuant treize d'entre eux.

Les exactions de l'armée contre la minorité catholique se poursuivirent encore plusieurs années, multipliant les provocations, les arrestations arbitraires, les assassinats, sans que les principaux responsables, couverts par l'État britannique, soient autrement inquiétés. Avec la publication du rapport Saville, un coin du voile est levé, mais seulement un coin.

Marianne LAMIRAL

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25 juin 2010 5 25 /06 /juin /2010 10:55

enfants.jpg Y z'étaient pas plus heureux sans manuels scolaires?

À la rentrée de septembre, les élèves de seconde commenceront leur année avec un nouveau programme dans toutes les matières. Les programmes scolaires changent en effet périodiquement, pour diverses raisons. Il y a d'abord, et c'est normal, l'intégration des nouvelles découvertes, dans tous les domaines, y compris dans la façon d'enseigner. Mais il y a aussi l'effet des évolutions politiques et sociales et celui des modes pédagogiques. Il y a également, dans une proportion difficile à évaluer, l'intérêt bien compris des éditeurs de manuels scolaires pour lesquels chaque changement de programme est une aubaine.

La rentrée 2010, pour laquelle il faudra renouveler tous les manuels d'une génération, rapportera autant aux éditeurs qu'elle coûtera aux Régions qui financent les livres scolaires des élèves des lycées, soit 150 à 200 euros par élève de seconde. Les Régions ont d'ailleurs protesté auprès du ministre de l'Éducation nationale en lui faisant remarquer qu'il aurait été plus sage d'étaler le changement de programme sur plusieurs années afin d'en limiter le coût. Ayant déjà établi leurs budgets et subissant une baisse des ressources attribuées par l'État, les administrations régionales se demandent comment financer ces dépenses nouvelles, et on le comprend. Il est vrai cependant qu'aucune, à ce jour, n'a suggéré de réduire les subventions qu'elles versent toutes aux entreprises privées.

Le ministre Chatel répond donc à une lettre de l'Association des Régions françaises que l'État verse aux familles des primes de rentrée et des bourses... ce qui n'a aucun rapport puisqu'il s'agit des manuels qui sont payés par les Régions et fournis par les lycées. Il ajoute qu'il y a aussi des bourses aux livres d'occasion, ce qui est particulièrement malin s'agissant de livres nouveaux. Et il finit quand même par dire ce qu'il pense : selon lui, « les Régions ne sont pas tenues de financer les manuels scolaires ».

Ben voyons. D'ailleurs les enfants d'ouvriers ne sont pas tenus d'avoir des livres, ni même, tant qu'on y est, d'aller au lycée !

 

Note: Là les camarades de Lutte Ouvrière semblent être en dessous du niveau d'indignation acceptable! En effet, un ministre avoue tout simplement qu'il travaille uniquement pour sa classe et les enfants de sa classe (sociale) et qu'il emmerde les pauvres, quand même!

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25 juin 2010 5 25 /06 /juin /2010 10:49

communism

Le 35e congrès du PCF n'a pas apporté de surprises en confirmant le choix de continuer « l'aventure du Front de Gauche » et en lui impulsant même « un nouvel élan ». L'élection de Pierre Laurent au poste de secrétaire national du PCF, prenant la place que lui cédait Marie-George Buffet, était elle aussi prévue.

Les différentes sensibilités qui se manifestent au sein du PCF depuis bien longtemps se sont naturellement fait entendre au cours de ce congrès : celle qui dit incarner un PCF du passé, qui se réclame non pas des traditions révolutionnaires sur lesquelles ce parti s'était fondé en 1921, mais de celles, ouvertement staliniennes, du parti que présidait Thorez et Duclos dans les années trente, et plus encore celles des années de l'après-Seconde Guerre mondiale, dont André Gérin est le principal porte-parole.

 

Il y a aussi ceux qui défendent l'idée que le PCF n'a plus lieu d'être aujourd'hui, que la « forme parti » est dépassée, qu'il faudrait se dissoudre dans un vaste ensemble de gauche indifférencié, une conception dont les figures de proue étaient les deux cents et quelques notables qui avaient annoncé à son de trompe leur décision de quitter le Parti, et dont il reste des représentants qui sont encore au PCF.

 

La majorité incarnée maintenant par Pierre Laurent s'efforce en fait de naviguer entre ces deux courants, défendant la nécessité de maintenir un parti qui se réclame du communisme, mais d'un communisme bien loin de ses origines. L'horizon commun à ces trois sensibilités reste les prochaines échéances électorales.

Une telle perspective suppose d'en passer obligatoirement par des alliances. Et en premier lieu, de prolonger celle qui s'est constituée en 2009 avec le Parti de Gauche de Jean-Luc Mélenchon. Ce dernier, à la tête d'une formation sans guère de forces militantes et outrancièrement médiatisé, a été le grand bénéficiaire de cette alliance. Du coup, Mélenchon en est, deux ans avant la Présidentielle, à réclamer d'être désigné candidat du Front de Gauche en 2012.

Les dirigeants du PCF essayent aujourd'hui de gagner du temps en reportant à quelques mois cette décision. Il n'en reste pas moins que cette péripétie illustre la situation dans laquelle se trouve leur parti. Quels que soient son contour et ses partenaires, l'alliance avec Mélenchon au premier tour, avec le PS au second, est une autre façon de se dissoudre et de dissoudre sa spécificité.

 

Les dirigeants du PCF prennent le risque de s'affaiblir encore, en tant que force politique, de plus en plus confinée au rôle de force d'appoint d'une coalition électorale, dominée par ses partenaires. Et cela est d'autant plus facilité qu'en ce qui concerne les idées et le programme, le PCF n'en a guère de différents de ceux de ses alliés.

Il y aurait une autre perspective, la seule à notre sens qui offrirait une issue pour le monde du travail et les classes populaires, qui consisterait à renouer avec les idées sur lesquelles a été fondé le mouvement communiste en France, il y a de cela 90 ans. Cette voie peut paraître difficile aujourd'hui, mais elle est la seule qui permette de faire face à la dictature économique qu'exercent les capitalistes, la seule qui permette de faire front aux attaques incessantes des représentants politiques de cette classe d'exploiteurs qui est en train de mener la société à la catastrophe.

Jean-Pierre VIAL

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25 juin 2010 5 25 /06 /juin /2010 10:46

feminism.jpg

Le 22 juin, la loi visant à aider les femmes à se protéger de compagnons violents entrait en discussion au Sénat. En 2008, 156 femmes ont en effet été assassinées par leur conjoint, des centaines se sont suicidées du fait de mauvais traitements. Et ce n'est que la partie tragiquement visible d'un cauchemar qui touche des centaines de milliers de femmes et, avec elles, des centaines de milliers d'enfants. Une situation trop connue, contre laquelle des associations féministes se battent depuis des années.

C'est grâce à leur combat que les députés avaient fini, le 25 février, par voter à l'unanimité le texte qui doit maintenant être approuvé par les sénateurs pour devenir une loi. Les associations, qui avaient dû faire de nouveau pression pour que le texte soit bien à l'ordre du jour du Sénat, ont remarqué qu'il avait été modifié en passant d'une assemblée à l'autre. Toutes les modifications sont en défaveur des femmes maltraitées.

Le texte voté par les députés prévoyait par exemple que les conjoints comparaîtraient séparément devant le juge. Le projet du Sénat prévoit qu'ils passeront ensemble. Les autres modifications sont de la même eau : en préservant une égalité juridique formelle entre les deux personnes concernées, la femme battue et le mari violent, cette nouvelle mouture désarme les femmes.

Les organisations féministes ont donc appelé à manifester devant le Sénat et à exiger que la loi soit votée et appliquée comme les députés l'avaient faite. Cela serait bien le moins.

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25 juin 2010 5 25 /06 /juin /2010 10:41

 

vendredi 25 juin 2010

Mieux que le 27 mai. La mobilisation contre la réforme des retraites a été deux fois plus importante.

Le 27 mai, ils étaient environ 15 000 à défiler contre le projet de réforme des retraites dans le département. À l'époque, nul ne connaissait le détail du dispositif gouvernemental. Depuis, Éric Woerth a dévoilé son plan. Et la mobilisation a fait un bond. Pour le dernier défilé avant la trêve estivale, l'intersyndicale a rempli le contrat. Dans les quatre villes où étaient organisés les défilés, les chiffres de participation ont globalement doublé.

A Brest, 12 000 manifestants ont battu le pavé. « La réforme des retraites du Gouvernement, c'est non ! », appuie au micro le cégétiste, Olivier Le Pichon.. Avec détermination, face à la place de la Liberté archi-pleine, il lit le texte commun préparé par la CGT, CFDT, CFTC, FSU, Solidaires et Unsa. La mobilisation s'annonçait massive. Elle l'a été. Du public et du privé, étudiants et retraités... La foule a envahi sans hésitation les rues de la cité du Ponant. La CFDT a compté 17 500 manifestants, la CGT 22 000, la police seulement 8 000, notre rédaction 12 000. Si les chiffres ne sont pas les mêmes, ils ont en revanche tous ce point commun d'être bien plus importants que ceux avancés lors de la manifestation du 27 mai dernier


A Quimper, 11 000 personnes ont défilé. Une manifestation qui a brassé des salariés du privé comme du public, des étudiants, des retraités, des jeunes actifs... De nombreuses femmes aussi. Un signe qui ne trompe pas pour Pierre, postier à Quimper : « Quand les femmes descendent dans la rue, c'est pour défendre la vie. » En l'occurrence, la leur : « Vu mes conditions de travail, si je dois prendre ma retraite à 62 ans, je serais morte avant » lance sans rire Julie, infirmière à Douarnenez. Ou alors en déambulateur. »


A Morlaix, on a compté entre 6 000 et 7 000 manifestants. Une participation record à tel point que le parcours du traditionnel défilé, après les discours, a dû être allongé et faire un détour par l'hôtel des Finances, place du Pouliet. A noter une mobilisation historique au centre hospitalier : 609 absents pour cause de grève sur 1 364 à l'effectif de jeudi, dont 137 réquisitionnés.


A Quimperlé, près de 3 000 personnes se sont mobilisées. Dans la foule, retraités et actifs, privé et public, des enfants aussi. Mobilisés aussi, au côté des syndicats, des partis de gauche et des mouvements comme la Ligue des droits de l'homme.

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25 juin 2010 5 25 /06 /juin /2010 10:38

 

vendredi 25 juin 2010

La mobilisation s'annonçait forte. Du public et du privé, étudiants et retraités... il y avait foule hier.

Reportage

10 h 15. « Retraites : oui aux 60 ans à taux plein, non à l'allongement de la durée de cotisation ! »... La banderole agrippée à la façade de la mairie annonce la couleur. Déjà beaucoup de monde se presse place de la Liberté. Signe avant-coureur d'une forte mobilisation. Un quart d'heure plus tard, c'est la foule, dense. Difficile de se frayer un passage. Du coude à coude dans une chaleur écrasante.


Olivier Le Pichon de la CGT annonce que le cortège ne partira qu'à 11 h. La foule empiète abondamment sur les côtés de Liberté. « La réforme des retraites du Gouvernement, c'est non ! » appuie au micro le cégétiste. Presque à s'en casser la voix, il lit le texte commun (à la CGT, CFDT, CFTC, FSU, Solidaires, Unsa) avec détermination.


« On pourra s'échanger nos dentiers ! »


Et « en avant ! ». La CFDT ouvre le défilé suivie de la CGT. Public, privé, les manifestants ne voulaient pas rater le rendez-vous. Dans la foule, des employés de la clinique de Keraudren, du groupe Even, d'Ifremer, de l'hôpital de Landerneau, d'EDF-GDF, de BMO, de Bibus, de l'Arsenal, du CHU de Brest, de la chambre de commerce, de Thalès, la Poste, des enseignants du public et du privé...


Le long cortège glisse dans les rues. Les responsables syndicaux ont le sourire. « On s'y attendait. On a eu de nombreuses commandes de tracts et d'appels ces derniers jours », raconte Patrick Jagaille de la CFDT. Le syndicat recense 17 500 manifestants, la CGT 22 000, la police seulement 8 000, notre rédaction 12 000. Les chiffres dépassent largement ceux du 27 mai. La mobilisation est un grand succès.


Personne n'est là pour faire de la figuration. Tout le monde a son mot à dire ! Comme Christine, 45 ans. Elle travaille en Établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad). Avec ironie, elle se demande si, dans quelques années, « on fera la différence entre soignants et soignés ». Et de lâcher d'un ton tranchant et au pas de charge : « Au moins, on pourra s'échanger nos dentiers ! »


« Retraite anticipée pour Sarkozy », scande un cégétiste qui embraye sur un « retrait de la réforme » et un « fonds de pension, c'est dela m... » Les marcheurs reprennent en choeur. « Les vieux dans la misère, les jeunes dans la galère, de cette société-là, on n'en veut pas ! », poursuivent-ils.


« C'est notre avenir qui se joue »


Les retraités ont chaussé ce jeudi des souliers à semelle souple. Tel André, 65 ans, pour « défendre le système de retraite par répartition ». L'ancien agent maritime perçoit 1 500€ par mois. Il est inquiet : « Comment va-t-on embaucher des jeunes si on maintient les autres au travail ? Le chômage ne va pas faire entrer de l'argent dans les caisses de retraite ! »


De nombreux jeunes gens se manifestent au travers des syndicats et partis. « C'est notre avenir qui se joue », lance Mallorie Créac'h, présidente de l'Unef Brest. Le cortège se disloque avenue Clemenceau sur cette scène qui invite à la réflexion : de jeunes bras vigoureux aident un retraité assis à se relever.


 

Textes : Sophie MARÉCHALet Alexandre TEIXEIRA.
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25 juin 2010 5 25 /06 /juin /2010 10:30

Quimper (29). 11.000 manifestants dans les rues

24 juin 2010 à 12h25 - Le Télégramme

Au moins 11000 manifestants manifestent actuellement dans les rues de Quimper contre le projet de réforme des retraites du gouvernement. Une mobilisation bien plus importante que le 27 mai dernier où environ 5.000 personnes avaient défilé dans les rues de la ville.  

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25 juin 2010 5 25 /06 /juin /2010 10:27

24 juin 2010 à 12h58 - Le Télégramme

 

Plus de 15.000 personnes ont manifesté ce matin contre le projet de réforme des retraites dans les rues de Brest (29), au départ de la place de la Liberté.

Il a fallu pas loin d'une heure pour que la queue de cortège démarre de la place de la mairie et pas loin d'une heure et demi pour boucler le parcours de 2,5 km. La plus forte mobilisation du genre jamais enregistrée dans la cité du Ponant a mêlé tous les secteurs (privés et publics) ainsi que tous les âges.


A noter également une forte représentation féminine pour une mobilisation qui a attiré 22.000 manifestants selon les syndicats unifiés et seulement 8.000 selon les services de police.

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25 juin 2010 5 25 /06 /juin /2010 10:21

24 juin 2010 - Le Télégramme

La Confédération paysanne, syndicat agricole minoritaire, a estimé, hier, que l'amendement UMP assouplissant les normes en matière d'élevage de porcs est un «leurre».

  

Pour ce syndicat, proche de la gauche, ce «changement du seuil d'autorisation n'améliorera pas la situation des éleveurs et ne résoudra pas la crise porcine actuelle». En revanche le syndicat y voit «un encouragement à la restructuration et au rassemblement d'élevages».

Gérard Lahellec veut des «politiques ambitieuses»


Pour sa part, Gérard Lahellec, vice-président du conseil régional, membre du groupe communiste, estime qu'il faut «exiger aux plans national et communautaire des politiques ambitieuses de régulation et de soutien des prix à la production. Or, Marc Le Fur fait le choix d'adapter notre système aux contraintes toujours plus pressantes du libéralisme. En outre, la démagogie sous-tendue vise à accréditer l'idée que la cause des difficultés rencontrées sont imputables à un excès de réglementation et à opposer le monde paysan à tous ceux qui sont attachés à la préservation de l'environnement. C'est un piège grossier».


Une pétition en ligne, postée samedi par les Cyber@cteurs (www.cyberacteurs.org), fédère déjà une cinquantaine d'organisations associatives et politiques.

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25 juin 2010 5 25 /06 /juin /2010 10:17

25 juin 2010 à 07h58 - Le Télégramme

Sollicités pour prendre de nouvelles inscriptions pour la rentrée scolaire 2010-2011, plusieurs collèges publics du secteur morlaisien auraient exprimé un refus clair et net.


C'est du moins ce qu'affirme hier, dans un communiqué, un collectif composé de professeurs du collège du Château (Morlaix) et de Tanguy-Prigent (Saint-Martin-des-Champs), ainsi que de parents d'élèves. L'information qui a mis le feu aux poudres vient du collège du Château.

 

Les moyens initialement attribués par l'inspection académique dans le cadre de la Dotation globale d'heures (DGH) seraient suspendus, ce qui remettrait en cause l'ouverture annoncée d'une cinquième classe de 3e dans ce collège, et donc, l'inscription de nouveaux élèves.

 

Au collège du Château, la direction se refuse à tout commentaire. Le collectif de parents et d'enseignants appelle toutes les familles et les professeurs concernés à une mobilisation, à 19h, au collège du Château, ce soir.

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