15 000 dans la petite ville de Clonmel en Irlande pour défendre l'hôpital partout en Europe et dans le monde les populations s'opposent à la casse des services publics
Entre 15 000 et 20 000 personnes ont défilé dans la petite ville pour défendre leur système de santé contre la casse programmée.
drapeaux rouges en Irlande
à verser au débat
(CGT des activités postales et de Télécommunications)
sur la vidéo ci-dessus, pas d'accord pour récompenser les entreprises qui embauchent, c'est l'objet des mesures d'aides prises par le gouvernement et ça ne marche pas, sauf à baisser le prix du travail, question rectifiée avec efficacité à la vidéo suivante.
Le vendredi 5 mars 2010 dernier, s’est déroulée à la maison des associations à Genève une conférence organisée par la Gauche Anticapitaliste, intitulée “Antisionisme, antisémitisme, islamophobie: Essayons d’y voir clair!”, présentée par Gilbert Achcar. Cette conférence est écoutable ici :
http://www.lachaine.ch/spip/spip.php?article168
Gilbert Achcar est professeur à la School of Oriental and African Studies de l’Université de Londres et collaborateur du Monde Diplomatique. Il a publié un nombre important d’ouvrages qui font référence : “La nouvelle guerre froide”, “Le choc des barbaries”, “L’Orient incandescent” et, avec Noam Chomsky, “La poudrière du Moyen Orient”… Il vient de publier un nouvel ouvrage intitulé “Les Arabes et la Shoah. La guerre israélo-arabe des récites”, Actes Sud / Sinbad, Paris, 2009.
Photo: www.lachaine.ch
Le NPA apporte son soutien à la «Conférence mondiale des peuples sur le changement climatique et les droits de la ‘Terre-Mère’» qui se tiendra à Cochabamba du 19 au 22 avril 2010. Ce soutien est motivé notamment par les considérations suivantes :
1. A Copenhague en décembre, le NPA a constaté que la délégation de la Bolivie a été à peu près la seule qui a noué dès le premier jour de la conférence des liens avec les mouvements sociaux. Cette délégation a été l’une des seules à participer à la fois au forum alternatif Klimaforum et à la conférence de l’ONU. Elle a contribué avec les mouvements sociaux et les milliers de jeunes venus à Copenhague à l’organisation et au succès de la manifestation de Reclaim Power et à la popularisation du mot d’ordre unificateur «System change, not climate change!», «Changeons le Système ! Pas le Climat !».
Le dernier jour de la conférence de Copenhague, peu de chefs d’Etat ou de gouvernement se sont ouvertement opposés au texte présenté par les Etats-Unis, la Chine, le Brésil, l'Inde et l'Afrique du Sud. Parmi ceux-ci il y a eu Evo Morales qui a condamné dans des termes particulièrement ferme l'accord présenté tant sur la forme – un texte discuté en petit comité sans respecter le processus de travail des Nations-Unies – que sur le fond : un texte en retrait au regard des recommandations du GIEC, sans aucun engagement contraignant et sans garantie de financement pour les pays les plus pauvres.
2. Le gouvernement bolivien a lancé une invitation qui faite sans condition ou exclusive. Elle s’adresse à la fois aux gouvernements qui se reconnaitraient dans les termes de l’appel à la conférence, aux organisations onusiennes et aux autres institutions internationales, aux scientifiques et à l’ensemble des mouvements sociaux et des ONGs.
Le but sera de travailler à un texte qui ferait état des points de consensus et des questions qui resteront en débat.
La conférence aura deux autres objectifs : discuter la possibilité d'un "référendum mondial" sur les objectifs à se fixer pour lutter contre le changement de climat, et voir s'il est envisageable de pérenniser après Cochabamba un mouvement ou un réseau proprement mondial, ce n’est pas le cas actuellement. La conférence de Cochabamba représente l’occasion de commencer à créer un rapport de force avant la nouvelle session de la conférence de l’ONU en décembre au Mexique.On sait d’ores et déjà que l’impérialisme est bien décidé à organiser à Mexico ou à Cancun une répression policière et militaire brutale à côté de laquelle Copenhague aura été une partie de plaisir.
3. Ce sont les peuples indiens des Andes et de l’Amazonie qui, à cette étape, ont lié le plus étroitement la question climatique et la question sociale, entendue comme question touchant les conditions de reproduction sociale des peuples comme des classes sociales. Depuis une dizaine d’année, ils ont redonné à la lutte anti-impérialiste et à la question nationale un vrai contenu social.
Les organisations paysannes de l’Altiplano ont contribué aux côtés du Mouvement des Sans Terre (MST) brésilien à donner une force particulière à la coalition Via Campesina en Amérique latine. La présence à Cochabamba de ces organisations comme d’un nombre important de mouvements représentatifs des combats contre les compagnies pétrolières et les sociétés minières en Bolivie, au Pérou, en Equateur, sera une garantie du contenu anti-impérialiste de la conférence qui est convoquée. Le NPA y attache une valeur particulière.
4. Le NPA souligne la portée du choix de tenir la conférence à Cochabamba. C’est là qu’il y a eu en 2000 un très important mouvement social victorieux contre le groupe industriel-financier
étatsunien Betchel sur la question de la privatisation de l’eau. La victoire a été arrachée par un front très large de syndicats, de comités de quartiers et d’associations réunies au sein de
La coordinadora del agua et de la vida. Cette lutte a servi d’exemple aux combats sur la question de l’eau dans de grandes villes du Pérou comme en Bolivie, notamment à El Alto contre la
filiale de Lyonnaise des Eaux- Suez. C’est donc dans une ville symbole de la lutte anti-impérialiste et d’un vaste mouvement social contrôlé par celles et ceux qui l’ont mené que nous nous
réunirons en avril.
Nous faisons l’analyse que le capitalisme est le grand responsable de la catastrophe écologique qui nous menace. Pour préparer une rupture coordonnée avec ce système, nous proposons de travailler ensemble à la convergence des luttes écologiques, des luttes sociales et des luttes anti-impérialistes.
Les luttes pour la justice climatique doivent dessiner les alternatives au capitalisme et au productivisme, pour conduire à un autre modèle de civilisation, à des révolutions profondes de nos modes de production et de consommation. Ce socialisme écologiste, cette nouvelle société, solidaire et capable de vivre en harmonie avec la nature, sont les sources d’un projet d’émancipation humaine pour le XXIème siècle.
Brest
06 42 22 96 37
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Quimper
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Le blog sur les
questions maritimes
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Pour plus de détails voir les liens:
Soirée prisonniers palestiniens
mardi 16 avril
20H30
Maison des syndicats
Quimper Gourmelen
vendredi 19 avril
8 h 45
Fermez Cofrents
(pays Valencian)
Concert à Lannion
Dimanche 28 avril
Brennilis
Mardi 7 mai
Yves-Marie Le Lay,
Président de
Sauvegarde du Trégor
Douarnenez
Librairie l'Ivraie à 20h00