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5 juillet 2009 7 05 /07 /juillet /2009 19:01
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5 juillet 2009 7 05 /07 /juillet /2009 18:36











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5 juillet 2009 7 05 /07 /juillet /2009 18:32
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5 juillet 2009 7 05 /07 /juillet /2009 18:18
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5 juillet 2009 7 05 /07 /juillet /2009 07:56


Lutte Ouvrière:

Les travailleurs obtiennent la reprise de leur usine par Renault

Onze ans après la vente de sa fonderie SBFM, Renault, avec l'aide de l'État, reprend la fonderie Caudan de Lorient. Il faut dire que les pièces qu'elle fournit commençaient à manquer.

Depuis octobre, l'incertitude planait sur l'avenir de la fonderie, qui appartenait au groupe italien ZEN. Celui-ci voulait se désengager.

Depuis janvier, l'entreprise est en redressement judiciaire, et la seule offre de reprise, il y a une quinzaine de jours, du groupe espagnol CIE Automotive, avait été ressentie comme une provocation. Il y avait de quoi être indigné et en colère devant les conditions exigées par CIE Automotive. En effet, pour reprendre cette fonderie qui travaille principalement pour Renault, le groupe ne déboursait qu'un euro symbolique, ne reprenait que 320 à 370 salariés sur les 538 et exigeait des aides, notamment des collectivités locales.

Alors, quand CIE Automotive a sorti son plan, les ouvriers fondeurs se sont mis en grève, ont manifesté bruyamment, brûlant des pneus devant la sous-préfecture de Lorient, la préfecture de Vannes et même à Rennes, pour exiger du préfet de région la tenue d'une table ronde afin de maintenir l'emploi.

Vendredi 26 juin, la table ronde se tenait finalement à Vannes et, grâce à leur détermination, les fondeurs obligeaient l'État et les constructeurs automobiles à trouver une solution. Depuis le début, les travailleurs revendiquaient la reprise de l'entreprise par Renault, sans aucun licenciement. Quand ils ont appris que leur revendication était satisfaite, ce fut l'explosion de joie. La liquidation qui se profilait a été évitée et les travailleurs de la SBFM, dont les actions étaient très suivies par la population, ont démontré que la lutte est la seule voie possible pour se faire entendre.
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5 juillet 2009 7 05 /07 /juillet /2009 07:54
Lutte Ouvrière:

Engagée le 18 juin, jour de l'annonce d'un plan de licenciements de grande ampleur à l'usine Chaffoteaux de Ploufragan, près de Saint-Brieuc, la lutte se poursuit. Depuis, l'usine est bloquée et les travailleurs se réunissent chaque jour en assemblée générale pour décider des actions à mener.

C'est le 1er juillet que la direction du groupe Merloni, propriétaire de Chaffoteaux, devait annoncer si elle licenciera 149 ou 207 salariés. Dans tous les cas, c'est la fermeture de l'usine de Ploufragan qui est programmée et, s'il devait rester une petite activité, ce ne serait pas sur le site actuel, jugé disproportionné et trop coûteux d'entretien.

La direction du groupe ayant programmé quinze jours de chômage partiel entre le 22 juin et le 4 juillet, les travailleurs utilisent donc cette période d'inactivité forcée pour multiplier les actions en direction de la population et des salariés de la région briochine. Des distributions de tracts et des signatures de pétitions devant les grands magasins, zones commerciales et entreprises, organisées par équipes mobiles de plusieurs dizaines de travailleurs, leur ont permis de vérifier qu'ils n'étaient pas isolés dans leur lutte. Des milliers de soutiens ont été collectés en quelques jours.

Par ailleurs, il a été décidé de bloquer une petite unité où sont stockées les pièces détachées pour les chauffe-eau et chaudières, située à une trentaine de kilomètres de Ploufragan. Le blocage a été décidé en commun avec les quarante salariés de cette usine. Depuis une semaine des piquets sont présents devant l'entrée et les travailleurs de ce magasin débrayent chaque jour par solidarité. Ils craignent également que le groupe Merloni ferme rapidement leur unité.

Une grande marche a également été organisée mercredi 24 juin. Partis de l'usine à 250, les rangs de la manifestation n'ont cessé de grossir sur les neuf kilomètres du parcours. C'est à près de 1 000 que la manifestation s'est terminée devant la préfecture de Saint-Brieuc où plus de 4 000 pétitions ont été remises symboliquement. Voir autant de soutien, notamment parmi les anciens de l'usine qui ont manifesté à nos côtés, a fait chaud au cœur à plus d'un.

Pour terminer cette première semaine de lutte, une centaine de travailleurs se sont retrouvés vendredi 26 juin autour d'un pique-nique géant devant l'usine.

Le championnat de France cycliste organisé à Saint-Brieuc durant le week-end du 28 juin a été l'occasion de faire à nouveau parler de la lutte contre les licenciements à Chaffoteaux, puisqu'une manifestation a eu lieu juste avant le départ des coureurs professionnels le dimanche matin. Et, comme disaient les travailleurs de Chaffoteaux, « si Saint-Brieuc aime le vélo (slogan officiel de l'épreuve), nous ce que l'on préfère, c'est notre emploi à Chaffoteaux. »

La réunion du Comité central d'entreprise du 1er juillet sera également l'occasion d'une montée à Paris pour 200 travailleurs déjà inscrits et bien décidés à crier leur colère à une direction qui les méprise depuis trop longtemps.

La détermination grandit et nombre de travailleurs mobilisés savent que le combat engagé est difficile, mais qu'il n'y a pas le choix. La lutte continue...
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5 juillet 2009 7 05 /07 /juillet /2009 07:41
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5 juillet 2009 7 05 /07 /juillet /2009 07:35
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Le conseil national du PCF, réuni les 19 et 20 juin, a tiré un bilan positif des résultats du Front de gauche aux élections européennes, mais sans triomphalisme.


Une étude de l’Ifop révèle que le Front de gauche (FG) ne devance le NPA, aux élections européennes, que chez les plus de 50 ans. Elle montre également que le NPA est en tête chez les ouvriers et les employés. Les scores du FG oscille entre 17% et 43% dans les municipalités PCF, mais ils s’effondrent ailleurs. C'est donc à partir du constat que le recul a été stoppé que le débat a eu lieu, au conseil national du PCF, les 19 et 20 juin, opposant la majorité à ceux qui estimaient que le parti s’était dilué dans un Front sans partenaires crédibles. Nombreux sont les militants qui se sentent plus proches du NPA que du Parti de gauche, même si, pendant la campagne électorale, on a pu voir, ça et là, ressortir à notre égard les vieux réflexes sectaires (affiches recouvertes, bulletins absents de certains bureaux de vote, etc.).


Dans son rapport, Pierre Laurent se félicite de la remontée du parti face au sectarisme du NPA : « Les discours de donneurs de leçons à l’égard du mouvement syndical ont eux aussi été sévèrement jugés.» Mais c’est sur les perspectives du FG, notamment les régionales, que le débat a tourné. Pour le rapporteur, les objectifs sont clairs: « Lancer la bataille des régionales avec l’ambition de construire des majorités régionales de gauche sur des projets ambitieux de lutte contre la crise. Poursuivre et élargir la démarche engagée avec le Front de gauche. »

Concrètement cela laisse entendre un accord avec le PS dans certaines régions (pas forcément dans toutes) afin de dépasser les 5% et de sauver les 185 conseillers régionaux sortants. D’où la critique à peine voilée des dirigeants du Parti de gauche, «qui viennent de déclarer qu’à leurs yeux, ni le PS ni les Verts ne pourraient rejoindre un tel rassemblement, appelant d’ores et déjà à des listes autonomes du Front de gauche ouvertes à ce qu’ils appellent l’autre gauche (NPA, Alternatifs, MRC).


La démarche que je vous propose ne peut-elle pas bousculer davantage le paysage ? […] A gauche, ça n’est pas à nous de fixer les frontières ». Et, pour être encore plus clair, Marie-George Buffet précise: « Nous n’avons pas décider d’en rester au “Grand Soir”, mais de dépasser le capitalisme par un combat mêlant l’action quotidienne dans les luttes, le rassemblement et la gestion à tous les niveaux issus du suffrage universel. »


La décision finale sera prise fin octobre. Le temps de tester tous les partenaires potentiels et de convaincre les militants. En tout cas, les termes du débat sont posés, et forcément plus clairement que lors des européennes, où aucun accord avec le PS n’était possible. L’aspiration à l’unité est légitimement forte parmi tous les anticapitalistes mais elle doit se faire sur des bases claires et il n’est pas possible d’adapter le contenu politique d’une orientation en fonction des élections et des partenaires.

Construire une unité durable, dans les luttes comme dans les élections, est aujourd’hui une nécessité. Le NPA ne ménagera aucun effort dans cette direction. 

Olivia Hespin

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5 juillet 2009 7 05 /07 /juillet /2009 07:32
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En prétextant s’attaquer aux bandes, le projet de loi Estrosi prépare la répression du mouvement social.  

Comme souvent avec Nicolas Sarkozy, il y a en apparence au départ de cette loi un fait divers. Le 18 mars, à Gagny (Seine-Saint-Denis), une vingtaine de jeunes gens, encagoulés et armés, avaient envahi un lycée.

Le texte déposé  par Christian Estrosi, député UMP et maire de Nice, récompensé  avec le poste de ministre de l’Industrie, s'inscrit dans une batterie de mesures décidées et annoncées par Nicolas Sarkozy. L’article premier « instaure une nouvelle incrimination réprimant de façon spécifique la participation à une bande ayant l’intention de commettre des violences ou des atteintes aux biens […], le fait de participer, en connaissance de cause, à un groupement, même formé de façon temporaire, qui poursuit le but, caractérisé par un ou plusieurs faits matériels, de commettre des violences volontaires contre les personnes ou la destruction ou dégradation de bien, est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende ».  L’essentiel du texte se trouve dans ce tout petit passage : « ayant l’intention de commettre des violences ». Il s’agit de condamner d’un délit d’intention des personnes « présumées dangereuses ». Estrosi le dit lui-même : « le nouvel arsenal permettra d'agir en amont en détectant les intentions », et d’ajouter  « Le texte s'inscrit dans un contexte : celui du développement de la sécurité durable ».

On est en droit de se poser la question de la nature des bénéficiaires de ce nouveau concept de « sécurité durable ». Regardons de plus près.  Un rassemblement « formé de façon temporaire », avec une attitude plus ou moins agressive des participants dans leur « intention », disons protestataire, s’appelle généralement une manifestation.

Hormis la circonstance aggravante de la dissimulation, même partielle, de son visage, le texte prévoit également d’étendre le délit de participation à un attroupement armé aux personnes non armées.  Par arme, il ne faut pas seulement  comprendre les armes blanches ou à feu, mais aussi toutes les armes par intention : barre de fer, bâton, avec ou sans pancarte au bout.  Comme des gens qui se protègent tant bien que mal des gaz avec un foulard et dont certains tiennent des pancartes…

Bien entendu, comme toujours, la libre interprétation de toutes ces « intentions » est laissée à l’appréciation des forces de l’ordre. Il faudra donc, pour « éviter que les conditions dans lesquelles se déroulent les opérations de maintien de l’ordre […] ne fassent l’objet de contestations », les filmer. Bien sûr ici, c’est la police qui filme, et comme elle agit en parfaite transparence, « la diffusion de ces enregistrements fait l’objet d’une nouvelle incrimination, passible d’une peine d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende ». Mis en parallèle avec la constitution du fichier Edvige 3.0, on assiste à une opération de fichage généralisé de tous ceux qui manifestent.

Le texte d’Estrosi, prenant prétexte d’un fait divers, prétend agir contre les « bandes » en stigmatisant encore un peu plus les jeunes des banlieues, considérés comme responsables de tous les maux. Au-delà de ces visées électoralistes, c’est avant tout la mise en place d’un formidable outil de répression contre le mouvement social qui se met en place avec ce concept de « sécurité durable ». 

Aurélien Smirnoff
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5 juillet 2009 7 05 /07 /juillet /2009 07:19
Communiqué du 2 juillet 2009

Suite action EDF

vendredi 3 juillet 2009

Comme prévu, une dizaine de personnes se sont rendues ce jeudi sur le parking devant l’entrée de ERDF GRDF au Cap Horn à Quimper avec une voiture sonorisée et un barbecue...

Après 3 heures de "négociations", nous n’avons pu obtenir le rétablissement de la fourniture d’électricité d’un précaire qui en est privé depuis quatre mois et demi, pas plus que la possibilité d’un échéancier, seulement la promesse de rappels téléphoniques ultérieurs.

Nous alertons les élus locaux sur les manquements dans les réponses à l’urgence sociale et nous dénonçons l’inertie des procédures censées résoudre ces situations que nous savons en nette augmentation.


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