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4 octobre 2011 2 04 /10 /octobre /2011 07:51

 

lundi 03 octobre 2011

Syndicats et direction sont restés en désaccord, samedi. Ce lundi matin, une assemblée générale des salariés est prévue. Explications pour mieux comprendre les raisons du conflit.

Repères

Pourquoi la grève ?


Siège social occupé, grève et agences fermées, conseil d'administration perturbé... La semaine passée a été mouvementée au Crédit Mutuel Arkéa, groupe bancaire basé au Relecq-Kerhuon, près de Brest (Finistère). Les syndicats, réunis dans une intersyndicale CGT, CFDT, SNB, UNSA et FO, dénoncent les augmentations de salaires « excessives » de certains responsables qui auraient touché « 30 % de plus en moyenne » !


Ils précisent qu'entre 2009 et 2010, des dirigeants « ont eu 15 % d'augmentation de leur salaire fixe et 50 %, en y intégrant la part variable. » C'est aussi une question de valeurs : « Nos dirigeants doivent arrêter d'utiliser des pratiques capitalistes dans notre entreprise mutualiste ! »


Ce qui a mis le feu aux poudres, c'est la création de la Société des cadres dirigeants (SCD). Elle réunit les 126 cadres dirigeants du groupe. « Nous n'aurons plus de visibilité sur leur rémunération ».

 

Que demandent les syndicats ?


Pour compenser l'écart entre les faibles et les hauts salaires, ils réclament une augmentation salariale de 60 points « pour tout le monde » (soit 2 217 € annuel brut), ce qui représenterait 150 € par mois... « ou 7,5 % pour un salaire de 2 000 € net ». Ils demandent aussi un abondement minimal de 500 € par salarié et une augmentation de la valeur du chèque déjeuner. L'an passé, le groupe Arkéa a enregistré des résultats exceptionnels avec un bénéfice net de 273 millions d'euros, en progression de 77 %.

 

Que dit la direction ?


Si les revendications syndicales sont acceptées, elles coûteraient « 25 millions d'euros par an à l'entreprise », soit « près de 9 % du résultat de l'ensemble du groupe ». Une augmentation de salaires identique pour tous ne corrigerait pas les écarts.

 

La direction propose « une revalorisation soit des salaires les plus bas, soit des catégories qui seraient à un niveau inférieur à celui du marché ». Concernant l'abondement, un nouvel accord d'intéressement bonifie déjà l'enveloppe en fonction des résultats. Mais elle ferait un effort supplémentaire pour les salariés en fin de carrière.

 

Des dirigeants ont-ils perçu 30 % de rémunérations en plus ? Hier, la direction n'a pas répondu. Mais elle a fait valoir que « la masse salariale des cadres dirigeants a augmenté de 17 % l'an passé », et que « l'effectif a augmenté de 16 % ». La société simplifierait la gestion des cadres qui peuvent évoluer dans les différentes entités du groupe (1).


Quelle issue ?


Samedi, une rencontre a eu lieu entre les syndicats et la direction, qui souhaite trouver une issue. La situation devient difficile pour l'entreprise. Elle a proposé d'augmenter le salaire minimum d'embauche de 21 700 € à 24 000 € brut. Mais « cela ne concerne que peu de monde », selon les syndicats. Le chèque déjeuner passerait de 8,50 € à 10,50 €.

 

La rémunération se ferait sur 13 mois au lieu de 14 mois et demi, « sans impact sur le montant annuel ». Déception des syndicats : « On n'a pas de réponses sur nos principales revendications ». Le contenu de cette rencontre sera rapporté aux salariés, ce lundi, lors d'une assemblée générale. La grève est maintenue pour mardi.

 

Laurence GUILMO.
Portarait du patron :
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30 septembre 2011 5 30 /09 /septembre /2011 16:44

Une unité sans faille


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Un accueil chaleureux

 

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Une déco soignée

 

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Une AG massive!


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La lutte se durcit et s'étend !

 

Crédit Mutuel-Arkéa. Un dialogue de sourds

2 octobre 2011

Au cinquième jour de grève, une réunion entre direction et syndicats représentatifs s'est tenue, hier, au siège du Crédit Mutuel-Arkéa, au Relecq- Kerhuon (29). Un dialogue de sourds.

Vendredi, tard dans la soirée, la direction du Crédit Mutuel-Arkéa, groupe bancaire de 6.400 salariés, dont le siège est basé au Relecq-Kerhuon, près de Brest, a proposé, une réunion aux représentants syndicaux des salariés en grève. Elle s'est tenue hier matin, à 8h. «Nous avons accepté l'offre, confirme Pierre Jubil, délégué CFDT. Mais la proposition qui nous a été faite n'est pas acceptable. La direction veut nous amener à jouer sur le terrain B, quand nous voulons jouer sur le terrain A», a-t-il justifié, usant d'une métaphore footballistique. «La direction a complété son offre qui, jusque-là, consistait uniquement à détricoter notre convention collective. Elle a accepté de réévaluer le salaire minimum, passant de 21.700euros brut à 24.000euros brut. Ça concerne peu de monde», a-t-il jugé. La direction a indiqué que la mesure était applicable au 1eroctobre. 

Une crise identitaire 

«Nous proposons aussi une amélioration du pouvoir d'achat, avec une rémunération sur 13mois au lieu de 14mois et demi». La direction estime ces avancées significatives, «dans une situation qui devient difficile pour l'entreprise. Et nous faisons passer le chèque déjeuner à 10,50€ contre8,50€». Pierre Jubil a ironisé: «Une sacrée avancée sociale. Les dirigeants sont à 30% d'augmentation de salaire sur deux ans. Je leur ai dit que tant qu'ils se permettraient de pareilles augmentations, ils auront derrière des revendications salariales légitimes. Ronan Le Moal (directeur général du groupe, N.D.L.R) ne veut plus donner de points de manière uniforme à tout le monde. Il a proposé une rencontre lundi matin. On peut se voir mais si c'est pour se dire la même chose qu'aujourd'hui, ça ne sert à rien». Le Crédit Mutuel-Arkéa est en pleine crise identitaire. La grève est reconduite lundi. Une assemblée générale est prévue à 10h, au siège du groupe, au Relecq-Kerhuon.

  • Karine Joncqueur

      http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/bretagne/credit-mutuel-arkea-un-dialogue-de-sourds-02-10-2011-1450001.php

 

 

 

 

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30 septembre 2011 5 30 /09 /septembre /2011 10:13
vendredi 30 septembre 2011

Troisième jour de grève hier au Crédit mutuel-Arkéa. La dernière réunion de négociation a échoué. Le mouvement est reconduit.

Reportage

 

18 h, hier au siège du Crédit mutuel-Arkéa au Relecq-Kerhuon. Un feu de palettes finit de se consumer. Un piquet de grève comme on n'en a jamais connu de mémoire de banquier. Les grévistes venus du Finistère, des Côtes-d'Armor, du Morbihan pour la plupart sont là depuis trois jours. Quand les délégués de l'intersyndicale sortent de la salle de réunion, ils espèrent.

 

Les premiers mots des membres de l'intersyndicale les font vite déchanter.« Voilà ce que la direction nous a dit : il est hors de question de donner des points à tout le monde. » C'est l'une des trois revendications que porte l'intersyndicale emmenée par la CFDT, FO, Unsa, la CGT et le syndicat de la banque. Augmentation de 60 points pour tous, ce qui revient à 2 200 € annuels, augmentation du titre restaurant, et fixation d'un abondement minimal annuel pérenne de 500 €.

 

Pour la direction, ce sont des points qui seront bel et bien négociés, mais dans un cadre précis qu'est celui de la négociation annuelle obligatoire.

 

Réponse insatisfaisante, estiment les salariés grévistes. Hier, ils étaient encore 49 % dans le Finistère, 46 % dans les Côtes-d'Armor, et 44 % dans le Morbihan. Dans les autres régions concernées par ce mouvement social, le Sud-Ouest et le Massif Central, toutes les caisses étaient ouvertes.

 

Enfermés dans le restaurant


Au Relecq-Kerhuon, l'ambiance plutôt bon enfant de la matinée s'est durcie au fil de la journée. Comme ils l'avaient déjà fait à l'occasion d'une réunion la veille, les grévistes ont à nouveau envahi la salle du conseil d'administration où étaient rassemblés les administrateurs du Crédit mutuel, le directeur général, Ronan Le Moal et le président Jean-Pierre Denis. Face au silence pesant des dirigeants, la salle du conseil d'administration résonne des chansons et refrains rédigés dans la nuit : « Les 60 points, on les vaut bien ! » La direction propose une « discussion ». Refus des syndicats qui assènent à nouveau : « on veut l'ouverture d'une vraie négociation. »


À la fin de la matinée, les administrateurs quittent la salle sous les huées. Et se dirigent vers le restaurant d'entreprise qui leur est réservé. Ils ne parviendront pas en sortir. « Nous avons bloqué les issues », indique un délégué syndical. Hier, aucune nouvelle rencontre avec la direction n'était prévue.

 

Elle aura finalement lieu en fin d'après-midi. Nouvel échec au bout d'une heure et demie, chacun campant sur ses positions. Les grévistes ont voté pour une nouvelle journée d'action. Certains occuperont à nouveau les locaux dans la nuit de jeudi à vendredi.

 

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Credit-mutuel-Arkea-la-greve-se-durcit-_40734-1994812------29019-aud_actu.Htm

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30 septembre 2011 5 30 /09 /septembre /2011 10:01
Socialjeudi 29 septembre 2011

Après avoir transformé le conseil d’administration du Crédit mutuel-Arkéa de ce matin en assemblée générale, les grévistes ont laissé les administrateurs et la direction, emmenée par le président Jean-Pierre Denis et Ronan Le Moal, directeur général, quitter la salle sous les huées. Depuis ce midi, ils les empêchent de quitter le restaurant du siège, au Relecq-Kerhuon, bloquant toutes les issues.

http://www.ouest-france.fr/region/bretagne_detail_-Conflit-au-Credit-mutuel-Arkea-les-dirigeants-bloques-a-l-interieur-du-restaurant_40779-1994601_actu.Htm

 

Conflit social au Crédit mutuel-Arkéa : échec des négociations
Socialjeudi 29 septembre 2011

Après une troisième journée de grève mouvementée, les délégués syndicaux ont été reçus par la direction. Une heure et demie plus tard, ils sont ressortis, indiquant qu’ils n’avaient pas été entendus. « Aucune avancée », estime l’intersyndicale. Les grévistes, présents sur place, au siège basé au Relecq-Kerhuon, près de Brest, ont voté pour la poursuite du mouvement. Une nouvelle assemblée générale est prévue demain matin.

 

Commentaire:

 

Le NPA soutient les grévistes, cela va sans dire, mais c' est mieux en le disant!

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30 septembre 2011 5 30 /09 /septembre /2011 09:19

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Le combat pour l'eau publique continue !



La mise en place d'une société publique locale (SPL) et l'attribution des marchés d'exploitation des usines de production et d'assainissement à la multinationale bien connue des brestois-es VEOLIA, n'est pas de nature à rassurer les défenseurs du service public de l'eau. BMO renonce là a une gestion publique, directe et transparente.


 Peut-on négocier une « arnaque » ?


VEOLIA admet selon BMO avoir engrangé 55 millions d’euros de bénéfice en bientôt 25 ans de contrat. Doit-on se contenter de ces seuls chiffres ? Nous ne comprenons pas la volonté de la collectivité de signer un accord prévoyant la « récupération » de seulement 3,2 millions, et de se priver du droit d’obtenir plus et si besoin d’aller devant les tribunaux.


Comment VEOLIA peut elle baisser les prix de 30% du jour au lendemain (entre l'ancien et le nouveau contrat) sans voir là un aveu de sommes indument perçues ? Peut on à la fois négocier une « arnaque » et repartir en contrat avec cette entreprise qui a fait son beurre pendant si longtemps sur le dos des Brestois-e-s ?

Pourquoi cet entêtement de BMO à refuser de faire un audit contradictoire alors que c’est sur la base de ce travail que des villes comme Bordeaux et Lyon ont négocié et récupéré plusieurs centaines de millions d’euros ? Décidément, la transparence n’est pas au rendez vous.


Le collectif déplore le dévoiement de l’idée d’une « maîtrise publique de l’eau », tant prônée par la collectivité, et continue de penser que le retour en régie publique était la meilleure solution.



Nous avons besoin de vous pour notre campagne « Restitution » !


Nous vous invitions à participer à notre campagne pour la restitution des sommes indûment perçues par VEOLIA à travers la distribution d'un tract et le collage d'une affiche (document ci joints).



Si vous avez du temps à consacrer à l'eau, tracts et affiches sont disponibles au local des Verts (18 rue Keravel, quartier Saint Louis, 02.98.46.08.78, ouvert en semaine 9h/12h30 et 14h/18h) et au local de SUD/Solidaires (2 rue Amiral Nielly sur le port de commerce, ouvert mardi et jeudi 02.98.05.12.93).

Si vous envisagez de diffuser les tracts dans les boites aux lettres ou sur des marchés, merci de nous faire savoir les quartiers couverts pour des questions d'organisation.


Au mois d'octobre, 2 rendez vous à ne pas manquer


1) Agir


Rassemblement devant le siège de VEOLIA

Vendredi 7 octobre, à 17h30,

Rue de Kerervern, dans la Zac de Kergaradec, à proximité du rond-point de Kervao


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2) Conférence 

 A la lumière de ce qui a été révélé à Lille, Lyon, Toulouse et Bordeaux (villes où plusieurs centaines de millions d’euros ont été récupérés)


Gagner la bataille de la restitution des sommes dues


Débat avec Patrice Du Fau De Lamothe : juriste, expert comptable, et spécialiste des services publics de l’eau

Mercredi 12 octobre, 20h30,


Hôtel Vauban, avenue Clémenceau, Brest



*Membres du Collectif Eau publique à Brest/BMO :

 

Des associations :

Agir pour un Environnement et un Développement Durables (AE2D), Association pour le Contrat Mondial de l’Eau (ACME), Club Loisirs Action Jeunesse (CLAJ), Kan an Dour, Mais qu’est-ce que tu fabriques ?, S-eau-S, Solidarité Ecologie Plougastel, Souris Verte, Ti ar Bed, Vivre la Rue

 

Des syndicats :

Solidaires (SUD CT29 …)

 

Des groupes politiques :

FASE29, Comité de Brest du Parti ouvrier indépendant, Démocratie Ecologie Solidarité, Forum Civique de Plougastel, La gauche debout !, Europe Ecologie - Les Verts (groupes de Brest et de Plouzané), MRC 29, Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA), et des citoyen-ne-s



Nous contacter : http://www.eaupublique.infini.fr contact@eau-publique-bmo.infini.fr

 

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29 septembre 2011 4 29 /09 /septembre /2011 11:47
socialjeudi 29 septembre 2011

Le conflit ne faiblit pas. Les grévistes de la laiterie Even de Ploudaniel mènent actuellement une opération escargot, entre le siège d’Even et l’administration de Laïta, à Brest. Près de 200 salariés d’Even constitueraient le cortège, d’après la direction.

 

Soucieux de se voir attribuer une prime d’ancienneté (dont ils ne profitent pas pour le moment), les 250 employés de l’actionnaire majoritaire de Laïta ont cessé le travail depuis vendredi.

 

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Ploudaniel.-Even-une-operation-escargot-est-en-cours_40771-1994530-pere-redac--29019-abd_filDMA.Htm

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29 septembre 2011 4 29 /09 /septembre /2011 11:28
politique mercredi 28 septembre 2011

Rien ne va plus au sein de la majorité du conseil municipal de Guipavas présidé par le socialiste Alain Quéffelec. Ce soir, à 20 h, à l’occasion de la réunion du conseil municipal, sept élus, dont trois adjoints, vont annoncer qu’ils quittent cette majorité. Les adjoints vont remettre leur délégation.

 

Il s’agit de Jean-Claude Le Pouleuf, adjoint en charge du personnel, de Gurvan Moal, en charge des affaires scolaires et à la jeunesse, de Sylvie Nédelec, adjointe à la culture. Les quatre autres conseillers municipaux sont Mona Guyonvarc’h, Nadine Grimal, Christian Marzin et Joëlle Calvarin. Les démissionnaires liront un communiqué lors du conseil pour expliquer leurs raisons. Cette scission ne remet pas en cause la majorité de gauche qui, jusqu’à présent, disposait de 25 élus contre 8 à droite.

 

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Guipavas-sept-elus-quittent-la-majorite-municipale_40779-1994292------29019-aud_actu.Htm

 

Commentaire:

 

Ce n'est pas notre faute! Voici une bonne occasion d'expliquer notre position sur les municipales, qui est originale face à toutes les autres composantes de la gauche du PCF et même de Lutte Ouvrière! Elle est qualifiée de "sectaire". Jugez-vous même!

 

Nous préférons être élus directement, clairement et donc dépasser les 10%!   Et si une liste d'unité s'avère possible au deuxième tour, nous refuserons de faire partie de l'éxécutif, de la discipline de vote d'une majorité dominée par le PS. S'il n'avait pas 50% des conseillers municipaux,  cela se discuterait. Mais jusqu'à présent c'est l'hégémonie absolue.

 

Donc avoir des postes d'adjoints est exclu. Nous revendiquons la liberté de ne pas voter: la privatisation des cantines scolaires, la délégation de service public de l'eau à des multinationales, la subventions à Endemol pour Miss France ou pour une université privée etc

 

Et nous avons obtenu cette indépendance une fois! A Clermond-Ferrand où la majorité se jouait à quelques %.  Nous ne lâchons rien là-desus;

 

Donc avec nous pas de scission à mi-mandat!

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29 septembre 2011 4 29 /09 /septembre /2011 11:23


Social  mercredi 28 septembre 2011

 

Le conflit se poursuit au Crédit mutuel-Arkéa où les grévistes ont envahi la salle du conseil d’administration, ce matin. L’occasion pour eux de rappeler leurs revendications, essentiellement salariales. En assemblée générale, il y a quelques minutes, ils ont décidé d’occuper le siège social situé au Relecq-Kerhuon.

 

http://www.ouest-france.fr/region/bretagne_detail_-Greve-au-Credit-mutuel-Arkea-l-occupation-du-siege-votee_40779-1994305_actu.Htm

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29 septembre 2011 4 29 /09 /septembre /2011 09:47
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Voici un texte qui nous est parvenu d' un militant des Alternatifs:

 

Présenté comme devant être un faire valoir de l’élégance à la française, l'élection de Miss France s’inscrit dans le registre de ces gauloiseries réactionnaires et bétifiantes qu’on souhaiterait voir disparaître.

 

Refusons une fois pour toute cette célébration d'une société sexiste imposée par le patriarcat. Comment cautionner une telle manifestation rétrograde dont l'accès est axé sur des critères physiques et de genre discriminatoires.

 

Comment continuer à accepter cette imposition d'une image idéalisée du corps la femme sans avoir à l'esprit les dégâts que ce type de concours engendre chez certaines adolescentes. Dégâts dont l’anorexie s’affiche comme un véritable fléau contemporain.

 

Loin d'être un conte de fée, la destinée de la "princesse" à durée déterminée se résume dans les faits à la course au contrat pour que son employeur assouvisse son appétit mercantile.

 

Ni plus ni moins. Difficile d'apprécier le glamour et le bon goût "à la française" tant célébré dans les gazettes dans la tournée de la "miss" dans les centres commerciaux de France et de Navarre entre une inauguration de foire agricole ou un lancement de produit. Quand la cupidité malsaine de la société Miss France en arrive à contraindre la lauréate à s'improviser consultante en "image et esthétique" auprès de femmes en recherche d'emploi. Déplorable !

 

S'appuyant sur l'argument de la promotion du rassemblement quadriennal des marchands du temple sur les quais de Brest en juillet 2012, en sortant le tapis rouge et le carnet de chèque pour accueillir l'élection de Miss France, la communauté urbaine Brest Métropole Océane s'offre là à coup de milliers d'euros le parangon de la médiocrité télévisuelle et du mauvais goût sexiste. A vouloir se mousser sur l’argument de l’exploitation de l’image de la “femme objet”, pas sûr que l’image de la ville de Brest et de son agglomération s’en trouve réellement valorisée.

 

A plus de 200 000 euros l'impasse médiatique, les élus communautaires auraient été bien inspirés à jouer la carte de l'abstinence. Que des élus soutiennent l'organisation de ce show télévisuel se résumant à la vente d'espaces publicitaires et à la consommation de numéros de téléphone surtaxés s'avère là encore plus que questionnant. Quel crédit allouer dès lors aux membres d'une collectivité qui s'associent à ce gavage de "temps de cerveau disponible"contribuant à atténuer le sens critique des citoyens.

 

http://chris-perrot.hautetfort.com/archive/2011/09/27/a-propos-de-l-organisation-de-l-election-de-miss-france-a-br.html

 

Commentaire:

 

C'est la crise pour tout le monde, à Brest comme pour Endémol qui mérite donc un petit chèque!

Honneur aux Europe Ecologie-Les Verts qui ont voté contre et Gloire & Beauté à nos partenaire de la "gauche de gauche" qui ont voté pour! 

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29 septembre 2011 4 29 /09 /septembre /2011 09:20

affiche rennes2011

 

 

Manifestation STOP-NUCLEAIRE à Rennes


Départ en car de la gare routière de Brest à 9h / retour vers 21h


Arrêts possibles à Landerneau et Morlaix


prix 15 € (possibilité tarif réduit pour petits budgets)


inscriptions au 06 18 85 13 16

ou par mail à : bucher.christian@free.fr


(merci de donner vos coordonnées et un N° de tél)


Consultez la page Internet de la "Coordination Antinucléaire Ouest"

Les autres départ groupés:


http://sdn-rennes.org/index.php/departs-groupes 


Attention notez bien le changement de lieu :

Mail Miterrand ( près Place de Bretagne)

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Contactez le NPA du Finistère

 

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vendredi 19 avril

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  Concert à Lannion

 

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Dimanche 28 avril

Brennilis

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Mardi 7 mai

 Yves-Marie Le Lay,

Président de

Sauvegarde du Trégor

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Librairie l'Ivraie à 20h00

 

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