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10 novembre 2010 3 10 /11 /novembre /2010 10:38

10 novembre 2010 - Le Télégramme


Pôle emploi a été à nouveau secoué hier par une grève, la plus forte depuis la fusion ANPE-Assedic il y a deux ans. Les salariés dénoncent les suppressions d'emploi et les conditions de travail.

 

Selon la direction, la grève lancée à l'appel de l'ensemble des syndicats de Pôle emploi, a été suivie à 36,26 %. Le Snu-FSU, premier syndicat, évoque de son côté 47% de grévistes. De fait, près de la moitié des sites (400 sur un millier) étaient fermés hier. A Paris, la manifestation nationale a rassemblé entre 1.300 et 2.500 personnes.

En Bretagne, le mouvement a été particulièrement bien suivi. Le taux de grévistes s'élève en effet à 47,6 % sur environ 2.000 agents. 23 agences sur les 42 que comptent les quatre départements étaient fermées. Vent debout contre «des conditions de travail détèriorées» et des «charges de travail qui explosent», les syndicats ont dénoncé comme une véritable agression à l'égard des salariés, une «ultime provocation», l'annonce, la semaine dernière, de 1.800 suppressions de postes d'ici fin 2011.

Né fin 2008 de la fusion de l'ANPE et des Assedic, l'établissement public, chargé des demandeurs d'emploi, a déjà connu d'autres mouvements de grève : le 8 juin, entre 19 % et 25 % des salariés avaient cessé le travail protestant également contre les conditions de travail. Le 20 octobre 2009, ils étaient entre 34,5% et 40 %.

Charpy prêt à discuter

Le directeur général de Pôle emploi, Christian Charpy, qui a reçu une délégation des organisations syndicales en début d'après-midi, a affirmé qu'il était prêt à des discussions sur les conditions de travail. Mais, a-t-il dit, «je ne peux pas répondre favorablement» à leur demande sur les effectifs, une décision qui «relève du gouvernement et du parlement», les suppressions de postes de l'opérateur public étant inscrites au budget 2011. De son côté, le secrétaire d'Etat à l'Emploi, Laurent Wauquiez, a promis que les salariés auraient en 2011 «les moyens dont ils ont besoin».

«Économies d'échelle»

Les syndicats dénoncent «la désorganisation liée à la fusion» des Assedic, organisme indemnisant les chômeurs, et de l'ANPE, celui chargé de les aider à retrouver un emploi. «Des économies d'échelle au détriment du service rendu», déplore FO pour qui «le suivi mensuel personnalisé des demandeurs n'existe plus».

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29 août 2010 7 29 /08 /août /2010 10:55

Communiqué: mardi 24 août 2010


Nous, membres de la Coordination des collectifs de chômeurs et précaires de Bretagne, venant de Lorient, Quimper, et Rennes, avons aujourd'hui distribué des tracts aux Pôle emploi de Rennes, pour appeler les salariés précaires et privés d'emploi à se mobiliser contre la désastreuse politique de Sarkozy en terme d'emploi, et de son "traitement du chômage" désespérant.
Nous avons entre autres diffusé les numéros de téléphone portable des directeurs d'agence des Pôle emploi de Bretagne pour faire pression sur la direction, et demander le rétablissement des standards dans les agences Pôle emploi. 
Pour accéder aux numéros des agences,  

http://cgtchomeursrebelles56.blogspot.com/

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14 août 2010 6 14 /08 /août /2010 16:19

 

Sarkozy, ses amis riches, l'extrême droite,

essayent de détourner l'attention sur l'Islam, la burqa, les Roms, les jeunes pour cacher les cadeaux, l'accaparement des richesses par les  financiers, la bourgeoisie et les banquiers

pour les plus pauvres, c'est terrifiant

pour le reste de la population c'est également une dégradation brutale des conditions de vie, de travail, des salaires, de liberté

Chômage

mensonge d'état

(ce n'était qu'en 2008 !)

teaser restructuration

harcellement

teaser restructuration

 

LACI j’me reveillais - chomage et invalidité suisse
Enregistré dans : culture, International, crise economique, Misere, precaires, chomeurs — 14 août, 2010 @ 1:00

LACI j'me reveillais

chomage et invalidité suisse

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28 juillet 2010 3 28 /07 /juillet /2010 10:02

pole-emploi869.jpg

Une loi qui démantèle le service public de placement des demandeurs d’emploi vient d’être définitivement adoptée par le Parlement.
Le 12 juillet, les sénateurs ont adopté définitivement une mesure mettant en place la libéralisation totale du placement des demandeurs d’emploi. Au détour d’une loi sur les chambres de commerce et des métiers, le gouvernement a réussi à démanteler encore un peu plus la protection des chômeurs. Pour Sylvette Uzan-Chomat (SNU-Pôle emploi), « il s’agit d’un véritable retour au xixe siècle. En 1904, une loi avait limité le champ des activités que l’on pouvait simultanément exercer, interdisant par exemple de cumuler débits de boisson, restauration, hébergement et placement. À cette époque d’exode rural, il n’était pas rare que les chômeurs soient logés par les placeurs, ce qui donnait lieu à leur sur-exploitation. Et lorsqu’on regarde les motivations du texte, qui sont d’améliorer la mobilité des travailleurs en Europe, on peut craindre que le placement ait pour condition de loger dans telle ou telle chaîne d’hôtel ». Car, avec ce texte, il n’y a plus aucune limite. En 2005, une loi avait déjà entamé le monopole de l’ANPE (à l’époque) sur le placement des chômeurs en autorisant les agences d’intérim à proposer des CDI. Mais ce premier texte faisait la distinction entre service public de l’emploi et secteur privé. En outre, il ne pouvait s’agir d’une activité lucrative. Et si les cabinets de conseil en recrutement et certaines officines pouvaient se livrer à ce type d’activité, c’était bien à condition qu’il s’agisse de leur activité principale. Plus rien de tout cela dans la nouvelle loi. « Dorénavant, n’importe qui pourra faire du placement de demandeurs d’emploi », explique Sylvette Uzan-Chomat. Et le texte prévoit même que cela pourra être une activité lucrative. La rapporteure de la loi à l’Assemblée nationale, Catherine Vautrin, maîtresse en novlangue, écrit : « Le texte du projet de loi enrichie (sic) cette définition en prévoyant que cette activité peut être exercée à titre lucratif ». À défaut d’enrichir la définition d’activité de placement, on peut être sûrs que les officines qui profiteront de la loi verront leurs profits augmenter considérablement. Pire, les déclarations préalables obligatoires pour l’exercice de placement sont supprimées et par conséquent, le contrôle que pouvait exercer à cette occasion l’inspection du travail, n’existe plus non plus.
La motivation du texte est, comme souvent, l’application en France de directives européennes, en l’occurrence la fameuse directive Bolkestein sur la libéralisation des services que la population avait majoritairement refusée et qui est revenue par la fenêtre. Mais là encore, le gouvernement se moque ouvertement de nous. Il se trouve que justement le placement des chômeurs (comme la santé ou les jeux de hasard) faisaient partie des exceptions qui ne tombaient pas sous le coup de la directive. Le pouvoir va beaucoup plus loin, il ne connaît aucune limite pour contenter les capitalistes.
En attendant, les salariés de Pôle emploi viennent d’apprendre de leur ministre de tutelle, Laurent Wauquiez, que leurs effectifs seront réduits de 1, 5 % par an, à compter de 2011, puisque le non-renouvellement d’un départ à la retraite sur deux leur sera appliqué. Sans compter qu’à la fin de l’année, un millier de CDD embauchés pour faire face au surcroît de travail arriveront à échéance, sans espoir de titularisation.
Pendant ce temps-là, la BCE annonce que le chômage qui est passé dans la zone euro, de 7, 8 % en mars 2008 à 10 % en mai 2010 « devrait rester élevé ».
Décidément, les années 2010 ressemblent de plus en plus aux années 1930...
Dominique Angelini

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18 juin 2010 5 18 /06 /juin /2010 10:08

Saint-Brieuc (22).

17 juin 2010 à 18h27 -Le Télégramme


Que sont devenus les anciens salariés de Chaffoteaux ? Un an après l'annonce du plan social qui a coûté leur emploi à plus de 200 personnes et six mois après les licenciements, leur situation est loin d'être rose.


Sur les 206 salariés licenciés, seuls trois ont retrouvé un contrat à durée indéterminée. Une dizaine ont un emploi précaire entre CDD et  missions d'intérimaire. Enfin une trentaine d'autres suivent actuellement une formation longue en vue d'une réorientation professionnelle. Comme s'y attendaient les représentants syndicaux, la cellule de reclassement, qui fonctionnera jusqu'à la fin de l'année et à laquelle ont adhéré plus de 180 salariés, n'a pas fait de miracle.

"On savait que ce serait difficile"
 


« Le contexte économique n'était pas bon il y a un an et il ne s'est pas amélioré. On savait bien que ce serait difficile. Aujourd'hui, quasiment  personne n'a retrouvé un emploi stable », explique Martial Collet, représentant de Force Ouvrière.

Les retrouvailles... un an après
 


Demain, un an jour pour jour après l'annonce du plan social, les anciens salariés de Chaffoteaux se retrouveront à La Méaugon. Au programme : jeux et randonnée l'après-midi puis repas et animation musicale le soir. Vu le contexte, l'heure ne sera pas tellement à la fête mais plus aux retrouvailles et aux discussions.


 L'année galère de Martine

18 juin 2010 - Le Télégramme

Martine Pignard fait partie des 206 licenciés de Chaffoteaux. Après 30 ans dans l'entreprise, elle s'est retrouvée sans emploi du jour au lendemain. Elle est désormais en CDD dans une maison de retraite. Sans aucune certitude sur son avenir.

 

«Le bilan, c'est quand même un an de galère. Et la galère continue...» Une année est passée depuis l'annonce du plan social qui lui a coûté son emploi et Martine Pignard est toujours dans une situation précaire. Comme beaucoup de ses anciens collègues de Chaffoteaux , elle n'a pas retrouvé de travail stable. Martine était entrée chez Chaffoteaux en août 1979.

 

Du temps où on ne demandait ni CV, ni lettre de motivation. Comme son père, elle y aura passé 30 années en tant qu'ouvrière. Jusqu'à l'annonce du plan social le 18 uin 2009 et surtout la lettre de licenciement reçue juste avant Noël. «Du jour au lendemain, on n'a plus de métier, plus de raison de se lever le matin. On tourne en rond. C'est complètement déstabilisant», confie-t-elle. Dans un premier temps, l'ancienne ouvrière refuse de participer à la cellule de reclassement.

 

Puis change d'avis. Là voilà avec ses anciens collègues en train d'apprendre à rédiger un CV, une lettre de motivation. Martine choisit le domaine du social et réalise une enquête professionnelle. Six mois après son licenciement, elle est prête à faire un stage. «Je suis allée à la maison de retraite de La Méaugon pour demander à faire un stage d'observation. Ils avaient plusieurs personnes en arrêt de travail et on m'a demandé si j'étais d'accord de commencer dès le lendemain», raconte Martine. Le stage se transforme en contrat d'un mois. Martine devient agent des services hospitaliers. ASH comme on dit dans le milieu. «J'aime ce métier car je me sens utile. J'ai envie de continuer mais en juillet, c'est fini. Après, je ne sais pas...»

«Chaffoteaux n'aurait jamais dû mourir»


À 48 ans et sans formation dans le domaine, Martine avoue «ne pas se faire d'illusions». Elle sait sa situation précaire. «On est dans un gros brouillard très épais et on avance à tâtons. Cette incertitude de l'emploi est très difficile à vivre». Un sentiment que la jeune grand-mère va pouvoir partager ce soir avec ses anciens collègues. Tous ont rendez-vous à La Méaugon.

 

Exactement un an après l'annonce du plan social. Martine, devenue trésorière de l'association des anciens de Chaffoteaux, attend ce moment avec impatience. «Ce combat que nous avons mené pendant des mois tous ensemble a créé des liens très forts entre nous. Cette soirée va nous permettre de nous revoir et de discuter. Mais on n'a pas envie de faire la fête parce que pour beaucoup c'est 30 ans de notre vie foutus en l'air. Chaffoteaux n'aurait jamais dû mourir».

  • Dominique Morvan
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18 juin 2010 5 18 /06 /juin /2010 08:57


Une trentaine de personnes occupent 
le Pôle emploi de la ville pour se faire entendre.

Pôle emploi, récemment pris à partie par ses conseillers qui ne supportent plus leurs conditions de travail, est l’objet de contestations qui s’élèvent cette fois-ci de l’autre côté du guichet.

 

Les chômeurs se mobilisent à leur tour pour dénoncer cette institution qui malmène leurs droits et dont la mission a changé de visage. Lundi, une trentaine de membres de la Coordination des collectifs des chômeurs et précaires de Bretagne ont investi les locaux de Pôle emploi à Carhaix, dans le Finistère.

 

La solidarité entre chômeurs et conseillers s’est concrétisée à travers l’organisation d’une assemblée générale à laquelle tous ont participé. À l’issue de celle-ci, une liste de revendications communes a été dressée  : la fin du suivi mensuel obligatoire, l’arrêt du « flicage » des papiers d’identité des demandeurs d’emploi, le recrutement d’agents supplémentaires pour améliorer le service ainsi que la titularisation des conseillers employés en CDD…


La communication avec la direction de Pôle emploi a été en revanche beaucoup plus difficile, le siège régional ayant refusé d’entamer de véritables négociations. Vers 22 heures, les occupants ont été délogés par les forces de l’ordre « comme des malpropres, et pas forcément dans la douceur », comme en témoigne une chômeuse ayant pris part au mouvement. Armés de persévérance, les demandeurs d’emploi ont repris l’occupation dès le lendemain, mardi 15 juin.

 

La détermination a fini par payer  : avant d’être à nouveau chassés par la police, les manifestants ont obtenu la promesse d’une rencontre avec la direction régionale qui se déroulera à Brest, le 22 juin 2010.


Cette occupation s’inscrit dans le cadre de l’appel du 3 mai pour une « grève des chômeurs » qui vise à promouvoir les revendications des demandeurs d’emploi par des actions directes.


Viviane Clermont

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16 juin 2010 3 16 /06 /juin /2010 11:39
mercredi 16 juin 2010 Ouest France
L'occupation des locaux de l'antenne Pôle emploi de Carhaix par une trentaine de « chômeurs en grève » organisé en coordination régionale, a pris fin mardi en début d'après-midi. Après avoir passé la nuit sur la ville, ils étaient encore une trentaine, mardi matin, à demander à être reçue en délégation par Dominique Poulaille, directeur territorial de Pôle emploi Finistère.

Après plusieurs heures d'échange et de tractations parfois tendues, devant l'intervention de la gendarmerie, les chômeurs ont finalement évacué les lieux sans difficulté.

 

Ils étaient venus défendre de nombreuses revendications, dont l'absence radiations durant leurs précédentes journées de « grève du 3 au 7 mai dernier, la suppression du serveur téléphonique 39 49 ainsi qu'une « une journée blanche dans toutes les agences Pôle emploi permettant une rencontre avec les conseillers et l'annulation des radiations ayant eu lieu durant le mouvement qui a commencé en mai. »


De coups de téléphones en tractations, les manifestants ont finalement obtenu et accepté le principe de rencontrer Nadine Crinier, directrice régionale de Pôle emploi Bretagne, le 22 juin prochain au cours d'un premier comité de liaison qui réunira également les syndicats et les associations de chômeurs.

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9 juin 2010 3 09 /06 /juin /2010 09:34

 

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9 juin 2010 3 09 /06 /juin /2010 09:32

8 juin 2010 à 14h27 -Le Télégramme


A peine ouvert, le nouveau Kentucky Fried Chicken (KFC) de Lorient (56) a vu débarquer un groupe de chômeurs de la CGT protestant contre les recrutements de salariés en contrat à durée déterminée.


 

"Vous êtes hors code du Travail. Vous apportez la misère et la précarité ! " ont expliqué les militants au responsable de l'enseigne de restauration rapide.

"C'est faux. Nous avons 75 % de salariés en contrat à durée indéterminée. Ceux qui sont en CDD le restent un ou deux mois pour le surcroît d'activité lié à l'ouverture", leur a répondu Sébastien Cocaign', le directeur du restaurant.

Autre point de désaccord : les horaires de travail.

 

La CGT reproche à KFC d'embaucher pour des contrats de 15 à 20 heures. Réponse de la direction : "Nous embauchons des salariés en dessous de 20 heures, seulement si la personne nous en fait la demande par écrit. Et ça intéresse les étudiants qui travaillent chez nous."


Des arguments qui n'ont pas convaincu la CGT. Le syndicat a distribué des tracts contre la précarité à tous les clients sur l'heure de midi. "Nous n'avons rien contre KFC. Ce sont les contrats que nous critiquons. On ne peut pas vivre avec 20 heures par semaine et on ne risque pas d'avoir une retraite un jour ! "

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14 mai 2010 5 14 /05 /mai /2010 09:01


 En Bretagne, nous avons recensé des dizaines d’officines locales, sous-traitantes de Pôle Emploi qui sont chargées de «suivre» certains «demandeurs d’emploi» de longue durée : De l’activisme sans obligation de résultats !

 

 

 


Pour 6 mois de «suivi» ces boites perçoivent 1995 € par personne — pardon, par «livrable», puisque tel est le vocabulaire officiel de leurs échanges avec Pôle Emploi !


Ces «spécialistes» de la recherche/placement ne prennent pas de gants. Dès le début des «Trajectoires» (3 mois, 6 mois, 8 mois) il faut que le chômeur signe un «contrat» impossible :


— Entretiens fréquents avec un «conseiller» qui contrôle l’activité frénétique de réécriture des CV et autres lettres de motivation, les recherches «autonomes» tous azimuts, etc. L’important étant de brasser des informations, de produire des données, d’écrire n’importe où chaque jour en laissant de côté les contraintes de la personne (enfants, véhicule, logement, santé…).
— Ce «conseiller» est là pour exercer une pression permanente par courriel, SMS, téléphone pour maintenir chacun dans un activisme sans autre objectif que de prouver au commanditaire Pôle Emploi qu’on a fait bouger le chômeur «inerte».
— Par ailleurs le «conseiller» est explicite : Il est là pour rendre compte à Pôle Emploi des faits et gestes des «demandeurs d’emploi» … et livre même un bilan caractérologique sur la personne «suivie» !

De la sorte, Pôle Emploi est averti immédiatement par la liaison informatique «DUDE» des cas d’absence, de refus d’activités, d’opposition au «conseiller».


Très clairement ces coatches font le sale travail de ségrégation, de flicage, de dénonciation des chômeurs et précaires, sur directives de Pôle Emploi.

Il s’agit, au nom d’un hypothétique et improbable retour à l’emploi sous CDI, d’écarter les chômeurs de longue durée et/ou en fin de droits par des pratiques de harcèlement technique (plus d’emploi du temps personnel !) et moral (menaces explicites de radiation, manipulations mentales délibérées).

 

C’est pourquoi nous pensons qu’il est prioritaire de neutraliser ces exploiteurs et leurs directions (Il y a même des GRETA publics dans le lot !) Et de dénoncer haut et fort leurs dispositifs juteux de liquidation des personnes légitimement aidées.

À bas Pôle Emploi / Big Brother et ses sbires
qui s’engraissent sur la misère à étouffer !

Coordination bretonne :
AC 35 Rennes, MCPL Rennes, CBECIS Brest, AC Quimper, APEIS Finistère, MNCP Morlaix, collectif Lannion, AC Trégor, SEMSIS Trégor, AC Saint Brieuc, MNCP Vannes.
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vendredi 19 avril

8 h 45


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  Concert à Lannion

 

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Dimanche 28 avril

Brennilis

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Mardi 7 mai

 Yves-Marie Le Lay,

Président de

Sauvegarde du Trégor

  Douarnenez

Librairie l'Ivraie à 20h00

 

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