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3 septembre 2010 5 03 /09 /septembre /2010 09:44

 

3 septembre 2010 - Le Télégramme


«C'est une rentrée exceptionnelle». Les responsables nationaux Snes-FSU, le principal syndicat enseignant des collèges et lycées, l'avaient affirmé en appelant les professeurs de collèges et lycées à faire grève lundi pour protester contre la dégradation des conditions de travail et la poursuite des suppressions de postes.

 

Les responsables morbihannais l'ont répété hier, en appelant également à la grève le lendemain, lors de la journée interprofessionnelle pour les retraites. Forts d'entretiens avec de nombreux collègues représentant une douzaine d'établissements morbihannais, ces derniers ont une nouvelle fois dénoncé un «système éducatif qui se met en grande difficulté».

 

Sans surprise, ce sont les deux grandes orientations de la rentrée qui les font bondir. D'abord les professeurs stagiaires affectés à temps complet depuis hier sans leur année de formation et sans conseillers pédagogiques. Selon le syndicat, ils seraient 52 dans le Morbihan, dont sept répartis sur deux établissements.

 

«C'est du bricolage, les professeurs n'ont été sollicités pour les conseiller que cette semaine, assure Bruno Demy, le secrétaire départemental. Et ils refusent car ils ne veulent pas être conseillers dans ces conditions. Cela va être un carton pour ces stagiaires qui, après la Toussaint, passeront à 18 heures de cours. Ce n'est pas acceptable».

 

Autre cheval de bataille du syndicat, les réformes annoncées dans les lycées. «L'individualisation, d'accord mais il n'y a aucuns moyens humains supplémentaires. Cela dépend du bénévolat et du bon vouloir des enseignants, tonne Philippe Leaustic. Les classes sont à 30-35 et les dotations ne permettent pas de faire autre chose. Il y a beaucoup d'affichages pour cacher les suppressions de postes».

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2 septembre 2010 4 02 /09 /septembre /2010 12:53
Communiqué du NPA.

Avec 50 000 postes de personnels de l'éducation nationale supprimés depuis 2007, N. Sarkozy, et ses différents ministres de l'éducation nationale, peuvent postuler au titre de massacreurs en chef de l'éducation nationale.

La rentrée 2010 ne déroge pas à la règle que Sarkozy s'est fixé : 16 000 suppressions de postes, toujours moins d'enseignants titulaires, ouvrant ainsi la porte à la disparition des titulaires remplaçants, à une scolarisation dans de mauvaises conditions des enfants en situation de handicap, à l'inflation des heures supplémentaires, à l'emploi précaire pour boucher les trous, aux boites privées et autres officines qui prospèrent sur la destruction du service public d'éducation.


L'argument démographique, utilisé un temps pour justifier ces suppressions, ne tient plus puisque la courbe des jeunes scolarisés remonte, que ce soit dans le primaire ou le secondaire.


Prétendre que l'éducation ce n'est pas une question de moyens est un mensonge. La transmission de savoirs, qui est l'objet de l'acte éducatif, n'est rien sans la possibilité d'établir une relation positive avec une classe, sans la capacité de gérer et résoudre des conflits individuels ou collectifs.

C'est pourquoi, le massacre organisé de la formation des enseignants va faire courir des risques majeurs aux jeunes enseignants.


Se retrouver devant élèves sans aucune prépation pédagogique en amont, comme c'était antérieurement le cas avec les IUFM, c'est mépriser aussi bien le métier d'enseignant que les élèves.


Toutes ces soi-disantes réformes n'ont pour but que de faire des économies, comme le montre la baisse constante, année après année, de la part du PIB consacrée à l'éducation.


Amputer de 25% la formation qui prépare au Bac professionnel est tout-à-fait significatif de cette politique.


Le NPA est totalement solidaire des mobilisations annoncées en cette rentrée scolaire. Dès maintenant, il faut construire le rapport de force pour faire reculer le gouvernement.


Une éducation, une formation de qualité pour toutes et tous c'est possible avec un autre partage des richesses.

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2 septembre 2010 4 02 /09 /septembre /2010 11:50

2 septembre 2010 - Le Télégramme

 

Si l'inspection académique se défend de tout changement, la classe d'accueil des enfants des gens du voyage a bien été supprimée à l'école Émile-Cloarec, à Ploujean. Une décision qui ne fait pas l'unanimité.

«On est surpris de voir l'inspection académique modifier quelque chose qui marchait bien.» Coprésident de l'Association des parents d'élèves d'Émile-Cloarec, Jean-Jacques Boulanger résume clairement le sentiment qui prédomine du côté de l'école publique de Ploujean. En juin dernier, enseignants et parents ont appris que la classe spécifique dédiée aux enfants des gens du voyage allait être dissoute à la rentrée 2010-2011. «L'inspectrice nous a dit qu'en l'état, le fonctionnement de l'école était satisfaisant, mais que cette classe créait une ségrégation. Et que, de ce fait, l'organisation allait changer. Pour nous, la suppression de cette classe est un recul», indique Jean-Jacques Boulanger.

«Des poussins avec des cadets»

Depuis 1993, l'établissement situé à Ploujean bénéficiait d'une classe spécifique pour les non-sédentaires, qui étaient une quinzaine en moyenne à la fréquenter. Elle regroupait les enfants de plus de six ans qui ne savaient pas lire, mais tous étaient intégrés aux autres élèves dans les matières autres que le français et les maths. Désormais, ils seront tous répartis dans les classes correspondant à leur tranche d'âge. «Confronter des enfants des gens du voyage qui ne savent pas lire à d'autres dont le niveau sera bien supérieur va créer une ségrégation bien plus importante», estime le président des parents d'élèves, qui ajoute: «Ça va être bien plus difficile à gérer. C'est comme si, en football, vous mettiez des poussins avec des cadets. Comment voulez-vous faire un entraînement de qualité dans ces conditions?»

«On part dans l'inconnu»

Dans cette histoire, le poste de l'enseignante chargée jusque-là de cette classe spécifique a, lui, été maintenu. Il sera occupé à la rentrée par Florence Ogès, qui remplace Delphine Dupont, actuellement en congés de maternité. Elle aura pour mission d'intervenir dans les différentes classes afin d'apporter de l'aide aux enseignantes. «Elle sera indispensable», déclare l'équipe éducative de l'école, qui a harmonisé tous les emplois du temps afin que les maths et le français soient dispensés le matin. «On part dans l'inconnu. On va essayer, mais on ne sait pas trop où on va», souligne la directrice, Myriam Guillorel.

Une décision qui en cache une autre?

«Nous craignons que les conditions d'enseignement soient plus difficileset que le nombre d'enfants diminue à l'école», regrette Jean-Jacques Boulanger, qui voit «des raisons budgétaires» dans cette évolution. «Cette classe était illégale, certes. Mais elle l'était depuis bien longtemps. Alors, pourquoi cette année?», se demande le parent d'élève, pour qui cette décision en cache une autre: «La suppression du poste de l'enseignant référent d'ici un an». Avant de conclure: «Il y a pourtant autre chose à faire dans l'Éducation nationale que de toucher à ce qui fonctionne bien».

  • Ronan Tanguy

L'inspectrice : «Il n'y a aucun changement»

2 septembre 2010 - Le Télégramme


 

La classe des enfants des gens du voyage a-t-elle été dissoute? À cette question qui lui a été posée hier midi, Sylvie Le Guennec a répondu avec insistance que l'école Émile-Cloarec «dispose encore d'un poste référent spécialement dédié aux enfants de non-sédentaires».


«L'enseignante sera chargée de faciliter leur intégration», a poursuivi l'inspectrice de l'Éducation nationale pour la circonscription de Morlaix. Avant de conclure par ces mots: «On est sur le même mode de fonctionnement que l'an passé. Les enfants sont intégrés dans les classes. Il n'y a aucun changement».

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    2 septembre 2010 4 02 /09 /septembre /2010 11:42

    2 septembre 2010  Le Télégramme


    Les parents d'élèves de l'école maternelle de Servel, à Lannion, ont manifesté ce matin, à l'heure de la rentrée scolaire, contre une fermeture de classe.

     

    L'école est réduite de cinq à quatre classes, avec un effectif annoncé de 125 élèves. Non loin de là, à Trébeurden, les effectifs de l'école élémentaires s'annoncent aussi très chargés, après plus de 30 nouvelles inscriptions enregistrées.

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    1 septembre 2010 3 01 /09 /septembre /2010 12:10

    1er septembre 2010 - Le Télégramme


    À la veille de la rentrée, le FSU, un des syndicats de l'enseignement, est fréquemment sollicité par des professeurs de collèges et lycées des Côtes-d'Armor, notamment depuis l'annonce des affectations des enseignants stagiaires, jeudi 26 août.

     

    À l'IUFM de Saint-Brieuc, hier matin, Brigitte Jacob, co-secrétaire de la FSU 22 a senti «l'inquiétude» chez les nouveaux professeurs. Certains stagiaires ignorent concrètement le nombre d'heures qu'ils auront à faire.

     

    Trois professeurs remplaçants costarmoricains ont appris que le poste qu'ils pensaient occuper toute l'année était attribué, le 26 août, à un stagiaire. Pas idéal pour préparer ses cours. Avec les nouveaux programmes en seconde ou encore la mise en place de l'accompagnement personnalisé, les questions sont nombreuses.

     

    «On gère la détresse des gens mais elle a déjà l'air formidable cette rentrée!», formule Brigitte Jacob qui assure n'avoir jamais vu une situation si chaotique. Le FSU appelle à la grève lundi 6 septembre et à un rassemblement des professeurs costarmoricains le même jour, à 10h30, devant l'inspection académique de Saint-Brieuc, pour faire un premier état des lieux.

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    1 septembre 2010 3 01 /09 /septembre /2010 11:46

    1er septembre 2010 - Le Télégramme

    Suite de notre série consacrée à la rentrée scolaire. Aujourd'hui, gros plan sur l'école maternelle et l'épineuse question de la scolarisation dès deux ans.

    En cette rentrée, 34% des enfants bretons entre deux et trois ans fréquenteront les bancs de l'école maternelle. C'est quasiment cinq points de moins que l'an dernier. Et à la rentrée 2011, ils ne seront plus que 31%. La baisse de la scolarisation des enfants de deux ans se poursuit donc, inexorablement. La Bretagne, qui avait le taux de scolarisation à deux ans le plus élevé de France, perd sa spécificité. En trois-quatre ans, il a été divisé presque par deux.

    Aucun interlocuteur

    «C'est une volonté d'exclure les enfants de deux ans de l'école, une volonté qui va contre l'attente des familles et des collectivités territoriales», assure Jacques Brillet, secrétaire général adjoint du SNUipp-FSU et membre du collectif Maternelles en danger. Malgré une pétition signée par 20.000 familles et les délibérations de 660 conseils municipaux, rien ne semble, en effet, devoir arrêter cette tendance.

     

    «Nous n'avons aucun interlocuteur, ni le recteur, ni les préfets, ni le ministre ne veulent nous recevoir», déplore JacquesBrillet. Le recteur de l'académie de Rennes, Alain Miossec, ne fait pas mystère de cet objectif de réduire sensiblement la scolarisation des enfants de deux ans. «Pour des raisons budgétaires et pédagogiques, nous ne pouvons plus accueillir tous les enfants de deux ans», déclarait-il lors de la rentrée dernière, dans nos colonnes. L'ancien ministre de l'Éducation, Xavier Darcos, s'était, lui, placé sur un autre terrain estimant que le rôle des enseignants n'était pas de «changer les couches». Forcément, les enseignants y ont vu un mauvais procès et du mépris. Et, surtout, une manière simpliste de mettre fin au débat sur l'intérêt ou non d'une scolarisation des enfants dès deux ans.

    Principe d'égalité

    Ce débat, le collectif Maternelles en danger entend continuer à le porter. D'autant qu'aucune alternative n'est proposée aux familles. «C'est une question importante. Ce n'est pas par hasard si ce sont les enfants des catégories les plus aisées qui sont les plus scolarisés dès deux ans. Ces familles savent qu'il y a un intérêt».

     

    Un certain nombre de communes ont décidé de faire de la résistance. À Langonnet (56), pas question de refuser un enfant de deux ans s'il est propre. «C'est le maire qui inscrit les enfants. Nous appliquons la loi et accueillons les enfants s'ils ont deux ans révolus. Il s'agit d'un principe d'égalité», explique Anne-Marie Gloaguen, adjointe. Pour l'heure, l'élue reconnaît que la municipalité n'a pas été l'objet de pression de la part de l'Éducation nationale. Mais ce n'est, semble-il, pas le cas partout.

     

    À suivre demain De nouveaux rythmes scolaires à l'essai

    • Yvon Corre

    Note du blog:

     

    Le gouvernement peut remercier les "spécialistes" qui matraquent depuis quelques années que les enfants de 2 ans sont trop petits pour aller en maternelle: "pas assez socialisés". Alors que bien sûr la maternelle est précisément là pour les socialiser, leur faire oublier leur relation "tyrannique" à leur mère, leur faire accepter le partage, la coopération avec d'autres petits "amis" et pas "ennemis".

     

    Deuxio, en Bretagne, il y a un problème de "conflit linguistique". Celui entre le breton et le français est résolu par l'extinction du breton. Gagné! Mais le breton n'a pas complètement disparu. Il reste l'accent et plein de traits spécifiques dans le "français populaire" de Bretagne. Sans compter les petits immigrés qui eux aussi n'entendent pas de français standard à la maison. Or il est évident, quoiqu'on pense des patois, langues et dialectes, que parler autrement que le français standard est discriminant dans une société jacobine comme la nôtre.

     

    Tercio, le besoin d'école et particulièrement de maternelle est tout naturellement  fort en Bretagne, que ce soit en pays "bretonnant" comme en pays "gallo". L'instit est souvent le seul avec la télé, qui ne parle pas si bien que cela, à offrir aux enfants un niveau de langage conforme à ce que la société attend de l'enfant pour s'intégrer "par le haut". (Ceci dit encore sans mépriser le parler populaire ou "relâché").


    Or, les études ont prouvé que l'enfant, pour répéter un bon niveau de langage, doit être dans un petit groupe, sinon ce n'est pas le français de l'instit qu'il réemploie, mais celui de ses copains!  Non seulement il faut des maternelles, mais des petits effectifs, sinon pas de "bon français". Et donc pas d'intégration "valorisante" dans la vie sociale et professionnelle. Ce qui est la cadet des soucis du gouvernement, j'en conviens!

     

     

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    30 août 2010 1 30 /08 /août /2010 12:52

     

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    27 août 2010 5 27 /08 /août /2010 13:24

     predieu

    Le principal syndicat des collèges et des lycées, le SNES-FSU, appelle les enseignants à se mettre en grève dès le lundi 6 septembre pour protester contre les économies que fait le gouvernement sur le dos de l'éducation, économies qui se traduisent par des milliers de suppressions d'emplois d'enseignants.

    Les conséquences de ces économies de postes d'enseignants, mais aussi de conseillers d'éducation, d'infirmières sont catastrophiques pour les élèves : classes surchargées, matières en option supprimées, heures d'enseignement diminuées, remplacements d'enseignants non assurés et ce, même lorsqu'il s'agit d'absences prévues de longue date, comme les congés maternité.

     

    Pour les enseignants et tout le personnel qui contribue à faire fonctionner les établissements scolaires, ces économies sont également lourdes de conséquences car les conditions de travail ne cessent de se dégrader.

    Pour toutes ces raisons, il est souhaitable que cette grève soit un succès et qu'il y ait le plus grand nombre possible de manifestants dans la rue le lundi 6 septembre.

     

    Et le SNES précise qu'il appelle tout le personnel des collèges et lycées à participer à la journée de grève du mardi 7.

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    25 juin 2010 5 25 /06 /juin /2010 10:55

    enfants.jpg Y z'étaient pas plus heureux sans manuels scolaires?

    À la rentrée de septembre, les élèves de seconde commenceront leur année avec un nouveau programme dans toutes les matières. Les programmes scolaires changent en effet périodiquement, pour diverses raisons. Il y a d'abord, et c'est normal, l'intégration des nouvelles découvertes, dans tous les domaines, y compris dans la façon d'enseigner. Mais il y a aussi l'effet des évolutions politiques et sociales et celui des modes pédagogiques. Il y a également, dans une proportion difficile à évaluer, l'intérêt bien compris des éditeurs de manuels scolaires pour lesquels chaque changement de programme est une aubaine.

    La rentrée 2010, pour laquelle il faudra renouveler tous les manuels d'une génération, rapportera autant aux éditeurs qu'elle coûtera aux Régions qui financent les livres scolaires des élèves des lycées, soit 150 à 200 euros par élève de seconde. Les Régions ont d'ailleurs protesté auprès du ministre de l'Éducation nationale en lui faisant remarquer qu'il aurait été plus sage d'étaler le changement de programme sur plusieurs années afin d'en limiter le coût. Ayant déjà établi leurs budgets et subissant une baisse des ressources attribuées par l'État, les administrations régionales se demandent comment financer ces dépenses nouvelles, et on le comprend. Il est vrai cependant qu'aucune, à ce jour, n'a suggéré de réduire les subventions qu'elles versent toutes aux entreprises privées.

    Le ministre Chatel répond donc à une lettre de l'Association des Régions françaises que l'État verse aux familles des primes de rentrée et des bourses... ce qui n'a aucun rapport puisqu'il s'agit des manuels qui sont payés par les Régions et fournis par les lycées. Il ajoute qu'il y a aussi des bourses aux livres d'occasion, ce qui est particulièrement malin s'agissant de livres nouveaux. Et il finit quand même par dire ce qu'il pense : selon lui, « les Régions ne sont pas tenues de financer les manuels scolaires ».

    Ben voyons. D'ailleurs les enfants d'ouvriers ne sont pas tenus d'avoir des livres, ni même, tant qu'on y est, d'aller au lycée !

     

    Note: Là les camarades de Lutte Ouvrière semblent être en dessous du niveau d'indignation acceptable! En effet, un ministre avoue tout simplement qu'il travaille uniquement pour sa classe et les enfants de sa classe (sociale) et qu'il emmerde les pauvres, quand même!

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    25 juin 2010 5 25 /06 /juin /2010 10:17

    25 juin 2010 à 07h58 - Le Télégramme

    Sollicités pour prendre de nouvelles inscriptions pour la rentrée scolaire 2010-2011, plusieurs collèges publics du secteur morlaisien auraient exprimé un refus clair et net.


    C'est du moins ce qu'affirme hier, dans un communiqué, un collectif composé de professeurs du collège du Château (Morlaix) et de Tanguy-Prigent (Saint-Martin-des-Champs), ainsi que de parents d'élèves. L'information qui a mis le feu aux poudres vient du collège du Château.

     

    Les moyens initialement attribués par l'inspection académique dans le cadre de la Dotation globale d'heures (DGH) seraient suspendus, ce qui remettrait en cause l'ouverture annoncée d'une cinquième classe de 3e dans ce collège, et donc, l'inscription de nouveaux élèves.

     

    Au collège du Château, la direction se refuse à tout commentaire. Le collectif de parents et d'enseignants appelle toutes les familles et les professeurs concernés à une mobilisation, à 19h, au collège du Château, ce soir.

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