Être jacobin aujourd’hui n’est pas chose facile.
Une nouvelle association entend aider ces personnes en difficulté et apporter des solutions concrètes. Et parce que la société ne joue pas toujours son rôle protecteur, cette association aidera et accompagnera les personnes les plus jacobines dans la vie. Première association de ce genre en Bretagne, cette association veut redonner leur dignité aux jacobins. Reportage.
Une vie quotidienne difficile
Marion, 23 ans est jacobine depuis plus de cinq ans.
Aujourd’hui, elle a décidée de se prendre en main en franchissant les portes de cette nouvelle association. « C’est très dur à vivre au quotidien, mes proches se sont éloignés de moi » raconte-t-elle très émue. Aujourd’hui le jacobinisme touche de plus en plus d’individus. Ces personnes qui, malgré tout, tentent de s’insérer dans la société et doivent affronter les critiques au quotidien.
« Les médias donnent une très mauvaise image du jacobinisme, nous trouvons des personnes brisées, il faut changer les mentalités » explique le président. « Nous travaillons en plusieurs sessions, de manière libre. On apprend à accepter l’autre, à vivre en adéquation avec son jacobinisme ». Une expérience qui commence tout juste à montrer ses premiers résultats. Des résultats qui ont encouragé l’association à ouvrir sa première permanence et une salle de réunion.
Jean-Luc, 61 ans, est atteint de jacobinisme depuis sa naissance.
Il a entendu parler de cette association par hasard. « Je savais que j’avais un problème, mais mon entourage n’a jamais osé m’en parler en face. Ici je trouve enfin des gens à qui parler et avec qui partager mon jacobinisme. Après plusieurs mois de traitement, Jean-Luc se sent enfin mieux. « Je me sens moins jacobin qu’auparavant. Bien sûr, entre amis certains soirs, on s’amuse un peu… Mais ça reste bien plus raisonnable qu’avant. » Le président revient quant à lui sur son expérience au sein des Jacobins Anonymes. « J’ai envie de lancer un message. Que même les jacobins ont droit au respect, et à être compris. Chez nous, ils sont bien accueillis, nous les comprenons. Il y a un espoir. Il y a toujours un espoir. »
La Rédaction.
http://skriddael.wordpress.com/2013/03/25/vannes-premiere-permanence-des-jacobins-anonymes/
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Commentant l'accord sur les retraites complémentaires que FO, la CFDT et la CFTC s'apprêtaient à signer, le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a salué « l'esprit de responsabilité » du patronat et des syndicats.
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Le journal Les Échos, proche des milieux patronaux, y ajoute son commentaire : « Gloire aux partenaires sociaux qui ont accepté de faire une part du sale boulot ! Cette phrase, personne ne l'a publiquement prononcée, mais beaucoup l'ont pensée dans la majorité. »
Ce journal, qui ne manque pas d'expérience, a trouvé les mots justes pour définir en quoi consiste le dialogue social proposé par les socialistes.
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http://www.lutte-ouvriere-journal.org/?act=artl&num=2329&id=23
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Vouloir l’empêcher serait une erreur et une injustice. Le catholicisme n’est pas une maladie.
Bien qu’ils puissent sembler étranges et déplaire à beaucoup, les catholiques sont des êtres normaux et doivent jouir des mêmes droits que la majorité, de la même façon, par exemple, que les informaticiens et les homosexuels. Nous sommes conscients que beaucoup de traits et d’aspects du comportement des catholiques, comme leur tendance à diaboliser le sexe, peuvent nous sembler bizarres.
Nous savons qu’il pourrait même émerger des questions de santé publique, liées à leur refus dangereux et délibéré de l’usage des préservatifs.
Nous savons aussi que beaucoup de leurs coutumes, comme l’exhibition publique d’images de torturés, peuvent déranger beaucoup d’entre nous. Cependant tout cela correspond davantage à une image médiatique qu’à la réalité, et cela n’est pas une bonne raison pour leur interdire le droit au mariage.
Certains pourraient arguer qu’un mariage entre catholiques n’est pas un vrai mariage, car il s’agit pour eux d’un rite et d’un précepte religieux engagé devant leur dieu, plutôt que d’un contrat entre deux personnes. En outre, étant donné que les enfants nés hors mariage sont lourdement condamnés par l’Église catholique, l’on pourrait penser qu’en permettant aux catholiques de se marier on augmenterait le nombre de mariages « précipités » ou voués à la simple recherche du sexe (prohibé par leur religion en dehors du mariage).
De la même façon, on dit que cela favoriserait les situations de violence familiale et les familles à problème. Mais il faut rappeler ici que cela ne concerne pas seulement les familles catholiques et que, étant incapables de nous mettre dans la tête des autres, nous ne pouvons pas préjuger de leurs motivations.
Dire qu’il ne faudrait pas appeler cela mariage mais d’une autre façon, cela ne revient qu’à détourner le problème – et de manière mesquine – vers des questions lexicales totalement hors de propos. Même catholique, un mariage reste un mariage et une famille une famille !
Et en parlant de famille, passons à l’autre thème brûlant, dont nous espérons qu’il ne sera pas trop choquant : nous sommes également favorables à l’adoption pour les couples catholiques.
D’aucuns crieront au scandale. Il est probable que l’on nous réponde avec une affirmation du type : « Des catholiques qui adoptent des enfants ?!? Mais les enfants pourraient devenir eux aussi catholiques ! » Face à ces critiques, nous répondons qu’il est vrai que les enfants de catholiques ont de fortes probabilités de devenir à leur tour catholiques (à la différence des enfants d’homosexuels et d’informaticiens), mais nous avons déjà dit que les catholiques sont des gens comme les autres.
Malgré les opinions de certains et quelques indices en ce sens, il n’existe pourtant pas de preuves que les parents catholiques soient moins préparés que les autres à éduquer des enfants, ni que le climat religieusement orienté d’un foyer catholique ait une influence néfaste sur l’enfant.
Enfin les tribunaux pour mineurs s’expriment sur chaque cas particulier, et c’est précisément leur rôle que de déterminer l’aptitude des potentiels parents adoptifs. En définitive, malgré l’opposition d’une partie, je crois qu’il faudrait permettre aux catholiques de se marier et d’adopter des enfants. Exactement comme les informaticiens et les homosexuels.
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Yves-Marie Le Lay,
Président de
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Douarnenez
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