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29 mars 2013 5 29 /03 /mars /2013 09:35

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29 mars 2013 à 09h20 

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Avec le soutien du collectif Gaspare (garantir l’avenir solidaire par l’autonomie régionale énergétique) et Force 5, l’association "Landivisiau doit dire non à la centrale" vient de déposer un recours devant le tribunal administratif de Rennes afin de s’opposer au projet de centrale à gaz sur Landivisiau.

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Pour l’association "Landivisiau doit dire non à la centrale", ce recours "attaque l’arrêté de Delphine Batho, ministre de l’Écologie et du Développement durable, qui autorise la société Direct Énergie Génération à exploiter cette centrale mais n’autorise pas pour l’instant sa construction".

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http://www.letelegramme.com/local/finistere-nord/morlaix/landivisiau/landivisiau/landivisiau-les-opposants-a-la-centrale-a-gaz-deposent-un-recours-29-03-2013-2052249.php

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17 mars 2013 7 17 /03 /mars /2013 12:16

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17 mars 2013 -

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Près de 2.000 personnes ont défilé dans les rues de Landivisiau (29), hier après-midi. À l'appel de Force ouvrière, salariés, retraités, élus, familles ont dit « non » à la fermeture des abattoirs Gad.

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13 h 30, à Lampaul-Guimiliau (29), hier. À quelques pas du berceau historique de l'entreprise Gad, un petit millier de personnes s'est déjà rassemblé. Des salariés du groupe charcutier, bien sûr, des élus de la communauté de communes du pays de Landivisiau et puis des familles, aussi. « Ne fermez pas Gad ! » brandissent sur leurs pancartes en carton Laure, Aline, Anaïs et Jennifer. Elles sont venues entre voisines et cousines pour défendre « le boulot de papa et des tontons » qui, tous, travaillent à l'abattoir. « À la maison, dans le bourg, dans les commerces, on ne parle que de ça. On est sous le choc, mais il faut espérer ! », témoigne René Péron, 21 ans de boutique « à la Découpe-1 ».

« Solidaires »
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Le soleil brille pendant que le maire de Lampaul-Guimiliau, Jean-Marc Puchois, évoque, lui, « une situation économique délicate, dans un marché soumis à de graves difficultés conjoncturelles et structurelles ». Cette situation qui a entraîné le placement en redressement judiciaire du groupe Gad SAS le 27 février dernier, menaçant 1.700 emplois répartis sur quatre sites. 15 h, devant la mairie de Landivisiau, 2 km plus loin. Les nuages arrivent, les groupes se resserrent. 2.000 personnes écoutent attentivement les prises de paroles. Celles du maire de Landivisiau, Georges Tigréat, « inquiet », celle de la députée de la circonscription, Chantal Guittet, pressée de rappeler « qu'une table ronde va avoir lieu avec les ministres le 25 mars » et celle de la députée européenne Agnès Le Brun, insistant sur « l'impératif de solidarité et de discussions ».
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« Tout le monde a peur »
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Dans la foule, certains grincent des dents. Pierre (*) de Garlan (29), est salarié à Lampaul-Guimiliau depuis 20 ans. « Tout le monde a peur », assure le père de famille, venu avec ses jeunes enfants. Gilbert le Lampaulais (*), 58 ans, 40 ans d'usine, dont 20 à l'affûtage, n'a qu'une hâte : « C'est de foutre le camp ! » Louis, de Saint-Sauveur (29), a pris sa retraite il y a deux ans, après, lui aussi, 40 ans de travail aux abattoirs. Il se dit fâché : « Le problème, il ne vient pas que de Lampaul ou de la filière porcine bretonne ! analyse-t-il. Il faudrait un salaire de base unique pour toute l'Europe et puis c'est tout ! ».
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Quatre « Non ! »
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15 h 15. Le délégué central Force ouvrière Olivier Le Bras lance ses quatre « Non ». « Non à la fuite des cochons ! Non à la distorsion de concurrence ! Non à la perte d'emplois ! Non à la casse sociale ! ». Et, dans le calme et « l'esprit pacifique » souhaité, le cortège, muni de slogans - mais finalement sans tracteurs - peut s'ébranler. « Destruction de la filière porcine ! C'est toute la Bretagne qu'on assassine ! On veut, on veut, garder nos usines ! », répètent en boucle les manifestants. Parmi eux, encore : les Saint-Politains Emmanuel, 33 ans, et Pierre, 53 ans, salariés depuis respectivement 12 ans et 34 ans chez Gad. Il est presque 16 h. Père et fils se demandent encore « comment on a pu en arriver là ? ». « Avant, on était serein, il y avait des bénéfices, soupirent-ils, sous la pluie. Maintenant, on vit au jour le jour ».

* Ils n'ont pas souhaité communiquer leurs vrais prénoms.

  • Sophie Prévost

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/bretagne/gad-c-est-toute-la-bretagne-qu-on-assassine-17-03-2013-2037564.php

 

http://www.ouest-france.fr/region/bretagne_detail_-Entreprise-Gad.-2-000-personnes-manifestent-a-Landivisiau-%5BVideo%5D_6346-2173990_actu.Htm

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14 mars 2013 4 14 /03 /mars /2013 12:02

 

arton354

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Dans un communiqué, le syndicat Force Ouvrière-Gad  

« appelle les salariés de tous horizons, les producteurs, les éleveurs, les artisans, les commerçants et la population à un rassemblement massif contre la suppression d'emplois », samedi à 13 h 30, devant la mairie de Lampaul-Guimiliau. Les manifestants défileront ensuite dans les rues de Landivisiau.

 

C'est la première action sociale des salariés de l'entreprise Gad SAS (abattoirs porcins), placée en redressement judiciaire depuis le 27 février dernier. Elle dispose de six mois pour trouver une solution. Durant cette période, Olivier Le Bras, délégué central Force Ouvrière a été désigné représentant de l'ensemble des 1 700 salariés, répartis sur les sites de Saint-Martin-des-Champs (siège), Josselin, Lampaul-Guimiliau et Saint-Nazaire.

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http://www.entreprises.ouest-france.fr/article/abattoirs-gad-manifestation-samedi-landivisiau-finistere-13-03-2013-89005
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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 13:14

autocollant-gaspare 19-02-2011

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11 mars 2013 à 10h18 -

 

Reçu au ministère de l'Écologie, le Collectif Gaspare, opposé, notamment, au projet de centrale à cycle combiné gaz (CCCG) à Landivisiau, explique, dans un communiqué, que « le ministère a reconnu que, dans le contexte économique actuel, les CCCG ne sont pas rentables.

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Pour preuve, les projets en cours au niveau national sont tous suspendus ou " mis sous cocon ". Seul le projet breton est maintenu car il sera économiquement profitable pour l'opérateur ».

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Par ailleurs, Gaspare signale que « le préfet de région a demandé à Réseau de transport d'électricité (RTE) d'étudier le Scénario électrique alternatif breton du Collectif pour y répondre lors de la Conférence bretonne de l'énergie du 22 mars ». À l'issue de cette réunion d'échanges, Gaspare a officiellement demandé un moratoire sur le projet CCCG, le temps que le débat national arrive à ses conclusions et que la prochaine Programmation pluriannuelle des investissements de production électrique soit élaborée en 2014, à l'issue du débat et de la loi qui en découlera.

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http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/finistere/projet-de-centrale-a-landivisiau-gaspare-demande-un-moratoire-11-03-2013-2030771.php

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27 février 2013 3 27 /02 /février /2013 08:17
Appel à la mobilisation !

Ce jeudi 28 février, nous vous donnons rendez-vous à 17h30, au siège de la Communauté de Communes du Pays de Landivisiau.

Une soirée d'auto-promotion, cocktail et petits fours y sera organisée par... Direct Énergie !

Quand on pense que les locaux de la CCPL appartient à tous les habitants du Pays de Landivisiau... Que ces locaux sont financés par leurs impôts et taxes... et que Direct Énergie se permet d'inviter en son nom des officiels au sein de l'hôtel communautaire...
Il y a de quoi réagir !!!!
Nous vous attendons nombreux. Passez le message, la réussite de notre combat dépendra de notre mobilisation.

Le groupe communication-action locales
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1 février 2013 5 01 /02 /février /2013 10:27

autocollant-gaspare 19-02-2011

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1 février 2013

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Alors qu'avait lieu, mercredi, le quatrième rendez-vous de la concertation au sujet de la centrale au gaz, les élus opposés au projet ont claqué la porte de la réunion. Ils dénoncent un manque de considération et un débat tronqué.

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Représentant le collectif des élus opposés au projet de centrale au gaz, dans la zone du Vern, Alain Somme (Plougourvest) et Éric Georgelin (Lampaul-Guimiliau) ont décidé de mettre fin à leur participation aux rendez-vous de la concertation. Mercredi, avant que ne débute la réunion, ils s'en sont expliqués dans un communiqué qu'ils ont lu aux différents intervenants (1).

Plusieurs « ratés »

« Nous pensions que notre responsabilité d'élus était d'assurer une présence contradictoire lors de ces rendez-vous. Mais dès le départ, il nous a fallu être insistants pour être conviés... trois heures avant le début de la première réunion. « Il s'agit d'un oubli, c'est réparé », avait alors noté Mme Claisse, représentante de la mairie de Landivisiau. À l'issue du deuxième rendez-vous, un compte rendu complètement erroné a été publié. Certes, nous avons reçu les excuses de Direct Énergie. Mais ce compte rendu a mis plusieurs jours avant d'être retiré du site internet, où il était visible. Pour le troisième rendez-vous, nous n'avons jamais reçu d'invitation. Un problème d'adressage semble en être à l'origine. Nous voulons bien faire crédit aux organisateurs de ce nouveau « raté », cela peut arriver. Mais comment expliquer qu'Angélique Horellou n'ait pas, non plus, reçu d'invitation ? »

« Nous ne voulons plus servir d'alibi »

« Nous avions pleinement conscience, dès l'origine, du risque de ne servir que d'ingrédients dans le plan de communication, établi par les porteurs du projet. Il nous semblait, toutefois, que notre présence était souhaitée. Il est maintenant évident pour nous que seuls les acteurs qui ont le vif souhait ou intérêt à la construction d'une centrale à Landivisiau ont leur place autour de la table de la « concertation ». Le projet de Direct Énergie- Siemens, celui des représentants de la majorité municipale de Landivisiau et de la communauté de communes du pays de Landivisiau, c'est la construction d'une centrale à cycle combiné gaz sur le territoire. Point ! Nous n'y avons pas notre place. Nous ne voulons plus servir d'alibi ». « Portés par les encouragements et les fissures que nous voyons apparaître dans l'unanimité apparente des élus du territoire, nous poursuivrons, néanmoins, notre mobilisation. Et nous appelons à la délocalisation, à Landivisiau, du « grand débat sur l'énergie ». En cohérence, nous ne participerons pas à la visite prévue de la centrale de Bayet ».

1. Présente à la réunion au titre du groupe municipal minoritaire de Landivisiau mais également membre du collectif d'élus, Angélique Horellou s'est associé à ce texte et a, elle aussi, quitté la salle.

Une attitude « vivement regrettée »

Maire de Landivisiau et président de la communauté de communes du pays de Landivisiau, Georges Tigréat a réagi au départ du collectif d'élus des rendez-vous de la concertation, « instance de dialogue » installée à l'initiative de la CCPL. À travers un communiqué, il indique que « tous les autres membres présents, élus du conseil régional, du conseil général, de la communauté de communes, de la ville de Landivisiau, de la CCI, ainsi que l'association Gesper regrettent vivement cette attitude. Ce refus du dialogue et cette nouvelle politique de la chaise vide ne sont pas compréhensibles. Puisque des questions ont été posées, pourquoi refuser d'écouter les réponses ? La clarté des arguments exposés dérange-t-elle les opposants ? En tout cas, ce départ précipité n'a pas empêché la poursuite des échanges une fois de plus très constructifs. Pour tous les participants, l'objectif commun est clair : pas question de laisser s'installer la désinformation. Toute la population, sans exception, a droit à une information complète, de qualité et totalement transparente ».

« Pas responsable »

« Comme à l'accoutumée, nous avons répondu aux questions posées », souligne, de son côté, Direct Énergie, qui ajoute que « les représentants du collectif ont annoncé leur refus de participer au voyage d'étude d'une centrale en activité, voyage pourtant réclamé lors des rendez-vous précédents ». « Gaspare refuse de participer à la conférence bretonne de l'énergie, les opposants au projet landivisien refusent les rendez-vous de la concertation... Ce n'est pas responsable », conclut l'industriel.

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24 janvier 2013 4 24 /01 /janvier /2013 13:08
22 janvier 2013
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L’arrêté, datant du 10 janvier 2013, autorisant la société Direct Energie Génération à exploiter, sur le territoire de Landivisiau, une installation de production d’électricité, a été publié le 18 janvier 2013, date à laquelle le Collectif GASPARE dévoilait son Scénario électrique alternatif breton.


Hasard du calendrier ? Simple coïncidence ? Précipitation ? En effet, GASPARE s’étonne de la localisation retenue dans l’arrêté : l’avenue de Coat-Meur est en plein centre-ville de Landivisiau !


Quoi qu’il en soit, cet arrêté ne signifie pas en lui-même, que Direct Energie Génération a franchi toutes les étapes administratives qui lui incombent, comme par exemple la demande d’autorisation d’exploiter une ICPE (Installation classée pour la protection de l’environnement) ou encore l’obtention du permis de construire.


De plus, le Collectif GASPARE demande officiellement à l’État, initiateur du projet avec la Région Bretagne et dont les absences lors de la restitution du Scénario ont été remarquées, de décréter un moratoire sur ce dossier en attendant les conclusions du Débat national sur la transition énergétique que GASPARE souhaite intégrer en étant force de propositions.


La réactualisation du Pacte électrique breton d’après les dernières données institutionnelles s’avère indispensable. En effet, le Pacte, élaboré d’après des données datant de 2009 et dont les sources n’ont jamais été rendues publiques, ne correspond plus aux dernières études de RTE.

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http://www.nonalacentrale.fr/?p=4926

 


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19 janvier 2013 6 19 /01 /janvier /2013 12:32
samedi 19 janvier 2013
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Trois questions à Alain Le Suavet, porte-parole du collectif Gaspare.
 

En quoi votre scénario alternatif rend la centrale à gaz inutile ?

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Le pacte électrique breton se base sur des chiffres 2008-2009. Notre scénario, lui, s'appuie sur les chiffres institutionnels 2012, fournis par RTE, l'Ademe et le schéma Climat Air Énergie que met en place la Région. Ils portent sur l'évaluation de la progression de la consommation d'énergie : au lieu d'atteindre + 19 %, l'estimation 2012 les situe autour de + 8 %.

 

Cette tendance s'explique par les efforts accrus pour économiser l'énergie.

 

Autre différence : le pacte électrique envisageait la fermeture des centrales de Dirinon et Brennilis en 2016. Or EDF a fait des travaux très importants : leur délai d'exploitation est repoussé à 2020, voire 2030. Les moyens de répondre aux pointes existent et fonctionnent. Un nouveau moyen de production est donc inutile.


Les projections sont revues à la baisse jusqu'en 2020, mais après que se passe-t-il ?


Après c'est plus compliqué. Si l'on se réfère aux promesses du président de la République de fermetures de centrales nucléaires, il faudra lancer une politique volontariste d'économies d'énergies, de développement des énergies renouvelables et surtout la diminution du chauffage électrique.

 

La centrale à gaz prévue à Landivisiau coûtera 40 millions par an à l'État, sur 20 ans :

 

je pense qu'avec cette somme colossale, il y a moyen d'aider les gens à faire une transition énergétique chez eux. C'est-à-dire, soit changer leur mode de chauffage, soit mieux isoler leur bâtiment. Ou les deux.


L'Ademe vient de déclarer que les projections chiffrées sur lesquelles vous vous appuyez sont nationales, et non transposables à la seule Bretagne...


La réaction de l'Ademe est surprenante. Mais nous, on ne peut que s'appuyer sur les chiffres que l'on a. Le pacte électrique breton repose sur des estimations régionales qui ne sont pas transparentes. Aucun des services du préfet de la Région n'a été en mesure de nous les communiquer.


Recueilli parLiza MARIE-MAGDELEINE.
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19 janvier 2013 6 19 /01 /janvier /2013 11:17

18 janvier 2013 à 21h40 - 

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250 personnes assistent ce vendredi soir, salle Tournemine à Landivisiau (29), à la réunion publique organisée par le collectif Gaspare.

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Objectif rempli pour les opposants au projet de centrale au gaz, qui ont invité le cabinet spécialisé Horizons à présenter leurs solutions alternatives.

 

Une vingtaine de personnes n'ont pas pu rentrer. A 18 h, une première restitution avait été faite auprès d'élus bretons. Une soixantaine étaient présents.

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http://www.letelegramme.com/local/finistere-nord/morlaix/landivisiau/landivisiau/landivisiau-250-opposants-a-la-centrale-au-gaz-reunis-18-01-2013-1976954.php

 

 


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13 janvier 2013 7 13 /01 /janvier /2013 14:56

12 janvier 2013 à 11h52 -

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A l'appel de la CGT, onze salariés de la brigade de nuit (sur 13) ont débrayé, de 4 h à 6 h, ce samedi matin, à l'usine Crêpes Whaou ! , zone de Keriel, à Plouédern.

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"Un coup de semonce pour appeler la direction à rouvrir les négociations sur le nouvel accord de modulation-annualisation du travail, signé le 7 janvier", explique Christian Corre, responsable de l'union locale CGT de Landerneau, qui vient de rouvrir.
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Le nouvel accord, privilégiant l'organisation du travail des 130 salariés du site sur la base des 35 heures de moyenne calculées sur un trimestre n'est pas du goût du syndicat qui lui reproche un excès de flexibilité et redoute la perte de majoration salariale des heures supplémentaires.

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L'étonnement de la direction

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Christian Faure, fondateur, en 1981, de l'entreprise qui appartient aujourd'hui au groupe Norac, s'étonne des raisons de "cette deuxième grève en trente ans". Il précise : "L'accord signé s'inspire de la convention collective de la boulangerie-pâtisserie industrielle.

 

Cette dernière permettait une modulation sur une année, nous avons préféré, au sein du comité d'entreprise (où les représentants du personnels sont non-syndiqués, NDLR) de ramener la période à un trimestre. En pratique, le chef de production passera en début de chaque trimestre demander aux salariés s'ils optent pour une majoration des heures supplémentaires travaillées ou bien une récupération sous forme de RTT". Sachant que la charge de travail évolue au cours de l'année. "Le plus gros mois de travail est en janvier car nous préparons la chandeleur de début février".

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La moitié de l'outil industriel était à l'arrêt ce samedi matin aux heures de débrayage. La production est revenue au niveau de charge prévu dès 7 h. De nouveaux débrayages ne sont pas à exclure dans la journée.

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http://brest.letelegramme.com/local/finistere-nord/brest/landerregion/plouedern/plouedern-29-debrayage-aux-creperies-wahoo-12-01-2013-1969947.php

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