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25 octobre 2012 4 25 /10 /octobre /2012 13:23
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Comme vous avez pu l’entendre ou le lire, la direction STEF transport Rennes sous couvert de la direction générale, cherche à licencier Joël GRU, délégué syndical, depuis près de trente ans.

 

Vous trouverez ci-joint :

 

 une pétition à faire signer massivement et à me retourner rapidement, soit scannée par courriel ou par courrier postale (Coordonnateur CGT STEF, 8 rue du Pavillon de Flore 72220 LAIGNE EN BELIN)

 

Devant l’acharnement et la discrimination syndicale, il est le devoir de toutes et tous, militant(e)s, sympathisant(e)s, de soutenir le délégué syndical de Rennes Aujourd’hui Joël, demain à qui le tour ?

Dans l’attente de votre soutien !

 

Syndicalement.

 

Pour la CGT

 

Fabien MEDARD CGT STEF Transport et logistique Frigorifique

mdcgt72@orange.fr

06 21 80 26 96


Mickaël PRINCE
Délégué Syndical CGT
06 75 10 00 81


CGT TFE CHAULNES
zac route d’Hallu, 80320 CHAULNES


cgttfechaulnes.over-blog.com

 

http://www.facebook.com/cgt.chaulnes

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17 octobre 2012 3 17 /10 /octobre /2012 13:05

 

Le tribunal de commerce de Rouen vient de prononcer la liquidation judiciaire de la raffinerie Pétroplus de Petit-Couronne.

 

Cinq cent cinquante salariés et des centaines de sous-traitants, au total plus de deux mille familles vont être jetés à la rue pour le plus grands profit des pétroliers.


Nous n'oublions pas que c'est le trust Shell qui s'est débarrassé de sa raffinerie de Petit-Couronne, qu'il voulait fermer, en la vendant pour un prix particulièrement bas à Pétroplus, spécialisée dans le rachat de raffineries dont les grands groupes voulaient se débarrasser.


Aujourd’hui, il faut mettre en accusation Shell et ses milliards de profits.

 

Le gouvernement socialiste, au lieu de donner à Shell l'autorisation de polluer au large de la Guyane, ferait mieux de contraindre le groupe à maintenir tous les emplois à Petit-Couronne en reprendant Petroplus Petit-Couronne et l'ensemble de ses salariés, sous la menace de la réquisition de ses biens et de ses avoirs en France, sous la menace du remboursement de toutes les aides publiques… .


Tous ensemble, salariés du pétrole, populations, syndicalistes, autour des Petroplus nous pouvons paralyser l'approvisionnement en pétrole comme nous avions su le faire lors de la grève des retraites pour imposer le maintien de tous les emplois.


Au moment où les pétroliers ferment une par une les raffineries pour engager leurs capitaux dans des secteurs jugés plus rentables, le NPA défend l'idée d'un vrai service public de l'énergie, la réquisition des grands groupes comme Total ou Shell pour préserver l'ensemble des emplois, et travailler à une vraie transition énergétique sans nucléaire.

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12 octobre 2012 5 12 /10 /octobre /2012 11:47


AccueilliEs par les gaz lacrymo à leur arrivée au Mondial de l'auto, les salariéEs des boîtes en luttene se sont pas laisséEs démoraliser.

 

Mardi 9 octobre, près de 2 000 salariéEs déterminéEs e sont retrouvéEs à la Porte de Versailles devant l’entrée du Mondial de l’automobile à partir de 10 heures. Ce rassemblement, en prélude de la manifestation appelée par la CGT l’après-midi, était à l’initiative des syndicats CGT et Sud de PSA.


Les manifestantEs étaient bien décidéEs à crier leur colère dans l’enceinte de la vitrine du grand business automobile.

 

Des salariéEs de PSA d’Aulnay, de Sochaux, de Poissy, de Mulhouse, des métallos du Nord-Pas-de-Calais, celles et ceux de Fralib, Licenci’elles, Goodyear, Renault Cléon, Preventiglass, Michelin, Thales, Air France, Sanofi, Technicolor, Presstalis et bien d’autres encore, venuEs dénoncer la fermeture d’entreprises, les licenciements et la mise en place d’accords emplois-compétitivité.


Les arrivées de cars, de trains, de voitures se sont étalées sur plus d’une heure au gré des embouteillages et des tracasseries des forces de l’ordre.

Mais le gouvernement Hollande-Ayrault-Montebourg avait décidé de présenter sa version du dialogue social : un quartier entièrement bleui et militarisé par les cars de gardes mobiles, des centaines de CRS déguisés en Robocop.

Les flics de Valls, après la chasse aux immigrés et aux Roms, ressemblent décidemment de plus en plus à ceux de Sarkozy et Hortefeux.

De ce fait, nous avons passé la fin de matinée à tenter de bousculer les grilles du Mondial entre deux arrosages de gaz lacrymogène. La colère des manifestantEs n’entamait pas leur détermination. Entre deux « assauts », les représentantEs des entreprises affirmaient tour à tour les revendications essentielles des manifestantEs : refus de voir les emplois liquidés au nom de la rentabilité du capital, les conditions de travail dégradées au nom de la productivité, les salaires bloqués au nom de la baisse du « coût » du travail.

Mais surtout, toutes et tous affirmaient la nécessité de la coordination des mobilisations.

Pourtant les organisations syndicales (fédérations, confédérations) étaient non seulement absentes mais avaient plus ou moins ouvertement combattu l’idée même d’une mobilisation au Mondial de l’automobile. Pourtant les difficultés des luttes dans chaque boîte laissent parfois peu de temps et de place à la construction du tous ensemble. Par leur présence, en réponse à l’appel des PSA, les salariéEs présentEs montraient que la rencontre de ceux et celles qui se battent, qui refusent les politiques patronales et gouvernementales, est possible dès maintenant.

Les discussions, à peine perturbées par les allers-retours entre les grilles derrière lesquelles s’étaient réfugiées les forces de défense de l’ordre social, tournaient autour de cette préoccupation : comment construire la mobilisation « tous ensemble » qui fera ravaler son insolence à un patronat protégé par les sbires gouvernementaux. Malgré l’impossibilité de faire notre tour du Mondial, la majorité des manifestantEs sont partiEs gonfléEs à bloc vers la place d’Italie, pour insuffler colère et détermination aux cortèges de leur région.

Robert Pelletier
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5 octobre 2012 5 05 /10 /octobre /2012 10:23
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1er octobre 2012

Les menaces de fermeture de l’usine PSA d’Aulnay et les attaques contre l’emploi dans toutes les usines du groupe polarisent l’actualité sociale en cette rentrée 2012 moins de six mois après l’élection de François Hollande à la Présidence de la République.

 

Dans l’automobile, PSA n’est pas seul à l’offensive. Le concurrent Renault n’est pas en reste dans un politique détruisant des milliers d’emplois. Équipementiers et sous-traitants sont aussi visés. Toute la filière automobile est concernée par une crise dont les manifestations d’aujourd’hui viennent de loin. La récession mondiale de 2008/2009 a entraîné des restructurations qui n’en finissant pas de produire leurs effets.


La faute à l’imprévisible, à une baisse conjoncturelle des ventes d’automobiles en Europe ou au coût du travail qui serait trop cher en France : patrons de l’automobile, médias et experts gouvernementaux rivalisent d’arguments pour faire des salariés ceux qui ont à payer les frais de la crise. Quant à Hollande, son opposition aux plans patronaux n’aura duré que le temps d’un discours, le jour des pétards du 14 juillet.


Remonter aux racines de la crise, c’est dire la vérité sur les faits, désigner les véritables responsabilités.et poser les conditions de véritables solutions.

 

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2 octobre 2012 2 02 /10 /octobre /2012 15:51

 

 

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30 septembre 2012 7 30 /09 /septembre /2012 09:47
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Des salariés de l’usine PSA d’Aulnay et de celle de Ford Blanquefort, près de Bordeaux, ont bruyamment fait entendre leur voix samedi à l’ouverture au public du Salon de l’automobile à Paris, où Arnaud Montebourg a renoncé à se rendre, alors qu’il y était annoncé.


Une cinquantaine de salariés d’Aulnay, conduit par le principal syndicat de cette usine, le SIA, a distribué à l’extérieur puis à l’intérieur du salon des cartons rouges aux visiteurs, symbole de leurs inquiétudes après l’annonce de la fermeture du site en 2014.

 

Ils ont été rejoints par quelque 360 salariés de l’usine Ford Blanquefort, parmi lesquels Philippe Poutou, membre CGT de l’intersyndicale et ex-candidat du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) à l’élection présidentielle.

 

Ministre improductif

 

Les cartons rouges étaient plus particulièrement destinés à Arnaud Montebourg, ministre du Redressement productif - rebaptisé « ministre improductif » - attendu en vain à ce salon.

 

Arnaud Montebourg avait des obligations dans son département de Saône-et-Loire, a affirmé à l’AFP le ministère, en assurant qu’il n’avait jamais été question pour lui de revenir ce week-end au Salon, où il s’était déjà rendu jeudi et vendredi et où il prévoit de retourner encore le 6 octobre.

 

Rendez-vous inscrit dans l’agenda

 

L’agenda du ministre transmis officiellement par Bercy la semaine dernière comprenait pourtant bien « l’ouverture officielle du salon de l’automobile (Porte de Versailles) » samedi à 9 h 30.

 

Banderoles et cartons rouges brandis, les PSA se sont dirigés vers les stands Citroën et Peugeot pour haranguer la foule des premiers visiteurs et tenter de convaincre, sans succès, les hôtesses de porter leurs badges.

Besancenot et Mélenchon présents

 

Devant le salon, Olivier Besancenot, ancien porte-parole du NPA, et Jean Luc Mélenchon, candidat du Front de Gauche à la présidentielle, venus apporter leur soutien aux salariés de Ford, mais également à ceux de Fralib, de Sodimedical, et de Florange notamment, ont exigé du gouvernement qu’il bloque tous les licenciements.

 

Après ces harangues, les salariés de Ford sont entrés au salon, munis de billets, pour rejoindre le stand de la marque. Ils ont alors lancé des confettis et recouvert les voitures exposées d’autocollants. Auparavant, ils ont traversé en groupe le salon derrière une large banderole, appelant à sauver les emplois chez Ford, et à partager « le travail et les richesses ».

 

http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Mondial-de-l-auto.-Ouverture-chahutee-Montebourg-absent_39382-2117775_actu.Htm

 

 

 

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13 septembre 2012 4 13 /09 /septembre /2012 13:04

charles-doux
de : Front Solidaire
jeudi 13 septembre 2012 - 09h37

 

COMITÉ DE LUTTE CGT DES SALARIÉS-ES DE DOUX GRAINCOURT


Nous ne plierons jamais !


Réunis en Assemblée Générale le mercredi 12 septembre, nous, travailleurs de l’usine Doux Graincourt, avons pris la décision d’occuper l’usine jour et nuit pour éviter que l’outil de travail soit démantelé. Nous avons besoin de votre solidarité la plus complète pour maintenir dans le temps et la détermination cette occupation qui est la seule solution d’avenir pour les 250 salariés-es sacrifiés sur l’autel du voyou Charles Doux et ses complices financiers.


GRAINCOURT LES HAVRINCOURT (entre Bapaume et Cambrai)

LE VENDREDI 14 SEPTEMBRE

Á PARTIR DE 11H00 1er BARBECUE DE LA SOLIDARITÉ

SOYONS NOMBREUX

POUR MONTRER QUE NOUS SOMMES AU CÔTÉ DES TRAVAILLEURS EN LUTTE

 

UNIS-DEBOUT-DÉTERMINÉS


Les salariés-es de Doux Graincourt ont décidé hier 12 septembre en assemblée générale massive d’occuper jour et nuit leur usine.


Certains les ont montrés un genou à terre après que le ciel leur soit tombé sur la tête plusieurs fois depuis l’annonce de la liquidation du groupe Doux.


Aujourd’hui ils ont relevé la tête et se sont mis debout, ils sont prêts et déterminés à lutter jusqu’au bout pour garder leurs emplois à Doux Graincourt.


Il y a des solutions autres que les licenciements, pour cela il faut du temps, de l’argent et de la solidarité pour éviter que l’usine soit démantelée par le liquidateur judiciaire et les vautours aux aguets qui attendent le festin des affaires à bas coût.


Le Comité de Lutte CGT des salariés de Doux Graincourt, avec le soutien de l’interpro, organise un barbecue de la solidarité ce vendredi 14 septembre pour créer les conditions de la lutte qui dépasse le site, car cette lutte est aussi celle de tous...


Alors soyons nombreux, très nombreux pour qu’en face ils prennent la mesure de la lutte engagée plutôt que d’avoir des discours politiciens de compassion qui sont en contradiction avec la réalité des travailleurs.

en pièce jointe le 1er appel pour le 1er barbecue de la solidarité du 14 septembre, à diffuser sans modération et à afficher partout dans vos usines et services.


Graincourt les Havrincourt doit devenir le village gaulois de la résistance ouvrière qui fait face aux requins patronaux et financiers !

 vous pouvez aussi nous adresser des messages de solidarité que nous transmettrons, sur : front.solidaire.uls@gmail.com

 

http://bellaciao.org/fr/spip.php?article130011

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13 septembre 2012 4 13 /09 /septembre /2012 10:49

charles-doux

Lundi 10 septembre, le tribunal de Quimper s'est prononcé sur les offres de reprise partielle du pôle « produits frais » du volailler Doux.


Les sociétés intéressées par cette reprise ne se portaient acquéreuses que pour les sites ou parties de site qui leur semblaient encore profitables. Résultat : selon les premières estimations, sur les 1 700 emplois qui étaient sur la sellette, 972 travailleurs se retrouvent sur le carreau, ce qui a déclenché un mélange de colère et d'amertume chez ceux présents au jugement.


Parmi les repreneurs, outre les sociétés Gion Sanders, Duc, LDC, une filiale de Sofiprotéol, on trouvait aussi... Charles Doux, épaulé par la banque Barclays. Selon les chiffres du groupe Doux, 114 emplois sont supprimés à Blancafort (Cher), 80 à Sérent et Boynes (Loiret) et 272 à Pleucadec (Mayenne), tandis que les sites de Graincourt-lès-Havrincourt (Pas-de-Calais), La Vraix-Croix (Morbihan) et Portet (Vaucluse) sont condamnés.


Les organisations syndicales revendiquaient une reprise globale du pôle et avaient demandé en vain le dessaisissement du tribunal de Quimper, soupçonné de complaisance vis-à-vis de Charles Doux qui, depuis un moment, aspirait à faire le ménage dans ce secteur d'activité.


L'autre moitié des travailleurs de Doux, ceux du pôle « export et produits élaborés », devront encore attendre un jugement qui doit intervenir en novembre prochain pour savoir à quelle sauce ils seront mangés.


Mardi 11 septembre, le président François Hollande visitait le salon de l'élevage qui se tenait à Rennes. Attendu par une trentaine de syndicalistes de Doux mais aussi de PSA, il s'est arrêté pour serrer des mains, dire sa compassion, que c'était dramatique et qu'on pouvait compter sur lui.


Mais les bonnes paroles ne suffisent plus. Il faut des actes, une loi qu'Hollande n'a aucunement l'intention de mettre en œuvre et pourtant indispensable pour les travailleurs, une loi qui interdirait les licenciements collectifs, préserverait les emplois en partageant le travail entre tous, garantissant ainsi le maintien intégral des salaires. Il faut aller prendre l'argent sur les profits accumulés, comme en l'occurrence ceux de Doux.


Car il n'y a pas de raison que les travailleurs doivent payer pour les manigances financières d'un patron, tandis que celui-ci et ses actionnaires peuvent mettre à l'abri leur fortune personnelle accumulée grâce au travail de générations d'ouvriers.


Jacques FONTENOY

 

http://www.lutte-ouvriere-journal.org/?act=artl&num=2302&id=33

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12 septembre 2012 3 12 /09 /septembre /2012 10:39

 

Pour toute décision politique, Hollande-Ayrault-Montebourg avait mandaté un expert pour étudier la validité économique de la fermeture du site d’Aulnay et de la suppression des 8000 emplois chez PSA.


En rappelant les 3 milliards de dividendes versés de 2009 à 2011 et les 2, 8 milliards de rachat d’actions, ce rapport montre clairement que la famille Peugeot a fait fortune sur le dos des salariés.

 

Mais respectueux des exigences du profit capitaliste, il juge la fermeture d'Aulnay inévitable et cherche à opposer salariés des usines de Madrid et d'Aulnay. Le redressement productif de Montebourg s’est transformé en redressement destructeur d’emplois.


Le maintien du site d’Aulnay et tous les emplois dans toutes les usines du groupe constituent les revendications non négociables de tous les salariés.


Le dialogue social n’y changera rien.

 

Le NPA défend l’expropriation de la famille Peugeot pour mettre en place, sous contrôle des salariés une organisation de la production qui préserve tous les emplois avec l’amélioration des conditions de travail et la progression des salaires.


Les salariés de la filière automobile se mobiliseront samedi 15 septembre avec ceux de PSA Rennes, samedi 29 septembre au Mondial de l’Automobile avec les Ford de Bordeaux et à Aulnay avec ceux de PSA et le 9 octobre au Mondial et avec l’ensemble des salariés dans la journée internationale appelée par les Fédérations Syndicales de l’Industrie Européenne.


Le NPA mettra toutes ses forces dans le succès de ces premières mobilisations dans la voie d’un tous ensemble contre l’austérité et la régression sociale.


Montreuil le 11 septembre 2012


Le rapport Sartorius est accessible sur le site automobile du NPA (Auto-critique) http://www.npa-auto-critique.org/

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9 septembre 2012 7 09 /09 /septembre /2012 09:52
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