Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
25 juin 2012 1 25 /06 /juin /2012 10:20

conti.jpg

 

ll  y a trois ans, le groupe allemand de pneumatique Continental annonce la fermeture de son usine de Clairoix, dans l’Oise.


Pour les 1 100 salariés, c’est le KO debout. Le site était performant. Dans un passé récent, le personnel avait consenti des sacrifices pour permettre la poursuite de l’activité. Goutte d’eau supplémentaire qui fait déborder la colère : c’est par la presse que les salariés apprennent la fermeture. Cette colère les mènera au saccage de la sous-préfecture de Compiègne.

 

 Depuis, leur mobilisation, leur solidarité, la médiatisation du conflit ont permis aux 1 100 « Conti » d’obtenir un plan social exceptionnel : prime de licenciement conséquente, plan de formation et d’aide à la reconversion… l’employeur a tout fait pour atténuer le coup terrible de ce conflit sur son image. Mais trois ans après, alors que le plan social se referme, que reste-t-il ?


Une petite minorité des salariés a retrouvé un emploi stable.

Les autres naviguent entre projets de formation, emploi précaire et dépression.

 

Merci aux Conti ; merci tout particulièrement à Christian, Dominique, Jean-François, Jacky et Valérie pour leur accueil et leur disponibilité.

 

émission précédente émission à venir
l'émission du dimanche 24 juin 2012
Partager cet article
Repost0
1 juin 2012 5 01 /06 /juin /2012 09:28

plans-sociaux.jpg

Partager cet article
Repost0
19 mai 2012 6 19 /05 /mai /2012 14:09
Caterpillar
17 mai 2012
  

Les luttes contre les fermetures de sites et les licenciements n’ont cessé de troubler la campagne électorale présidentielle.


Non seulement les candidats de gauche ont multiplié les visites aux sites les plus emblématiques, mais Bayrou, Dupont-Aignan et Cheminade ont également été présenter leurs salades plus ou moins nationalistes.

 

Sarkozy et Besson ont de leur côté fait jouer leurs relations et les moyens de l’État pour calmer les travailleurs les plus revendicatifs sur les dossiers les plus emblématiques.

 

C’est ainsi que, à des degrés divers et pour des durées plus ou moins longues, des plans sociaux ou des procédures de fermeture de site ont été reportées ou annulées. Bien sûr pendant que les Arcelor Mittal, PSA, Photowatt, la Fonderie du Poitou et quelques autres semblaient susciter l’intérêt des responsables politiques, des dizaines de milliers de salariéEs perdaient leurs emplois sans le moindre recours, dans des procédures de ruptures conventionnelles, des milliers de licenciements économiques avaient lieu dans le plus grand des silences.


Hollande et ses conseillers en matière d’industrie affirment qu’il n’est pas question de pratiquer la même politique de cas par cas à vocation plus médiatique que de long terme.

 

Une loi permettant aux tribunaux de commerce de chercher un repreneur pour toute société menacée de fermeture et de l’imposer à son propriétaire s’il n’a pas trouvé lui-même d’acheteur serait dans leurs cartons. Cela permettrait de sauvegarder les entreprises rentables mais inscrites dans des restructurations par des groupes internationaux.


Le deuxième axe serait constitué par des systèmes d’aide à l’investissement  : création d’une banque d’investissement, doublement du plafond du Livret de développement durable à côté des dispositifs Oséo ou Fonds national d’amorçage censé venir en aide aux PME.


À l’évidence, ces mesurettes ne sont pas à la hauteur des enjeux économiques et sociaux.

 

Florange, PSA, Petroplus ou Areva mettent à l’ordre du jour l’expropriation des grands secteurs de l’industrie comme l’énergie, l’automobile ou la sidérurgie. Chez Carrefour, SFR, il faut avancer sur la concrétisation de l’interdiction des licenciements. Plus globalement, la prise de contrôle des systèmes financier et bancaire devrait permettre la mise en œuvre de politiques industrielles bâtie sur la satisfaction des besoins sociaux et des impératifs environnementaux.


Dans les semaines qui viennent, la politique de destruction d’emplois va prendre une nouvelle ampleur.

 

De Carrefour à Arcelor en passant par SFR ou Technicolor, des dizaines de milliers d’emplois sont menacés. Plus que sur les vagues promesses de Hollande, c’est sur les mobilisations qu’il faut compter pour empêcher les désastres sociaux annoncés. Les difficultés sont grandes.

 

À General Motors, PSA ou Arcelor, les salariéEs ont conscience de s’être fait balader depuis des mois ou des années par des directions qui prennent le temps de mettre en œuvre leurs plans en limitant les réactions. Un sentiment d’impuissance renforcé par l’inconstance des propositions de mobilisation ou leur prise en charge réelle par les fédérations ou confédérations.

 

Convaincre les collègues de se mobiliser pour leur emploi passe par la nécessité de convaincre que nous ne gagnerons pas boîte par boîte. Pas plus que le changement de société, la préservation de nos emplois ne sera possible par les urnes ou les lois.


La seule voie reste le développement des luttes, leur coordination.

Dans l’urgence.


* Publié dans : Hebdo Tout est à nous ! 149 (17/05/12).

Partager cet article
Repost0
4 mai 2012 5 04 /05 /mai /2012 09:36
4 mai 2012 

Ils s'expriment rarement ou jamais. Mais hier, les vannes étaient ouvertes. Les agents de sécurité du privé réclament un minimum de respect pour un métier peu reconnu à commencer par les donneurs d'ordre publics.


On les connaît aux entrées des grandes surfaces. On les côtoie dans les ports et aéroports. On ignore leurs rondes nocturnes sur les sites publics sensibles ou les établissements de soins et d'hébergement. Les agents de sécurité ont de plus en plus de missions à remplir. Pour les syndicats, les entreprises qui se sont engouffrées dans ce secteur en plein boom n'ont pas toujours accompagné socialement cette croissance. «Il est très difficile dans notre métier de bouger, dit une jeune femme. Nous vivons un esclavage moderne, en majorité payé au Smic et parfois au-dessous, vu les grilles de salaire non revalorisées». 

«Énormes économies» 

Une journée de grève nationale a eu lieu hier dans les sociétés de sécurité privées pour dénoncer les conditions de travail. Les récents déboires de l'entreprise Neo Security (5.000 emplois) ont mis en lumière ce secteur d'activité qui a pris d'énormes marchés. À commencer par des missions autrefois dédiées aux gendarmes ou policiers. «Depuis 2003, nous remplaçons les gendarmes sur la base navale à Brest, rappelle un gréviste. Les économies réalisées sont énormes». 

«Faire les toilettes» 

Les salariés de la sécurité expliquent qu'ils n'ont pas de salaire correct mais qu'ils sont aussi soumis à des conditions de travail inacceptable. «Il y a peu j'ai répondu à une offre diffusée par Pôle Emploi pour un poste de surveillance de nuit dans un établissement pour personnes en souffrance. Il était précisé que l'on pouvait être amené à faire des toilettes». «La nuit, dans les établissements sensibles, nous devons aussi faire le travail d'éducateurs spécialisés car nous sommes seuls, ajoute un autre. À nous de gérer toutes les situations». «Et je ne parle pas du balai à passer et des caddys à ranger dans les grandes surfaces, ce qui n'est pas de notre ressort». 

Travail fractionné 
«L'emploi du temps est souvent fractionné: deux heures le matin, deux heures le midi, deux heures le soir. C'est illégal mais même les donneurs d'ordre publics le demandent», explique un salarié. «Ou alors, nous pouvons faire 14heures ou 15heures sans pause». «J'ai fait une fois 21heures sur 24 sans arrêt» appuie un autre. «Nous demandons d'abord le respect, dit un collègue. Nous sommes aujourd'hui de mieux en mieux formés, par contre une partie du patronat fonctionne toujours à l'ancienne quand le marché s'est développé il y a une vingtaine d'années. Pour les délégués du personnel, le comité d'entreprise, c'est le plus souvent une fin de non-recevoir».
 Ronan Larvor

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/finistere/greve-le-ras-le-bol-des-agents-de-securite-04-05-2012-1690506.php

Partager cet article
Repost0
12 avril 2012 4 12 /04 /avril /2012 11:54

 arton354

Mardi 3 avril, 500 travailleurs du groupe Technicolor (ex-Thomson) venant des centres de Rennes, Angers et Issy-les-Moulineaux se sont retrouvés à Paris pour manifester ensemble contre les projets de la direction.


En fait de projet, il s'agit d'une énième restructuration du groupe. Elle consiste, d'une part à supprimer des emplois avec 600 suppressions de postes dans le monde, dont 130 en France, sans compter aussi plusieurs dizaines de postes de prestataires ; d'autre part à vendre des secteurs et même des usines entières, comme celle d'Angers, dernière usine de fabrication du groupe dans le pays.


Cela fait des années que la direction de Technicolor supprime des emplois et vend des pans entiers de l'entreprise, avec bien souvent à la clé un autre plan de licenciements quelques années après dans la partie vendue. Les grandes banques européennes qui contrôlent le groupe Technicolor prélèvent chaque année des sommes colossales de plusieurs dizaines et même centaines de millions d'euros. Par exemple, elles ont restructuré la dette en faisant passer les taux d'intérêt de 2 ou 3 % à près de 10 %. Un des adjoints du PDG l'a d'ailleurs déclaré récemment : « Technicolor travaille d'abord pour les banques. »


Pour maintenir ce flux de profit, la direction cherche donc à présenter la note aux travailleurs par tous les moyens. Une de ses dernières attaques est de « proposer » aux salariés rennais de renoncer à la moitié des 44 licenciements qu'elle prévoit en échange d'une augmentation du temps de travail annuel de douze jours. Quant aux 350 salariés d'Angers, elle projette de les vendre par groupes de 70 à d'hypothétiques repreneurs et, en cas de refus, elle les menace d'une liquidation judiciaire.


C'est bien leur refus de cette politique que les travailleurs venus de Rennes, Angers et Issy ont été crier en manifestation sous les fenêtres de la direction. La direction générale, à Issy, avait transformé son bâtiment en forteresse, faisant appel à un escadron entier de gendarmerie mobile.

 

Cela n'a pas empêché une cinquantaine de travailleurs de pénétrer à l'intérieur, et de faire résonner leurs slogans dans le grand patio du bâtiment. Dans un premier temps, la direction a réagi en faisant intervenir les forces de l'ordre à l'intérieur de son bâtiment. Quelques manifestants ont été brutalement expulsés. Mais, devant la détermination du reste du groupe à opposer une résistance passive à ces brutalités, la direction a préféré arrêter les frais. Et c'est sous les ovations que tout le monde est ressorti une demi-heure plus tard.


Cette journée de manifestation a donc renforcé le moral des travailleurs en lutte et déconsidéré la direction auprès de l'ensemble du personnel. Elle apparaît de plus en plus pour ce qu'elle est : l'instrument de grandes institutions financières prêtes à tout pour maintenir leurs bénéfices. Maintenant la lutte doit continuer et même s'amplifier car la direction n'a pas renoncé à ses plans. Rendez-vous a été pris pour une prochaine manifestation commune fin avril, à Rennes cette fois.


Correspondant LO

 

http://www.lutte-ouvriere-journal.org/?act=artl&num=2280&id=37

Partager cet article
Repost0
5 avril 2012 4 05 /04 /avril /2012 11:35

 arton354

À l'appel de la CGT, 200 travailleurs ont débrayé dans la matinée du vendredi 30 mars pour demander des comptes sur l'avenir de l'usine à la direction de l'usine de Rennes.


En effet l'avenir de cette usine, spécialisée dans la production des véhicules haut de gamme de Peugeot et de Citroën (508 et C5), s'est soudain assombri avec l'accord que PSA a conclu avec General Motors et l'annonce le 26 mars dernier par le PDG, Philippe Varin, que les futurs véhicules haut de gamme Peugeot, Citroën et GM (marque Opel en Europe) seraient conçus sur une plate-forme (base technique) GM.

 

Cette annonce fait légitimement douter sur le choix de l'usine qui fabriquera ces véhicules, PSA à Rennes ou Opel en Allemagne, sachant que PSA et GM répètent qu'ils ont des problèmes de surcapacité en Europe et que des fermetures d'usines sont inéluctables.


C'est donc dans ce contexte que des travailleurs de tous les ateliers se sont réunis sous les fenêtres de la salle où se tenait la réunion du Comité d'entreprise. Ils exigeaient que la direction s'engage sur l'attribution de la fabrication de futurs modèles pour l'usine, après la fin de vie des véhicules actuellement fabriqués, et qu'elle assure l'emploi des 5 800 travailleurs au-delà de 2016.


Les grévistes exigeaient également que la hiérarchie arrête les pressions pour trouver les 226 « volontaires » au licenciement que PSA cherche à Rennes, dans le cadre de son plan de suppression de milliers d'emplois en France.

Des slogans ont été scandés avec force pendant deux heures, pour le maintien des emplois et contre les licenciements. Et c'est sous les huées que le directeur de l'usine a quitté la réunion du Comité d'entreprise.

Pour certains salariés, il s'agissait de leur premier débrayage. Et beaucoup de ceux qui ne sont pas venus le voyaient avec sympathie.


Cette action a redonné le moral aux grévistes, qui ont promis de se remettre en action tant que la direction ne s'engagera pas fermement sur l'avenir de l'usine. Et la mobilisation pourrait alors être plus large, car tout le monde se rend compte que seule l'action collective fait peur à la direction et peut permettre de lutter efficacement contre les suppressions d'emplois.


Correspondant LO

 

http://www.lutte-ouvriere-journal.org/?act=artl&num=2279&id=39

Partager cet article
Repost0
29 mars 2012 4 29 /03 /mars /2012 12:12

 breve-generale-copie-1

Le groupe France Télécom utilise des salariés en sous-traitance pour éviter d'embaucher.

 

Ces ingénieurs ou techniciens travaillent dans le cadre de contrats de mission qui sont renouvelés -- ou pas -- selon les besoins. France Télécom fait pression sur les sociétés de services en ingénierie informatique (SSII) qui emploient ces travailleurs pour avoir les prix les plus bas et cela se répercute sur leurs salaires et leurs conditions de travail.

 

Dans la zone Atalante de Rennes, qui sert de vitrine pour vanter le soi-disant dynamisme de l'emploi dans les hautes technologies, environ 2 000 salariés sont employés directement par France Télécom. Au moins autant, répartis dans plus de 50 sociétés de services, travaillent comme prestataires pour le même groupe !

 

Il y a deux ans, les salariés d'Equant (filiale de France Télécom) et les prestataires avaient contraint leur direction à embaucher 150 d'entre eux. L'inspection du travail avait identifié les méthodes des patrons de la zone Atalante comme s'apparentant au délit de marchandage, c'est-à-dire au prêt de main-d'œuvre illégal.

 

Aujourd'hui, France Télécom a mis en place des artifices pour mieux dissimuler le travail des prestataires. Ceux-ci sont changés de mission tous les 18 mois, quitte à revenir sur une mission précédente ! Des instructions ont été données aux chefs pour que les prestataires fréquentent le moins possible les locaux du groupe et ne viennent sur place que deux ou trois jours par semaine.

 

Ces méthodes, qui compliquent le travail d'une façon absurde, montrent aussi le mépris des dirigeants et de la hiérarchie envers des salariés qui travaillent ensemble. À leurs yeux, les salariés prestataires sont une main-d'œuvre jetable qui a juste le tort de ne pas être complètement transparente !

 

Une pétition demandant l'embauche dans France Télécom de tous les prestataires qui le souhaitent a recueilli 1 300 signatures. Environ 200 salariés de tous statuts ont participé au rassemblement organisé le jeudi 15 mars. Ils ont ensuite défilé dans les bâtiments de France Télécom et des SSII jusqu'à la direction régionale de France Télécom, au cri de « Halte à la précarité, embauche des prestataires ».

 

La directrice a fait semblant de découvrir la situation, et les a renvoyés vers d'autres responsables, espérant sans doute enterrer l'affaire.

 

Mais personne n'est dupe. Cette manifestation a contribué à donner le moral aux travailleurs pour approfondir et étendre la mobilisation. Rendez-vous est pris pour aller demander collectivement des comptes aux dirigeants dans deux semaines. Les patrons de France Télécom et ceux des SSII ne pourraient pas faire rentrer leurs profits sans le travail de tous leurs travailleurs, quel que soit leur statut. Et avec 3,8 milliards d'euros de bénéfices en 2011, France Télécom a largement de quoi embaucher !

 

Correspondant LO

 

http://www.lutte-ouvriere-journal.org/?act=artl&num=2277&id=40

Partager cet article
Repost0
23 février 2012 4 23 /02 /février /2012 09:07

arton354
 

Quelques centaines de sidérurgistes de ArcelorMittal ont occupé, lundi 20 février, les bureaux de la direction de l'usine sidérurgique de Florange.


Décidés à lutte sur la durée, ils ont installé un village de la résistance et de la solidarité sur le site de l'entreprise.

Alertés par la décision d'ArcelorMittal de ne pas faire redémarrer les deux hauts-fourneaux à l'arrêt, ils ont décidé de passer à l'action pour le maintien du site et des 5000 emplois.


Une fois de plus, ce sont les salariés qui trinquent. ArcelorMittal a dégagé un bénéfice de 1,7 milliards d'euros en 2011 et les actionnaires voient leurs dividendes maintenus.


Alors qu'ArcelorMittal a décidé de fermer deux usines en Europe, avec à la clef 6000 suppressions d'emplois, la solidarité doit s'exercer à l'égard des sidérurgistes de Florange.


Chacun se rappelle que les promesses de Sarkozy en 2008 n'ont pas empêché la fermeture de Gandrange!
Seule la lutte des sidérurgistes de Florange et la solidarité permettront de construire le rapport de force pour faire plier ArcelorMittal.


Le NPA soutient totalement les revendications des salariés de Florange pour le maintien du site et des emplois et l'occupation de l'usine.

Partager cet article
Repost0
20 février 2012 1 20 /02 /février /2012 12:34

 

 

Partager cet article
Repost0
16 février 2012 4 16 /02 /février /2012 09:35
Économie mercredi 15 février 2012

Les organisations syndicales CFDT et CGT de Cargill France SAS appellent l’ensemble des établissements à des débrayages de deux heures tous les jeudis !

 

Les syndicats reprochent à la direction les écarts entre les augmentations consenties aux plus hauts salaires et ceux des plus bas salaires : « Les dix rémunérations les plus élevées ont eu une augmentation de 25,3 % pour 2010.

 

Les cadres les mieux placés ont eu une augmentation de 30,6 % en primes et gratifications (bonus et primes de résultat). »


Or Cargill propose 0,85 % d’augmentation générale pour les salaires bruts inférieurs à 42 K€/an. « L’inflation est de 2,6 %. Au plan national, dans la branche chimie, les PME donneront 1,80 % d’augmentation, explique le délégué syndical CFDT Thierry Stenger à Redon.  

 

Et une grosse entreprise comme Cargill, avec ses résultats nets à deux chiffres en million d’euros pour l’exercice 2010-2011, accorde moins de la moitié ! »


Le débrayage aura lieu à partir 10 h ce jeudi.

 

http://www.ouest-france.fr/region/bretagne_detail_-Appel-a-debrayer-a-partir-de-jeudi-dans-tous-les-sites-Cargill-France_40822-2044937_actu.Htm

 

Partager cet article
Repost0

Contactez le NPA du Finistère

 

faou

 

UNE-190.JPG

 

cgt-gg.jpg

 

affiche_Peillon_Fioraso_BAT_0_0.preview.jpg

 

encart npa taille normale

 

 

nukleel-nam-bo-ket.jpg

accueil
*

Brest

06 42 22 96 37

brest.npa@gmail.com

 

Quimper

06 59 71 42 21

quimper.npa@gmail.com
 

Le blog sur les

questions maritimes

L'autre grenelle de la mer

 

Le blog de solidarité avec

les camarades arabes

Revolution arabe 

 

fermoez-fesse.jpg

Recherche

Actions !

Pour plus de détails voir les liens: 

 

diapo prisonnier palestine

Soirée prisonniers palestiniens

AFPS Brest

mardi 16 avril

20H30

Maison des syndicats

 

sortir-copie-1.jpg


manifestants-hopital-SUD-copie-1


Quimper Gourmelen

Rassemblement

vendredi 19 avril

8 h 45


foto2-205-ebf3f

 

Fermez Cofrents

(pays Valencian)

 

 

laniion.jpg

  Concert à Lannion

 

no nuk

 

Dimanche 28 avril

Brennilis

anti-r-1-r-copie-1.jpg

 


robertbelle5mai13DZ

 

 

Mardi 7 mai

 Yves-Marie Le Lay,

Président de

Sauvegarde du Trégor

  Douarnenez

Librairie l'Ivraie à 20h00

 

nddk.jpg

 

yy.jpg

 

st nnonon

 

grece.jpg