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16 octobre 2011 7 16 /10 /octobre /2011 10:06

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12 octobre 2011 3 12 /10 /octobre /2011 12:30

 

On pourra bientôt épandre davantage de lisier


Le décret relevant les plafonds d’épandage d’azote est paru ce jour au Journal Officiel. Fortement contesté par les collectivités bretonnes, il est signé alors que la commission européenne exige de la France des explications sur sa politique de prévention des algues vertes et qu’un rapport du Conseil Général de l’Environnement et du Développement Durable s’inquiète de la facture des pollutions agricoles.

Le Journal Officiel publie ce mardi 11 octobre, le décret ministériel relatif au programme de lutte contre la pollution des eaux par les nitrates. Au printemps dernier, le projet avait soulevé une vague de protestations en Bretagne en particulier auprès des communes littorales envahies par les algues vertes. Le relèvement des plafonds d’épandage de lisier était jugé incohérent avec les programmes engagés pour réduire la pollution par les nitrates.
 

Le décret signé mardi entérine le relèvement des plafonds d’épandage. En limitant à 170 kg d’azote par ha de surface agricole totale (SAU) et non plus par ha de surface potentiellement épandable SPE (déduction faite des surfaces à proximité des cours d’eau, du littoral, des tiers), il va permettre d’augmenter de 20 % les quantités d’azote épandues sur les sols !
 

Pour Jo HERVE, Président d’Eau & Rivières de Bretagne, « les ministres sont restés sourds aux protestations des bretons, et ont signé un décret qui va rendre encore plus difficile la reconquête de la qualité des eaux exigée par la Directive Cadre sur l’Eau».
 

La parution de ce décret intervient alors que la commission européenne exige de la France, dans une lettre du 17 juillet dernier, des explications sur sa politique de prévention des marées vertes. La commission doute que les directives européennes sur les nitrates de 1991 et sur l’eau de 2000 soient correctement appliquées. Les demandes d’explications de la commission portent sur l’ampleur des marées vertes, l’effectivité des actions annoncées dans le plan gouvernemental, la mobilisation de la réglementation, la stratégie pour prévenir les marées vertes sur l’ensemble du littoral breton.
 

« La signature de ce décret est un mauvais coup porté à la reconquête de l’eau et un déni des efforts financiers des bretons pour se débarrasser des marées vertes. On voudrait plomber la politique de l’eau et ne pas atteindre le bon état des eaux exigé par les directives européennes qu’on ne s’y prendrait pas autrement » dénonce JF. Piquot, porte parole d’Eau & Rivières de Bretagne.
 

La facture annuelle des pollutions agricoles, déjà évaluée à 215 euros par personne et dans le récent rapport du Conseil Général de l’Environnement et du Développement Durable, va encore grimper avec une telle décision !
 

Eau & Rivières de Bretagne estime que ce décret viole le principe constitutionnel de précaution et d’action préventive, ignore les recommandations de la Cour des Comptes et engagera un recours devant le Conseil d’État pour faire annuler ce décret absurde.
 

Lire le décret

Lire le rapport du CGEDD

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12 octobre 2011 3 12 /10 /octobre /2011 12:13

sanglier

Sophie Verney-Cailla

Rue89 Rue89

Le décret qui met en colère les écolos bretons est paru au journal officiel. La surface prise en compte pour le calcul du plafond d'épandage d'azote (170 kilos par hectare) est étendue. Plus d'épandage d'azote, cela veut dire à terme plus d'algues vertes.

Rappelons que l'azote organique produit par les effluents animaux comme le lisier, déversée dans les cours d'eau, aboutit à la prolifération des algues mortelles, même si certains agriculteurs nient cette responsabilité.

Eurodéputés bretons mobilisés

Eau et Rivières de Bretagne estime que grâce à ce décret, les quantités d'azote épandu sur les sols pourront augmenter de 20%. Pour Jo Hervé, président de l'association,

« les ministres sont restés sourds aux protestations des bretons, et ont signé un décret qui va rendre encore plus difficile la reconquête de la qualité des eaux exigée par la Directive Cadre sur l'Eau ».

Des eurodéputés bretons de tous les groupes politiques, se sont emparés du dossier. Ils vont tenter une médiation avec Bruxelles afin d'éviter à la France une nouvelle condamnation à des sanctions pécuniaires par la justice européenne.

Par ailleurs, Nicolas Sarkozy a fait mardi un autre cadeau aux agriculteurs : en déplacement dans la Creuse, il a officialisé la réduction, pour 210 millions d'euros, des charges sociales pesant sur les salariés permanents des exploitations agricoles. Une mesure financée par la taxe soda, celle-là même qui risque de favoriser les boissons light.

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29 septembre 2011 4 29 /09 /septembre /2011 13:02


Rennes - 15 Octobre 2011

Rendez-vous mail Mitterrand

 à partir de 12h restauration, buvette, stands, musique
et prises de parole

départ 14h15 de l’esplanade

Organisée par la Coordination Antinucléaire Ouest

http://www.sdn-rennes.org/index.php/page-web-coordination-ouest


Contact : coordination-antinucleaire-ouest@laposte.net




Départs groupés

 BRETAGNE

Vannes/Lorient  
contacter Stop Nucléaire 56
stop-nucleaire56@laposte.net

Nantes et Redon: 

contacter Damien au 06 30 21 32 63 ; sdnlv@sfr.fr

Saint-Nazaire:  
Départ à 12 heures, parking du Théâtre (gratuit), près de la Base sous-marine,
Retour vers 20 heures (soit un départ de Rennes à 18 h 30).
Prix du transport par personne : 12 euros (tarif réduit à 6 euros en cas de difficultés financières).
Pré-inscription par mail à estuaire.stop-nucleaire@du-libre.org, ou par téléphone à Augustin Grosdoy (06 86 00 12 37).

Lannion :
Covoiturage ou bus en fonction du nombre, prendre contact à : sdn-tregor@laposte.net

St Brieuc :
Covoiturage ou bus en fonction du nombre, prendre contact au 02 96 62 06 40
 
Paimpol :
Covoiturage ou car selon nombre : contacter J.C.Camille au 02 96 20 85 11
ou cepaimpol@orange.fr

Quimper :
Car (arrêt possible à Quimperlé), départ 9h parking salle omnisports Michel Gloaguen à Quimper (impasse de l’Odet à coté de la maison des associations, derrière la gare SNCF)
Prix 15 euros (tarif réduit pour petits budgets)
Réservations au 02 98 55 63 76 / 06 84 14 58 87
Courriel : sortirdunucleairecornouaille@yahoo.fr , site :
http://www.sortirdunucleairecornouaille.org/

Brest  :
Départ en car à 9H00 à la gare routière, retour vers 21H00, arrêt possible sur
Landerneau et Morlaix
Participation car : 15 euros
Contact : Christian Bucher - 06 18 85 13 16
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27 septembre 2011 2 27 /09 /septembre /2011 13:12

PAR NOLWENN WEILER (27 SEPTEMBRE 2011)

 

Il n’y a pas que dans les champs que l’on pulvérise des pesticides. Et les agriculteurs ne sont pas les seuls travailleurs victimes de ces produits chimiques. Les salariés qui s’occupent du stockage des céréales sont aussi très exposés. Trois d’entre eux, malades depuis leur intoxication en 2009, ont décidé de porter plainte contre leur employeur, Triskalia, géant breton de l’agroalimentaire. En réponse, l’entreprise a procédé à deux licenciements…


Imaginez un immense silo. À l’intérieur : 20 000 tonnes de céréales, de blé, d’orge, de tritical (mélange de blé et de seigle). Le tout à Plouisy, une commune située à une quarantaine de kilomètres à l’ouest de Saint-Brieuc, dans les Côtes-d’Armor. Destinées à l’alimentation animale, ces céréales attendent d’être transportées vers l’usine qui les transformera et les conditionnera pour les vendre aux agriculteurs. Nous sommes en février 2009. L’entreprise qui stocke, c’est Eolys. Celle qui transporte la marchandise et assure la fabrication en aliments, c’est Nutréa. Toutes deux sont des filiales du groupe Triskalia, géant breton de l’agroalimentaire, qui détient les marques Régilait ou Paysan breton et les enseignes Gam Vert et Magasin Vert.


Mal ventilées au cours de l’hiver 2009, les céréales stockées par Eolys moisissent. Charançons, sylvains et moucherons s’y installent. Pour se débarrasser de la vermine, des ouvriers aspergent les graines d’insecticides. Un de leur collègue, chargé de transporter la marchandise du silo vers les camions, se sent mal : brûlures du cuir chevelu, de la langue, des narines et de la peau.« Ces brûlures étaient intenses, ça piquait, raconte-t-il. Le premier jour, une douche a suffi à faire passer ces sensations. Mais, progressivement, même les douches n’y pouvaient rien et les symptômes s’aggravaient : vomissements, yeux qui collaient, sensation terrible de soif. »


Pesticides à haute dose


Un autre, qui fait partie de l’équipe de fabrication – celle qui réceptionne les céréales, les broie puis les transforme en aliments –, se plaint également de graves maux : « Cela a commencé par un picotement de la langue, puis un mauvais goût dans la bouche, la salive devenait épaisse, la peau me brûlait puis, juste avant de quitter le travail, j’ai craché du sang. »

Alertée, l’inspection du travail mène l’enquête et relève l’utilisation d’un produit interdit depuis deux ans : le Nuvan total. L’insecticide se trouvait dans l’entreprise pour stockage en attendant sa destruction, affirme la direction. Entendus par la gendarmerie à la suite de la plainte contre X déposée par deux des leurs, divers salariés font par ailleurs état d’un surdosage de Nuvagrain, autre produit de traitement, pour l’instant encore autorisé. Le débit de la pompe était réglé sur 48 % au lieu des 10 % réglementaires. Il est même arrivé que le pesticide soit carrément injecté dans le système de ventilation générale sans être dosé correctement.

Le délai de de 48 h à 72 h avant lequel il ne faut pas entrer dans les lieux traités, et spécifié sur les modalités d’utilisation du Nuvagrain, n’a pas été respecté. Aussitôt le traitement terminé, les salariés manipulaient déjà les grains. Des résultats d’analyses effectuées sur les céréales pulvérisées révèlent que certaines atteignent sept fois la dose maximale autorisée ! Il est clair qu’à ce tarif-là les charançons ne résistent pas. Ni les ouvriers, malheureusement.

 

Les salariés victimes mis à la porte


Selon le syndicat Solidaires, qui soutient les travailleurs, 18 personnes sont concernées, sur les 70 salariés que compte le site de Plouisy. « Il arrive de plus en plus souvent que les entreprises fassent appel à des intérimaires, pour ces missions de pulvérisation. Il est probable que plusieurs d’entre eux souffrent de maux semblables à ceux dénoncés par les salariés qui ont porté plainte », insiste Éric Beynel, porte-parole de l’Union syndicale Solidaires. Soutenus aussi parAttac ou les écologistes de Générations futures et Phyto-victimes, les salariés espèrent rompre l’omerta qui règne dans le milieu agroalimentaires sur ce sujet. Ils entendent par ailleurs engager une action en reconnaissance de faute inexcusable de leur employeur devant les juridictions des affaires de sécurité sociale.

« Ils comptent enfin porter devant les prud’hommes le licenciement de deux d’entre eux pour inaptitude, au début de l’été, considérés comme abusifs », ajoute Éric Beynel. Qui précise aussi qu’avant « il y avait beaucoup moins d’utilisation de produits phytosanitaires dans les silos ». Pour éviter que les grains ne se détériorent, sous l’effet conjugué de l’humidité et de la chaleur, un système de ventilation doit souffler de l’air en permanence dans les silos. Mais il arrive désormais que cette ventilation soit coupée, notamment la nuit, histoire de faire quelques économies. Autre nouvelle habitude de gestion : l’allongement des temps de stockage, le cours du marché influant sur la date de commercialisation. Autant de prises de risque que les salariés paient très cher.

Nolwenn Weiler

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27 septembre 2011 2 27 /09 /septembre /2011 12:49
Éducationmardi 27 septembre 2011
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24 septembre 2011 6 24 /09 /septembre /2011 09:35

 

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Des salariés deNutréa-Triskalia estiment avoir été intoxiqués par des pesticides stockés dans les hangars de la coopérative, à Plouisy.

 

Ils se sont tus longtemps. Aujourd'hui, des salariés de l'entreprise agroalimentaire Nutréa-Triskalia basée à Plouisy près de Guingamp (Côtes-d'Armor) ont décidé de parler pour faire éclater publiquement ce qu'ils considèrent comme un scandale : leur intoxication par des pesticides (dont certains interdits au moment des faits comme le Nuvan Total) se trouvant dans des hangars stockant des céréales. Une intoxication très sévère pour certains d'entre eux, qui souffrent de lourds problèmes de santé.

 

L'affaire éclate ce matin : trois des salariés ont décidé de témoigner publiquement dans le cadre d'une conférence de presse, qui se tient en ce moment-même à Paris.

 

«Brûlures, problèmes respiratoires...»

 

Les faits remontent à 2009, suite à l'utilisation « de pesticides pour traiter des céréales infestées par des vermines ». L'Union syndicale solidaire explique que « Certains salariés ont commencé à présenter des symptômes qui réapparaîtront régulièrement par la suite : maux de tête, douleur au ventre, picotement de la langue, trouble du sommeil, saignement de nez, brûlure au visage et cuir chevelu, problèmes respiratoires, crachats sanguins...».

 

Selon les salariés, cette infestation de vermines ne relevait pas du hasard : « Depuis quelques temps, les dirigeants avaient décidé de ne plus faire fonctionner la ventilation la nuit, pour faire des économies... » Les salariés pointent alors l'utilisation notamment du Nuvan Total, interdit au moment des faits. « Et des doses de pesticides utilisés sur les céréales beaucoup plus importantes que la norme autorisée. » Triskalia reconnaît aujourd'hui « une erreur dans l'utilisation d'un fond de bidon de Nuvan Total, alors qu'il n'était plus autorisé sur le marché depuis le 30 juin 2007 », indique Frédéric Soudon, le directeur de la communication du groupe, un poids lourd dans la nutrition animale sur le Grand Ouest.

 

Plainte contre X

 

Si Triskalia indique que « jamais aucun lien n'a été établi entre l'utilisation de ce produit et les maladies développées par certains membres du personnel », elle ne conteste pas les troubles apparus chez les salariés. Et reconnaît que « leur état de santé s'est aggravé à partir de mars 2010. Mais nous n'avons pas d'explication sur l'origine de ces maux ». 

L'entreprise Nutréa de Plouisy, filiale du groupe Triskalia, emploie actuellement 70 salariés dont 18 se disent directement ou indirectement concernés par l'intoxication. « Ils font aujourd'hui l'objet d'un suivi médical », indique l'Union syndicale solidaire, qui accompagne les salariés dans leurs démarches.

Une enquête est ouverte auprès du parquet de Saint-Brieuc. Les deux salariés les plus grièvement atteints ont déposé plainte contre X. Un autre salarié a fait une demande de reconnaissance de maladie professionnelle auprès du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de Saint-Brieuc.

Depuis, deux des plaignants « déclarés inaptes par la médecine du travail ont été licenciés cet été », indique l'Union syndicale solidaire. Des éleveurs, « qui ne souhaitent pas pour le moment témoigner, auraient eu des animaux malades suite à l'ingestion des aliments fournis par l'entreprise ».

 

http://www.ouest-france.fr/region/bretagne_detail_-Plouisy-22-.-Des-salaries-de-Triskalia-crient-a-l-intoxication-aux-pesticides_39382-1992410_actu.Htm

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23 septembre 2011 5 23 /09 /septembre /2011 11:37
Car au départ de Quimper (arrêt possible à Quimperlé)
Départ 9h parking salle omnisports
Michel Gloaguen à Quimper
(Impasse de l’Odet à coté de la maison des associations, derrière la gare SNCF)
prix 15 euros (tarif réduit pour petits budgets)
Réservation au 02 98 55 63 76 / 06 84 14 58 87
courriel: sortirdunucleairecornouaille@yahoo.fr
Retour à Quimper pour 21h (départ Rennes 18h)
Pour voir les autres départs groupés :
Attention notez bien le changement de lieu :
Rassemblement mail Mitterrand
à côté de la place de Bretagne
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23 septembre 2011 5 23 /09 /septembre /2011 09:28
FRANCE INFO - 05:09

Intoxiqués puis renvoyés. Aujourd’hui, trois anciens salariés du groupe agroalimentaire breton Triskalia attaquent en justice leur employeur. Ils l’accusent d’avoir pulvérisé un produit chimique interdit sur les céréales qu’ils transportaient. Gravement malades, ils n’ont pas pu retrouver leur place dans l’entreprise.

Après les agriculteurs, ce sont maintenant dessalariés de l’agroalimentairequi sontvictimes des pesticides. En France, sur certains ports, des hommes, des salariés de l’agroalimentaire surtout, mais aussi des dockers et des chauffeurs routiers, se retrouventexposés, parfois surexposés,à des pesticidesqui servent à laconservation de céréales.

C’est ce qui est arrivé à deux reprises en 2009 et 2010, à trois salariés d’une entreprise agroalimentaire bretonne,Triskalia. Ils ont été incommodés alors qu’ils transfèraient le blé entre le silo et l’usine d’aliment pour bétail situés sur le site de Plouizy dans les côtes d’Armor. Ils ont été tous les trois victimes de vomissements, saignements de nezdémangeaisons. Les symptômes sont immédiats. 


Plus tard, ils découvrent que le blé a été traité par un autre salarié au Nuvan Total un produit chimique interdit. Le groupe agricole et agroalimentaire breton, Triskalia, a reconnu avoir utilisé par erreur le produit
Les salariés intoxiqués ont porté plainte l’an dernier mais le procureur a classé sans suite le dossier. Aujourd’hui ils ne supportent plus les produits chimiques, même ménagers.

Déclarés inaptes par la médecine du travail, ils ont étélicenciés l’été dernier, ils veulent donc aujourd’hui relancer plusieurs procédures. L’entreprise de son côté affirme avoir licencié ces personnes parce qu’elles auraient refusé toute proposition de reclassement.

Des salariés d’une entreprise agroalimentaire de Bretagne intoxiqués aux pesticides. Ils ont été licenciés. Les explications d’Anne- Laure Barral.  (1'15")
 
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22 septembre 2011 4 22 /09 /septembre /2011 11:32

 


Pourquoi ? Toujours pour la même raison. Soutenir la lutte contre les dégats causés par l'agro bizness et ses relais. Soutenir les associations qui se battent contre ce fléau qu'est la pollution générée par l'agro bizness.


De la porcherie industrielle de Trébrivan aux algues vertes qui souillent nos plages, il suffit de suivre la rivière dans laquelle ton marchand de flotte ( non choisi) pompe l'eau qu'il te facture. Les antibios et autres salopries sont compris dans le tarif.


L'agro bizness nous empoisonne par la nourriture, par l'eau, par l'air. Il n'est jamais trop tard pour foutre en l'air ce système absurde et nihiliste imposé par les industriels et les financiers.

Pour ceux qui ne connaitraient pas encore les Ramoneurs, une reprise de bellaciao par les keupons déjantés qui seront bien sûr accompagnés de plein d'autres artistes.

 

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