Notes
(1) www.coordination-antinucleai...
(2) http://www.petitions24.net/nucleair...
Notes
(1) www.coordination-antinucleai...
(2) http://www.petitions24.net/nucleair...
Tintintin, tan tatan tan tatan (musique de Star Wars)
Environnement
L’annonce hier des derniers résultats d’analyse sur la mort des sangliers et d’un ragondin à Morieux fait réagir associations de protection de l’environnement et représentants du monde agricole. Ces données semblent confirmer la responsabilité de l’hydrogène sulfuré, issu de la décomposition des algues vertes, dans cette hécatombe.
André Ollivro, président de l’association Sauvegarde du Penthièvre
« Enfin l’État revient à la raison ! En allant chercher midi à 14 h avec d’autres explications, on a entretenu une peur. Si ce n’est pas les algues vertes, c’est quoi ? Aujourd’hui, on admet que ce sont bien les algues qui sont en cause. Cette information de la préfecture est un appel à l’urgence de mettre en œuvre le plan algues vertes. »
Communiqué de l’association Sauvegarde du Trégor
« La préfecture reconnaît la présence de quantités importantes d’H2S chez des cadavres d’animaux, mais ne conclut pas encore que c’est la cause de la mort. Seulement « la plus probable » ! Il a fallu à nos associations subir dénégations et insultes pour qu’on reconnaisse finalement notre diagnostic, donné dès les premières heures. »
Olivier Allain, président de la Chambre d’agriculture des Côtes-d’Armor
« J’appelle une nouvelle fois à la prudence. Les recherches toxicologiques ont été menées sur certains produits ; il en existe 200 qui peuvent empoisonner les animaux. Le monde de l’élevage et celui de la chasse s’accordent sur un point : il est surréaliste de penser que seul l’hydrogène sulfuré est la cause de la mort de 36 sangliers. »
Morieux
Yves-Marie LeLay, de Sauvegarde du Trégor et André Ollivro, de Sauvegarde du Penthièvre, ont révélé en cette fin d’après-midi à Morieux (22) les résultats de leurs analyses et décidé de porter plainte.
« Sauvegarde du Penthièvre et Sauvegarde du Trégor demandent aux autres associations de nous aider à porter plainte pour mise en danger de la vie d’autrui » a appelé André Ollivro, président de la première association. Réunis en conférence à la chapelle Saint-Maurice qui surplombe l’estuaire du Gouessant, dans les Côtes-d’Armor, où ont été trouvés 36 cadavres de sangliers, les deux associations environnementalistes ont aussi dévoilé leurs résultats de leurs analyses, effectuées mercredi dernier.
L’hypothèse du gaz H2S
Ces analyses ont été réalisées sous le contrôle d’un huissier, Me Corlay et relance l’hypothèse du gaz d’hydrogène sulfuré (H2S) comme cause de mortalité chez les bêtes. Les relevés ont été faits en divers endroits de l’estuaire.
Dans un premier trou, sous une couche de 20 cm d’algues vertes en putréfaction, le détecteur est passé de 20 ppm (partie par million) à 296,8 ppm en quelques secondes. Le scénario se répète plusieurs fois.
Second relevé sur de la vase apparente, de 30 à 405,2 ppm. Le troisième relevé pris dans une vase noirâtre à 30 cm de profondeur, passe de 80 à 432,2 ppm et attend même les limites de l’appareil de 500 ppm. Le quatrième relevé dans un mélange de sable et de vase passe à 30 cm de profondeur passe de 80 ppm à un seuil non chiffrable mais se tient à 498,8 ppm au bout de trente secondes.
Le cinquième relevé a été fait dans l’estuaire du Gouessant, à 15 cm de profondeur, la mesure est de 247,5 ppm. Un relevé a été effectué dans de la vase non souillée par les algues vertes, dans le lit du Gouessant : 0 ppm. Une dose de 19 ppm est déjà jugée nocive.
* Ouest France du 30 juillet 2011 :
http://www.ouest-france.fr/ofdernmi...
A lʼoccasion de la commémoration de la mort de Thiérry Morfoisse le 22 juillet 2009, sur la commune de Binic, les associations ci-dessous adressent leurs plus vives protestations contre lʼOffice du Tourisme de Binic pour sa participation à la plainte contre la campagne dʼaffichage de la Fédération Nationale de lʼEnvironnement.
Cette campagne visait à sensibiliser à juste titre le public contre la persistance des marées vertes et insistait sur leur toxicité, et donc leur danger, en en dénonçant les principaux responsables.
Cette plainte était infondée juridiquement, économiquement, politiquement.
Juridiquement : le Tribunal de Paris a débouté tous les plaignants, sauf ceux qui savaient à lʼavance que cette plainte ne pouvait aboutir, et qui lʼont retirée au dernier moment.
Economiquement : lʼOffice du Tourisme de Binic, comme ceux de toutes les communes du littoral affectées par la pollution par les marées vertes, gagneraient certainement plus à se battre contre les responsables de cette pollution, bien identifiés, que contre celles et ceux qui les dénoncent. En agissant ainsi, il assume la responsabilité de la baisse de la fréquentation touristique, due à cette pollution persistante.
Politiquement : lʼOffice du Tourisme sʼassocie dans son combat contre les associations de protection de lʼEnvironnement à des responsables politiques qui soutiennent dans leur très grande majorité le développement incontrôlé dʼun type dʼagriculture structurellement polluant et conduisant à la formation des marées vertes.
Enfin, il est particulièrement indécent pour lʼOffice du Tourisme de Binic de combattre une campagne dʼaffichage qui signale le danger que représentent les marées vertes, alors que cʼest en transportant des marées vertes des plages de cette commune, quʼun chauffeur de camion a trouvé la mort dans le cadre de ses activités professionnelles, victime dʼune intoxication à lʼhydrogène sulfuré.
Jeanne et Claude Morfoisse ; Carolane Morfoisse ; Côtes dʼArmor Nature Environnement : Thierry Dereux ; Sauvegarde du Penthièvre : André Ollivro ; Sauvegarde du Trégor : Yves-Marie Le Lay ; Sous le Vent, les Pieds sur Terre : Sylvie Gourdon ; Terre et Mer Plérin : Claude Le Roux ; Mona Braz, conseillère régionale UDB
A Binic, le 22 juillet 2011.
SAUVEGARDE DU TRÉGOR et SAUVEGARDE DU PENTHIÈVRE :
À toutes et à tous,
Les mesures faites à Morieux par nos associations prouvent que les sangliers ont nécessairement inhalé des doses létales d’hydrogène sulfuré en fouissant la vase pour chercher des vers, comme tous leurs semblables le font.
Pourquoi les expertises officielles n’ont-elles pas concerné sa présence dans les poumons des cadavres ?
Que signifie la « déviation » de l’enquête vers des cyanobactéries dont la responsabilité a été immédiatement exclue par les laboratoires ?
Et bientôt vers un « providentiel » empoisonnement prémédité, après le fiasco des cyanobactéries, alors que les sangliers ont subi un oedème pulmonaire caractéristique ?
Une transparence bien particulière qui nous porte à croire que la vérité est, une fois de plus, « malmenée ».
Quelles « hypothèses » montées de toutes pièces nous tient-on encore sous le coude...après l’arrivée des aoûtiens ?
La plainte doit faire toute la lumière, car il s’agit bel et bien d’un danger sanitaire très grave, et les victimes potentielles d’août arrivent en masse.
Notre appel s’adresse à toutes les associations prêtes à se joindre à notre plainte, dès que notre avocat en aura établi la formulation, et que nous l’aurons rendue publique et communiquée par internet pour collecter les adhésions.
Cordialement
Sauvegarde du Trégor
Sauvegarde du Penthièvre
Comment évaluer lʼimpact des marées vertes sur tout le littoral ?
Dour Ha Douar Sauvegarde du Trégor
Septembre 2010
Aujourdʼhui, les services de lʼEtat considèrent comme affectée par les marées vertes la portion du littoral où elles sont ramassées. Donc, seules les grandes plages sont concernées, puisquʼelles sont les seules à pouvoir accueillir les engins de ramassage. Vision très partisane, tant il est facile dʼafficher des résultats dans la lutte contre cette pollution en y déployant les moyens mécaniques appropriés. Et quʼimporte le coût ! Voilà comment ces hauts lieux des loisirs touristiques sont rendus aussi propres quʼavant leur fréquentation par ces algues si dérangeantes. Restreindre lʼimpact des marées vertes aux endroits où on les ramasse est un gage de victoire assurée. Tout cela donne du temps pour sʼattaquer aux causes.
Les effets pervers de cette politique ne se sont pas fait attendre. La commune de Locquirec, en Finistère, dans la baie de Lannion, a été soustraite de la liste des communes victimes de cette pollution, faute de pouvoir présenter un bilan convenable des quantités dʼalgues ramassées sur les plages les années précédentes. Pas de ramassage, pas de marées vertes, pas de dommages, pas de danger. Conséquence de ce raisonnement implacable, la Préfecture du Finistère nʼa pas adressé à la commune des panneaux signalant le danger de la putréfaction des masses algales en haut de plage. Toutefois, devant la protestation du maire de Locquirec, ces panneaux ont été livrés après coup, au début du mois de juillet.
A côté de ces grandes plages très médiatisées, que se passe-t-il ?
Dour ha Douar, fédérée dans Sauvegarde du Trégor, ne se contente pas de cette vision simpliste et rassurante. Le littoral breton ne se réduit pas à ces grandes plages très médiatisées. Que deviennent les marées vertes sur les petites plages, et les grèves seulement accessibles par voie piétonnière ? Sur les plateaux rocheux inaccessibles aux engins de collecte ? Sur les rivages érodés où tout ramassage occasionne des prélèvements de sable ou de galets qui les fragilisent ? Elles sʼaccumulent et pourrissent là pendant plus dʼune semaine, loin des regards officiels, et loin de toute comptabilité. Elles présentent ainsi un danger réel et sérieux, par le dégagement significatif dʼhydrogène sulfuré quʼelles provoquent. Voilà ce quʼa constaté à Locquirec un huissier dûment mandaté. Bien sûr, ces conditions se retrouvent dans bien dʼautres communes des côtes bretonnes.
En conséquence, les autorités communales et préfectorales doivent prendre la seule mesure qui sʼimpose : la fermeture de ces plages au public. Enfin, il faut établir dʼurgence, à lʼéchelle de la Bretagne, un inventaire de ces zones à risques.
Pièces jointes ci-après : Constat dʼhuissier : pages 1, 2, 6, 12, 14, 15, 16,17, 23 et 24.
Avis de lʼAgence Nationale de Sécurité Sanitaire : pages 1 à 8.
DOUR HA DOUAR – Ty Fourn 29241 Locquirec – lavarenn@yahoo.fr
SAUVEGARDE DU TRÉGOR – Ty an Oll 22310 Plestin-les-Grèves – lavarenn@yahoo.fr
Denis Beaulier, président de Bretagne terre d’eau pure estime que « ce n’est pas à l’Etat, ni au préfet d’établir le lien entre les algues et la mort des sangliers, mais aux scientifiques.
Je rappelle tout de même que dès la découverte des premiers cadavres de sangliers, sans le moindre résultat d’analyses, Philippe de Gestas, secrétaire général de la préfecture, affirmait que les animaux étaient morts étouffés dans la vase.
On souhaite désormais que l’ensemble des analyses soient rendues publiques. Il ne faudrait pas qu’il y ait de la dissimulation de preuves. Nous sommes peinés de voir que l’Etat s’enlise dans cette histoire et semble faire de la rétention d’informations.
Si nécessaire, nous demanderons au juge du pôle santé du tribunal de grande instance de Paris, à qui les associations ont adressé 1 000 plaintes contre X pour mise en danger de la vie d’autrui au sujet des algues vertes, de se saisir des analyses. »
Des propos relayés par les associations Sauvegarde du Trégor et Sauvegarde du Penthièvre.
Comme au Japon! Dormez braves gens!
Et les sangliers ne voteront pas pour Sarkozy en 2012 contrairement aux producteurs de lisier.
« Ce matin, nous avons repéré des traces fraîches d’une laie accompagnée de quatre ou cinq marcassins. Celle-là était bien vivante. » Guillaume Rulin, de l’Office national de la chasse, est sur la piste des sangliers de la vallée du Gouessant, la rivière qui sépare Hillion et Morieux (Côtes-d’Armor).
Alors que deux nouveaux cadavres, dont la mort remonte à deux ou trois jours, ont été découverts hier - portant le bilan à 35 bêtes sur une quarantaine repérée dans cette vallée - les scientifiques s’interrogent sur cette mortalité « brutale et groupée ».
Le 7 juillet, deux marcassins sont découverts morts dans l’embouchure du Gouessant. Les 33 autres entre le 23 juillet et hier. « La marée entraîne les cadavres, mais on ne sait pas où ils meurent », s’interroge Guillaume Rulin. Ni de quoi…
Les services de l’État se livrent à une véritable enquête policière. « Sur seize animaux autopsiés hier, la plupart présentaient de l’emphysème, de l’oedème pulmonaire et de la congestion. Ce qui indique une mort d’origine toxique », révèle Rosine Danguy, du LDA, le Laboratoire départemental d’analyses. « Les mêmes symptômes que le cheval et les chiens morts par le passé sur les plages », admet la scientifique. « Mais pas suffisant pour incriminer l’H2S, gaz généré par les algues vertes », précise Philippe de Gestas, secrétaire général de la préfecture.
« Des gens sont-ils malades ? »
« L’eau du barrage est polluée. Nos prélèvements dans la rivière indiquent une présence importante de cyanobactéries qui génèrent des toxines dangereuses », explique Catherine Prodhomme, du LDA. Après de vaines premières analyses, elle pistera, aujourd’hui, d’autres toxines, les anatoxines, générées par ces algues microscopiques. Elle recevra l’aide du professeur Luc Brient, de la faculté des sciences de Rennes.
Reste la recherche d’hydrogène sulfuré (H2S) provenant des algues vertes, dont les résultats d’analyses sont attendus la semaine prochaine. Et la piste d’un éventuel empoisonnement délibéré. Des mesures d’air seront aussi effectuées pour mesurer l’exposition de la population.
Car, autour de l’enquête, la tension monte. « Des gens sont-ils malades ? », interrogeait, hier, une journaliste de la BBC soucieuse pour ses auditeurs friands de plages bretonnes. « On se demande pourquoi ces analyses prennent tant de temps », s’inquiétait une touriste suisse, à Saint-Brieuc. Des journaux allemands font également leurs choux gras des algues vertes
Hier, en visite à Lorient, la secrétaire d’État à la Santé, Nora Berra, a déclaré : « Le public doit éviter de s’approcher des zones concernées. » Pas si loin du message - plus emporté - publié par les Verts : « Nous demandons que la population soit informée des risques encourus. »
Marie-Claudine CHAUPITRE.
LEMONDE.FR avec AFP | 27.07.11 | 09h55 • Mis à jour le 27.07.11 | 09h55
Un taux de cyanobactéries "au-dessus du seuil d'alerte mais en dessous du seuil de danger" a été relevé mardi après analyse d'une retenue d'eau, proche du site où dix–huit sangliers morts ont été retrouvés mardi, a annoncé la préfecture des Côtes d'Armor. Ces bactéries relâchent en mourant des toxines dans le milieu naturel, et pourraient être à l'origine de ces morts suspectes.
"Deux prélèvements d'eau ont été effectués le dimanche 24 juillet", le jour de la découverte de huit cadavres de sangliers, dans l'estuaire du Gouessant, dans les Côtes d'Armor, près d'une plage fermée pour cause d'algues vertes. L'un d'entre eux, réalisé dans une retenue d'eau, "fait paraître un résultat en cyanobactérie qui se trouve au dessus du seuil d'alerte mais en dessous du seuil de danger", indique un communiqué de la préfecture.
"Une des hypothèses que nous émettons est que les animaux aient pu boire l'eau d'un plan d'eau victime d'eutrophisation (prolifération d'algues) et qui pourrait contenir des cyanobactéries" dont certaines espèces sont toxiques, a dit à l'AFP Gilles Huet, délégué général de l'association Eau et Rivières de Bretagne.
"Les résultats complémentaires des analyses seront communiqués intégralement" mercredi, a dit la préfecture. Des mesures d'hydrogène sulfuré, un gaz toxique émis notamment lors de la putréfaction des algues vertes, ont par ailleurs été effectuées.
La découverte des sangliers morts a suscité l'inquiétude des élus locaux et ravivé les critiques des associations environnementalistes qui dénoncent depuis des années l'effet néfaste des nitrates qui favorisent la prolifération des algues vertes.
Dans , édition du 15 juillet 2011
Entretien Algues vertes : "Une fuite en avant qui ne s'attaque pas à l'origine du mal"
Un appel à une « occupation festive » de l’aéroport de Nantes Atlantique a été lancé par plusieurs associations. La manifestation des opposants au projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes est prévue à partir de 15 h ce mercredi. Plusieurs associations, partis et syndicats entendent ainsi protester contre la convocation de squatters devant les tribunaux.
Ceux-ci occupent depuis plusieurs mois des maisons et terrains situés dans la ZAD (zone d’aménagement différé) du futur aéroport. Le groupe Vinci, qui construira le nouvel aéroport, a engagé les procédures d’expulsion. Une manifestation est également prévue le 17 août, au tribunal de Saint-Nazaire.
« Tout sera fait pour maintenir le trafic », dit-on à Nantes Atlantique. Il y a deux semaines, les opposants avaient réuni plusieurs milliers de personnes à la Paquelais pour protester contre le projet d’aéroport à 20 km au nord-ouest de Nantes. Vinci, retenu pour construire le nouvel outil aéroportuaire est également le gestionnaire de Nantes Atlantique.
... selon la presse intégriste ! (Dixit Sarko)
Nous on sait depuis Astérix et Obélix que les sangliers sont des famelettes!
Cela ne prouve rien!
Amenez vos enfants jouer dans les vagues d'algues vertes et vous verrez bien qu'ils résistent plus longtemps que les sangliers!
Signé:
Les "pauvres paysans", producteurs de lisier assujétis à l'ISF (împôts sur les grandes fortunes) et qui ne vont pas se baigner dans les Côtes d'Armor, pas cons, eux!
Brest
06 42 22 96 37
brest.npa@gmail.com
Quimper
06 59 71 42 21
Le blog sur les
questions maritimes
Le blog de solidarité avec
Pour plus de détails voir les liens:
Soirée prisonniers palestiniens
mardi 16 avril
20H30
Maison des syndicats
Quimper Gourmelen
vendredi 19 avril
8 h 45
Fermez Cofrents
(pays Valencian)
Concert à Lannion
Dimanche 28 avril
Brennilis
Mardi 7 mai
Yves-Marie Le Lay,
Président de
Sauvegarde du Trégor
Douarnenez
Librairie l'Ivraie à 20h00