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22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 12:19

 

Congres

 

Social vendredi 22 octobre 2010 Ouest France

À l’initiative d’élèves de 1ère en bac pro, une soixantaine de lycéens de l’établissement ont barré à 7 h 30 la rue de Saint-Ilan et établi un barrage filtrant à l’entrée du lycée, laissant passer, à pied, les élèves et professeurs qui le souhaitent. Le blocage a été levé à 9 h 30 par les lycéens qui se rendaient dans la zone commerciale de Langueux pour participer à d’autres actions.

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22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 12:10

 

 

Social vendredi 22 octobre 2010

Après avoir bloqué brièvement leur établissement hier matin, les élèves de la Cité scolaire Chateaubriand, à Combourg, sont à nouveau dans l’action aujourd’hui. Ce matin, ils sont environ 200 à défiler pacifiquement dans les rues de la ville, rejoints par 15 à 20 lycéens venus de Tinténiac. Un baroud d’honneur avant les vacances scolaires qui débutent demain.

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22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 09:55

22 octobre 2010 à 09h18 - Le télégramme


Lorient connait ce matin de très gros encombrements générés par quatre barrages installés aux accès principaux de la zone portuaire par plus de 200 militants cégétistes auxquels se sont joints des militants de Sud. Des feux de poubelle ont été allumés vers 5 heures ce matin, et l'un des barrages filtrant bloque les camions-citernes.


Camions, voitures essaient de se frayer un chemin. de nombreux lorientais ont abandonné leur véhicule et poursuivent leur route à pied.

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22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 09:53

22 octobre 2010 à 09h23


Des manifestants bloquent actuellement les rond-points de Saint-Léonard et du Liziec. Ils empêchent les véhicules de rejoindre la voie-express, dans le sens Lorient-Nantes. Une perturbation qui entraine d'importants bouchons dans le secteur des zones du Prat et de Saint-Léonard. Un groupe de lycéens s'est retrouvé en ville et s'apprête à partir manifester.

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22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 07:26

22 octobre 2010 -Le Télégramme

En cette veille des vacances, une manifestation lycéenne est prévue aujourd'hui. Elle devrait se dérouler dans le centre-ville. Reste à savoir quel succès elle aura.

La situation était presque revenue à la normale hier dans les lycées de la ville. Pas de barrage filtrant à Charles de Gaulle, ni à Jean Guéhenno où la quasi-totalité des élèves ont assisté aux cours. C'est au lycée Lesage que le mouvement faisait preuve encore d'un peu de souffle, avec la présence devant les grilles de l'établissement d'une cinquantaine de lycéens. Ces derniers n'ont toutefois rien fait pour empêcher leurs camarades de se rendre en classe. «Les vacances sont réputées pour casser les mouvements de grève chez les lycéens et ça ne va pas louper. Maintenant, ça ne veut pas dire qu'on arrêtera tout à la rentrée. On pourra peut-être faire des actions symboliques, des actions qui prennent moins de temps» dit Hugo, un lycéen de terminale ES.

 

En attendant, les grévistes de Lesage vont faire un baroud d'honneur en ce dernier jour d'école. Ils programment une manifestation qui devrait débuter par un rassemblement vers 9h30 ce matin sur le port. Direction le centre ville, sans plus de précision. Quelle sera l'importance de la manifestation, c'est la question qui se pose. «Nous sommes passés dans toutes les classes ce matin pour remotiver les élèves, explique Simon. Il faut mettre le paquet pour que cette manifestation soit la plus grosse depuis le début du mouvement». Une manifestation qui serait purement lycéenne. «On ne veut pas que les syndicats y soient associés, parce qu'on veut montrer qu'on n'est pas manipulés».

Manifestation «pacifique»

Si les grévistes de Lesage veulent arriver à «marquer le coup», il leur faudra emporter avec eux les autres lycées publics. C'est ce qui semble se dessiner puisque Charles de Gaulle et Jean Guéhenno devraient être de la partie. Selon les organisateurs, des lycéens de Notre-Dame-Le-Ménimur et Saint-Joseph, ainsi que d'autres venus d'Auray, pourrait se mêler au cortège. Cette manifestation, les meneurs la veulent «pacifique». «Comme dans toute manifestation, il peut y avoir des débordements. Notre rôle sera de les limiter. On n'est pas là pour s'affronter avec les policiers» exhorte Simon. Des profs et des parents d'élèves sont venus soutenir ces lycéens grévistes hier soir devant le lycée Lesage. Une soirée «festive de remobilisation» qui devait s'achever à 22h, pour épargner aux riverains tout risque de nuisances sonores.

  • Loïc Berthy

Quatre lycéens exclus une semaine de l'internat à Lesage

Comme nous l'avions indiqué dans notre édition de mercredi, une pétition circule pour critiquer les sanctions qui menacent les élèves internes du lycée Lesage. Quatre élèves ont effectivement été exclus une semaine de l'internat pour être sortis de l'internat avant l'heure, ce que reconnaît la proviseur Isabelle Legrand. «Ils sont sortis en pleine nuit, malgré l'intervention d'un surveillant qui a tenté de les empêcher». L'un des lycéens concernés, lui, parle d'un départ à 6h, pour se joindre au barrage devant le lycée Lesage. «Je sais qu'on a un devoir d'assiduité, mais pas si cela empiète sur notre droit d'expression et notre droit à manifester», estime-t-il.

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22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 07:22

22 octobre 2010 -Le Télégramme

Festives, bruyantes et colorées. C'est le ton adopté hier par les manifestations lycéennes contre la réforme des retraites. Après un concert revendicatif à midi, les élèves de Félix-Le Dantec ont effectué une «descente» en ville et investi les carrefours.

12h15, hier. Le soleil donne à plein sur le parvis devant le lycée LeDantec. Les décibels, aussi. «Nous sommes là pour faire du bruit!», tonne le guitariste du groupe Psychopat Smiley. Un lycéen, parmi d'autres, qui a choisi la voie (et voix) du rock pour dire au gouvernement sa colère du moment. L'heure est à la revendication, mais aussi à la fête. Les visages sont peinturlurés, comme un symbole guerrier, mais les jeunes filles se trémoussent au gré de la musique. Dans un coin, on trace à la bombe les slogans des banderoles qui partiront défiler en ville, l'après-midi «Les jeunes au boulot, les vieux au repos.» Ou encore: «Fillon, attention. Tu méprises la rue mais tu ne la maîtrises pas». Même Sarko est là, en tenue de scène sur l'affiche qui annonce son nouveau spectacle : «The King of Bling, en tournée dans toutes les raffineries de France».

«Derrière la retraite plein d'autres problèmes»

Après la première partie de concert, Jean-Pierre Lecoq intervient au nom de l'intersyndicale des enseignants. Pour dire que «ce mouvement ne s'arrêtera pas avec les vacances, ni même parce que la loi sera votée». De nouvelles actions sont programmées: distribution de tracts aux abords de la gare de Lannion, entre 16h et 18h et entre 20h et 21h30, aujourd'hui. Probable nouvelle manifestation d'envergure, la semaine prochaine. Démarche entreprise auprès de la mairie pour obtenir un local (peut-être la verrière du centre-Savidan?) où se réunir et échanger au quotidien entre citoyens. «Derrière la réforme des retraites, il y a plein d'autres problèmes de société. Rien que dans le système éducatif, on est en train de massacrer les enseignements technologiques, et de jeter des collègues profs stagiaires dansdes classes sans y avoir été préparés», peste le délégué syndical.

Sit-in dans les carrefours

Après les élèves rockeurs, c'est au tour des enseignants de montrer de quoi ils sont capables,à la batterie et la guitare. Le groupe FMR (Faut manifester régulièrement) remporte un vif succès. Le pique-nique avalé, ils sont près de 300, des lycées Le Dantec et Savina, à descendre en ville. Sit-in chanté sur le pont de Sainte-Anne, haltes place du Marchallac'h et à Saint-Marc. La circulation est déviée, mais pas entièrement bloquée. Il est probable que le scénario se répète encore, aujourd'hui.

  • Valérie Cudennec-Riou
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22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 07:19

22 octobre 2010 - Le Télégramme

La plus grosse manifestation lycéenne depuis le début de la mobilisation contre la réforme des retraites s'est déroulée, hier matin, en ville. De la voie ferrée aux ponts et aux ronds-points, les jeunes ont ensuite essayé de bloquer des points stratégiques, avec plus ou moins de succès.

Trois fois plus que lundi.


Vers 10 h 30, hier matin, un petit millier de lycéens sont rassemblés sur l'esplanade du Grand Théâtre. Il y a les habitués d'Hennebont, Lanester et Port-Louis. Et il y a les nouveaux : les Lorientais de Dupuy-de-Lôme et Colbert, jusque là peu mobilisés, et les Quimperlois du lycée Kerneuzec venus avec leur banderole. Entre 70 et 100 jeunes d'Auray sont encore dans le train pour Lorient. En revanche, on ne dénombre qu'une trentaine d'étudiants de l'UBS toute proche.

 

Sur les rails.


Le parcours est fixé : quai des Indes, cours de la Bôve, rue Foch et cours de Chazelles, pour finir à la gare. Le cortège se met en route en criant et chantant les slogans habituels. Peu après avoir été rejoint par les Alréens, il arrive sur le passage à niveau du cours de Chazelles, où est annoncé un sit-in d'une demi-heure.


Sur les ponts.


Vers 11 h 30, au bout d'un quart d'heure sur les rails, une grande partie des lycéens repart vers le pont Saint-Christophe, sans qu'on sache d'où vient la décision. La petite centaine restante libère bientôt la voie ferrée, avant de rejoindre le pont des Indes. Tergiversations. Vers 11h45, le groupe principal, environ 700 lycéens, arrive sur le pont Saint-Christophe. Ils s'arrêtent quelques minutes, puis repartent vers Lanester. Certains semblent vouloir aller jusqu'au rond-point de Lann-Sévelin, et pourquoi pas sur la voie-express. Les policiers mettent en garde.

 

D'autres, conscients de n'avoir aucun service d'ordre, veulent retourner vers le pont des Indes par l'hôtel de ville de Lanester. «À droite !», crient les uns. «Tout droit !», crient les autres. «C'est bien beau de chanter dans les rues, mais le gouvernement n'entend rien! Nous on veut bloquer !», lance l'un. Finalement, le cortège descend l'avenue François-Billoux vers la mairie. «De toute façon, ils ne seraient pas allés jusqu'à la voie express, commente un policier. On aurait fait en sorte de les dissuader». Après avoir rejoint les autres sur le pont des Indes, tout le monde retourne manger en ville. Tergiversations (bis).

 

À 14h, sur les marches devant le Grand Théâtre, ils ne sont plus qu'entre 200 et 300. Cette fois, certains veulent aller au port et le font savoir. «Il y a plein de CRS, c'est du suicide!», les avertit un jeune au mégaphone. Après plus d'une demi-heure de confusion, ilest décidé d'aller bloquer les ronds-points du Minio et Jean-LeMeaux, sous la pénétrante. «De toute façon, des CRS, il y en aura dans tous les cas», lance au micro un autre jeune.


Sur les ronds-points. Vers 15h 15, le défilé arrive au rond-point du Minio, près du dépôt de la CTRL. Derrière lui, un bouchon s'est formé sur le boulevard Cosmao-Dumanoir. Les jeunes s'assoient sur la chaussée. Après quelques minutes, sans ordre, quelques jeunes partent sur le rond-point Jean-Le Meaux voisin. Intervention. Le commissaire Le Pollozec arrive peu après sur le rond-point du Minio. «Maintenant, on va passer aux interpellations. C'est terminé, vous vous dispersez !». Presque à lui tout seul, il fait évacuer les dizaines de jeunes du giratoire. Une jeune fille qui a répondu est emmenée par deux policiers. Elle ne sera pas interpellée, mais son identité contrôlée. Ce sera aussi le cas d'autres lycéens sur le rond-point voisin, où une quarantaine de policiers délogent les lycéens de la chaussée. «J'ai pas envie de me faire coffrer», dira l'un. «On ne peut pas les laisser là, certains automobilistes sont excédés. Il suffit qu'il y en ait qui pète les plombs, et ça peut dégénérer», conclut un policier. Vers 16 h, tout est terminé.

  • Gwen Catheline

Touché par une grenade, l'enseignant porte plainte

Enseignant à Lanester, il figurait parmi les blessés lors des heurts de mardi dernier. Touché par une grenade explosive, Benoît Symphorien a porté plainte hier.


En photo ou en vidéo, l'image de cet homme à terre, le visage ensanglanté, est l'une des plus diffusées et partagées ces derniers jours sur Internet. Symbole de ces affrontements entre policiers et manifestants qui ont fait trois blessés au pont de Carnel.

Bout de métal dans le cou

Transporté à l'hôpital après avoir été touché par une grenade explosive, Benoît Symphorien, enseignant de 39 ans à l'école Joliot-Curie de Lanester, est ressorti le soir même. Avec une journée d'interruption temporaire de travail. La grenade, qui a explosé à quelques centimètres de sa tête, lui a fait perdre l'équilibre. Bilan: un éclatement des vaisseaux sanguins et un bout de métal retrouvé dans le cou. Présent hier aux côtés des lycéens, l'enseignant est revenu sur cet événement. Sans animosité, mais avec de nombreuses questions. «Je n'étais pas dans les premières lignes. Je me souviens que c'était déjà houleux depuis un certain temps. Il a dû y avoir un ordre qui disait de balancer une grenade explosive. Je n'ai pas entendu de sommations. Elle est partie dans la foule, je n'étais pas plus visé qu'un autre. Après, je n'ai pas de souvenirs».

Plainte contre celui «qui a donné l'ordre»

«Physiquement, cela va mieux. Mais c'esttrès choquant. Mercredi, c'était dur. Je ne me suis pas remis de la manière dont les choses se sont passées. Pourquoi balancer des armes dangereuses au milieu de la foule? Je n'arrive toujours pas à comprendre qu'on puisse tirer sur une foule remplie de femmes, d'enfants, de personnes âgées. Même pour libérer un endroit stratégique. C'est risqué de vouloir disperser de cette manière une foule de 10.000 personnes». Hier après-midi, Benoît Symphorien a porté plainte au commissariat de police pour coups et blessures volontaires. Contre «celui qui a donné l'ordre de tirer». «Nous étions dans un contexte de manifestation pacifiste, comme les jours précédents, je ne vois pas de différence. Il n'y avait pas de guérilla urbaine, pas de heurts... Ce ne sont pas des procédés dignes d'une démocratie».

  • Yves Madec

Robert : «Quel cocktail de gaz dans les grenades»?

Robert s'est reconnu sur l'un des clichés de la manifestation de mardi dernier (Le Télégramme de mercredi, page2), alors qu'il venait d'être pris d'un malaise après les premiers tirs de lacrymogènes. «Dans mon métier, j'ai été amené à détecter ce genre de produits. Dans certaines grenades, il y avait plus que des gaz lacrymo ou suffoquants», estime-t-il. Et d'insister sur son malaise: «larmoyer, tousser, c'est une chose. Mais j'ai été pris de tremblements incontrôlés dans tout le corps. Conduit en fauteuil roulant jusqu'au premier café de la rue de Carnel, où mon fils est venu me prendre, je suis ensuite resté couché quatre heures, avec les extrémités des membres glacées». Quoi qu'il en soit, pour lui, qui affiche quelque 45 années de manifs lorientaises, «il y avait à côté de moi, des enfants dans des poussettes ou tenant la main de leur mère ou de leur grand-mère. Ces enfants n'étaient quand même pas destinés à devenir les cibles des projectiles! Les sommations? On ne les a pas entendues. C'est inadmissible!». Cela n'a pas pour autant entamé sa détermination: «La prochaine manifestation, j'y serai».

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22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 07:16

21 octobre 2010 à 13h24 - Le Télégramme

A 8 h, ce matin 200 élèves ont bloqué un rond point près du lycée Henri-Avril. Les automobilistes arrêtés quelques minutes par le mouvement lycéen ont pu repartir. Sans être véritablement organisés un groupe a défilé en ville. Le mouvement s'est dispersé au cours de la matinée. Ils n'étaient plus qu'une vingtaine à l'extérieur de l'établissement.

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22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 06:58

21 octobre 2010 à 22h11 - Le Télégramme

 

Le mouvement lycéen contre la réforme des retraites se poursuit partout en France. Le ministère de l'Education nationale parlait ce jeudi matin de 300 lycées perturbés. Les syndicats, de 1.300 établissements touchés. En Bretagne, plusieurs lycées sont descendus dans la rue.

 

Le mouvement lycéen se poursuit et la bataille des chiffres aussi. Ce jeudi matin, le ministère de l'Education nationale annonçait que 312 lycées français  étaient perturbés ou mobilisés. Une évaluation bien inférieure à celle de l'Union nationale lycéenne qui parle de 1.300 établissements "mobilisés", dont 900 "bloqués". Les deux acteurs du débat sont d'accord sur un point : le mouvement ne faiblit pas.

Calme


Les actions menées ce matin par les lycéens pour protester contre la réforme des retraites n'ont pas engendré de débordements aussi importants que les jours derniers. Un élève parisien de 17 ans a été interpellé... Et ce jeudi midi, il s'agissait du seul incident à déplorer. Le reste des manifestations lycéennes s'est déroulé dans le calme. 

1.100 lycéens à Lorient


Et en Bretagne ? Les lycéens brestois se sont levés les premiers, bloquant comme à leur habitude depuis le début du mouvement, le boulevard Léon-Blum. Fait marquant de leur matinée : le blocage de la gare en compagnie des métallos du port de commerce. Lorient a également connu une forte affluence. Quelque 1.100 lycéens ont défilé dans la rue engendrant, pour seules nuisances, des ralentissements de la circulation. D'autres manifestations se sont déroulées dans le Finistère, le Morbihan et les Côtes-d'Armor .

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22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 06:56

21 octobre 2010 à 22h05 - Le Télégramme

Au moins 1.500 lycéens et étudiants ont battu le pavé cet après-midi, à Nantes (Loire-Atlantique), pour protester contre le projet de réforme des retraites.

 


Ils étaient 1.500 selon la police, plusieurs milliers d'après les organisateurs.... Des étudiants et des lycéens se sont mobilisés ce jeudi dans les rues de Nantes pour protester contre le projet de réforme des retraites.

Les premiers participants au rassemblement ont bloqué le pont de Pirmil aux alentours de midi, rapporte Presse Océan. Un pique-nique y était organisé. Les manifestants scandaient : "le capitalisme, ça crée des emplois dans les cimetières et les commissariats".


Le pont, la gare, la préfecture


Les étudiants de l'université de Nantes, dont la faculté de lettres et de sciences humaines font l'objet d'un blocus depuis mardi, ont été rejoints par des lycéens

Le cortège s'est rendu ensuite à la gare, puis devant la préfecture en fin d'après-midi où une motion devait être déposée. Plusieurs autres actions ont été menées dans la cité des Ducs de Bretagne au cours de cette journée.

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