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16 février 2013 6 16 /02 /février /2013 09:45

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16 février 2013  

 

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C'est l'intersyndicale du lycée Freyssinet qui a accueilli hier matin, tracts à la main, les 254 proviseurs bretons conviés à Saint-Brieuc par le recteur d'académie et le président du conseil régional.

 

En cause, la dotation horaire annuelle attribuée aux lycées professionnels, prévue à la baisse par le rectorat. Volume horaire qui permet, notamment, s'il est assez conséquent, de mettre en place des cours en dédoublement. Et donc aux professeurs d'assurer un meilleur suivi de leurs élèves.

 

« On nous annonçait une baisse de 60 heures pour notre lycée, par rapport aux 875 de cette année. Ce sont les lycées aux filières industrielles qui sont les plus matraqués par cette baisse de moyens. Trois autres établissements sont concernés dans les Côtes-d'Armor et le Finistère est aussi particulièrement touché », note Hervé Quéau, représentant de l'intersyndicale du lycée.

 

« Ces filières nécessitent des cours en petits groupes car la manipulation du matériel est dangereuse. Les élèves de lycées professionnels doivent également être mieux suivis en cours d'enseignements généraux afin de les préparer à intégrer un BTS », poursuit le syndicaliste.

Des avancées obtenues

La rencontre d'hier avec le directeur d'académie des Côtes-d'Armor, Pierre Benaych, n'a pas été vaine. « On ne perdrait plus que 30 heures de dotation horaire. C'est bien mais les prévisions d'effectifs du rectorat pour la prochaine rentrée sont a minima. On nous a promis une autre réunion en juin pour faire le point. » L'intersyndicale de Freyssinet conseille « aux autres lycées touchés de réagir. »

  • Florian Hervieux

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/cotesarmor/lycees-professionnels-une-baisse-de-moyens-redoutee-16-02-2013-2006980.php

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16 février 2013 6 16 /02 /février /2013 09:35

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16 février 2013 à 07h24 

 

 

Secoués par le plan de restructuration frappant Alcatel-Lucent (140 emplois menacés à Lannion),

 

heurtés par le chômage à la hausse sur le territoire (728 demandeurs d'emplois en plus en 2012), les syndicats CGT, CFDT, CFE-CGC, UNSA, Solidaires mais aussi les élus (du maire de Lannion, en passant par le président de l'Agglo et la députée PS Corinne Erhel) appellent tout le Trégor à manifester ce samedi, de 10 h à midi, à Lannion.


Pour l'occasion, le collectif Trégor Debout qui, en 1996, avait drainé 20.000 personnes dans les rues, sort lui aussi de son sommeil. L'union sacrée : la seule façon de peser estiment les organisateurs qui rappellent que chaque mauvais coup porté à la Telecom Valley bretonne est un mauvais coup pour tout le territoire, secteurs publics et privés confondus.

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http://www.letelegramme.com/ig/generales/economie/manif-pour-l-emploi-lannion-pret-a-refaire-front-samedi-12-02-2013-2002103.php

Manifestation pour l'emploi à Lannion. Les appels à la mobilisation

15 février 2013 à 16h33


Combien seront-ils à manifester demain pour l'emploi ? Tandis que les syndicats tractent à tout va, les partis de gauche et AC ! Trégor appellent à la mobilisation.

Ce soir, le maire de Lannion appellera solennellement son conseil, toutes sensibilités confondues, à défiler, demain, de 10 h à midi, pour l'emploi en Trégor. Un message que porte conjointement la gauche locale.

« Le Trégor veut vivre »

Ainsi, dans un communiqué, l' UDB (section de Lannion/Perros-Guirec) écrit qu'après une année déjà difficile en 2012 (+ 11 % de chômeurs), les Trégorrois ne peuvent accepter de nouvelles coupes dans les emplois. Il est temps de dire stop aux délocalisations, stop au dumping social. Comme elle a su le faire dans le passé, la population du Trégor doit se mobiliser en masse. (...) Le Trégor veut vivre ! » Message aussi limpide du côté du Front de Gauche, qui estime qu'une « alternative à l'austérité est possible, elle passe, entre autres, par la lutte contre le chômage, l'arrêt des licenciements boursiers et des fermetures d'entreprises, une véritable ré-industrialisation écologique. (...) Rien n'est en effet plus urgent, que de rassembler le plus largement possible ». Topo dans le même tempo du côté d'EELV Pays du Trégor, qui « apporte son soutien aux Trégorrois dont l'emploi est menacé (Alcatel-Lucent, AEG, TPG, Devoteam, PECI, Petitbon...).

« Empêcher les licenciements »

De son côté, l'association AC ! Trégor (Agir ensemble contre le chômage et l'exclusion) rappelle « que jamais le chômage n'a jamais été aussi développé sur notre bassin d'emploi et que les conditions de vie des privés d'emploi sont de plus en plus difficiles. La première action pour lutter contre le chômage est d'empêcher les licenciements ».

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http://www.letelegramme.com/local/cotes-d-armor/lannion-paimpol/ville/manifestation-pour-l-emploi-les-appels-a-la-mobilisation-15-02-2013-2005937.php

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15 février 2013 5 15 /02 /février /2013 09:42

15 février 2013 à 06h49 

 

Secoués par le plan de restructuration frappant Alcatel-Lucent (140 emplois menacés à Lannion), heurtés par le chômage à la hausse sur le territoire (728 demandeurs d'emplois en plus en 2012), les syndicats CGT, CFDT, CFE-CGC, UNSA, Solidaires mais aussi les élus (du maire de Lannion, en passant par le président de l'Agglo et la députée PS Corinne Erhel) appellent tout le Trégor à manifester samedi, de 10 h à midi, à Lannion.

 

Pour l'occasion, le collectif Trégor Debout qui, en 1996, avait drainé 20.000 personnes dans les rues, sort lui aussi de son sommeil. L'union sacrée : la seule façon de peser estiment les organisateurs qui rappellent que chaque mauvais coup porté à la Telecom Valley bretonne est un mauvais coup pour tout le territoire, secteurs publics et privés confondus.

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http://www.letelegramme.com/ig/generales/economie/manif-pour-l-emploi-lannion-pret-a-refaire-front-samedi-12-02-2013-2002103.php

 

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Manifestation-pour-l-emploi-samedi-Pour-qu-on-n-oublie-pas-Le-Tregor-_40805-2164195------22113-aud_actu.Htm

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14 février 2013 4 14 /02 /février /2013 12:30

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14 février 2013 

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Exposés à l'amiante pendant des années, cinquante-sept ouvriers de l'usine de chaudières Chaffoteaux réclament, chacun, 27.000 € de préjudice à leur ancien employeur. Le jugement sera rendu en juin. Des dizaines d'autres dossiers vont suivre.


Conseil de Prud'hommes de Saint-Brieuc, hier matin. Dans la salle d'audience archi-pleine, ils sont plus de 50 ex-salariés de Chaffoteaux. Certains partis à la retraite depuis près de vingt ans. D'autres licenciés économiques, en 2009, au moment de la fermeture du site. Tous réclament la même chose : le règlement de leur « préjudice d'anxiété » et de leur « préjudice de bouleversement des conditions d'existence ». Soit 27.000 €. La raison : l'exposition à l'amiante pendant leurs années de travail chez le fabricant de chaudières.

Poussières extrêmement volatiles

« Aujourd'hui, la maladie ne s'est pas déclenchée chez ces personnes. Mais ils présentent les symptômes de ceux qui ont été exposés à l'amiante : trouble du sommeil, bronchites chroniques, essoufflement, rhumes à répétition... », plaide Florence Richefoux. « Ils ont conscience d'avoir quelque chose en eux. Le sentiment qu'ils seront peut-être malades demain », martèle l'avocate. D'après elle, pas de doute, les ouvriers ont été « contaminés » par les poussières d'amiante, « extrêmement volatiles », présentes dans les ateliers de brasage, de tôlerie, d'outillage et de montage jusqu'en 1996. « C'était le royaume de la soufflette dans cette usine.

 

En plus de nombreux salariés mangeaient le matin et le soir sur leur poste de travail », relate l'avocate. Défenseur du groupe italien Ariston Thermo Group (ATG), propriétaire de Chaffoteaux, Me Herpin ne partage pas du tout le même diagnostic. « La moyenne d'âge des demandeurs présents aujourd'hui dans la salle est de 60 ans. Ils ne peuvent pas avoir le même état de santé qu'à 20 ans. Alors quand on me parle de trouble du sommeil ou d'essoufflement... ». L'avocate poursuit, devant une salle scandalisée : « Certains, parmi eux, exercent encore une activité professionnelle ou sportive. Ce ne sont pas vraiment des symptômes de victimes de l'amiante ».

Du grillage comme cloison

Pour la représentante de Chaffoteaux, tous les plaignants n'ont pas été exposés aux poussières. « Il n'y en avait que dans l'atelier brasage ; atelier qui était coupé des autres postes de travail par des cloisons », soutient Me Herpin, provoquant de nouvelles réactions dans la salle. « C'était du grillage ces cloisons », s'offusque une ancienne ouvrière. « Six personnes (*), soit 0,3 % de la population de l'usine, ont déclaré une maladie liée à l'amiante. On ne peut pas parler, comme la partie adverse, de contamination », conclut, imperturbable, l'avocate, pour qui les ouvriers n'ont pas « apporté la preuve » de leurs préjudices. C'est désormais aux juges de trancher. Leur jugement est attendu le 26 juin prochain. D'ici là, des dizaines d'autres dossiers Chaffoteaux devraient être examinés par la juridiction briochine.

* D'après l'avocate des ouvriers, au moins 15 anciens salariés sont aujourd'hui malades de l'amiante.

  • Julien Vaillant

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/cotesarmor/chaffoteaux-contamines-par-l-amiante-14-02-2013-2004605.php

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14 février 2013 4 14 /02 /février /2013 11:12

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Lundi 11 février, la Préfecture organisait une réunion « tripartite » ( État, élus, patrons et syndicats de PSA) pour discuter de l'avenir des emplois alors que les patrons ont décidé d'en supprimer un sur quatre dans l'usine de Rennes.


Denis Martin, directeur industriel du groupe PSA, avait fait le déplacement. À part un atelier de rénovation de rames TGV concernant 70 emplois, il n'avait rien de précis à proposer. Il s'est quand même permis de prétendre qu'il espérait trouver 1 000 à 2 000 emplois dans le bâtiment, l'agro-alimentaire, l'outillage industriel ou le militaire... et il n'a pas oublié de demander aux collectivités locales d'épauler financièrement ces projets fumeux.


Ce monsieur parle beaucoup de futurs emplois qui n'existent pas, mais l'assemblage du futur modèle de voiture qui devait commencer en 2016... est retardé. Et la « revitalisation du site » dont parle PSA se traduit aujourd'hui par un bâtiment industriel vide à proximité de l'usine de montage, suite au départ du sous-traitant Vistéon il y a deux ans.

Quant à l'emploi, que ce soit dans l'agro-alimentaire, le bâtiment ou la sous-traitance automobile, il chute fortement depuis plusieurs mois au point que le département d'Ille-et-Vilaine connaît un des plus forts taux d'accroissement du chômage dans le pays.


Personne dans l'usine ne croit vraiment aux « pistes » proposées, mais le journal local, Ouest-France, n'a pas hésité à titrer, le lendemain de la réunion, sur les « nouvelles pistes de reconversion du site ».

 

L'objectif de ce rituel de réunions est de calmer les inquiétudes avec le but de faire croire, autant et aussi longtemps que possible, que personne « ne restera au bord du chemin ».


Dans l'usine, le malaise est pesant et la direction craint qu'il ne se transforme en colère. Elle avait prévu de réorganiser la production en passant de 46 à 34 véhicules/heure. Paradoxalement, diminuer la production à PSA, cela veut dire plus de travail pour chaque ouvrier, l'effectif sur la ligne de montage étant réduit par le biais du chômage partiel...

 

Consciente des tensions que cela peut provoquer, tout particulièrement dans le contexte actuel, la direction a préféré reporter son projet. Cette crainte de la colère ouvrière était aussi perceptible à la préfecture, transformée par le préfet en camp retranché avec barrières cadenassées devant les portes et huit fourgons de CRS déguisés en robocop.


Correspondant LO

 

http://www.lutte-ouvriere-journal.org/?act=artl&num=2324&id=22

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13 février 2013 3 13 /02 /février /2013 10:35

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Éducation mardi 12 février 2013
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La manifestation de protestation contre le décret des rythmes scolaires a mobilisé 700 manifestants à Saint-Brieuc selon la police, 1 000 selon les principaux syndicats enseignants organisateurs, le Snuipp-FSU et le SE-Unsa. Tandis que FO indiquait de son côté qu’elle avait compté 1 500 manifestants.


L’appel à la grève était intersyndical.

 

Mais derrière une unité de façade, les syndicats ne partagent pas la même position vis-à-vis du projet de loi de refondation de l’école et du décret sur les rythmes scolaires. CGT, FO, Sud, le CNT et la FAEN demandent l’abrogation pure et simple du décret sur la semaine de 4,5 jours. Tandis que le SNuipp-FSU (majoritaire) et l’Unsa demandent le report de son application à la rentrée 2014 et plus de concertation. Sur le parcours de la manifestation de la place de Robien à la préfecture, on a beaucoup entendu FO, rejoint par la section des agents municipaux.


Un seul mot d’ordre fait l’unanimité : l’Éducation doit rester «nationale et non territoriale».

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http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Cotes-d-Armor.-Rythmes-scolaires-entre-700-et-1-000-manifestants-a-Saint-Brieuc_40825-2163295------22070-aud_actu.Htm


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13 février 2013 3 13 /02 /février /2013 10:14

13 février 2013 à 07h04 

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Secoués par le plan de restructuration frappant Alcatel-Lucent (140 emplois menacés à Lannion), heurtés par le chômage à la hausse sur le territoire (728 demandeurs d'emplois en plus en 2012), les syndicats CGT, CFDT, CFE-CGC, UNSA, Solidaires mais aussi les élus (du maire de Lannion, en passant par le président de l'Agglo et la députée PS Corinne Erhel) appellent tout le Trégor à manifester samedi, de 10 h à midi, à Lannion.

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Pour l'occasion, le collectif Trégor Debout qui, en 1996, avait drainé 20.000 personnes dans les rues, sort lui aussi de son sommeil. L'union sacrée : la seule façon de peser estiment les organisateurs qui rappellent que chaque mauvais coup porté à la Telecom Valley bretonne est un mauvais coup pour tout le territoire, secteurs publics et privés confondus.

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http://www.letelegramme.com/ig/generales/economie/manif-pour-l-emploi-lannion-pret-a-refaire-front-samedi-12-02-2013-2002103.php

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12 février 2013 2 12 /02 /février /2013 13:34
Économie lundi 11 février 2013
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Après un rassemblement , à l'appel du comité de soutien aux salariés de PSA, place de la mairie, à Rennes, une centaine de salariés de l'usine de la Janais et des citoyens solidaires du personnel manifestent devant la préfecture Martenot, où se tient une réunion tripartite sur l'avenir de l'usine.

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Le site est sous la menace d'un plan de suppressions de 1400 postes, sur 5400 salariés. La CGT réclame l'annulation pure et simple du plan de licenciements et la mise en place de mesures d'accompagnement au départ des salariés de plus de 55 ans (900 salariés concernés).

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Les manifestants organisent des barrages filtrants de la circulation rue Guillaudot.

http://www.ouest-france.fr/region/bretagne_detail_-PSA-Rennes.-Manifestation-et-barrages-filtrants-devant-la-prefecture-%5Bvideos%5D_40823-2162824_actu.Htm

 


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12 février 2013 2 12 /02 /février /2013 13:18

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12 février 2013 - 

Les organisations syndicales des Côtes-d'Armor FERC-CGT, FNEC-FP FO, FO territoriaux, SUD éducation, SUD-CT, FSU - SNUipp et SE-Unsa appellent à un mouvement de grève aujourd'hui.

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Selon les syndicats, 60 % des personnels enseignants et des Atsem (agents territoriaux spécialisés des écoles maternelles) seront grévistes. Un rassemblement est prévu à 13 h, place de Robien, pour manifester et revendiquer l'abrogation du décret sur les rythmes scolaires, mais aussi pour exiger une amélioration des conditions de travail et de rémunération.

 

Principal syndicat du primaire, le FSU - SNUipp demande une réforme « réussie pour les élèves et construite avec les enseignants ». Le syndicat dénonce aussi les « inégalités » que créeraient les rythmes prévus par le ministère, s'inquiète à l'idée que les conseils d'écoles n'ont pas été consultés et juge « inconcevable d'imposer aux enseignants un allongement de leur amplitude de travail à l'école ».

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http://saint-brieuc.letelegramme.com/local/cotes-d-armor/saint-brieuc/ville/mobilisation-60-de-grevistes-et-36-ecoles-touchees-12-02-2013-2002398.php

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12 février 2013 2 12 /02 /février /2013 13:08

12 février 2013 à 10h44

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Comme ils l’avaient annoncé hier, les salariés Louisiane (construction de mobile-home) de Loudéac sont en grève aujourd’hui où se déroule la troisième et dernière réunion du plan de sauvegarde de l’entreprise (PSE).

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Une action deux fois moins suivie que le débrayage de lundi matin puisque 45 ouvriers, soit le tiers de la production, sur les 149 personnes de la société n’ont pas repris l’embauche ce matin 8 h.  "Tout le monde ne peut pas se permettre de perdre une journée de salaire", explique Jean-Louis Abautret, délégué Force Ouvrière. Mais une action qui traduit la colère du personnel face à l’annonce des 34 suppressions d’emploi.

Besoin de clarifications


"Ces licenciements ne nous semblent pas justifiés par le groupe Finadorm, l’actionnaire principal, d’autant plus que les bilans économiques de 2012 ne nous ont pas été fournis, ajoute Jérôme Queinnec, délégué du personnel FO. Nous demandons des clarifications. En cinq mois, la direction n’a pas bougé et nous avons l’impression qu’elle encore plus dans le flou que nous".
Hier, les explications fournies par le directeur du site, Frédéric Robert, n’ont, en effet, convaincu personne.


Qu’elles concernent l’embauche d’intérimaires "pour remplacer dix personnes en arrêt" ou les projets 2014. "Nous voulons des réponses sur notre avenir immédiat. Même si nous avons que l’activité a diminué, il y aurait moyen de mieux répartir la charge de travail sans licencier".

Aujourd’hui, les électriciens, plombiers et monteurs de meubles étant en grève, la chaîne de production sera fortement ralentie. Les salariés attendent les décisions du comité central d’entreprise, réuni ce matin, puis du comité d’entreprise du site de Loudéac, qui devrait se tenir dans la foulée pour décider de la reprise du travail ou du durcissement du mouvement.

  • Annie Quelven

http://www.letelegramme.com/local/cotes-d-armor/rostrenen-loudeac/ville/loudeac-la-colere-monte-a-l-entreprise-louisiane-12-02-2013-2003105.php

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