Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
19 décembre 2012 3 19 /12 /décembre /2012 10:56

*

19 décembre 2012 à 07h27 

*

Agrandir le texte

Les syndicats CGT de l’aide et du maintien à domicile appellent les salariés de ce secteur à faire grève et à se rassembler, vendredi, à 10 h, devant le conseil général du Finistère, à Quimper.

*

La CGT fait circuler une pétition nationale en faveur de la revalorisation des conditions de travail et salaires dans ce champ d’activités, alors que des réunions paritaires avec les employeurs sont prévues vendredi.

*

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/finistere/finistere-manifestation-vendredi-a-quimper-des-salaries-de-l-aide-a-domicile-18-12-2012-1947793.php

 


Partager cet article
Repost0
18 décembre 2012 2 18 /12 /décembre /2012 09:21

*

18 décembre 2012 

*

Les salariés du Centre départemental d'action sociale (CDAS) de Carhaix ont débrayé, hier matin, à l'appel de la CGT.

 

Leur but: protester contre le manque de stabilité au niveau des effectifs et, en particulier, une «succession de contractuels sur des postes qui demandent du suivi».

 

Les grévistes prennent l'exemple du service protection de l'enfance qui, sur un poste, a vu se succéder cinq éducateurs en quinze mois.

 

La CGT a alerté le conseil général dont dépend le CDAS mais «attend toujours une réponse».

 

À l'appel d'une intersyndicale, une manifestation départementale, incluant l'action sociale et les routes, est prévue le 24 janvier, à Quimper.

*

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/finistere/carhaix-les-salaries-du-cdas-debrayent-18-12-2012-1946670.php

  *

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Carhaix.-Les-agents-du-Centre-departemental-d-action-sociale-en-greve-lundi_40781-2143841------29024-aud_actu.Htm


Partager cet article
Repost0
30 novembre 2012 5 30 /11 /novembre /2012 12:09

*

30 novembre 2012 

*

Deux cents salariés du secteur sanitaire, social et médico-social, en grève, se sont mobilisés, hier, pour la défense de leur convention collective. Une délégation intersyndicale a été reçue en sous-préfecture.

*

À l'appel des syndicats CGT, FO, CFTC et Sud du Finistère, ils ont été 200 salariés du secteur sanitaire, social et médico-social à se rassembler, hier, en matinée, devant la sous-préfecture, à Brest. Plusieurs d'entre eux s'étaient élancés un peu plus tôt, en opération escargot, du siège de Ty-Yann au port de commerce. D'autres avaient fait le déplacement du centre de Perharidy à Roscoff. «Lors des quatre séances de commissions mixtes paritaires, sur la renégociation de la convention collective 51 qui couvre le secteur sanitaire, social et médico-social, la Fédération des employeurs (Fehap) n'a eu de cesse de maintenir sa vision unilatérale sur la suppression des 15points conventionnels, avant de mettre un terme à la négociation. Le ministère l'a contrainte àles rouvrir mais la Fehap n'a rien cédé à nos demandes», estime l'intersyndicale locale.

«Plus de CC51 dans trois jours si...»

Un avenant a été présenté le12 novembre par la Fehap, que la CFE-CGC et la CFDT ont signé. Une signature qui serait toutefois contestée au niveau local par ces deux syndicats. «Il accorde principalement quelques avantages aux salariés cadres», indique Franck Monfort, de la CGT. Force ouvrière et la CFTC ont déjà fait valoir leur droit d'opposition et la CGT est en consultation au plan national car les enjeux sont forts. «Le droit d'opposition serait alors majoritaire et aurait pour conséquence directe d'annuler l'accord signé par la CFDT et la CFE-CGC. Si c'est le cas, le 2 décembre, nous n'aurons plus de convention collective. Il ne restera que le droit du travail, avec des salariés à différents statuts, analyse Jacques Le Borgne, délégué CGT.

 

La Fehap pourrait alors demander au ministère d'appliquer la décision rejetée initialement par l'ensemble des organisations syndicales». Une décision qui n'impacterait pas les salariés embauchés avant le 1er décembre (date d'expiration du préavis de dénonciation de la convention collective 51). Leurs avantages individuels seraient maintenus. «Avec la recommandation patronale, on perdait 30% environ des acquis de la convention collective 51.

 

Avec l'accord du 12novembre, on se situe entre 20 et 25%, calculent encore Stefano Deblasio et Yves Marrec, délégués Sud, à Perharidy où s'est tenue, dans l'après-midi, une assemblée générale. Nous demandons au gouvernement du temps pour négocier avec la Fehap. Et, avant de revenir sur notre convention collective, nous aimerions que l'on s'attaque à résoudre des indices de salaires situés en dessous du Smic». Reçue en sous-préfecture, l'intersyndicale a demandé àce que l'État se positionne pour ne pas agréer la proposition patronale de la Fehap.

  • Karine Joncqueur

*

http://brest.letelegramme.com/local/finistere-nord/brest/ville/convention-collective-51-200-manifestants-la-defendent-30-11-2012-1925535.php

 

Saint-Brieuc. 150 salariés des établissements médico-sociaux dans la rue

*

Social jeudi 29 novembre 2012
*

À l’appel de la CGT, de FO et de Solidaires, les salariés des établissements privés d’hospitalisation, de soins, de cure et de garde à but non-lucratif, et répondant à la convention collective 51, étaient appelés à la grève, hier, pour dénoncer les amendements qui modifient leur condition de travail. Plus de 150 d’entre eux ont manifesté, hier matin, devant les grilles de la préfecture à Saint-Brieuc. Ils s’indignent du « démantèlement » de la convention collective et de la signature en « catimini » par la CFDT et la CFE-CGC d’un accord minimaliste. « C’était la plus vieille convention et la plus avantageuse », s’indignent les syndicats grévistes qui pointent du doigt les reculs voulus par les employeurs.


Appel à la médiation du gouvernement

*

Après déjà avoir fait appel aux ministères de la Santé et du Travail pour désavouer les amendements patronaux, ils demandent à nouveau aujourd’hui que le gouvernement dénonce cet accord avec un syndicat « minoritaire ». Cette modification, selon les représentants de syndicats, menace les conditions de travail et rend encore plus difficile le recrutement des jeunes alors que la pyramide des âges amène à un renouvellement important du personnel.

*

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Saint-Brieuc.-150-salaries-des-etablissements-medico-sociaux-dans-la-rue_40825-2138567------22113-aud_actu.Htm

Partager cet article
Repost0
29 novembre 2012 4 29 /11 /novembre /2012 12:01

29 novembre 2012 à 10h51

*

Plusieurs quotidiens nationaux manquent ce matin dans les kiosques du Nord-Finistère.

*

Les 19 salariés du dépôt de Brest diffusion presse (BDP), à Plouédern, sont en grève. Ils débrayent pour la quatrième fois depuis juillet pour s'opposer au plan de restructuration de Presstalis, leur propriétaire, qui privilégierait une solution d'externalisation de l'activité, dans un contexte de difficulté économique traversée par leur secteur. Ce plan coûterait leur place à 1.250 salariés sur les 2.500 qu'emploie actuellement Presstalis, partout en France.

*
A Plouédern, les salariés, soutenus par la SGLCE-CGT, veulent le maintien de leur dépôt et de son activité. Leur délégué explique que des diffuseurs du Nord-Finistère les soutiennent : Younès El Hallah redoute toutefois le déclenchement des procédures de licenciement avant la fin de l'année.

*

http://brest.letelegramme.com/local/finistere-nord/brest/landerregion/plouedern/plouedern-29-brest-diffusion-presse-en-greve-29-11-2012-1924930.php

 


Partager cet article
Repost0
27 novembre 2012 2 27 /11 /novembre /2012 13:13

Quimper. Une vingtaine d'employés devant la direction de l’enseignement catholique ce soir

Éducation mercredi 28 novembre 2012

Une vingtaine d’employés de service et d’éducation de l’enseignement catholique campent ce mercredi soir depuis 17 h 30 devant le bâtiment de la direction de l’enseignement catholique à Quimper (Finistère).


« Dernière journée de négociation »


Ils n’ont pas été autorisés à entrer dans les locaux mais comptent bien passer la nuit sur le parking pour se faire entendre. « Demain est la dernière journée de négociation de la convention collective », signale Martine Lestrant, de la CFDT. Faute d’avoir pu rencontrer l’un des négociateurs, ils ont pu échanger sur le parking avec Patrick Lamour, directeur départemental de l’enseignement catholique et Gilbert Hascoet de l’Udogec (Union Départementale des Organismes de Gestion de l’Enseignement Catholique).


Les salariés s’inquiètent de voir approcher la fin de leur convention collective le 14 décembre 2012. Cette convention est en renégociation depuis 18 mois à la demande de l’Ogec, l’association employeur.

 

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Quimper.-Une-vingtaine-d-employes-devant-la-direction-de-l-enseignement-catholique-ce-soir_40820-2138217------29232-aud_actu.Htm

*
Faits de société mardi 27 novembre 2012
*

Une quinzaine de salariés de l’Organisation de gestion de l’enseignement catholique de l’établissement scolaire de Saint-Joseph ont débrayé ce mardi, entre 12 h et 13 h 30 pour dénoncer la nouvelle convention collective alors que se déroulent en ce moment des négociations à Paris entre les syndicats et le collège employeur. Ils protestent notamment contre l’allongement de leur durée de travail.

Une action menée également du côté du lycée de Saint-Marc avec six autres salariés de l’Ogec.

*

http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Concarneau.-Les-salaries-de-l-Ogec-de-Saint-Joseph-debrayent_40771-2137686-pere-bre_filDMA.Htm*

Quimper. Débrayage du personnel de service et d’éducation du Likès ce midi
Éducation mardi 27 novembre 2012
*  
Une centaine d’employés de service et d’éducation du lycée le Likès à Quimper (Finistère) ont débrayé ce mardi de midi à 13 h.

*

Ils s’inquiètent de voir approcher la fin de leur convention collective le 14 décembre 2012. Cette convention est en renégociation depuis 18 mois à la demande de l’Ogec, l’association employeur. Les négociations portent notamment sur le temps de travail annuel des employés.

*

http://www.ouest-france.fr/region/bretagne_detail_-Quimper.-Debrayage-du-personnel-de-service-et-d-education-du-Likes-ce-midi_40820-2137711_actu.Htm

*

Plénée-Jugon. Collège Croix-de-Pierre : les personnels non-enseignants débraieront demain
*
Éducation lundi 26 novembre 2012
*

Les personnels non-enseignants du collège plénéen la Croix-de-Pierre s’associeront demain, mardi 27, entre 12 h et 13 h au mouvement de débrayage lancé par leur intersyndicale Fep-CFDT, SPELC, Snec-CFTC. Ce mouvement de grogne fait suite à la dénonciation, en 2010, par la Fédération nationale des organismes de gestion des établissements de l’enseignement catholique de la Convention collective des personnels des services administratifs et économiques des établissements d’enseignement privés.


« Sans convention collective »

*

« Faute de réelles négociations permettant la signature d’un accord collectif acceptable, nous allons nous retrouver purement et simplement sans convention collective à compter de la mi-décembre. Nous ne pouvons accepter une régression de notre statut », indiquent les personnels de l’établissement dans un communiqué.

Le service de restauration maintenu

« Le service de restauration est maintenu et sera assuré du mieux possible par le personnel enseignant, solidaire de notre mouvement », précisent ces mêmes personnels.

  *

http://www.ouest-france.fr/region/bretagne_detail_-Plenee-Jugon.-College-Croix-de-Pierre-les-personnels-non-enseignants-debraieront-demain_40804-2137301_actu.Htm

*

À Vitré, les personnels non enseignants en débrayage

*

Emploi mardi 27 novembre 2012
*  
Mardi midi, une vingtaine de personnels non enseignants (1) des principaux établissements scolaires de Vitré se sont retrouvés place de la Gare pour distribuer des tracts aux automobilistes, sous forme de lettre adressée au Père Noël.

Motif ? La modification de leur convention collective, qui entraînerait « la suppression de nos maigres avantages et l’augmentation de notre temps de travail », explique Gaëlle Pirot, qui occupe un poste de vie scolaire à Jeanne-d’Arc.

Les personnels restent mobilisés jusqu’au prochain épisode, prévu le 30 novembre, date à laquelle la négociation sur la convention collective doit prendre fin.

*

(1) Personnels chargés du ménage, de la restauration, de la surveillance.

*

http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-a-Vitre-les-personnels-non-enseignants-en-debrayage_40771-2137691-pere-bre_filDMA.Htm

 


Partager cet article
Repost0
27 novembre 2012 2 27 /11 /novembre /2012 12:46

27 novembre 2012 à 12h17

*

Répondant à un mot d'ordre national lancé par l'intersyndicale des Finances publiques, des agents finistériens des services des impôts et du trésor observent une journée de grève aujourd'hui.

*

Ce matin, à 11h, une centaine de personnes était réunie dans la cours de la direction générale, rue des Reguaires, à Quimper. Une délégation intersyndicale (Solidaires, FO, CGT, CFDT) a demandé à rencontrer la directrice départementale pour lui exposer ses revendications qui portent essentiellement sur les suppressions d'emploi et les conditions de travail et d'accueil du public.

*
Le projet de loi de finances prévoit en effet la suppression de 2.062 postes en 2013, dont une centaine en Bretagne. Dans le Finistère, ce sont 14 postes qui vont disparaître, la création d'un centre prélèvement service à Quimper compensant la perte d'emplois.

*

http://quimper.letelegramme.com/local/finistere-sud/quimper/ville/finistere-les-agents-des-finances-publiques-en-greve-27-11-2012-1922320.php

*

Quimper. Une centaine de fonctionnaires des finances publiques réunis aujourd’hui
Social mardi 27 novembre 2012

Une centaine de fonctionnaires de la direction départementale des finances publiques sont réunis ce mardi à Quimper (Finistère) à l’appel de l’intersyndicale pour protester contre des suppressions de postes.


Suppression d’emplois


Selon les syndicats, 14 emplois vont être supprimés dans le département en 2013. « L’an prochain il n’y en aura seulement 14 grâce à la création d’un centre d’appel mais sinon c’est chaque année une quarantaine de postes qui vont être supprimés, précise Stéphane Douet, secrétaire départemental de Solidaire Finances publiques. 300 emplois ont déjà disparu en 10 ans dans le Finistère. »


Les syndicats, qui annoncent 50 % de grévistes dans de département, déplorent également la dégradation des conditions de travail et des conditions d’accueil du public.

 

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Quimper.-Une-centaine-de-fonctionnaires-des-finances-publiques-reunis-aujourd-hui_40820-2137650------29232-aud_actu.Htm

Partager cet article
Repost0
11 novembre 2012 7 11 /11 /novembre /2012 13:49


Comme partout en Europe, pour sortir de l’austérité, participons aux manifestations unitaires le 14 novembre.


Brest 11h30 place de la Liberté
Quimper 11h30 place de la Résistance


Chaque jour, dans toute l’Europe, les politiques d’austérité montrent leurs effets néfastes pour les salariés, les retraités et les privés d’emploi, pour la croissance et le bien vivre ensemble.


En France, les stratégies fnancières des grands groupes et les politiques d’austérité budgétaire ont comme efets : fermetures d’usines, délocalisations, chantage éhonté à l’emploi et aux salaires, précarisation, chômage record, taxation des pensions, restructurations des administrations et des services publics, coupes budgétaires...


Le Finistère vient d'obtenir un triste record : c'est le département où l'augmentation du chômage de longue durée est la plus forte tout particulièrement pour les plus jeunes et les plus âgés. Le nombre de rupture conventionnelle, dans le département, explose.

 

Ces ruptures conventionnelles concernent tout particulièrement les salariés des Très Petites Entreprises (TPE). La crise est bien là.


Dans toute l’Europe, les syndicats expriment leur ferme opposition aux mesures d’austérité qui font plonger le continent dans la stagnation économique, voire la récession.


Les traitements de choc infigés aux travailleurs, notamment en Grèce, en Espagne et au Portugal, montrent l’impasse de politiques qui conduisent à la destruction des droits sociaux...


La France et l’Europe peuvent sortir de la spirale infernale.


À l’appel de la CES et de nombreuses organisations, la journée de mobilisation du 14 novembre permet aux travailleurs de toute l’Europe d’agir, ensemble et solidairement, pour des conditions de travail et de vie décentes.
Avec les syndicats européens, nous exigeons :


- une véritable coordination des politiques économiques intégrant les dimensions sociales et des mesures de solidarité concrètes vis-à-vis des peuples les plus en difficulté ;
- la négociation d’un « contrat social » européen pour mettre fin au dumping social entre États ;
- des mesures de relance au plan européen pour renouer avec une croissance durable et favoriser l’emploi.


Face aux pressions patronales, les salariés, par leur mobilisation, doivent relever le déf.


Le Medef fait la sourde oreille aux attentes des salariés mais se mobilise pour mettre le gouvernement sous pression.
Alors que des millions de salariés paient les dégâts de la crise sur leurs salaires et leurs emplois, alors que les inégalités ne cessent de s’accroître, ce sont les patrons qui se prétendent être les pigeons des politiques gouvernementales.


Alors que les dividendes versés aux actionnaires et les revenus fnanciers des grands groupes battent des records, les patrons du CAC 40 se liguent pour exiger du gouvernement un transfert massif des cotisations sociales sur les ménages (hausse de la TVA) et de nouvelles coupes dans les dépenses publiques.


À la demande du gouvernement, une négociation sur la sécurisation de l’emploi est en cours. Face aux mesures portées par les syndicats visant plus de sécurité pour les salariés, le Medef demande, au contraire, plus de fexibilité et moins de possibilités de recours juridique face aux plans de licenciement.


De la même manière, dans la négociation qui va s’ouvrir sur les retraites complémentaires ARRCO et AGIRC, le Medef revendique l’abaissement des droits concernant 18 millions de salariés actifs du privé et 11 millions de retraités.
Il faut, au contraire, comme pour l’ensemble de la protection sociale, une augmentation des ressources notamment par la mise à contribution des revenus fnanciers et par une réforme de la cotisation employeurs pénalisant les suppressions d’emplois.


Par notre mobilisation le 14 novembre, renversons la pression : les salariés ne doivent pas être les pigeons des exigences patro nales et des traités européens.


Pour sortir de la crise, aucun des problèmes économiques (fnancement des retraites et de la protection sociale, rééquili brage de notre commerce extérieur, fnancement de l’État et des collectivités territoriales, pouvoir d’achat…) ne peuvent être résolues sans de vigoureuses politiques de développement industriel, de l’emploi, de revalorisation salariale et des retraites, de lutte contre la précarité.


Les politiques d'austérité ne sont pas la solution parce qu'elles s'attaquent principalement aux salariés et préservent les intérêts des actionnaires. Le gouvernement doit entendre les revendications des salariés. La mobilisation est maintenant nécessaire.


Le 14 novembre, mobilisons-nous massivement en France, comme partout en Europe, pour dire non aux politiques d’austérité, oui au progrès social.

Partager cet article
Repost0
9 octobre 2012 2 09 /10 /octobre /2012 09:21

9 octobre 2012 à 09h09 -

 

Une vingtaine de militants CFDT, FO et un délégué CGT ont fait le déplacement ce matin à Quimper où se tient, depuis 9h, une audience du tribunal de commerce. Charles Doux est également présent à ce point d'étape au lendemain d'un CCE, réuni hier lundi, à Châteaulin. Un comité central d'entreprise qui n'a pas permis de lever le voile sur toutes les interrogations des salariés.


Que reste-t-il du groupe Doux ?

 

En août, la société mère s'est séparée de la branche volaille fraîche pour ne plus conserver que les activités de poulets surgelés destinés à l'exportation vers le Moyen-Orient et de produits élaborés (saucisses de volaille,etc.). Dans l'opération de liquidation et de cession des sites du pôle frais, un millier de personnes ont perdu leur emploi. 700 l'ont conservé. Aujourd'hui, le groupe Doux réduit à ses pôles «export» et «élaboré» compte encore 2.100 salariés. Cet effectif est réparti sur douze sites industriels et le siège social de Châteaulin. 300 éleveurs intégrés continuent à fournir de la volaille aux abattoirs du groupe.

Le groupe volailler est-il sauvé d'affaire ?

 

Il est bien trop tôt pour le dire. Charles Doux et son principal créancier, la banque Barclays, ont demandé du temps pour mettre sur pied un plan de continuation qui devrait à la fois permettre de relancer l'activité, de faire des profits et de rembourser les créanciers. Ils se sont engagés à boucler leur plan de relance fin novembre. Mais les administrateurs judiciaires envisagent déjà de devoir repousser cette échéance. Actuellement, la gestion du groupe se fait sous contrôle de la Justice. Et c'est justement, dans ce cadre que le tribunal de commerce de Quimper a invité Doux à faire un point d'étape aujourd'hui. En attendant, le groupe a annoncé, hier, un «plan d'investissement totalement autofinancé de 30 millions d'euros sur trois ans».

Vendre une usine pour renflouer la trésorerie.

 

Hier, le comité central d'entreprise a pris connaissance des comptes du groupe. La trésorerie est insuffisante malgré un prêt de Barclays. La société saoudienne Almunajem, principale cliente du poulet surgelé export et future co-actionnaire de Doux, n'a pas versé l'intégralité de l'avance promise. La vente de l'unité de transformation des déchets de volaille en farine animale (Châteaulin) est donc envisagée en urgence pour 15 M€. Mais les observateurs sont sceptiques sur cette évaluation.

La dette brésilienne, les éleveurs et les transporteurs...

 

Dans quelques jours, tous les créanciers du groupe Doux auront déclaré le montant de leurs créances. La dette brésilienne (liée à la filiale Frangosul) est pour l'instant évaluée à près de 70 M€, dont 35 M€ exigibles. D'ores et déjà, les éleveurs ont été indemnisés à hauteur de 50 % de leurs créances. Les transporteurs, eux, le seront partiellement cette semaine sous forme d'avance (3,2 M€).

Beaucoup de questions en suspens.

 

Combien de salariés vont être licenciés au siège social ? Que va devenir l'usine Père Dodu de Quimper (230 salariés) qui tourne actuellement au ralenti, faute d'un approvisionnement jusqu'à présent assuré par le pôle frais ? Pourquoi la holding Turenne-Lafayette (jambon Madrange) a-t-elle effectué une visite de ce site quimpérois, il y a une dizaine de jours ? Pourquoi l'usine de Pleucadeuc (56) perd-elle encore de l'argent ? Autant de questions auxquels les salariés aimeraient avoir des réponses aujourd'hui.

  • Flore Limantour

http://www.letelegramme.com/local/finistere-sud/chateaulin-carhaix/chateaulin/quimper-charles-doux-present-a-l-audience-du-tribunal-de-commerce-09-10-2012-1865321.php

 

Châteaulin Doux. La direction annonce un plan de 30 millions d’euros sur trois ans
Économie lundi 08 octobre 2012

Le groupe Doux a présenté son plan de continuation cet après-midi aux syndicats lors d’un comité central d’entreprise à Châteaulin. Selon la direction, le groupe prévoit un plan d’investissement « totalement autofinancé de 30 millions d’euros sur trois ans, et dont la mise au point est en cours ».


« La profitabilité du nouveau groupe permettra de financer les investissements et de rembourser les dettes de la société dans le cadre du plan de redressement qui sera soumis au tribunal de commerce », explique un communiqué de la direction à l’issue du comité central.


Audition au tribunal de Quimper demain mardi


Après la liquidation de son pôle frais qui a laissé quelque 1 000 salariés sur le carreau, le tribunal de commerce de Quimper tiendra mardi une audience d’étape pour faire le point sur la situation du groupe volailler.

La dette de Doux, propriétaire de la marque Père Dodu est estimée à 430 millions d’euros. Le groupe a été placé en redressement judiciaire début juin et la fin de sa période d’observation a été fixée au 30 novembre. Son pôle frais, déficitaire, a été mis en liquidation et seulement cinq de ses huit sites ont trouvé repreneur.

 

http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Doux.-La-direction-annonce-un-plan-de-30-millions-d-euros-sur-trois-ans_39382-2120649_actu.Htm

 

Commentaire: Dette? Quelle dette? Et les subventions européennes destinées à Doux? Et son immense fortune?


Partager cet article
Repost0
2 octobre 2012 2 02 /10 /octobre /2012 13:56

2 octobre 2012 -

 

Elles sont plus de 2.000 aides à domicile à travailler pour l'ADMR du Finistère. Depuis la mise en liquidation de la fédération, en avril, leurs conditions de travail et sociales se sont délitées, disent certaines.

 

«Nous avons rencontré le conseil général. Nous informons régulièrement, par courrier, la Direction et l'inspection du travail des dysfonctionnements, par rapport à la loi, dont nos employeurs nous rendent victimes. Nous avons le sentiment que rien ne bouge».


Anne, Valérie (*) et d'autres informent aussi du non-respect partiel de la nouvelle convention collectivede l'aide à domicile. Depuis la mise en liquidation de la fédération (110 salariés), en avril, la situation se serait socialement délitée. La structure encadrait administrativement et techniquement les associations locales. «Nous avons cru à une certaine sérénité au travail, avec les conseillers techniques et les encadrants de proximité. Ils possédaient des connaissances du droit du travail, ça a drôlement bien marché. Et nous pensions que jamais, nous ne reviendrions en arrière. Mais, si. Cet été, nous sommes restées jusqu'à deux mois sans salaire. On a cumulé jusqu'à 300 € d'agios à la banque, pour un revenu de 600 €».


Aujourd'hui encore, les bulletins de salaires édités par un prestataire privé sont erronés pour la plupart.

Un sentiment de maltraitance


«Dans des associations, certaines collègues, à temps partiel, sont contraintes, parfois, d'effectuer 38 heures de travail par semaine. Elles n'osent rien dire. Il n'y a plus d'entretiens individuels professionnels, aucune perspective d'évolution. Nous avions du matériel d'hygiène pour intervenir chez les personnes aidées. On ne nous en fournit plus».
Pour Anne et Valérie, cette réalité, variable d'une association à l'autre, tire vers le bas. «Notre employeur doit nous soumettre nos plannings. Il ne le fait pas. L'encadrante était un garde-fou face à tout ça. C'était aussi une dynamique, une écoute psychologique. Face à la maladie, à la mort, nous voulons bien remplir notre sac mais ça entraîne une fatigue chronique. Les arrêts maladie sont de plus en plus nombreux. Nous sommes découragées, désabusées». Et, cela au détriment de la personne aidée.


Comme plusieurs de leurs collègues, Anne et Valérie ont le sentiment d'être dans la maltraitance face à des employeurs-bénévoles que les contraintes législatives du cadre du travail dépassent souvent. «On veut rester pugnaces pour continuer à apporter une aide de qualité. Nous aussi, nous faisons toutes du bénévolat. Avec la baisse du nombre d'heures d'APA (Allocation personnalisée d'autonomie), attribuées par le conseil général, nous n'avons plus qu'une demi-heure pour donner son repas à la personne âgée. Mais pas question de la laisser terminer seule son plat, la cuillère dans la bouche. Ce n'est pas humain».

* Il s'agit là de prénoms d'emprunt.


Voir le blog de Karine Joncqueur, journaliste au Télégramme.

  • Karine Joncqueur

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/finistere/admr-29-socialement-il-n-y-a-plus-de-garde-fou-02-10-2012-1857444.php

Partager cet article
Repost0
31 août 2012 5 31 /08 /août /2012 11:38

31 août 2012 à 10h41 


La CGT du Conseil général du Finistère vient de saisir le Tribunal administratif pour demander un respect de la loi, dans le cadre de la réorganisation de l’action sociale.

"Voilà plusieurs mois que des réorganisations sont en cours sur les territoires d’action sociale sans que le Comité technique paritaire ait donné son avis, explique la CGT.

 

À trois reprises nous avons mis notre employeur en demeure de respecter la loi qui prévoit que toute question relative à l’organisation des services doit être soumise à l’avis du CTP.

 

En l’absence de réponse et surtout parce que notre employeur continue les réorganisations sans consulter l’instance paritaire nous avons décidé de saisir le tribunal administratif."

 

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/finistere/conseil-general-du-finistere-la-cgt-saisit-le-tribunal-administratif-31-08-2012-1822574.php

Partager cet article
Repost0

Contactez le NPA du Finistère

 

faou

 

UNE-190.JPG

 

cgt-gg.jpg

 

affiche_Peillon_Fioraso_BAT_0_0.preview.jpg

 

encart npa taille normale

 

 

nukleel-nam-bo-ket.jpg

accueil
*

Brest

06 42 22 96 37

brest.npa@gmail.com

 

Quimper

06 59 71 42 21

quimper.npa@gmail.com
 

Le blog sur les

questions maritimes

L'autre grenelle de la mer

 

Le blog de solidarité avec

les camarades arabes

Revolution arabe 

 

fermoez-fesse.jpg

Recherche

Actions !

Pour plus de détails voir les liens: 

 

diapo prisonnier palestine

Soirée prisonniers palestiniens

AFPS Brest

mardi 16 avril

20H30

Maison des syndicats

 

sortir-copie-1.jpg


manifestants-hopital-SUD-copie-1


Quimper Gourmelen

Rassemblement

vendredi 19 avril

8 h 45


foto2-205-ebf3f

 

Fermez Cofrents

(pays Valencian)

 

 

laniion.jpg

  Concert à Lannion

 

no nuk

 

Dimanche 28 avril

Brennilis

anti-r-1-r-copie-1.jpg

 


robertbelle5mai13DZ

 

 

Mardi 7 mai

 Yves-Marie Le Lay,

Président de

Sauvegarde du Trégor

  Douarnenez

Librairie l'Ivraie à 20h00

 

nddk.jpg

 

yy.jpg

 

st nnonon

 

grece.jpg