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30 janvier 2010 6 30 /01 /janvier /2010 10:32



Rectificatif : YOD, musique traditionelle évolutive - Monts d'Arrée

Pour les régionales, le NPA Bretagne fera campagne avec les Objecteurs de Croissance et l’association « Militer pour la gauche » qui regroupe d’anciens et actuels militants du Parti de Gauche.

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29 janvier 2010 5 29 /01 /janvier /2010 10:29



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29 janvier 2010 5 29 /01 /janvier /2010 10:26



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27 janvier 2010 3 27 /01 /janvier /2010 09:38



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27 janvier 2010 3 27 /01 /janvier /2010 09:37



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27 janvier 2010 3 27 /01 /janvier /2010 09:14

C’EST PARTI


Un film de Camille de Casabianca

Avec Olivier Besancenot, François Sabadot, Abdel Zahiri
Genre: documentaire
Pays: France
Durée: 1h32
Date de sortie: 10 février 2010


Le jour est arrivé, il est temps pour la LCR (Ligue Communiste Révolutionnaire) de se dissoudre. Les permanents et les militants sont là pour faire place nette, pour mettre à la benne près de quarante ans d’archives.

Pour créer un nouveau parti plus large et plus fort, les leaders du mouvement ont décidé de repartir à zéro, d’effectuer une refonte totale, non seulement de leurs locaux, mais surtout de leur structure et de leur organisation.

Ce projet de Nouveau Parti-Anticapitaliste (qui n’en a pas encore le nom) doit se construire par et avec les militants.

Une année de travail et de meetings sera nécessaire pour mettre en place ce nouveau parti d’extrême-gauche pour rassurer les anciens militants de la LCR et pour gagner de nouvelles adhésions, principalement chez les jeunes dont l’évocation du communisme révolutionnaire était devenue une idée stérile voir handicapante. Ce nouveau parti pourtant n’accouchera pas sans douleurs et déjà des voix discordantes se font entendre, mais le rendez-vous est lancé.

Si l’on est habitué depuis l’âge d’or de la télévision à suivre quelques personnalités politiques majeures (on se rappelle les portraits de Jacques Chirac, Charles de Gaulle, Valéry Giscard d’Estaing et bientôt Lionel Jospin), le témoignage de la vie d’un parti et même de sa création est lui beaucoup plus inhabituel.

La réalisatrice, Camille de Casabianca, qui a connu le militantisme de gauche dès les années lycée, se livre donc ici à un exercice original en plaçant sa caméra sur deux points de vue parallèle : la rénovation des locaux de l’ex LCR d’un côté, la poursuite de la campagne de création du NPA de l’autre.

Ainsi la mise au rebut de quatre décennies de militantisme pour rafraîchir l’aile de l’extrême-gauche qui en avait bien besoin. Le fil conducteur de ces deux regards, la mise en avant de son principal leader, Olivier Besancenot, l’un des plus jeunes visages du paysage politique français actuel.

Portrait tendre et courtois, Camille de Casabianca a choisi de ne pas jouer la carte de la houle politique, si ce n’est une petite confrontation verbale lors du week-end de l’Huma entre l’un des fondateurs de la LCR et un autre ancien de la ligue aujourd’hui au Parti Socialiste.

Confrontation complice, le documentaire révèle là sa faille. Le film s’attache davantage à la forme de ce nouveau parti qu’au fond des problèmes que sa création questionne. D’un côté la mémoire et la trace de celles et ceux qui ont été les acteurs d’un militantisme dur et radical depuis les années soixante, de l’autre les doutes et la méfiance d’une nouvelle génération d’adhérents qui refuse cet héritage révolutionnaire.

Cette nouvelle génération, qui tente de se persuader d’un espoir futur, porte un regard circonspect voir hostile à ce passé trouble de la LCR. Les uns doivent donc laisser leur radicalité au vestiaire pour permettre à ce nouveau parti de s’ouvrir davantage vers une population moins concernée par la lutte des classes que par le délitement de la classe moyenne.

Mais cette faiblesse, celle de ne pas intellectualiser le débat de la création de la LCR, procure cependant au documentaire un cachet de familiarité salvateur. Le spectateur est le témoin privilégié des réunions, des prises de paroles, des positions de chacun, et laisse à voir le fonctionnement d’un parti de taille modeste dans son évolution et ses contradictions.

Loin de la toute puissance d’un leader qui se voudrait la tête de proue d’une machine politicienne, C’est parti met à jour la mécanique d’une campagne qui se construit à plusieurs et dont toutes les voix comptent en toute égalité, principe que défend becs et ongles Olivier Besancenot, constamment mis au centre de l’opération par les médias qui ont besoin d’un leader bien identifié pour faire leurs choux gras.

Davantage témoignage qu’essai politique, C’est parti marque un moment fort dans la vie d’un parti, celui de la remise en question et du renouveau, sans s’attacher au prix à payer pour franchir cette étape.

Par NPA du pays de Morlaix

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25 janvier 2010 1 25 /01 /janvier /2010 10:27
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Haute-Normandie

Notre liste régionale est à l’image de ce qu’est le NPA. Elle est composée de salariés du privé, de l’automobile, la chimie, l’énergie, la métallurgie, le commerce… Mais aussi du public dans la santé, les PTT, la SNCF, l’éducation nationale, de travailleurs précaires ou privés d’emploi, d’étudiants et de retraités dont certains sont également victimes de la précarité.


Tou(te)s ces candidat(e)s sont des militant(e)s impliqué(e)s dans différents syndicats et associations et interviennent dans les mobilisations et luttes salariales, écologiques, féministes, antiracistes. Christine Poupin mène la liste Haute-Normandie et dans le département de Seine-Maritime. Militante engagée depuis le lycée, technicienne dans l’industrie chimique et conseillère municipale à Sotteville-lès-Rouen, elle était déjà notre tête de liste aux Européennes. Elle est suivie de Régis Louail, salarié de Renault Cléon, et de Mathilde Bernard, privée d’emploi, ce qui démontre notre priorité donnée au droit à l’emploi. Pour l’Eure, c’est Thierry Martin, militant paysan infatigable, qui tirera la liste.


Indépendant au premier tour, le PCF a réaffirmé sa volonté de gérer la région avec le PS. Cela rendait tout accord impossible. Le Front de gauche s’est rompu entre le PCF qui décidait de tout et le PG et les Alternatifs, pas sur une question de contenu, mais sur une question de place sur la liste. La lutte pour les postes remplace la politique !


Le NPA, qui a participé aux réunions unitaires, affirme souhaiter l’unité, mais sur une base politique et de programme, absolument pas dans une stratégie électoraliste où les sujets de discussion sont orientés sur les postes et pas les revendications.


Contre Sarkozy, bien sûr, notre liste ne fait aucune confiance à la gauche qui dirige la Région. PS mais aussi PCF et Verts, main dans la main, subventionnent les grandes entreprises comme Renault ou Total, licencieurs et pollueurs. Notre campagne est dans la continuité de nos luttes pour l’interdiction des licenciements et le remboursement des subventions publiques par les patrons licencieurs, pour le droit à l’emploi.


Pour la gratuité des transports publics, dans un souci écologique et social. Pour un revenu minimum décent de 1 500 euros net. Assez de survivre, nous voulons vivre !
L’argent public doit aller aux services publics. Il faut tout changer et ne rien lâcher. Nos vies valent plus que leurs profits, ce n’est pas à nous de payer la crise du capitalisme.

Île-de-France

Aux élections régionales de mars 2010, Olivier Besancenot sera la tête de liste du NPA en Île-de-France. Dans un contexte politique pourri par le débat sur « l’identité nationale » qui génère racisme, xénophobie, islamophobie, alors que les cadeaux au patronat continuent de plus belle, le porte-parole du NPA fera campagne contre Sarkozy, contre la droite et le Front national, pour faire vivre jusque dans les urnes une gauche anticapitaliste, indépendante, avec la volonté d’avoir des élus qui soient, au sein du conseil régional, autant de « délégués du personnel » de la population.


Une gauche anticapitaliste est plus nécessaire que jamais à l’heure où, pour le PS, Martine Aubry envisage froidement de jeter à la poubelle la retraite à 60 ans pour passer à 61 ou 62 ans. La reconquête politique ne se fera pas sur la base d’une défaite sociale. C’est pourquoi, campagne nationale et enjeux régionaux vont s’entremêler.


Aux thèmes de campagne nationaux sur les salaires, contre les licenciements, s’ajoutera une campagne pour la gratuité des transports collectifs pour tous en Île-de-France : autrement dit, une politique d’éco-gratuité pour répondre à l’urgence sociale et écologique. Le coût d’une telle mesure est estimé entre 1 et 1,5 milliards d’euros : rien d’impossible quand on sait que le « Grand Paris » – destiné à aider le patronat des pôles de compétitivité – coûterait de… 20 à 30 milliards d’euros !


Olivier Besancenot et la liste NPA d’Île-de-France feront également campagne pour que l’argent public soit utilisé à des fins publiques et que le conseil régional arrête de financer les entreprises et les organismes privés de formation professionnelle. Nouvelle répartition des richesses, défense des services publics, droit au logement  pour tous : voilà les enjeux.

Midi Pyrénées

Dans les huit départements de la région Midi-Pyrénées, le NPA s’est mis en ordre de bataille pour entreprendre de manière efficace la campagne électorale de mars 2010. Après plusieurs réunions de la coordination régionale, le travail a bien progressé. Les listes sont quasiment bouclées et les équipes (communication, matériel) sont constituées.


Nous voulons présenter des hommes et des femmes à l’image de ce qu’est le NPA aujourd’hui et de ceux et celles à qui nous nous adressons : des salariés du privé comme du public, des précaires ou des privés d’emploi, des syndicalistes, acteurs et actrices dans les luttes sociales. Un camarade ouvrier de Molex a décidé de se lancer dans la bagarre et sera candidat en Haute-Garonne.


Ce sera l’occasion de populariser notre exigence d’interdiction des licenciements et d’obligation aux patrons qui licencient de rembourser les subventions qu’ils ont touchées de la région.
Myriam Martin, porte-parole de la fédération de Haute-Garonne et tête de liste pour le sud-ouest aux européennes, mènera la liste régionale. Pour le moment, les têtes de liste départementales sont occupées par trois femmes et cinq hommes.


Chaque département a prévu des initiatives, dont au moins sept réunions publiques et un meeting régional à Toulouse courant mars.
Les tâches et les objectifs que nous nous sommes fixés nous ont tous rassemblés.


Nous mènerons une campagne efficace en occupant le terrain, en déployant l’activité du NPA à travers les dizaines de comités, en y associant tous ceux et celles qui partagent nos idées et la conviction qu’il faut défendre une politique anticapitaliste répondant à l’urgence sociale. 
Mercredi 27 janvier, une conférence de presse présentera, à Toulouse, l’ensemble des candidats de la région Midi-Pyrénées.

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23 janvier 2010 6 23 /01 /janvier /2010 09:52



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22 janvier 2010 5 22 /01 /janvier /2010 14:21
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Le NPA Kreiz-Breiz ouvrira samedi 30 la 7e édition de sa Fête du bruit et de l’odeur, aux halles.

Au programme : discours politiques, lancement de Régionales et rock breton.


À la veille dela 7e édition de leur Fête du bruit et de l’odeur, les militants du NPA Kreiz-Breiz sont toujours en pleine négociation pour la préparation des prochaines élections régionales. « Tous les accords ne sont pas encore scellés », confie à ce sujet Matthieu Guillemot, le porte-parole de l’organisation d’extrême gauche centre-bretonne.

Accord scellé ou non, une chose est sûre cependant : La fête du NPA Kreiz-Breiz coincidera cette année avec le lancement de la campagne des Régionales et sera l’occasion d’entendre à la tribune, Miryam Martin, membre du comité politique national du NPA. « Elle viendra présenter ce que sera l’attitude de notre organisation, pendant cette campagne des régionales », précise le porte-parole.

Un hommage bilingue


Le NPA Kreiz-Breiz donnera aussi toute sa place aux spécificités régionales. « L’ouverture de la réunion du 30 janvier sera bilingue, en français et en breton », insiste Matthieu Guillemot.

Un aspect important quand on connaît la préférence historique de l’extrême gauche française pour le centralisme jacobin, jusqu’à ces dernières années. « On est content de faire évoluer les choses dans le bon sens », souligne le membre du NPA en rappelant par ailleurs que la fête du 30 janvier sera également l’occasion d’un hommage bilingue, à plusieurs figures récemment disparues du militantisme de gauche et d’extrême gauche.

« Jean L’Hostis, le militant CGT Carhaisien, André Fichaut, un des créateurs de la IVe Internationale dans le grand Ouest, puis membre de la LCR et du NPA, et enfin Daniel Bensaïd, un des théoriciens du mouvement. »

Du rock breton


Une certitude aussi : toutes les organisations politiques et syndicales signataires de l’accord en cours de discussion, seront présentes le 30 janvier. « Un représentant de chacune des organisations participantes à la liste prendra la parole en début de réunion », indique Laurence de Bouard, cadre de santé à l’hôpital de Carhaix et chef de file de cette liste unitaire à venir.

Côté festivités, les 500 militants et sympathisants attendus aux halles pourront assister aux concerts des groupes : Sticky Snake (rap de Morlaix) Morphée (rock de Brest), Yod (rock celte de Crozon) et le DJ Revolution Jah aux platines.

7e Fête du bruit et de l’odeur, samedi 30 janvier aux halles
à partir de 17 h. Entrée gratuite.
Repas (couscous et dessert) :11 €.


Source : O-F du 22/01/2010
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22 janvier 2010 5 22 /01 /janvier /2010 09:33






Le NPA est souvent accusé de préférer une posture protestataire à une prise de responsabilités dans les exécutifs. Faux ! répond Alain Laffont, un responsable et élu du NPA de Clermont-Ferrand :


Voici ce qu’écrivait Michel Onfray à propos du NPA dans le Monde daté du 6 juin 2009, trois jours avant les élections européennes : « On ne peut vouloir faire de la politique uniquement avec un mégaphone, ni appeler à la révolution planétaire sans même être capable de présider aux destinées d’un village de campagne. Le mégaphone n’est pas une fin en soi, mais un moyen pour plus et mieux que lui. »


Nous sommes face à cette légende tenace, entretenue par quelques commentateurs politiques peu au fait des subtilités de la gauche de gauche (peut-on leur en vouloir ?) et malheureusement aussi, comme on le voit, par certains philosophes certes sympathiques mais pour le moins versatiles : le NPA refuserait de mettre les mains dans le cambouis.


Eh bien, c’est faux. Mais disons-le sans nuances : s’il s’agit de diriger une municipalité, une agglomération, une région ou un gouvernement sous hégémonie sociale-libérale avec l’obligation de voter pour leur politique en votant le budget, c’est non !


Beaucoup voudraient que nous y allions dans ces conditions. Certains sincèrement, car ils pensent que, si nous prenions des responsabilités dans l’exécutif, nous serions capables d’infléchir sa politique. D’autres, pour nous entraîner dans la pente où ils se sont eux-mêmes placés. Je pense au PCF, aux Verts et même à Lutte ouvrière, qui, comme à Clermont-Ferrand, vient de goûter les délices du vote du budget social-démocrate.


Il suffit de se rappeler ce qui leur est arrivé pour être prudent. Au gouvernement, avec le Parti socialiste dominant, ils ont été contraints de tout cautionner, la politique de privatisation, d’austérité, les attaques répétées contre les acquis des travailleurs, la politique de gestion du système capitaliste.


Dans les municipalités, les communautés de communes, les conseils généraux et les conseils régionaux, ils votent et appliquent la politique décidée par la majorité socialiste. Nous ne pouvons pas manger de ce pain-là.


Médecin dans les quartiers populaires de Clermont-Ferrand, militant depuis 1973 à la LCR et maintenant au NPA, élu municipal depuis 1995, j’ai quelques légitimités à parler sur ce sujet. De ce point de vue, l’expérience clermontoise est éclairante.


Au conseil municipal, notre groupe de quatre élus (3 NPA et un Alter Ékolo) a proposé de participer à la gestion municipale sans pour autant entrer dans l’exécutif. Dans ce cadre, nous espérions pouvoir faire nos propositions, répondant aux besoins des plus défavorisés, et continuer à mobiliser sur nos objectifs.


Aussi, nous avons émis l’idée de participer aux conseils d’administration de la CCAS (Action sociale), des organismes de HLM, du SMTC (Service public des transports) et de bien d’autres organismes qui comptent vraiment dans la gestion de la commune ou de l’agglomération. Notre demande était sincère, sans arrière-pensée. Nous voulions faire des propositions dans le cadre de la gestion.


Malheureusement, Serge Godard, maire PS de Clermont-Ferrand et président de Clermont Communauté, supporte difficilement, comme ses collègues socialistes, l’indépendance des autres élus. Il a préféré passer un accord aussi discret que réel avec le MoDem local.


Les trois élus MoDem siègent dans tous les organismes pour lesquels nous avions postulé, alors que nos quatre élus ne bénéficient d’aucune fonction. Pourtant, nous avons obtenu plus de 15 % des suffrages lors du 2e tour des élections municipales, contre 10 % à la liste MoDem  !


Un bel exemple de démocratie et de pluralisme prôné par cette « gauche de gouvernement » qui confond si souvent le cambouis et le pot de confiture. Le Parti socialiste préfère des alliés serviles, c’est pourquoi il a rompu les négociations et a refusé la fusion avec les listes de la LCR entre les deux tours des municipales de 2008.


Le choix est clair. Dans beaucoup de collectivités locales, le Parti socialiste passe des alliances avec le MoDem, et celui-ci s’engage à le suivre dans sa gestion. D’ailleurs, son représentant à Clermont vient de voter le budget. Face à cette situation, que disent les élus du parti communiste ou des Verts ? Rien, ils continuent à voter la politique des socialistes. Considérant l’évolution politique des Verts, cela n’a rien de surprenant.


Mais la question est plus préoccupante pour le PCF, avec lequel nous souhaitons nous allier. Car si, comme le dit justement Michel Onfray, « la politique est affaire de rapport de force et non d’idéaux flottant dans un ciel platonicien », il en est de même pour l’unité, qui ne peut pas seulement reposer sur un fantasme mais doit être attestée sur le réel des pratiques concrètes.


Nous continuerons d’agir afin de pouvoir en toute indépendance participer à la gestion. Nous l’avons démontré concrètement. Lors du vote de la délégation de Clermont Communauté au Valtom (Syndicat départemental de gestion des déchets), le président, Serge Godard, a présenté une liste de cinq personnes, sur laquelle je ne figurais pas. Fort de la légitimité que me donne mon rôle dans la mobilisation contre l’incinérateur de Clermont et la confiance acquise auprès de la population, des médecins mobilisés et de très nombreux élus de l’agglomération en matière de gestion des déchets, je me suis donc proposé.


Cette fois-ci, le président n’a pu faire autrement que d’accepter et, depuis, je participe au conseil d’administration du Valtom.

Mes interventions ne s’y font pas avec un mégaphone, même si je ne récuse pas cet instrument, mais sont guidées par le souci du bien commun et de la santé de la population.


Ainsi, nos détracteurs répandent le bruit selon lequel nous refusons de mettre les mains dans le cambouis. Nous leur répondons que c’est faux et que nous le faisons chaque fois que cela est possible. Le problème qui leur est posé est que nous ne concevons pas notre participation comme une récompense en échange de notre servilité, qui impliquerait notre engagement à suivre la politique des majorités sociales-libérales.


Alain Laffont Militant du NPA, président du groupe d’opposition de gauche « À gauche 100 % » du conseil municipal de Clermont-Ferrand. »

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