Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
13 novembre 2012 2 13 /11 /novembre /2012 14:43

 

Le NPA ira manifester mercredi contre l'austérité


PARIS (Sipa) -- Philippe Poutou confirme qu'il ira manifester mercredi à l'appel de la conférence des syndicats européens, mais le porte-parole du NPA estime que "ce sera une journée mitigée".


"Ce qu'on peut regretter c'est qu'il n'y a pas d'appel clair des confédérations syndicales à une grève générale de 24 heures, à l'image de ce qui se passe en Grèce, en Espagne et au Portugal", a-t-il confié mardi sur Canal+.


Le porte-parole du Nouveau parti anti-capitaliste estime que le mouvement social en France est "à reconstruire".

 

"On sent que tout pèse. Il y a plutôt un sentiment d'impuissance aujourd'hui. Ca manque de révolte", regrette-t-il, présageant que la journée de manifestation mercredi, "sera une journée mitigée". Et d'ajouter : "on voit bien la difficulté qu'il y a se battre pour empêcher les fermetures d'usines".


"Il y a quelque chose à reconstruire, un tissu militant, des réseaux de solidarité, c'est ce qui nous manque aujourd'hui", a confié l'ancien candidat à la présidentielle.


Pour Philippe Poutou, "le mouvement social en France doit se construire en lien avec le mouvement en Grèce", afin d' "imposer une Europe sociale contre l'Europe des banquiers".


Le chef de file du NPA, appelle "l'ensemble des forces de gauche qui ne sont pas au gouvernement" à mettre en place une "opposition à l'austérité". Et de préciser qu'il s'agit d'une "opposition au gouvernement de gauche en place qui mène une politique d'austérité".

Partager cet article
Repost0
13 novembre 2012 2 13 /11 /novembre /2012 14:31

 

A l’occasion de l’appel intersyndical de mobilisation du 14 novembre, il y a au moins quelque chose de réconfortant : en Grèce, au Portugal, dans l’Etat espagnol, en Italie, en Belgique, en Allemagne, et dans d’autres pays européens, la mobilisation et souvent la grève sont à l’ordre du jour.

 

Partout les politiques d’austérité, mises en place par des gouvernements au service du patronat, remettent en cause les conditions de vie, d’emploi, les revenus.

 

Elles deviennent insupportables à l’ensemble des salariéEs européenNEs.

 

Plutôt que de se battre usine par usine, de se diviser entre salariés et chômeurs, français et immigrés, c’est l'unité, la mobilisation contre les plans patronaux qui sont nécessaires.


En France, la journée du 14 novembre risque fort de ne pas répondre à ces exigences.

 

Elle doit cependant être l’occasion aux équipes militantes de discuter du meilleur moyen de changer le rapport de force.

 

Il faut discuter des possibilités de coordination réelle des luttes qui existent partout en Europe, seule voie pour faire reculer patronat et gouvernement.


Le NPA appelle à manifester le plus nombreux possible, contre la politique d’austérité, pour construire, toutes et tous ensemble, une opposition clairement à gauche.

Partager cet article
Repost0
13 novembre 2012 2 13 /11 /novembre /2012 14:26
NPA Ballon.jpg

Tous ensemble, ce slogan reste encore trop souvent un... slogan.

 

Chez PSA, Arcelor, Sanofi, SFR, Air France, Presstalis, Technicolor, etc. les salariéEs qui se battent contre les fermetures, les licenciements ou les suppressions de postes ont conscience de la nécessité d’unir ces mobilisations. Il ne s’agit pas seulement d’afficher une solidarité dans le combat mais d’une nécessité pour espérer sortir gagnant d’affrontements décisifs contre un patronat pour lequel le travail est un coût et l’emploi une variable d’ajustement.


Nous ne pouvons que constater que les structures syndicales nationales voir internationales, dont ce devrait être une tâche essentielle, ne font pas ce travail de coordination.

 

Dans chaque entreprise, l’engagement de forces militantes dans ce sens paraît souvent hors de portée des équipes militantes complètement engagées dans la bataille locale. Le rôle des organisations politiques, dont de nombreux/euses militantEs sont partie prenante de ces luttes, doit être d’aider à des mises en commun, des rencontres, des échanges et la construction d’initiatives capables de fédérer les mobilisations dispersées.


C’est pourquoi nous avons décidé de nous adresser aux organisations de la gauche qui ne participent pas au gouvernement et qui soutiennent ces mobilisations (le Front de Gauche - PCF, PG, GU, FASE, C&A, GA, PCOF -, Lutte ouvrière, les Alternatifs, Alternative libertaire, Mouvement des objecteurs de croissance) afin de réfléchir ensemble, de prendre des initiatives, permettant de faire des pas pour sortir de la propagande pour aller vers une construction du « tous ensemble ».

"Chers camarades,


Depuis plusieurs semaines, nos chemins se croisent régulièrement lors d’initiatives contre des plans de licenciements, des suppressions d’emplois ou des fermetures d’usines.

 

Les travailleursEs, les salariésEs  et leurs organisations, lorsqu’ils se mobilisent font fréquemment appellent à notre soutien commun.


La crise économique en s’accentuant ne fait qu’accélérer ces restructurations, et le patronat n’a pas l’intention de s’arrêter tant qu’une lutte d’ampleur ne l’en empêchera pas.

 

Nous faisons tous le même constat. Il n’est pas question pour les organisations politiques de se substituer aux combats des travailleurs mais d’envisager la façon d’être le plus utile et le plus efficace dans notre soutien respectif.

 

Dans ce but, nous vous proposons de nous rencontrer de façon unitaire pour faire le point sur la situation et discuter ensemble des initiatives
à relayer, ou à susciter.


Nous pourrions nous rencontrer à une date à définir ensemble, dans nos locaux, 27 rue Taine, en présence de secteurs concernés de nos différentes organisations.


Dans l’attente de vos réponses, recevez, chers camarades,  nos salutations révolutionnaires".

Partager cet article
Repost0
9 novembre 2012 5 09 /11 /novembre /2012 13:38
Partager cet article
Repost0
7 novembre 2012 3 07 /11 /novembre /2012 15:35
Partager cet article
Repost0
7 novembre 2012 3 07 /11 /novembre /2012 15:31

 

Pas de surprise.

 

Le gouvernement a décidé pour l’essentiel de faire du rapport Gallois sa feuille de route pour répondre aux exigences du Medef.

 

Au nom de leur pacte, ce sont 20 milliards de cadeaux au patronat, 20 milliards que les salariés vont devoir payer, et ce dès 2013.

 

Hausse généralisée de la TVA, réduction des dépenses de services publics, telles vont être les conséquences directes de cette politique qui avoue clairement son alignement sur les intérêts du capital.

 

D'ailleurs Laurence Parisot ne s'y est pas trompé pas plus que François Copé.

 

Tout cela était prévisible, Philippe Poutou l'avait dénoncé durant sa campagne présidentielle. Face à ces mesures il n’y a qu’une attitude conséquente à avoir : l’opposition déterminée.

 

On ne peut plus jouer de l’ambiguïté - être ou ne pas être dans la majorité - ou faire preuve d’attentisme.

 

Le NPA est prêt à participer, avec celles et ceux qui refusent cette politique, à toutes les mobilisations qui permettront de faire reculer ce gouvernement.

Partager cet article
Repost0
7 novembre 2012 3 07 /11 /novembre /2012 12:54

npa 64

Partager cet article
Repost0
7 novembre 2012 3 07 /11 /novembre /2012 12:36

jekill-hydez.jpg

 

« Choc », « pacte », « compétitivité », « confiance »...

 

depuis des semaines ces mots tournent en boucle, du patronat au gouvernement, en passant par les « économistes». Après traduction, il faut comprendre que les salariéEs dans ce pays sont trop payés, ne travaillent pas assez et profitent indûment d'une des meilleures protections sociales encore existantes en Europe. S'il y a du chômage, des licenciements, des fermetures d'entreprises, des suppressions d'emplois, ne cherchez plus, c'est parce qu'on n'est pas assez « compétitifs » !

 

« Big-bang salvateur » pour les patrons


Le rapport Gallois, ancien patron de la SNCF et d'EADS, épaulé par un responsable de l'UMP dans son travail « d'expert » a été applaudi par le MEDEF qui n'en peut plus de satisfaction. En préconisant 30 milliards d'exonérations de cotisations sociales pour le patronat il ouvre la voie à un véritable hold-up sur la partie de nos salaires versée directement par les employeurs pour assurer à chacun des services sociaux de qualité. Et Gallois voudrait faire avaler cela aux représentants syndicaux au nom d'un prétendu « pacte social » et de la « solidarité nationale » !  Il parle même de « patriotisme » ,un vocabulaire qui rappelle le temps des guerres : c'est en l'occurrence une vraie guerre sociale qui est ainsi lancée contre les classes populaires.

 

Le gouvernement organise le racket social


Ayrault n'a pas tardé pour annoncer qu'il suivrait la quasi-totalité des « recommandations» de Gallois. 20 milliards de cotisations sociales sur les salaires entre 1 et 2,5 fois le SMIC seront offertes aux patrons sous forme de crédit d'impôt dès 2013 ! Ce manque à gagner pour l'Etat sera financé à moitié par une augmentation des taux de TVA, cet impôt le plus injuste car il frappe les pauvres de la  même manière que les riches. Et l'autre moitié sera financée par une baisse supplémentaire de la dépense publique. Les couches populaires sont attaquées sur trois fronts : les dépenses quotidiennes, la protection sociale et l'accès aux services publics. Le changement promis par Hollande, c'est en pire !

 

A nous d'organiser la contre-attaque !


En 2011, les entreprises du CAC 40 ont distribué 39 milliards à leurs actionnaires. Alors, si on prenait l'argent où il est ?

 

Cela paraît irréaliste aujourd'hui ?

 

Mais ce qui ne l'est vraiment pas c'est d'essayer d'unir nos forces pour riposter à toutes ces attaques qui appellent  une contre-offensive généralisée du monde du travail,

 

pour imposer l'interdiction des licenciements,

 

le partage du travail entre tous et

 

l'augmentation des salaires et minima sociaux d'au moins 300 euros.

 

Profitons de la journée de mobilisation syndicale à l'échelle européenne du 14 novembre pour populariser ces objectifs :

 

nous ne sommes pas en compétition avec les autres salariés européens, ils subissent le même « choc » anti-social que nous.

Partager cet article
Repost0
3 novembre 2012 6 03 /11 /novembre /2012 14:18

 

 

Partager cet article
Repost0
1 novembre 2012 4 01 /11 /novembre /2012 13:14

Publié dans : Hebdo Tout est à nous ! 168 (01/11/12)

 

Entre l’offensive de l’extrême droite et la surenchère de la droite « décomplexée », le gouvernement Hollande-Ayrault recule sur toutes les promesses faites par le PS depuis de longues années sur l’égalité des droits.

 

Pas un jour qui ne nous réserve son lot de petites phrases fielleuses, racistes et xénophobes. Lundi 29 octobre sur Europe 1, Philippe Meunier, député UMP du Rhône, se lâche, en s’indignant contre les mariages bruyants, invitant leurs participants à retourner dans le pays de leurs ancêtres... « Ici, nous sommes en France ! » conclut notre matamore.

 

La droite chaque jour un peu plus « décomplexée » après le feu vert donné par Copé et ses pains aux chocolats, prend l’initiative du débat politique sur les questions dites sociétales, volant la politesse à un Front national qui n’en demandait pas tant.

 

Cette polarisation à droite, dans la continuité de la campagne présidentielle menée par Sarkozy, permet aujourd’hui le passage à l’acte de groupes fascistes tel Génération identitaires n’hésitant pas, comme à Poitiers, à occuper une moquée en construction.

 

Cette action raciste et islamophobe a obtenu la bienveillante compréhension de Marine Le Pen... et du groupe d’extrême droite sioniste Ligue de défense juive qui s’est à maintes reprises illustré par ses attaques contre les militants défendant la lutte du peuple Palestinien en toute impunité.

 

On le voit, le Rubicon est largement franchi, et la question qui devrait se poser à toutes les organisations progressistes, et plus largement à toutes celles et tous ceux qui se réclament des valeurs du mouvement ouvrier, est : comment mettre un coup d’arrêt à ce déferlement raciste, islamophobe et homophobe ?

 

Comment contester cette volonté d’hégémonie idéologique de la droite, nostalgique d’un ordre moral qu’elle tente de restaurer à toute occasion ?


Les électeurs de François Hollande, dont beaucoup nourrissaient fort peu d’illusions sur son programme économique et social – et la situation actuelle leur a donné raison – étaient en droit d’espérer qu’au moins sur le terrain des libertés publiques et de l’égalité des droits, le gouvernement rose et vert mette en application certaines propositions du candidat socialiste.
Las ! Entre les rodomontades sécuritaires de l’agité de la place Beauvau et les divers reculs dans la mise en place du calendrier législatif du gouvernement, c’est à la poursuite des politiques sécuritaires et liberticides que l’on assiste. Le projet de loi sur le mariage gay ne sera ainsi présenté au Parlement qu’en janvier 2013, passablement édulcoré, s’il n’est pas purement et simplement abandonné ou mis aux calendes grecques.

La manifestation de Civitas du 18 novembre à Paris contre le mariage gay et contre l’adoption d’enfants par des couples homosexuels, est déjà considérée comme le coup d’envoi de grands rassemblements réactionnaires évoqués par Copé dans son « face à face » avec Fillon.

Mais plus encore que le mariage gay, c’est sur la question du droit de vote pour les étrangers – encore une proposition du candidat Hollande – que la radicalisation de la droite et le rapprochement avec le Front national risquent de s’opérer si ceux-ci ne rencontrent pas sur leur chemin la mobilisation des antiracistes, des antifascistes, et des progressistes. Or, par un manque de courage politique inquiétant, ce gouvernement semble, une fois de plus, tergiverser et n’envisager de présenter ce projet de loi qu’au mieux... en 2014, autant dire qu’il ne le fera pas.
Si on peut entendre l’argument suivant lequel cette loi nécessiterait une modification constitutionnelle, qui ne pourrait être obtenue qu’après un vote majoritaire des 3/5e du Congrès (chambre des députés + Sénat), l’abandon de l’organisation d’un référendum populaire serait une capitulation idéologique majeure ouvrant une voie royale à la droite et au FN.

On peut ne pas gagner les batailles que l’on mène, mais on est sûrs de perdre celles que l’on ne mène pas.

Ce n’est qu’en s’appuyant sur la mobilisation de notre camp social et en reprenant le combat antiraciste que l’on pourra reconquérir le terrain abandonné à l’extrême droite. La résistance à « l’air du temps » doit se nourrir des mobilisations telles que celles de Poitiers où une manifestation unitaire s’est déroulée en réaction à l’occupation de la mosquée, ou à Orange en réaction à la tenue d’une convention des identitaires.

Il n’y a pas de petites ripostes, toutes ont un sens dans la situation actuelle.

Mais il en va de la crédibilité des anticapitalistes d’être partout à l’initiative pour mettre en place des cadres unitaires antiracistes et antifascistes tant au niveau local qu’au niveau national... l’heure de la contre-offensive est venue !

Alain Pojolat
Partager cet article
Repost0

Contactez le NPA du Finistère

 

faou

 

UNE-190.JPG

 

cgt-gg.jpg

 

affiche_Peillon_Fioraso_BAT_0_0.preview.jpg

 

encart npa taille normale

 

 

nukleel-nam-bo-ket.jpg

accueil
*

Brest

06 42 22 96 37

brest.npa@gmail.com

 

Quimper

06 59 71 42 21

quimper.npa@gmail.com
 

Le blog sur les

questions maritimes

L'autre grenelle de la mer

 

Le blog de solidarité avec

les camarades arabes

Revolution arabe 

 

fermoez-fesse.jpg

Recherche

Actions !

Pour plus de détails voir les liens: 

 

diapo prisonnier palestine

Soirée prisonniers palestiniens

AFPS Brest

mardi 16 avril

20H30

Maison des syndicats

 

sortir-copie-1.jpg


manifestants-hopital-SUD-copie-1


Quimper Gourmelen

Rassemblement

vendredi 19 avril

8 h 45


foto2-205-ebf3f

 

Fermez Cofrents

(pays Valencian)

 

 

laniion.jpg

  Concert à Lannion

 

no nuk

 

Dimanche 28 avril

Brennilis

anti-r-1-r-copie-1.jpg

 


robertbelle5mai13DZ

 

 

Mardi 7 mai

 Yves-Marie Le Lay,

Président de

Sauvegarde du Trégor

  Douarnenez

Librairie l'Ivraie à 20h00

 

nddk.jpg

 

yy.jpg

 

st nnonon

 

grece.jpg