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11 mars 2009 3 11 /03 /mars /2009 19:12


Depuis le 20 février, une pétition a été lancée pour que les séances de la Commission Locale d'Information soient publiques, que des études indépendantes radio-écologiques et épidémiologiques soit organisées rapidement et qu'un débat public sur la question du démantèlement soit ouvert.


Vous avez été à ce jour plus de 7000 à la signer.

Nous vous appelons à se rassembler lundi 16 mars à 17 h quai Dupleix à Quimper devant le conseil général du Finistère.


La réunion de la CLI (commission locale d'information) se tenant ce même jour à 17h30, nous remettrons à Pierre Maille les pétitions en début de séance afin qu'il tienne compte de l'expression des citoyens.


Cette pétition peut être encore signée

http://citron-vert.info/petitions/?petition=3

http://www.cyberacteurs.org/actions/action.php?id=379


ou téléchargée

http://sortirdunucleaire29.free.fr/spip.php?article104

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19 juillet 2008 6 19 /07 /juillet /2008 16:28

En juillet 2008, Le Parc Eana ouvre ses portes et vous invite à un fabuleux voyage, du Big Bang à 2050 ! Une grande aventure à vivre en Normandie, à l’abbaye du Valasse, à 15 minutes du Pont de Normandie.

Partez à la découverte des plantes voyageuses et explorez les parcours thématiques : le jardin au fil de l'eau, le jardin du textile, des espaces ludiques et interactifs. Autant d’itinéraires de découvertes et de jeux pour toucher, ressentir, comprendre et s'amuser dans un dialogue entre l'Homme et la Nature.

La Grande Halle, construction moderne respectueuse de l'environnement, vous propose de vivre le développement durable par le jeu et l'échange. Vivez la beauté de la terre, évaluez votre mode de vie et allez, collectivement, vers les voies du possible...

A l’ombre de l’abbaye cistercienne du Valasse, deux salles voûtées du XIIème et les salons rehaussés de boiseries de style accueillent séminaires et réunions, ainsi que les restaurants du parc.
La Grande Halle, construction moderne respectueuse de l'environnement, proposera un parcours immersif fondé sur le jeu et l'échange. Le visiteur pourra évaluer l'impact des comportements humains sur l'environnement et se diriger vers les voies du possible.

Le Parc Eana est une réalisation de la communauté de communes Caux vallée de Seine.

Plus d'info sur le site d'Eana

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14 juillet 2008 1 14 /07 /juillet /2008 18:39

6-10 Août 2008

Brest / presqu'île de Crozon : journées d'été de la clownerie
Dans un endroit magique, en marge d'un superbe festival et à proximité d'une énorme base nucléaire, l'Ile longue... De quoi s'amuser !

Au programme : installation du chapiteau, fabrication de toilettes sèches, théorie du clown, communication non-violente, bilan des clowneries de l'année, débats et échanges sur le nucléaire militaire, projections diverses, le tabou du nucléaire en presqu'île de Crozon, pétanque, pastis, balade en bord de mer, bain de minuit, feux de bois, atelier chamalot, crêpe party... et actions !
Les actions se dérouleront principalement les 9 et 10 août, avec notamment des simulations d'accidents nucléaires, la mise à l'eau de sous-marins nucléaires, la démonstration de tirs de M51 sur les plages, des courses aux armements, un concours de construction de bunkers, et bien sûr un passage en fanfare au festival du Bout du Monde, le festival le plus explosif de la presqu'île...

contact/inscription:
http://desarmonsboutdumondesansnucleaire.blogspot.com/

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11 juillet 2008 5 11 /07 /juillet /2008 11:36

 
La fuite de 30 m3 d’un liquide contenant de l’uranium radioactif, survenue à la centrale du Tricastin dans la nuit du 7 au 8 juillet révèle les dangers que fait courir à la population la politique énergétique du gouvernement français.


Cet accident met en relief la non-fiabilité des entreprises sous-traitantes qui gèrent les déchets nucléaires puisque cette fuite a été causée par l’absence d’étanchéité d’une cuve de retenue de la société Socatri.


La répétition des fuites au niveau des canalisations de rejet (avril et août 2007), des cuves de rétention (octobre 2007) et de la station de traitement de rejet (novembre 2007) traduisent un important manque de maîtrise (tout comme l’oubli en janvier dernier, d’effluents radioactifs dans une cuve de transfert).


Par ailleurs, les vérifications conduites par la CRIIRAD montrent des violations répétées et très importantes  des limites de rejets de produits radioactifs dans l’atmosphère!


Ce n’est que plusieurs heures après la fuite que l’alerte a été donnée. Le retard dans la diffusion de l’information, l’absence de transparence propre au lobby pro-nucléaire ne peuvent qu’aggraver les conséquences d’un accident.


Or l’ensemble de la filière nucléaire, AREVA, EDF, ALSTHOM… est maintenant privatisée et le président de la république caresse le projet de confier un nouveau réacteur EPR au groupe financier SUEZ.


Il est irresponsable de confier à des groupes dont l’unique motivation est le profit la gestion d’une filière industrielle où les dangers sont aussi importants et aussi difficiles à prévenir.

 

Les comités pour le NPA des Bouches-du-Rhône :

-        exigent une enquête indépendante sur la gestion de l’usine du Tricastin

-        apportent tout leur soutien à la campagne du Réseau « Sortir du nucléaire »

-        se prononcent plus que jamais pour la nationalisation des grands groupes énergétiques

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3 juillet 2008 4 03 /07 /juillet /2008 18:52

Sortir du Nucléaire Cornouaille, les Alternatifs, les Verts, la LCR, la CNT, UDB, Cyberacteurs appellent à participer nombreux au grand rassemblement européen "Pour un monde sans nucléaire" à Paris, place de la République, le 12 juillet à 14 heure (site), alors que Nicolas Sarkozy débutera pour 6 mois à la présidence de l'union européenne et qu'il entend promouvoir le nucléaire.


 

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1 juillet 2008 2 01 /07 /juillet /2008 19:03


10 hectares de terres arables disparaissent chaque jour en Bretagne. Au prix de la baisse de la fertilité des sols et de la pollution de l’eau, l’agriculture dite « productiviste », n’est productive que pour des intérêts lucratifs à court terme. La terre, comme la nourriture, sont devenues des produits spéculatifs et menacent, ipso facto, la souveraineté alimentaire des peuples du monde entier.


Le collectif des 2000 paniers paysans milite pour que la question de l’agriculture devienne centrale dans la politique de la ville de Quimper.


Interpellons ensemble les élus de Quimper Communauté afin de développer rapidement des réserves foncières pour une agriculture paysanne respectueuse de la biodiversité (sans herbicide, sans pesticide, sans engrais issu de la chimie de synthèse ; respect des animaux) à proximité de notre agglomération.


Parce que l’accès à une alimentation saine est un droit pour tous à Quimper, rejoignez le collectif des « 2000 paniers paysans », signez et faîtes signer la pétition.


Pour signer la pétition en ligne :
Cliquez ici

Un mail de retour vous sera envoyé pour valider votre signature.


Le collectif des 2000 paniers paysans, Quimper

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18 juin 2008 3 18 /06 /juin /2008 16:59

 

Rouge n° 2233, 03/01/2008



Fontaine Agam à l'esplanade de la Défense.
Photothèque Rouge/JR
 

 

Le vase déborde

Les différentes enquêtes de l’UFC-« Que choisir » reviennent sur le manque de transparence de la gestion de l’eau en France. Cette année, le prix de l’eau dérange les élus et les multinationales, qui peinent à justifier les écarts de facturation, en fonction des villes ou du type de gestion – public ou privé.

En matière de gestion des services de distribution d’eau, l’exception culturelle française existe bel et bien, contrairement à ce que déclarait l’ex-président de la Compagnie générale des eaux, Jean-Marie Messier. Alors que, dans le monde, la gestion des services d’eau et d’assainissement est publique dans 96 % des cas, 60 % des communes françaises (80 % des usagers) délèguent au privé la gestion de la distribution de l’eau. Plus inquiétant, la situation française tend à devenir un modèle mondial. Les trois multinationales leaders mondiaux de la distribution de l’eau sont de vieilles entreprises françaises. Ondeo (groupe Suez, ex-Lyonnaise des eaux) a 120 ans, Veolia (ex-Générale des eaux) plus de 150. Le système de délégation de service public a fait ses premiers pas avec Napoléon III, qui signa l’acte de naissance de la Générale des eaux, afin d’équiper Paris d’un réseau d’eau et de répondre à cet investissement conséquent. Par la suite, la ville a pris en charge les investissements, tandis que la compagnie s’occupait de l’entretien des canalisations et de la distribution-facturation.


Les contrats de délégation sont négociés, avec les entreprises, par les maires ou les présidents des collectivités territoriales, lorsque la question se pose de déléguer plutôt que de rester ou de passer en régie municipale. Le prix de l’eau est fixé au moment de la signature des contrats. Ce mode de décision, sans aucune transparence, a vite conduit à la corruption, facilitée par les droits d’entrée et le financement opaque des partis politiques avant 1993 (lire ci-dessous). En 1996, Alain Carignon, alors maire de Grenoble, est condamné à cinq ans de prison (dont un avec sursis) pour corruption, dans une affaire impliquant la Lyonnaise des eaux.


À la tête du client


L’UFC-Que choisir, les cours régionales des comptes et l’Association pour un contrat mondial de l’eau (Acme), ainsi que d’autres associations, dénoncent régulièrement les disparités de prix, en fonction des territoires et des modes de gestion – publique ou privée. En France, les écarts de prix vont de un à sept, que l’on soit en Bretagne, à Toulouse ou dans une commune rurale d’Auvergne. De même, les écarts de prix entre la gestion publique et la gestion privée sont, en moyenne, de 27 %. Mais ils peuvent atteindre 70 % !


L’enquête de l’UFC-Que choisir, publiée en début d’année, est revenue sur certains écarts de prix, que seul le besoin de faire des profits faramineux explique. Le taux de marge atteint 58,7 % en banlieue parisienne, 56,1 % à Marseille et 55 % sur la presqu’île de Gennevilliers (Hauts-de-Seine). En comparaison, les régies municipales, comme à Clermont-Ferrand, à Annecy et à Grenoble, ont un taux de marge qui avoisine 10 %. En Île-de-France, le Syndicat des eaux d’Île-de-France (Sedif) regroupe, depuis 1922, 144 communes sous le même contrat de gestion de la production et de la distribution d’eau potable, contrat délégué à Veolia eau depuis la création du syndicat. Le ministre de la Fonction publique, André Santini, préside le Sedif, secondé par onze vice-présidents, le maire de Montreuil (Seine-Saint-Denis), Jean-Pierre Brard (député apparenté communiste) assurant le poste de premier vice-président. En moyenne, le Sedif vend l’eau 3,45 euros/m3, soit un euro de plus qu’à Paris.


Comment expliquer cette différence de prix ? Le flou règne et aucune réponse sérieuse n’a été donnée à ce jour, quelles que soient les critiques apportées à l’enquête de l’UFC-Que choisir. Celle-ci montre que plus l’installation est grande, dense et le contrat ancien, plus le prix de l’eau est élevé. L’enquête a également mis en évidence que les gros consommateurs payent moins que les petits. C’est une véritable incitation au gaspillage. L’exemple le plus parlant concerne Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) : le fief de Nicolas Sarkozy bénéficie d’une ristourne de 61 % sur sa facture d’eau, du fait de sa grande consommation (plus de 1 825 000 m3). Il en va de même à Lyon, où la mairie socialiste a annoncé, pour 2008, une baisse du prix de l’eau de 0,285 centimes d’euro par m3, mais variant en fonction de la quantité consommée. Pour ceux qui consomment plus de 60 m3 par an, la baisse sera bien de 16% mais, moins on consomme, moins elle se fait sentir.


Système opaque


Autre point non négligeable qu’engendre le système de délégation, le non-remplacement des canalisations. Le changement des canalisations anciennes est financé par les provisions pour renouvellement prélevées sur la facture des usagers. Mais elle est rarement utilisée pour entretenir le réseau d’eau. L’empire Vivendi, que Jean-Marie Messier avait bâti à partir de la vieille Compagnie générale de eaux, s’est en partie constitué avec les 27 milliards d’euros de provisions, transformés en prime d’assurance et détournés vers des paradis fiscaux. Une enquête parlementaire, exigée en 2002 par quelques députés vivant eux-mêmes dans des villes ayant des contrats de délégation avec ces entreprises, n’a jamais été diligentée. L’affaire se tassa, au plus grand bonheur des marchands d’eau et des élus. Les usagers, eux, ont payé pour rien : au final, quand les canalisations devront être changées, qui paiera ?


L’enquête de l’UFC-Que choisir et la médiatisation croissante de l’opacité du système de délégation bousculent élus et ministère de l’Environnement. Les réactions pleuvent de tous côtés pour contester cette enquête et la méthode de travail qui a permis d’obtenir ces chiffres stupéfiants. L’enquête se fonde sur un panel de plusieurs communes et peut, certes, être critiquée. Mais ces remarques ne répondent pas au fond du problème, qui reste l’opacité du système. Les réactions ne s’arrêtent pas seulement aux critiques. André Santini a écrit à ses collègues députés pour les inciter à ne pas rencontrer Que choisir.


De son côté, le ministère de l’Environnement a timidement réagi sur son site Internet : 
« Le juste prix de l’eau ne peut être uniforme partout en France, puisqu’il est lié à des caractéristiques locales, telles que la qualité de l’eau prélevée, la densité des populations ou le niveau de service proposé à l’usager. L’absence de données homogènes accroît le risque d’interprétations divergentes des chiffres bruts. » Si nous appliquions cette argumentation à l’énergie, nous aurions des prix d’électricité et de gaz très différents d’une région à l’autre… ce qui nous attend certainement. Cette argumentation nous prouve également que la distribution de l’eau n’est pas un service public. Un service public n’est-il pas censé garantir un prix identique à tous les citoyens ?

Remunicipalisation


Autre exemple concret d’inégalité et du système « pollué-payeur » que les dernières lois sur l’eau n’ont pas changé, la facture d’eau. Composée de multiples éléments, elle est extrêmement compliquée à détailler, ce qui permet de laisser les usagers dans l’ignorance. Une partie de cette facture concerne la production et la distribution, une autre l’assainissement. Cette deuxième partie est collectée pour les agences de bassin. Ces agences redistribuent cet argent 
« sous forme d’aides financières (prêts, subventions) aux collectivités locales, aux industriels et aux agriculteurs pour la réalisation de travaux : de lutte contre la pollution et de développement et de gestion des ressources en eaux », comme l’annonce leur site Internet. L’explication est presque sincère. Les usagers qui consomment cinq fois moins que les agriculteurs payent les dégâts engendrés par l’agriculture intensive, alors que 80 % des captages d’eau destinés à l’agriculture ne sont pas comptabilisés, et donc taxés. L’eau distribuée en Bretagne est très souvent en dessous des normes de potabilité, qui sont déjà un minimum en termes de qualité. L’agriculture, par l’élevage intensif de porcs et de volailles, ainsi que l’usage de pesticides, a contaminé les nappes phréatiques, rendant difficile sa purification et augmentant le coût de production de l’eau potable. Les agriculteurs ne reversent pourtant rien aux agences de l’eau, qui doivent subventionner la dépollution des rivières. La cour des comptes a récemment dénoncé les aides publiques (310 millions d’euros) versées aux agriculteurs en Bretagne depuis 1993 sans qu’aucune amélioration ne soit constatée.

Lors des prochaines élections municipales, l’eau sera une question de premier plan dans le débat public. Partout, des usagers révoltés par le fait que leur facture d’eau enrichit les actionnaires demandent des baisses de tarifs. La seule réponse reste la remunicipalisation. Après l’annonce de la remunicipalisation partielle à Paris, il faut que le débat soit mené partout, afin que, à l’heure où 60 % des contrats vont être renégociés, les futurs élus prennent position pour un service moins cher, moins opaque et de meilleure qualité.


Thibault Blondin

 

Eaux troubles

En 1982, les lois de décentralisation suppriment la tutelle des préfets sur les élus locaux. Ces derniers peuvent ainsi signer seuls des contrats jusqu’alors encadrés par les services de l’État. Les enveloppes et les « droits d’entrée » sont l’arme supplémentaire des entreprises. Le droit d’entrée consiste en une somme (de 10 à 100 millions de francs) versée à la signature du contrat avec l’entreprise privée. Il était versé au budget général de la ville. Il peut s’accompagner de la construction d’un stade ou autre équipement, sans compter les avantages tarifaires pour les services municipaux, les élus et les entreprises.


En 1995, la loi Barnier prohibe ces droits d’entrée, qui se transforment aussitôt en 
« redevances d’occupation du domaine public capitalisé », toujours en vigueur aujourd’hui. Certaines collectivités, pour doper leur budget, augmentent les tarifs fixés avec le délégataire privé aux dépens des consommateurs. Ainsi, les élus affichent une bonne gestion, une faible augmentation des impôts, un budget équilibré... Des dizaines de millions d’euros peuvent ainsi alimenter le budget municipal grâce à un impôt qui n’a pas de nom.

Car ces sommes ne sont nullement un don. Elles sont remboursées sur la facture des usagers à des taux d’intérêts très élevés. Le contrat de la ville de Toulouse, passé en 1990 avec la Compagnie générale des eaux (CGE), en est le triste exemple. À sa signature, la CGE a versé la somme de 437,5 millions de francs (67 millions d’euros). Une aubaine pour la ville. La droite au pouvoir fait campagne sur la dette zéro à chaque élection, mais à quel prix ? La somme allouée devait, si des usagers ne s’étaient pas mobilisés, être remboursée sur la facture des usagers à un taux pouvant atteindre 13 %. Le remboursement à la fin du contrat aurait atteint 1,450 milliard de francs (221 millions d’euros) !


Thibault Blondin

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18 juin 2008 3 18 /06 /juin /2008 16:47

 

  L’écosocialisme (site) est un courant qui rassemble des militants écologistes opposés au capitalisme et conscients de l’incapacité de ce système intrinsèquement destructeur de proposer des solutions véritables aux menaces de crise environnementale catastrophique. Pour la première fois ce sont réunis à Paris (Montreuil) des dizaines de partisans des idées écosocialistes, pour fonder un réseau international. Plusieurs militants de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR), notamment de sa Commission Nationale Écologique, et des autres sections de la Quatrième Internationale (en particulier les camarades de l’International socialist group — ISG du Royaume-Uni, venus en nombre) ont activement participé à la préparation de cette rencontre et à ses débats.

Nous reproduisons ci-dessous le communiqué de presse distribué à la conclusion de ces deux journées.

« Les 7 et 8 octobre 2007, un groupe de militants écologistes de treize pays s’est réuni à Paris afin d’inaugurer le Réseau Écosocialiste International (1). Le Manifeste Écosocialiste International, écrit il y a quelques années par Joel Kovel et Michael Löwy, a été le point de départ de cette initiative. “‘Écosocialisme’ est un mot qui n’apparaît encore dans aucun dictionnaire — a déclaré l’un des organisateurs de l’événement — mais nous croyons qu’il représente l’unique et meilleur espoir pour la guérison de la planète et pour le sauvetage de la société de la dévastation écologique”.

« Plus de 60 militants en provenance de l’Argentine, de l’Australie, de la Belgique, du Brésil, du Canada, du Chypre, de la France, de la Grèce, de l’Italie, de la Suisse, du Royaume-Uni et des États-Unis, appartenant à des partis politiques et des mouvements écologiques divers, ont participé à la réunion. Ils ont décidé d’organiser une grande conférence écosocialiste internationale en janvier 2009, en lien avec le prochain Forum Social Mondial au Brésil. Les participants ont élu un comité de coordination qui sera chargé de développer le réseau dans sa phase initiale. Ses membres sont : Ian Angus (Canada), Pedro Ivo Batista (Brésil), Jane Ennis (Royaume-Uni), Sarah Farrow (Royaume-Uni), Danielle Follett (États-Unis/France) Vincent Gay (France), Joel Kovel (États-Unis), Beatriz Leandro (Brésil), Michael Löwy (France/Brésil), Laura Maffei (Argentine), George Mitralias (Grèce), Jonathan Neale (Royaume-Uni), Tracy Nguyen (Royaume-Uni) Ariel Salleh (Australie), Eros Sana (France) et Derek Wall (Royaume-Uni). Le comité a aussi l’intention d’incorporer des membres de la Chine, de l’Inde, de l’Afrique, de l’Océanie et de l’Europe de l’Est.

« Les écosocialistes croient que la force motrice derrière la crise écologique est la pression impitoyable du système capitaliste vers l’expansion, un processus qui détruit non seulement l’intégrité de la nature mais aussi la base écologique de la survie humaine. Ainsi ils rejettent des solutions partielles qui ne font qu’ajuster le système, et ils cherchent des changements fondamentaux dans la société et sa relation avec la nature. L’écosocialisme est une synthèse dynamique des approches “rouges” et “vertes”. Il n’a pas de plan fixe pour la transformation de la société et il adopte un point de vue critique envers les expériences réalisées au nom du socialisme au cours du dernier siècle. Les écosocialistes ont en commun la conviction que la création d’un avenir vivable exige que le monde entier travaille ensemble pour éliminer le capitalisme et construire une société alternative, fondée sur les principes de la justice sociale et environnementale ainsi que sur la participation populaire. Par conséquent, le réseau se propose de faciliter la communication et la solidarité entre les personnes et les organisations toujours plus nombreuses qui partagent cette perspective. »
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