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22 mars 2013 5 22 /03 /mars /2013 09:56

catastroika

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Participation de Pascal Franchet (CADTM, CAC)
Débat sur les privatisations des services publics en Grèce, et sur le rôle de la France et du gouvernement socialiste dans ce programme de privatisations

Résumé du film

 

Le film documentaire CATASTROÏKA (par les créateurs de Debtocracy) cherche les conséquences de la liquidation totale de la Grèce. En revisitant des privatisations dans plusieurs pays développés au cours des 20 dernières années, CATASTROÏKA essaie de prévoir ce qui va se passer si ce même modèle de privatisation des biens publics s’applique à un pays sous surveillance économique.


CATASTROÏKA balaye des exemples de privatisations dans les domaines de l’eau, de l’énergie, des transports:

 

Russie post-soviétique, Allemagne de l’Est lors de la réunification, Grande-Bretagne sous Thatcher, les Etats-Unis et le scandale Enron, la distribution de l’eau à Paris sous Chirac… cette « méthode » conduit à l’explosion du chômage et/ou à une baisse de la qualité des services proposés.


CATASTROÏKA fait retentir la sonnette d’alarme par le manque de volonté politique en Grèce, un état qui accuse ses propres fonctionnaires de tous les déboires financiers du pays. Les services publics sont volontairement laissés à l’abandon par un État qui ensuite vend ses entreprises à un prix sous-évalué. Le film interviewe les philosophes Slavoj Zizek et Naomi Klein, le réalisateur Ken Loach, le Center for Economic and Policy Research de Washington, et bien d’autres. C’est un film co-produit par le public, et qui peut être visionné librement sur Internet.


Il semblerait que la crise financière nuise gravement à la démocratie, et peut-être que la Grèce serve de cobaye pour le reste de l’Europe.

 

Quand nous connaîtrons le bilan de cette liquidation qui nous est passé comme « la croissance », que ferons-nous ? Quelle croissance attendre quand des secteurs stratégiques de l’économie appartiendront à des entités privées ? Que répondre à ces arguments de croissance et de nouveaux emplois que prêchent les gouvernements ?

 

CAC Cornouaille

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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 12:06

13 mars 2013 

 

Le tribunal des prud'hommes a examiné, hier, les demandes de 70 salariés d'Alkopharm (ex Girex-Mazal) qui réclament le paiement de retenues de salaire. Le jugement sera rendu le 17 septembre.


Après une première audience de conciliation début octobre, à laquelle l'employeur n'avait pas assisté, le tribunal des prud'hommes de Quimper a entendu, hier après-midi, les plaidoiries des deux parties dans le dossier opposant 70 salariés à la direction d'Alkopharm. En raison de conditions de circulation rendues difficiles par la météo, Valéry Monin,
gérant de la holding Pharminvest n'a pu se rendre à Quimper.

Seize demandes de résiliation de contrat

Me Catherine Février du barreau de Quimper, conseil des salariés présents à l'audience, a informé le tribunal que seize salariés sollicitent en cours de procédure la résiliation judiciaire de leur contrat de travail. L'avocat de la partie adverse n'ayant reçu les conclusions qu'en fin de semaine, le tribunal a accepté la disjonction de ces dossiers. Ils seront examinés le 3 septembre en même que d'autres demandes de réévaluation de salaire.

 

Revenant donc sur les demandes originelles, Me Février a rappelé que le litige initial porte sur la décision de la direction courant mai 2012 d'imposer le passage du temps de travail de 34 heures 20 en quatre jours à 36 heures 70 répartis sur cinq jours sans augmentation de salaire. « Considérant qu'il s'agissait là d'une modification de leur contrat de travail, les salariés ont dans un premier temps refusé », souligne l'avocate. Elle évoque les courriers adressés à la direction par l'inspection du travail qui rappelle les procédures à respecter et la jurisprudence selon laquelle cette modification ne pouvait être imposée sans l'accord des salariés.

Retenues sur salaire

Après l'envoi de lettres d'avertissement, la direction a procédé à des retenues de salaires sur les mois de juin et juillet. Sous le poids de la contrainte, les salariés ont fini par accepter de venir travailler cinq jours par semaine. « Il y a eu du chantage à l'emploi, dénonce Me Février, puisque le 19 juillet une lettre nominative de 22 licenciements a circulé dans l'entreprise.

 

Soumis à une pression considérable, les salariés ont décidé de saisir les prud'hommes pour demander le retour à la situation antérieure en vertu de l'accord collectif du temps de travail intervenu en 1999, le paiement des retenues de salaire et des heures supplémentaires effectuées, ainsi que le versement de dommages pour le préjudice moral et financier ». De son côté, Me Olivier Laeri du barreau de Paris, défenseur de la société Alkopharm a rappelé dans quel contexte, Alain Bouaziz, dirigeant du groupe Pharminvest, avait racheté en 2011 la société Girex-Mazal. « Il était, dès le départ, précisé que l'ensemble des contrats repris feraient l'objet de modifications pour s'établir à 38 heures par semaine, réparties sur cinq jours. Le comité d'entreprise, souligne-t-il, s'était positionné en faveur de l'offre de reprise de Pharminvest ».

« Une faute grave »

Il a aussi fait valoir qu'en l'absence d'accord « intervenu dans un délai maximum de quinze mois, c'était le code du travail et la convention collective qui s'appliquaient empêchant ainsi tout retour au temps de travail initial ». Il a également informé le tribunal qu'un premier versement des heures supplémentaires, portant uniquement sur la période allant jusqu'à décembre 2012, avait été effectué en février, le second intervenant en mars. Il a, par contre, demandé au tribunal de débouter les salariés de leur demande de dommage et intérêts et du paiement des retenues de salaire estimant que leur refus de venir travailler un cinquième jour constituait « une faute grave ».

(*) L'ex Girex-Mazal a été séparée en quatre entités réunies par la holding Pharminvest. Il s'agit de Alkopharm, Alkochmi, Pharminvest maintenance et de l'institut de recherche Irqbios.

  • Cathy Tymen

http://quimper.letelegramme.com/local/finistere-sud/quimper/ville/alkopharm-les-salaries-fixes-en-septembre-13-03-2013-2033813.php

 

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Quimper.-Alkopharm-devant-les-Prud-hommes_40771-2172628-pere-redac--29019-abd_filDMA.Htm

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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 11:37

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13 mars 2013 

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La semaine dernière, la CGT avait évoqué la récupération par le conseil général du Finistère d'une somme de 200.000 € non utilisés par le Centre hospitalier intercommunal de Cornouaille de Quimper (Chic) en 2011 pour le financement de l'aide personnalisée à l'autonomie (Apa).

 

« Les familles des résidants des établissements pour personnes âgées de l'hôpital de Quimper attendent des explications », a réagi, lundi, Joëlle Le Gall, présidente de Bien vieillir ensemble 29. Loin de critiquer le conseil général, elle pointe du doigt la responsabilité de l'hôpital sur la non-utilisation de ces 200.000 €.

 

L'association s'interroge sur le fait que l'hôpital de Quimper qui « accompagne 600 résidants en perte d'autonomie fasse un excédent de 200.000 € en 2011 et 70.000 € en 2012 ». « Ces 200.000 € auraient pu servir à embaucher quinze aides soignantes supplémentaires », précise Joëlle le Gall.

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http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/finistere/centre-hospitalier-de-cornouaille-bien-vieillir-29-s-interroge-sur-l-excedent-de-200-000-eur-13-03-2013-2033249.php

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5 mars 2013 2 05 /03 /mars /2013 14:13

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Social mardi 05 mars 2013
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Plusieurs syndicats (CGT, Force ouvrière, Solidaires, FSU) appelaient à manifester ce mardi contre l’accord « sécurisation de l’emploi ». À Quimper, les manifestants étaient 500.

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« Accord scélérat »

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La CGT était, de loin, le syndicat le plus représenté. À l’issue de plusieurs prises de parole, un cortège s’est formé. Parmi les slogans repris à cette occasion, celui dénonçant « un accord scélérat au profit du patronat »

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http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Quimper-500-manifestants-contre-l-accord-sur-l-emploi_40771-2169810-pere-redac--29019-abd_filDMA.Ht

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12 février 2013 2 12 /02 /février /2013 12:41

12 février 2013 à 12h23 

 

Environ 550 personnes, en grande majorité des enseignants du primaire, mais aussi quelques parents et retraités, ont manifesté à 11 h dans les rues de Quimper contre la loi d'orientation Peillon sur les rythmes scolaires.


Parmi les critiques les plus entendues dans les rangs des manifestants : la dénonciation d'une réforme lancée dans la précipitation sans que toutes ses conséquences soient mesurées, ou encore, le rejet de l'inégalité imposées aux enfants selon leur situation dans une commune "riche" qui pourrait offrir un accompagnement aux heures périscolaires ou une commune "pauvre" sans moyens.

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http://quimper.letelegramme.com/local/finistere-sud/quimper/ville/quimper-rythmes-scolaires-550-manifestants-dans-la-rue-12-02-2013-2003132.php

 

http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Quimper.-Les-professeurs-contre-la-semaine-de-4-jours-et-demi-des-2013-dans-la-rue_40771-2163225-pere-bre_filDMA.Htm

 

http://www.ouest-france.fr/region/bretagne_detail_-Rennes.-Un-millier-de-manifestants-dans-la-rue-contre-la-reforme-Peillon_40823-2163181_actu.Htm

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6 février 2013 3 06 /02 /février /2013 09:19
Le Collectif Cornouaille pour un Audit Citoyen de la dette publique (CAC) invite à voir le documentaire "Khaos" qui sera projeté au Quai Dupleix vendredi 8 février à 20h30, en présence d'Ana Dumitrescu, réalisatrice.
Ce documentaire plonge, à travers portraits et témoignages, dans les profondeurs de la crise grecque et de ses conséquences concrètes imposées au peuple grec, ainsi qu'à tous les peuples européens.
 
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29 janvier 2013 2 29 /01 /janvier /2013 12:15
Formation lundi 28 janvier 2013
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Les quatre centres bretons de formation des apprentis du bâtiment sont touchés par un appel à la grève demain mardi.

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Régionalisation Dans le Finistère, c’est l’ex-Afobat, à Quimper, qui est concerné. La régionalisation de la formation est en cause. Les syndicats réclament « de vraies négociations ».

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http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Quimper.-Appel-a-la-greve-mardi-au-centre-de-formation-du-batiment_40820-2158277------29232-aud_actu.Htm

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 09:40

sos-taudis-abbe-pierre-mal-logement 31

16 janvier 2013 à 08h30 - Réagir à cet article

 

Pas de pied-de-biche sorti, hier, au Braden. Une trentaine de militants et sympathisants du collectif «Urgence un toit pour tous!» Cornouaille ont émis un simple «avis de réquisition». Parmi eux, le porte-parole du Droit au logement.


«Nous voulons montrer, par cette action, qu'il existe des locaux inoccupés, en bon état, comme celui-ci qui sert de débarras à l'Opac, alors que des demandeurs d'asile ou Français de souche vivent dehors ou sont mal-logés». Vive expression d'Édouard Ryckeboer, hier au coeur du Braden, rue de l'Ile-d'Houat, où une trentaine de militants et sympathisants du collectif «Urgence un toit pour tous!» Cornouaille ont émis «un simple avis de réquisition».

Trois propositions


«La Ville de Quimper a fait trois propositions à la préfecture pour des conventions de mises à disposition. Il y a la ferme du Braden, où vivent sept demandeurs d'asile, où la ville a mis l'eau et l'électricité et qu'on nous demande d'évacuer à défaut de mise aux normes», relate Michel Kernaleguen. «Et puis il y avait une maison, route de Brest, que la préfecture a jugée trop dangereuse car près de la rue. Enfin une autre, route de Douarnenez, où la mise aux normes coûterait 100.000 €, nous assure-t-on», poursuit ce porte-parole du collectif.


«Nous avions rendu public en octobre le cas de Natacha, une jeune femme enceinte.

 

Elle loge depuis dans un hôtel à 30 € par jour la chambre en moyenne. À trois, ça fait 2.790 € par mois. C'est bien plus que les T 3 à 574 € par mois trouvés sur le Bon coin. La preuve que l'État ne recherche ni la solution la plus pérenne ni la moins chère», insiste Michel Kernaleguen. Les militants du collectif entendent «continuer à faire pression sur les autorités pour que les lois concernant le logement soient appliquées».


Citant l'urgence, il rappelle qu'à Quimper peu de migrants ont besoin d'être hébergés.

 

«Douze personnes y étaient domiciliées comme demandeuses d'asile entre janvier et juin 2012. On pourrait les recevoir mieux que nous ne le faisons», assure le porte-parole. Un autre porte-parole, celui du Droit au logement, est venu soutenir hier la mobilisation quimpéroise. «La vacance de logements en France n'a jamais été aussi élevée, avec 2,450 millions de logements libres. Ca devrait nous permettre de régler une partie du problème de sans-abrisme», a commenté Jean-Baptiste Eyraud. «Le nombre de sans-abri a doublé ces dix dernières années, les prix des loyers et de l'immobilier ont flambé. Il faut impérativement que le gouvernement s'engage sur la voie des réquisitions ou des mises à disposition de biens vacants», a-t-il insisté.

«Droit fondamental»


«Il faut que le gouvernement respecte les droits des plus vulnérables, jusqu'au logement, c'est dans la loi; qu'il applique la loi au logement opposable; enfin la loi de réquisition contre la vacance. Huit pour cent de logements vacants, c'est trop!», poursuit le militant du Dal. «Le droit au logement est fondamental, car sans logement on n'est plus dans la société. Il faut passer de la parole aux actes. C'est pour ça que nous soutenons tous les mouvements de mobilisation citoyenne en faveur de réquisitions par la loi», signifie-t-il. Comme hier, en douceur, à Quimper, où cinq Arméniens cherchent, par exemple, depuis deux mois, une vraie solution d'hébergement.

  • Bruno Salaün
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16 janvier 2013 3 16 /01 /janvier /2013 12:39

15 janvier 2013 à 18h05 

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Une trentaine de militants et sympathisants du collectif "Urgence un toit pour tous ! Cornouaille" ont symboliquement procédé, ce mardi, à un avis de réquisition de locaux inoccupés au coeur du quartier du Braden à Quimper. Parmi eux, le porte-parole national du DAL (Droit au logement) Jean-Baptiste Eyraud.

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Alors que la préfecture des Côtes d'Armor vient d'annoncer le déclenchement du niveau 1 du dispositif "grand froid, cette action vise à attirer l'attention sur le mal-logement.

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En France, 3,6 millions de personnes sont concernées affirme la fondation Abbé-Pierre alors qu'il y a "plus de 2,5 millions de logement vacants" comme le rappelle Jean-Baptiste Eyraud.

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http://quimper.letelegramme.com/local/finistere-sud/quimper/ville/quimper-un-toit-pour-tous-un-collectif-manifeste-devant-des-locaux-inoccupes-15-01-2013-1973056.php

 

 

 

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12 janvier 2013 6 12 /01 /janvier /2013 11:53

rom

12 janvier 2013 -

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Le collectif «Un toit pour tous» accueille le leader de Droit au Logement, Jean-Baptiste Eyraud, mardi. À cette occasion, il invite à la réquisition d'un logement vide au Braden.


Mardi, Jean-Baptiste Eyraud, porte-parole de l'association Droit au Logement pourra conseiller les Quimpérois sur la bonne stratégie d'une réquisition sauvage: une opération éclair, déterminée, en présence des médias. Le but est d'installer des personnes en difficulté et de mettre ensuite les pouvoirs publics devant le fait accompli. C'est ce qui s'est passé début janvier à Paris où une soixantaine de sans-logis ont été installés dans un bâtiment inoccupé depuis deux ans avec l'aide de Droit au logement. La ministre du Logement Cécile Duflot a ensuite intégré le lieu dans la liste officielle des «réquisitionnés».

 

Ce fut aussi le cas à la ferme du Braden occupée sans autorisation au mois de juin dernier.

 

La mairie a ensuite réalisé quelques investissements pour que les sept personnes hébergées, d'origine tchétchène et arménienne, aient un minimum de confort (remise en état de la chaudière et du chauffe-eau). «Un toit pour tous œuvre pour tous les sans-abri, pas seulement pour les demandeurs d'asile» insiste Édouard Ryckeboer. «Mais ce sont essentiellement les demandeurs d'asile qui sont à la rue», ajoute Michel Kernaleguen. Le pari de la réquisition est néanmoins risqué. «Si à Paris, les occupants ont obtenu leur maintien, à Rennes et à Bordeaux, une centaine de personnes a été expulsée sur ordre de la préfecture» constate Michel Kernaleguen. La médiatisation fait donc partie intégrante de la stratégie.

Recensement en cours

Interrogée par l'association, la préfecture a indiqué qu'un recensement des logements vides appartenant aux collectivités publiques était en cours. «Nous savons que des logements sont vides parfois pour de bonnes raisons» dit Michel Kernaleguen. Les maisons de la Cité du gaz au Cap Horn auraient pu intéresser le collectif mais l'Opac a un projet de rénovation en cours. «Nous étions aussi intéressés par le logement de fonction inoccupé à l'école de Kergoat-al-Lez, mais il a été barricadé avant notre intervention».

 

«L'évêché a fait savoir qu'il pouvait mettre à disposition le presbytère de Saint-Mathieu, mais nous n'avons pas de nouvelles, continue Michel Kernaleguen. La mairie a aussi mis des locaux à disposition. La préfecture répond que les travaux de rénovation seraient trop importants». «Il faut savoir que loger une famille à l'hôtel représente 1.500 € par mois, financé par le CCAS à partir d'une dotation de l'État, dit Jean-Pierre Bigorgne. Pourquoi ne pas imaginer des colocations, qui coûteraient moins cher». Dans l'immédiat, le collectif invite à se rassembler mardi à 15h30 sur le parking du centre commercial du Braden avant un déplacement pour la réquisition dans le voisinage.

 

À 20h30, réunion publique avec Jean-Baptiste Eyraud aux halles Saint-François.

(1) AC! Quimper, ATTAC, Alternatifs, Indignés, CNT 29, CRABES, Droit d'asile, Europe Écologie Les Verts, FSU, Front de Gauche, NPA, PCF, la Gauche naturellement, Présence citoyenne, Solidaires, UDB.

  • Ronan Larvor

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