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4 octobre 2012 4 04 /10 /octobre /2012 09:30





Le traité ne doit pas passer :


- parce que nous n'acceptons pas que le Président de la République, qui s'était engagé à renégocier le traité, le fasse ratifier au plus vite par les parlementaires, sans consulter les citoyens ;
- parce que ce traité va interdire les déficits publics et, au nom du remboursement aux marchés financiers d'une dette publique illégitime, va instaurer une austérité d'enfer et empêcher les financements publics nécessaires à la transition écologique et sociale ;
- parce qu'il faut construire les résistances à venir contre l'austérité en France et en Europe.

Réunion débat à l'initiative du Collectif Cornouaille pour un Audit Citoyen de la dette publique, avec le soutien d'Attac, d'AC, des Indignés, CNT, Solidaires, du Front de Gauche, FASE, PCF, PG, GA, des Alternatifs, da Gauche Naturellement, du NPA...

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28 septembre 2012 5 28 /09 /septembre /2012 13:32
vendredi 28 septembre 2012
Peur du monopole

Suite à la décision de fermer la maternité à la clinique Saint-Michel-Sainte-Anne à la fin de l'année, des moyens vont être transférés au centre hospitalier de Cornouaille (Chic). L'établissement public se prépare à faire face à une hausse de 800 à 900 accouchements supplémentaires par an. « La CGT aurait préféré conserver une offre privée dans le Finistère-Sud, affirme Georges Guillouzouic, secrétaire général. Quand il y a monopole, il y a risque de dérive. »


Tarification


Pour le syndicat, le service de maternité du centre hospitalier, qui va passer à 3 000 accouchements, par an subit de plein fouet les effets pervers de la tarification à l'activité. « Nous craignons que la rentabilité prime sur la prise en charge des parturientes, ajoute le représentant de la CGT. Les séjours, de plus en plus courts, peuvent nuire à la santé de la maman et du bébé. »


Rentabilité


« Si la clinique a décidé de fermer sa maternité, c'est aussi parce que c'est un service qui n'est pas rentable », affirme Michèle Diraison, du syndicat. Les représentants du personnel dénoncent cette façon de voir les choses. « Pour écouter et accompagner les jeunes mamans, il faut du temps. Nous aimerions que la qualité des soins ne pâtisse pas d'une vision comptable ou chiffrée de la santé. La mission de service public, il ne faut pas l'oublier. »


Conditions de travail


La CGT veillera à ce que l'augmentation des lits à l'hôpital ne nuise pas aux conditions de travail des personnels. Lors du comité technique d'établissement, elle a demandé la titularisation des contractuels qui travaillent au sein du service. Cela concerne plus d'une trentaine des sages-femmes et d'auxiliaires de puériculture. « C'est bien d'intégrer les personnels de la clinique mais nous sommes vigilants sur le sort des salariés de l'hôpital. » Une sage-femme, une infirmière et huit auxiliaires de puériculture ont souhaité rejoindre l'équipe du Chic en bénéficiant d'un parcours personnalisé.


 

Lucile VANWEYDEVELDT.
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26 septembre 2012 3 26 /09 /septembre /2012 12:58

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24 septembre 2012 1 24 /09 /septembre /2012 10:52

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QUIMPER

 

SALAH HAMOURI,

jeudi 27 à 20 h 30,

halles st françois,

organisé par l'AFPS Pays de cornouaille 

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19 septembre 2012 3 19 /09 /septembre /2012 11:38
Éducation mardi 18 septembre 2012

Une quinzaine de professeurs du lycée Thépot de Quimper, se sont réunis, ce mardi après-midi devant l’inspection académique.


Au cœur de leurs revendications, la fermeture de la quatrième classe de seconde à la rentrée scolaire 2012. « Puis, il y a l’augmentation des effectifs, passés de 27 à 34 élèves en seconde et les effectifs incompatibles avec des locaux pourtant neufs et bien équipés par la région », explique Yves Pasquet, professeur de technologie et membre du secrétariat départemental du syndicat SNES-FSU.


Ce mardi matin, plus de 70 % des cours n’ont pas été assurés. Les parents et les élèves ont été prévenus de ce mouvement.


http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Quimper.-Des-professeurs-du-lycee-Thepot-en-greve-contre-la-fermeture-d-une-classe-%5BVideo%5D_40820-2114088------29232-aud_actu.Htm

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18 septembre 2012 2 18 /09 /septembre /2012 09:15

 

Le Monde.fr avec AFP | 17.09.2012 à 10h

Jusqu'à sept juges du tribunal de commerce de Quimper, dont la compétence a été contestée dans la liquidation du volailler Doux, se trouvent en situation de conflit d'intérêts "potentiel" dans ce dossier, selon une enquête du quotidien régional Le Télégramme parue lundi

Le tribunal a été vivement critiqué, notamment par les syndicats, après sa décision, au début d'août, de rejeter une offre de reprise globale du groupe de Châteaulin (Finistère) déposée par Sofiprotéol et surtout de séparer, comme le souhaitait la famille Doux, le pôle frais, déficitaire, des autres activités du groupe.


Or, selon Le Télégramme, dans une article intitulé "Des juges sous pression[s]", sur les seize juges consulaires du tribunal quimpérois, au moins deux se trouvent en conflit d'intérêts "flagrant" au vu de leurs liens avec le groupe, tandis qu'un soupçon de conflit "potentiel" pèse sur cinq autres. Le tribunal de commerce compte dans ses effectifs un haut dirigeant du volailler, son directeur juridique. Le groupe a assuré dans un communiqué que ce responsable n'était plus juge mais, relève le journal, "sur le site du greffe du tribunal de commerce, le nom de ce dirigeant figure toujours parmi les juges en activité".

 

UN CONFLIT D'INTÉRÊTS "MANIFESTE"


Le Télégramme révèle par ailleurs le cas d'un "cogérant d'un cabinet d'expertise comptable en lien direct avec le volailler". "Les deux cogérants de ce cabinet sont, en fait et depuis vingt ans, les principaux commissaires aux comptes du groupe Doux", souligne le journal, pointant un conflit d'intérêts "manifeste".


Parmi les cinq autres juges pour lesquels le journal croit déceler un conflit d'intérêts potentiel, quatre "dirigent, ou ont dirigé, des entreprises en lien avec l'industrie agroalimentaire et même, parfois, directement avec la filière volaille". Le Télégramme déplore que les juges consulaires ne soient pas tenus de déposer de déclaration publique d'intérêts et que "toutes nos sollicitations, répétées et appuyées (...) sont restées vaines".


Le journal ne relève cependant, parmi les juges consulaires évoqués, qu'un seul cas où l'un d'eux aurait "directement participé aux décisions engageant l'avenir du volailler". Le tribunal de commerce et le parquet de Quimper n'ont pas souhaité commenter ces informations.

 

"PROXIMITÉ DU TRIBUNAL DE QUIMPER AVEC CHARLES DOUX"


En juillet, plusieurs élus locaux, dont le député UMP Marc Le Fur, la conseillère régionale UMP Bernadette Malgorn et la maire UMP de Châteaulin Gaëlle Nicolas, avaient exhorté le tribunal à rejeter l'offre de Sofiprotéol, au profit de la famille Doux, rappelle Le Télégramme. A la fin d'août, Xavier Beulin, président de la FNSEA et candidat malheureux à une reprise globale de Doux avec Sofiprotéol, avait douté de la "capacité" du tribunal de Quimper à traiter ce dossier et souhaité qu'il soit tranché "à un autre niveau".

 

Raymond Gouiffès, délégué central CGT du groupe, avait déploré "la proximité du tribunal de Quimper avec Charles Doux et sa famille" et dénoncé "beaucoup d'imbrications". Le tribunal de commerce a validé le 10 septembre des offres de reprise partielle du pôle frais de Doux avec la reprise de seulement 700 emplois sur 1 700. Pour le reste de la société Doux, que la famille du même nom, épaulée par la banque Barclays, veut continuer à exploiter, la période d'observation a été prolongée jusqu'au 30 novembre, comme le souhaitaient ses dirigeants.


Groupe Doux : la reprise de cinq sites confirmée par la justice

 

http://www.lemonde.fr/economie/article/2012/09/17/doux-conflit-d-interets-potentiel-pour-sept-juges-du-tribunal-de-quimper_1761138_3234.html

 

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17 septembre 2012 1 17 /09 /septembre /2012 10:59

17 septembre 2012 à 06h59 - 

 

C'est un doute qui a été exprimé publiquement et qui est resté... sans réponse. Dans la gestion du dossier Doux, le tribunal de commerce de Quimper est-il impartial? L'enquête qui parait aujourd'hui dans Le Télégramme livre de surprenantes réponses.

 

[Tous nos articles sur Doux]


«Quand on parle de milliers d'emplois, quand on parle de milliards d'euros de chiffre d'affaires, je ne suis pas sûr qu'un tribunal de commerce d'une petite bourgade ait la capacité d'appréhender les sujets correctement».

 

Est-ce le patron de la puissante FNSEA, premier syndicat agricole français, ou le président de Sofiproteol, candidat amer et malheureux à une reprise globale du groupe Doux, qui s'exprime quand Xavier Beulin lâche cette petite bombe surEurope 1, le29 août dernier? Peu importe.

 

De cette saillie radiophonique, beaucoup n'ont retenu que «l'insulte» faite à Quimper.

 

Personne ne relève alors l'insinuation lancée contre le tribunal de commerce. Personne ou presque ne relève davantage les propos, beaucoup plus accusateurs, de RaymondGouiffès, délégué central CGT du groupe Doux: «Je ne critique pas la petitesse de la ville ou du tribunal mais la proximité du tribunal de Quimper avec Charles Doux et sa famille». «Il y a beaucoup d'imbrications...», assène-t-il.

 

http://www.letelegramme.com/ig/generales/economie/dossier-doux-des-juges-sous-pression-s-a-quimper-17-09-2012-1841162.php

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12 septembre 2012 3 12 /09 /septembre /2012 10:43

 

Suspendu depuis plusieurs mois à la décision du Tribunal de commerce de Quimper, le couperet est tombé ce lundi 10 septembre : 970 licenciements dans le pôle frais du groupe Doux sur 1700 emplois.

 

Des sites de production comme Graincourt dans le Pas de Calais sont rayés de la carte. D’autres sont amputés de la moitié voire des 2/3 des emplois. Le pôle frais est dépecé entre des groupes de volaillers comme LCD ou DUC et … Doux lui-même ! Malheureusement ce ne sont pas les quelques œufs qui ont tâché le veston de Charles Doux au tribunal qui feront office de résistance et de mobilisation.


Parmi les licenciés se retrouvent un grand nombre d’ouvrières et d’ouvriers cassés par le travail, atteints de graves TMS (Troubles Musculo- Squelettiques), pleins de haine comme le dit un délégué CGT, mais résignés et comme impuissant.


Et pourtant cette vague de licenciements peut en annoncer bien d’autres puisque Charles Doux et la banque Barclays restent aux commandes de l’entreprise c'est-à-dire des pôles « élaborés et surgelés - grand export » et doivent présenter un « plan de relance » pour le 1° décembre 2012 !


C’est triste à en pleurer sauf pour la famille Doux qui a encaissé 1 milliard de subventions publiques et qui est assise comme le dit une déléguée CGT sur des lingots d’or…


Il est encore possible de s’opposer à ce dépeçage mais cela implique une mobilisation unitaire des salariéEs, un soutien puissant et large de l'ensemble de la population, pour exiger :


- l’ouverture des livres de compte sous contrôle et tutelle publics

- la saisie du patrimoine de la famille Doux pour rembourser l’ensemble des subventions publiques que cette dynastie a perçu pendant 15 ans.

- le maintien des emplois dans le cadre d’une nécessaire refondation de la filière avicole sous contrôle public, pour une autre production de qualité et une industrie agro alimentaire à visage humain, en pleine consultation et participation des paysans et des salariéEs eux même.


A Quimper, le 12 septembre 2012


Philippe Poutou et le correspondant du NPA à Quimper

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10 septembre 2012 1 10 /09 /septembre /2012 10:30

Dos en miettes, mains malades... Le quotidien ouvrier de la France du XXIe siècle conserve de forts accents zoliens.

Créé le 06-09-2012 à 18h56 - Mis à jour le 08-09-2012 à 09h54

 

Tête et verbe hauts, les salariés Doux de Graincourt sont dignes, fiers. Ils sont aussi brisés. Physiquement depuis des années, moralement depuis trois mois. Leur usine du Pas-de-Calais ferme définitivement lundi 10 septembre. Les 254 ouvriers du site attendent désormais leur lettre de licenciement. Le dernier repreneur potentiel, un groupe ukrainien, a jeté l'éponge en début de semaine, notamment en raison de la vétusté de l'abattoir qui traitait 25.000 poulets par jour. Cette vétusté n'a rien arrangé aux conditions de travail qui, année après année, ont peu à peu cassé des personnes.

 

Finies les pressions des petits chefs, finie la peur d'être viré, les Graincourt n'ont plus rien à perdre et aujourd'hui ils parlent. Les tendinites à la main après des années de couteau, les dos cassés après les tonnes manœuvrées. "J'ai mal à la main. J'ai du mal à la bouger. On nous a bousillés", raconte Hélène Guéant, ouvrière et déléguée du personnel à Graincourt. A 48 ans, sans formation et avec cette main malade, la mère de famille se demande où elle va bien pouvoir trouver un nouveau boulot.

Ne pas se plaindre pour finir de payer la maison

Dans l'abattoir de Graincourt, en été, la température peut monter jusqu'à 50°. Cette année, le directeur de l'usine n'a même pas eu les moyens d'acheter des bouteilles d'eau. Et pas question de baisser la cadence : ceux qui osaient quitter leur poste pour aller boire au robinet se sont faits remonter les bretelles.

 

Côté découpe, il fait 4°c toute l'année. Les machines se déglinguent mais les réparateurs refusent de se déplacer : Doux leur devait déjà trop d'argent. Là aussi, au couteau ou à la barquette, le même geste répétitif à longueur de journée, de semaine, d'année. Aux poignets, aux coudes, aux épaules, les nerfs esquintés. Tous les jours, Hélène s'est levée à 3h30 le matin pour rejoindre son poste. Elle ne s'est jamais plainte de ses difficultés, de ses douleurs : il lui reste quatre ans pour finir de payer la maison.

20 tonnes portées par jour pour 1.186 euros par mois

A Quimper, l'usine Père Dodu bénéficie pour le moment du plan de continuation accordé à Charles Doux et à la banque Barclays. On y parle moins, on s'accroche à son boulot. Avec la crise, qui peut prendre le risque d'être viré ? Certains n'en peuvent pourtant plus. Cassés, vraiment trop cassés. Depuis 2011, Jean-Alain Fichant sait qu'il a le dos en compote. Les examens médicaux ont donné leur verdict : arthrose. Depuis 12 ans, Jean-Alain est à la palettisation dans cette usine du groupe Doux. Seul en bout de ligne, il récupère des cartons de saucisses pour les poser sur une palette. 13 couches de 10 cartons par palette. Chaque carton fait 10 kg, chaque palette fait 1,3 tonne. A raison de 14 cartons toutes les trois minutes, Jean-Philippe déplace seul entre 18 et 20 tonnes chaque jour. 20 tonnes de saucisses par jour pour 1.186 euros net par mois.

 

La direction refuse de le changer de poste. Alors, le Comité d'hygiène, sécurité et conditions de travail (CHSCT) de l'entreprise a demandé un aménagement de ce poste. Un robot changerait radicalement la vie de Jean-Alain mais Doux prétend ne pas avoir les moyens d'investir dans un tel outil. L'ouvrier reste avec ses douleurs, ses muscles qui, au cours de la journée, deviennent durs comme de la pierre. Bien obligé de continuer. Pour tenir, il porte une ceinture lombaire. Son médecin lui prescrit chaque mois des antidouleurs. Ceux du matin pour pouvoir tenir, ceux du soir pour pouvoir dormir. L'homme a 45 ans, mais c'est comme s'il avait le double.

Spirale infernale

En mars dernier, Jean-Alain a fait une demande de travailleur handicapé. S'il obtient ce statut, Doux pourra demander une subvention pour aménager son poste. Son dossier est en commission, il faut attendre. Il connaît la même crainte que les autres salariés cassés, celle de la spirale infernale : arrêt de travail, médecine du travail, dossier de maladie professionnelle, inaptitude. Avec le risque d'une inaptitude et donc, d'un licenciement à la clé.

Lorsqu'on lui demande comment il envisage l'avenir, Jean-Alain soupire : "Ce sera pareil. Je ne crois pas que Doux va investir maintenant. Au contraire, avec la Barclays, ils vont encore en demander plus."

Gommer l'image Germinal

Le monde du travail a progressivement gommé l'image Germinal de la vie ouvrière. Ainsi, un salarié n'est plus cassé par son boulot mais souffre de TMS, les fameux troubles musculo-squelettiques. Selon une étude de l'Insee de décembre 2011, ces TMS représentent plus de ¾ des maladies professionnelles reconnues. Le rapport souligne pourtant une importante sous-déclaration des TMS. 38.000 cas de TMS ont tout de même été reconnus en 2009. De son côté, l'Anact (Agence nationale pour l'amélioration des conditions de travail) rappelle que les hommes ouvriers vivent en moyenne 6,3 ans de mois que les hommes cadres.

 

L'INRS (Institut national de recherche et de sécurité) pointe un faisceau concordant des causes de la recrudescence des TMS : aux gestes répétitifs et aux efforts prolongés s'ajoutent des modifications de l'organisation du travail. Plus les machines se perfectionnent, plus les cadences s'accélèrent. Et, dans le même temps, les temps de pauses diminuent. Chez Doux, les discussions sur ces temps de pauses ne sont toujours pas terminées. Dans son usine de Châteaulin, le volailler les utilise d'abord pour réguler les flux. Depuis des mois, les syndicats se battent pour qu'elles soient enfin payées.

 

Selon l'INRS, la moitié des salariés subit une "contrainte posturale ou articulaire lourde". Et Doux n'est pas un cas isolé. Juste l'image ordinaire du quotidien ouvrier dans la France du XXIe siècle.

 

http://tempsreel.nouvelobs.com/france-la-crise-sociale/20120906.OBS1616/doux-l-usine-machine-a-broyer-les-ouvriers.html

 

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5 septembre 2012 3 05 /09 /septembre /2012 11:59

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