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5 avril 2010 1 05 /04 /avril /2010 09:59

Irlande,

8000 dans les rues de la petite ville de Ballinasloe pour defendre l'hôpital

Une nouvelle petite ville d'Irlande vient de faire une démonstration imposante en défense de son hôpital et de son système de santé. Après la ville de Clonmel c'est le tour de la modeste ville de Ballinasloe de montrer sa résistance avec là les syndicats de travailleurs en première ligne.

Irlande, la casse des services publics de la santé continue pendant que la population exprime sa colère contre cette décision et les immenses cadeaux concédés aux banques, aux financiers, aux capitalistes. L'Irlande est un des états qui sera promis aux prochains appétits des spéculateurs comme la Grèce vient de les subir en provoquant une crise terrible payée par sa population et pas ses bourgeois  enfuis au loin .

Partout, des plans d'austérité se trament, de nouvelles casses des services publics pour grossir le gâteau des plus riches.

La résistance coup sur coup en  Irlande avec des démonstrations massives dans des petites villes en défense de leur système de santé, payé avec leurs efforts pendant des dizaines d'années , est un exemple face aux moyen-âgeux qui nous gouvernent.

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4 avril 2010 7 04 /04 /avril /2010 10:38

Protesters march against cutting of acute services at South Tipperary General Hospital in Clonmel on Saturday.

 

15 000 dans la petite ville de Clonmel en Irlande pour défendre l'hôpital partout en Europe et dans le monde les populations s'opposent à la casse des services publics 


 

Entre 15 000 et 20 000 personnes ont défilé dans la petite ville pour défendre leur système de santé contre la casse programmée.

drapeaux rouges en Irlande


 

 

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2 avril 2010 5 02 /04 /avril /2010 14:55

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La crèche privée People and Baby se moque du code du travail. Les salariées qui ont fait grève pour de meilleures conditions de travail et d’accueil des enfants font l’objet d’une procédure de licenciement.

 
La crèche Giono, à deux pas de l’hôpital de la Pitié-Salpetrière, dans le 13e arrondissement de Paris, est une structure municipale dont la gestion a été confiée en 2006 à une entreprise privée, People and Baby. Cette entreprise gère à elle seule une soixantaine de crèches et emploie environ 800 salariés.

 

Accompagnant une logique de réduction de leur personnel et de privatisations, ces « délégations de services publics » permettent aux municipalités de se débarrasser à moindre coût de leurs obligations tout en arrondissant au passage les profits d’une petite « start-up » aux méthodes de management expéditives.


Sur le site de People and Baby, les édiles qui ont choisi l’externalisation de leur service public de la petite enfance ne s’embarrassent pas de détours dans l’argumentation de leur décision. Coût, rentabilité, souplesse dans la gestion du personnel : le discours est clair. Il faut faire des économies et déléguer au privé « plus efficace », tant pis si ce sont les salariées, les enfants et les parents qui payent la différence !


À Giono, l’équipe a décidé de réagir face à la dégradation des conditions de travail et d’accueil des enfants : six salariées (sur neuf) ont monté une section syndicale fin 2009. Outre le fait que le droit syndical n’a jamais été respecté (refus d’allouer un local et des panneaux d’affichage, ce qui est pourtant imposé par le code du travail), ces salariées ont essuyé de multiples tentatives de pressions et d’intimidation du patron : sanctions injustifiées, pressions pour faire accepter une rupture conventionnelle de contrat (le fameux licenciement « à l’amiable » mis en place par la loi du 25 juin 2008)…

 

À la suite d’une journée de grève le 1er mars, pour de meilleures conditions de travail et une autre conception des pratiques professionnelles dans la petite enfance, les grévistes se sont vues dès le lendemain notifier leur mise à pied conservatoire ! Celle-ci n’a bien entendu rien à voir avec l’exercice du droit de grève, le motif invoqué étant une « insubordination permanente » et des « manquements aux règles d’hygiène et de sécurité »… prétextes fallacieux, puisque ces problèmes n’avaient pas été évoqués dans de récents entretiens d’évaluation, et qui sera balayé par la médecine du travail, puisque l’employeur est responsable de la sécurité aussi bien des salariées que des enfants ! Mais celui-ci ne se sent visiblement pas concerné par le droit du travail, et, le 29 mars, quatre salariées ont reçu un courrier notifiant leur licenciement.


Un mouvement de soutien aux salariées de People and Baby se met en place, notamment autour d’un regroupement de parents et d’une intersyndicale. D’un point de vue juridique, une procédure en référé a été initiée pour rétablir les salariées dans leurs droits et l’inspection du travail a été saisie. Il faut bien sûr avant tout exiger la réintégration des salariées licenciées.

 

Mais au-delà du respect de leurs droits, la question du développement d’un véritable service public de la petite enfance (qui passe en premier lieu par une remunicipalisation des crèches confiées au privé), financé par les entreprises, pose également celle des droits des femmes, aussi bien dans les quartiers que dans les entreprises et dans les universités : celui-ci est en effet la condition première, pour les mères d’enfants en bas âge, de l’accès au marché du travail !


Après la mobilisation historique du 11 mars, le collectif Pas de bébé à la consigne appelle à une nouvelle journée de grèves et de manifestations le 8 avril dans toute la France, pour le retrait du décret Morano, et pour que petite enfance ne rime pas avec business !
Romain Hingant

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29 mars 2010 1 29 /03 /mars /2010 09:08

29 mars 2010


Invitée par des associations locales, en tête desquelles Attac du Pays de Concarneau, Danielle Mitterrand interviendra, mercredi, au Sterenn à Trégunc, lors d'une conférence sur le thème «Politiques et gestions de l'eau», à partir de 20h.


La veuve de l'ancien président de la République, fondatrice et présidente de la fondation France Libertés, sera accompagnée de Jean-Luc Touly, un ancien cadre de Veolia aujourd'hui président de l'association pour le Contrat mondial de l'eau. L'entrée sera libre.

 

Note : Et le site du Télégramme est saturé par une pub des industriels de l'eau! Coïncidence ?

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27 mars 2010 6 27 /03 /mars /2010 08:20

Déclaration de la Confédération Générale du travail, de la Fédération Mines-Energie CGT et d’INDECOSA-CGT (l’association de consommateurs de la CGT)


Le gouvernement prévoit une nouvelle ponction sur les ménages par une très forte augmentation des tarifs du gaz de 9,5% au 1er avril.


Pour la CGT, sa fédération de l’Energie et son association de consommateurs Indécosa-CGT, cette hausse est injustifiée au moment où les salariés subissent toutes les conséquences de la crise. Elle n’est pas plus justifiée par des raisons économiques. Le résultat du groupe GDF SUEZ a atteint un niveau historique en 2008, niveau confirmé en 2009 malgré la crise (4,5 milliards d’euros).


Ce dernier résultat a été réalisé grâce à une augmentation de 500 millions d’euros de la marge faite sur les consommateurs domestiques. Le Groupe GDF SUEZ entend renouveler cette augmentation en 2010, ce qui portera à 1 milliard d’euros annuel le niveau de la ponction sur le pouvoir d’achat des ménages.


La concurrence était censée provoquer la baisse des prix. C’est l’inverse qui se produit. Au travers du nouveau contrat de service public, l’Etat se désengage de ses responsabilités en matière de tarifs publics. Il est inacceptable de laisser à l’entreprise toute latitude pour fixer les tarifs dans la plus totale opacité.


Il faut faire la transparence sur les tarifs du gaz. Toute hausse injustifiée d’un produit essentiel comme le gaz serait insupportable. Pour la fixation du tarif gaz, la CGT demande, depuis plusieurs années, qu’une commission indépendante composée d’élus, d’associations de consommateurs, des organisations syndicales et des entreprises, soit créée.


Les prix d’achat de gaz, par des contrats « long terme » pour l’approvisionnement des consommateurs français, doivent être fournis à cette commission. Les coûts de l’acheminement et de la commercialisation doivent l’être également Les marges pour GDF SUEZ et les autres commercialisateurs, doivent être négociées pour permettre l’investissement nécessaire aux missions de Service Public


C’est l’ensemble de ces éléments qui doit définir les tarifs gaz.

La CGT, la FNME-CGT et Indécosa-CGT revendiquent une remise à plat des tarifs, ce qui selon nos analyses, doit conduire à une baisse immédiate.


Source : http://bellaciao.org/fr/spip.php?article100222
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26 mars 2010 5 26 /03 /mars /2010 10:51
Comuniqué du NPA.

La commission de régulation de l'énergie (CRE) a validé l'augmentation des prix du gaz de 9, 7% à compter du 1er avril.


Avec la privatisation de l'énergie et la constitution du groupe GDF-Suez, la commission de régulation vole de ses propres ailes et s'est affranchie du feu vert du ministère de l'économie alors même que l'état détient encore 35% des actions du groupe GDF-Suez.


L'opacité la plus complète règne quant aux modalités qui président à l'augmentation des prix du gaz puisque celui-ci n'est plus aligné sur les tarifs du pétrole brut mais prend en compte le coût des infrastructures. 11 millions d'abonnés vont voir leur facture de gaz s'alourdir alors que GDF-Suez affiche des bénéfices à la hauteur de plus de 3 milliards d'euros.


Pour le NPA, cette augmentation qui remet en cause le droit à l'énergie pour des millions de consommateurs, ayant des petits budgets, est inacceptable et scandaleuse. Le droit à l'énergie doit échapper aux appétits du privé, pour lesquels la multiplication des profits, pour accroître les dividendes versés aux actionnaires, est la règle de conduite.


C'est pourquoi, en plus des mobilisations contre l'augmentation prévue du prix du gaz il faut populariser l'exigence d'un secteur 100 % public de l'énergie sous le contrôle des salariés et des usagers qui auront le contrôle des variations de tarifs.


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24 février 2010 3 24 /02 /février /2010 09:35

24 février 2010

 

Une manifestation contre les restructurations en cours à La Poste a réuni 90 personnes hier, à Landerneau. Les centres de Plouigneau et de Porspoder sont en grève.


Plus de 90 postiers et sympathisants ont manifesté à l'appel de la CGT et de SUD, hier après-midi, à Landerneau, devant la direction du groupement postal du Finistère-Nord contre les restructurations en cours dans les centres de tri.


Parmi eux se trouvaient notamment des facteurs de Plouigneau, en grève depuis 14 jours, des collègues de Porspoder qui débrayent à leur tour et d'autres du centre de Lesneven où un préavis de grève est posé pour le 2 mars.


Des postiers de Landerneau, de Landivisiau, de Saint-Pol-de-Léon et de Brest ont complété les rangs. Tous déplorent la baisse du nombre des tournées effectuées à partir des 33 établissements de tri du Nord-Finistère.


«L'argument de la baisse du trafic, avancé par la direction, ne tient pas la route. Le courrier s'accumule. Les colis diminuent? Pourtant, les collègues au guichet explosent leurs chiffres de vente. Tous ces chiffres sont dictés par la volonté d'accentuer la productivité au détriment des conditions de travail des postiers et de la qualité du service public», soutient Christian Corre (CGT).

Discussion ouverte

Catherine Cepa, directrice du groupement, qui a reçu une délégation de manifestant, ne nie pas les diminutions de tournées. Ni celle du nombre de plis traités: «Elle s'accélère. Entre 6 et 7% de volume en moins en 2009, partout en France».


Ce qui justifie, selon les dirigeants de La Poste, la poursuite des restructurations. «D'ailleurs, la majorité des personnels déjà concernés par ces réajustements l'ont plutôt bien accepté», ajoute Catherine Cepa, prête toutefois à poursuivre les discussions avec les agents réfractaires. «Hormis le transfert des personnels de Plouigneau à Morlaix, tout est négociable».

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23 février 2010 2 23 /02 /février /2010 08:29
Le gouvernement poursuit la libéralisation des services publics au détriment de l'intérêt général, des agents et fonctionnaires et des usagers. Le Services Public est non seulement le premier employeur, et notamment de précaires, mais il est également devenu le premier licencieur.

 

Les contre-réformes qui touchent l'hôpital, la poste, l'éducation, les systèmes de protection sociale et de retraites, EDF, la SNCF, les services de l'Insee, de la Météo, de l'Office national des forêts… répondent à une même logique globale et cohérente qui se répercute aux niveaux régional et local.

C'est dans le cadre du changement de mode de production et de consommation, d'un changement social, écologique et démocratique de la société, que se pose la question des services publics, non seulement de leur défense mais aussi de la création de nouveaux.


Ainsi dans le cadre des compétences (élargies en 2004) attribuées aux régions, nous développerons des services publics répondant à l'ensemble des besoins du plus grand nombre, des travailleur-e-s, des chomeur-e-s, des femmes tout en respectant les contraintes environnementales et écologiques :

> service public de la petite enfance avec ouverture de crèches et garderies publiques dans tous les quartiers des villes et zones rurales

> service public du 3ème age avec des maisons et des aides aux personnes

> soutien (retour ?) à un service public de distribution du courrier tel que la poste avec maintien de tous les bureaux de poste.

> dans le cadre du schéma régional de transport, développement du service public avec augmentation du maillage ferroviaire et mise en œuvre d'une réelle gratuité

> service public de santé prenant en compte toutes les problématiques de prévention (maladies infectieuses transmissibles, contraception) par la réalisation d'équipements sanitaires

> service public de l'environnement avec des réalisations écologiques (production-distribution de l'énergie, distribution de l'eau, dépollution) avec un pouvoir réel d'intervention et de sanction des pollueurs

Ces créations et développements de services publics nécessiteront des embauches et entraineront des décisons budgétaires qui mettraient en œuvre la récupération des subventions versées aux grands groupes qui licencient.

Nous remettrons les services publics et la fonction publique (territoriale) au centre d'une perspective sociale et écologique en interagissant avec l'ensemble des usagers et en soutenant les prises de décisons collectives au serrvice du plus grand nombre.

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17 février 2010 3 17 /02 /février /2010 11:10

La CGT appelle le personnel à une "grève reconductible" à partir de jeudi

16 février 2010 à 15h21


Le personnel de la Caf du Nord-Finistère pourrait se mettre en grève à partir de jeudi. En cause : "le manque de moyens".


 

Le syndicat dénonce « un manque de moyens criant » qui « paralyse la Caf du Nord-Finistère et génère un retard important dans le traitement des dossiers (près de 8.000 ­dossiers en attente de traitement), des délais d’attente déplorables à l’accueil (jusqu’à environ 500 allocataires reçus par jour par une équipe d’une dizaine d’agents) et des conditions de travail inacceptables pour le personnel ».

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16 février 2010 2 16 /02 /février /2010 09:29


Le grave accident qui est survenu ce lundi sur le réseau ferroviaire à hauteur de Hal (Buizingen) a provoqué entre douze et vingt morts, onze blessés graves, et des centaines de blessés légers. Notre première pensée est évidemment pour les familles des victimes et aussi pour le personnel du train qui a du faire les frais d'un système dont le dérèglement devient criminel.


Ce drame prouve une fois de trop combien il est irresponsable de soumettre à la loi du profit un service public tel que le transport ferroviaire.


Les cadences imposées aux conducteurs, accompagnateurs, aiguilleurs de la SNCB sont intolérables. Les conducteurs doivent prester 9 heures de travail sans pauses, à part 6 min par changement de train, doivent combiner plusieurs prestations prolongées au cours de la même semaine et assumer des déplacements domicile/travail parfois très long.


Ces cadences imposées par la direction vont à l'encontre de la sécurité élémentaire nécessaire sur un réseau ferroviaire. A titre de comparaison, les conducteurs de poids lourd ont pour obligation de s'arrêter 20 min toutes les 4 heures et ne peuvent rouler plus de 9 heures d'affilées sans laisser passer 12 heures entre deux services.


Ces 20 dernières années, la réglementation en vigueur pour les conducteurs de train s'est considérablement détériorée, ceux-ci doivent pourtant faire preuve d'une vigilance continue dans une activité qui devient de plus en plus monotone et répétitive, rentabilisation oblige, avec pour conséquence directe une diminution de la concentration nécessaire.


Contrairement à d'autres pays, ces travailleurs qui transportent parfois des milliers de personnes sont en outre isolés dans leur poste de conduite, soumis à une pression constante de leur hiérarchie, qui pèse de tout son poids pour museler la révolte qui gronde dans chaque dépôt.


Depuis la scission de ses activités, la SNCB est mise sur les rails de sa privatisation complète, avec comme conséquence logique et directe une nouvelle priorité: la rentabilité à tout prix. Or, le critère de rentabilité entre frontalement en contradiction avec celui de la sécurité. La rentabilité ne peut absolument pas assurer aux travailleurs de bonnes conditions de travail et, par là, garantir un bon service, efficace et sécurisé, à la fois pour le personnel et pour les usagers.


La poursuite de la logique de rentabilité qui imprègne de plus en plus nos transports ferroviaires implique forcément de faire des économies drastiques sur l'entretien du matériel (ce qui multiplie les "incidents", causant retards et accidents), et sur la réduction des “couts salariaux” par la réduction du personnel (à titre d'exemple; il n'y a plus un annonceur par gare, dorénavant à peine une vingtaine de personnes assurent les annonces dans toutes les gares!), ce qui entraîne une dangereuse augmentation des cadences et de l'intensité du travail sur les travailleurs restants, à commencer par le personnel roulant.


La scission des activités de la SNCB, qui, rappelons-le, s'est construite pendant 100 ans avec les finances publiques, préfigure sa vente au privée et son entrée en Bourse. Cette réforme s'inscrit dans le cadre des directives européennes visant à la complète “libéralisation” du “marché ferroviaire” et son ouverture, y compris pour le transport des passagers, à la concurrence privée. Désormais, chaque service devenu indépendant, détaché des autres et responsable pour sa seule partie (l'entretien du rail, l'entretien du frein, l'arrivée en gare, l'aiguillage...).


Cette scission des activités est un non-sens absolu: en cas d'incident, qui requiert pourtant une réponse urgente, les travailleurs se trouvent face à une multitude d'interlocuteurs différents, non coordonnés entre eux et souvent opposés les uns aux autres car mis en concurrence!


Nous avons subi 2 accidents graves en 3 mois. C'est inacceptable. La SNCB ne se dédouanera pas de sa responsabilité en chargeant la barque sur le dos travailleurs, victimes des cadences toujours plus intenables et dangereuses qu'elle leur impose, du démantèlement du service et du changement de priorité. Ces mêmes travailleurs ont plus d'une fois mis en garde la hiérarchie et tiré la "sonnette d'alarme" quant aux risques extrêmes d'accidents graves dans les circonstances actuelles.


La SNCB ne transporte pas que des marchandises ou du bétail, ce sont également nos frères, nos soeurs, nos compagnes, nos enfants, nos amis qui sont dans les trains. Nous ne pouvons accepter que le risque de les voir mourir sur le chemin du travail ou des études devienne un "paramètre de risque" et la sécurité une “variable d'ajustement” dans les comptages financiers de la SNCB.


Une solidarité étroite entre les cheminots ET les usagers est plus que nécessaire. Pour un service de transports ferroviaire efficace, sécurisé, utile, nous devons exiger, tous ensemble, le retour à une seule entité SNCB, 100% publique.


NON A LA PRIVATISATION

NON AUX CADENCES INFERNALES

NON AUX USAGERS OTAGES DE LA COURSE AUX PROFIT DES ACTIONNAIRES

NON AUX DIRECTIVES EUROPEENNES DE LIBERALISATION ET DE PRIVATISATION DU RAIL

Ligue Communiste Révolutionnaire (LCR)

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