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22 septembre 2010 3 22 /09 /septembre /2010 11:49

Même motif, même combat!


21 septembre 2010 à 16h54 - Le Télégramme

 

Il n'y aura plus d'opérations au centre hospitalier Max Querrien de Paimpol (22) à partir du 1er janvier 2011. Que vont devenir les 40 personnes travaillant au sein du service chirurgie (infirmiers, aides-soignants, agents, secrétaires médicales) et les 7 infirmiers anesthésistes et spécialistes du bloc ? C'est la question posée ce matin par les représentants de la CFDT.


"Dans le cadre d'un plan de retour à l'équilibre, la tutelle a jugé que le budget prévisionnel 2010 ne permettra pas d'atteindre les objectifs fixés. Elle a alors pris la décision d'arrêter les actes opératoires", ont souligné Pierre-Yves Arzul et Annie Berthelot de la CFDT qui estiment que l'hôpital n'a pas à "fonctionner comme une entreprise, avec des rendements".

Le projet médical pour une nouvelle offre de soins est à finaliser et les discussions sont actuellement en cours avec le centre hospitalier de Saint-Brieuc. Tout sera acté le 15 octobre.

En attendant, ni le maire, Jean-Yves de Chaisemartin, ni le directeur, Guy Croissant, ne veulent donner plus d'informations. "Le bloc s'arrête mais pas la chirurgie", estimait le premier cet après-midi. "L'usager comme le personnel sont au centre de toutes les discussions".

 

Pour le second, difficile de se prononcer tant "que l'on est dans la phase d'organisation de la nouvelle offre de soins". "Je pourrai en dire plus après le 15 octobre mais il est bien évident que mon objectif premier est de garantir un poste à l'ensemble du personnel qui ne trouvera plus ses compétences propres sur Paimpol".

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10 septembre 2010 5 10 /09 /septembre /2010 12:09

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Depuis le samedi 28 août, le réseau de transports en commun de Libourne (Gironde) est devenu gratuit pour tous les habitants de cette ville de 24 000 habitants. Libourne est désormais la treizième ville de France où la gratuité a été instaurée.

C'est aussi le cas à Aubagne, Châteauroux, Compiègne ou encore Morlaix. Il y a aussi de nombreuses communes où un minibus circule gratuitement sur un circuit court pour relier différents quartiers du centre-ville. Et d'autres où la gratuité est de rigueur pour les moins de 18 ans, comme c'était déjà le cas à Libourne auparavant.

Tout cela ne représente certes que des cas minoritaires, mais ces exemples montrent que, concernant un service public essentiel à la population, il serait tout à fait possible de généraliser la gratuité dans toutes les agglomérations. Et cela met en lumière le racket que constitue la non-gratuité des transports publics. Car l'usager paie en réalité deux fois. Par ses impôts, qui servent à subventionner la société de transport, et par le prix du ticket. C'est d'autant plus aberrant que les recettes des transports ne proviennent que pour une faible part de la billetterie. Cette proportion sert en fait à payer la mise en place du transport public payant (guichets de vente, contrôleurs, composteurs, gestion des amendes). À Libourne, le coût de l'opération sera ainsi couvert par le prélèvement transports obligatoire auprès des entreprises de plus de neuf salariés.

Partout où la gratuité a été mise en place, la fréquentation a augmenté, profitant en premier lieu aux plus pauvres, pour lesquels le coût du transport représente une charge importante dans le budget. « Grâce à ce dispositif, on pense passer dès la première année de 350 000 à au moins 400 000 voyages », expliquent ainsi les responsables des transports libournais. Mais c'est aussi une mesure concrète qui permet de réduire la circulation automobile dans les centres-villes, bien plus efficace que les discours lénifiants sur le « développement durable ».

Alors, la gratuité devrait être une priorité sociale élémentaire, parmi d'autres, en particulier en cette période de crise et de baisse du pouvoir d'achat. Il n'y a même pas besoin d'être révolutionnaire, ni même de se réclamer de gauche, pour cela. Si à Libourne la gratuité des bus publics constituait une des promesses de Gilbert Mitterrand, fils de l'ancien président et maire socialiste de la ville depuis 1989, lors des élections municipales de 2008, à Vitré (Ille-et-Vilaine)... c'est Pierre Méhaignerie, ancien ministre et dirigeant de l'UMP, qui l'a instaurée depuis 2001 !

Henri MARNIER

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7 août 2010 6 07 /08 /août /2010 08:57

Le mouvement se poursuit

7 août 2010 - Le Télégramme

Les sapeurs-pompiers professionnels du Finistère sont en grève depuis 15 jours. Hier, des représentants des centre de secours - Morlaix, Quimper, Brest, Concarneau et les administratifs et techniques- se sont réunis à Brest. «Il a été décidé de poursuivre le mouvement dans sa forme actuelle jusqu'à la fin du mois.

 

Nous assurons les interventions, l'entretien physique, le contrôle et le suivi du matériel», a informé Yannick Léal, de la CGT. «Trente de nos collègues n'ont pu bénéficier de la nomination au grade supérieur telle qu'elle se fait habituellement. Ça concerne14.150 euros sur un budget de 50M€. Nous ne céderons pas et agirons à la rentrée de façon plus ostensible».

«La situation est bloquée»

Les grévistes regrettent aussi de n'avoir eu aucun contact avec la direction du Sdis. «Elle ne veut pas négocier. Concernant le Sdis, nous aimerions également une politique de création d'emplois ambitieuse».



Le Colonel Guilloux, directeur du Sdis, a approuvé ce dernier point. «Moi aussi, j'aimerais mais mon problème est financier. Le président a assuré qu'il n'y aurait pas de baisse des effectifs et ma priorité est de ne pas diminuer la qualité de notre service.

 

Concernant le problème des nominations, jusqu'en 2009, le président prenait les dates proposées par la commission administrative paritaire. Nous sommes aujourd'hui dans des années économiques difficiles pour nos financeurs que sont le le Conseil général et les communes. Dans ce contexte, le président a dit qu'il nommerait tout le monde au 1er décembre 2010».

 

De là est parti le conflit. «Le président a alors proposé de rencontrer les représentants du personnel. Ce qui fut fait. Il a avancé la date des nominations au 1er septembre. Les représentants du personnel ont refusé sans rien proposer en retour. La situation est bloquée...».

 

Pourquoi les pompiers sont en grève ?
samedi 07 août 2010 Ouest France

Ça dure, ça dure... Presque trois semaines que les pompiers du Finistère sont en grève. En cause ? Les économies imposées par l'air du temps... et leur direction. Explications.

Pourquoi ? Comment ?

À l'origine de la grève, une histoire d'avancement ?


Oui. Chaque année, les promotions sont un moment attendu chez les pompiers du service départemental d'incendie et de secours (Sdis) du Finistère. Une commission examine d'abord les candidatures et définit une date à laquelle un agent peut être promu au plus tôt. Jusqu'ici, l'usage voulait que ces nominations interviennent dès cette date, sans attendre. Mais cette année, Didier Le Gac, le président du Sdis (et également maire de Lampaul-Plouarzel et conseiller général de Saint-Renan), a décidé de les repousser au 1er décembre, puis devant le tollé du personnel, au 1er septembre. Motif ?

 

« Nos financeurs sont les communes et le conseil général et ils ont des difficultés financières », justifie le patron du Sdis, le Colonel Gilles Guilloux. Pour la CGT, le syndicat majoritaire au Sdis, ces arguments ne tiennent pas. Car les avancements ne représentent qu'une incidence « de 14 150 € sur un budget global de 150 millions d'euros », tonne Yannick Léal, secrétaire général de la CGT du Sdis. Le syndicaliste fait aussi valoir que « le recul des avancements fait perdre 9 mois à certains agents. »

Un dialogue de sourds ?


En tout cas, un statu quo. D'un côté les représentants de la CGT déplorent « qu'aucune négociation n'ait été possible depuis le début du mouvement avec la direction ». De l'autre, le patron du Sdis assure qu'il voudrait bien dialoguer. Mais que dans la mesure où « il n'y a aucune contreproposition, hormis dire « il ne faut rien changer » », la situation reste bloquée.


Derrière ces histoires d'avancement, un malaise plus profond ?

Les pompiers se plaignent aussi « de gros problèmes de fonctionnement et de management dans les centres de secours, de pressions, de manques d'effectifs, de souffrances au travail... », égraine Jacques Calvez, représentant CGT du personnel du centre de secours de Quimper. Mais le colonel Guilloux n'en démord pas : « Il n'y a pas de perte d'emplois dans le département. Nous avons des unités de renfort (9 hommes, N.D.L.R.) qui peuvent intervenir dès qu'un centre risque des problèmes de sous-effectifs. »


Le droit de grève des pompiers menacés ?


En grève, les pompiers continuent d'assurer les interventions de secours, de même que leur entraînement et l'entretien du matériel. Ils délaissent en revanche les tâches « technico-administratives ». Et font savoir leur mécontentement par des banderoles dans les casernes... ou des inscriptions sur les véhicules, un point d'ailleurs peu apprécié par la direction, qui a envoyé un courrier aux agents et un huissier pour constater « ces dégradations de matériel ».

 

Résultat, les inscriptions à la peinture blanche sur les camions rouges ont été enlevées. Mais Jacques Calvez s'interroge : « D'année en année, on voit notre pouvoir de revendication diminuer. Bientôt on aura le droit de dire qu'on est en grève, mais on ne pourra plus rien faire. » Réponse du Colonel Guilloux : « Les pompiers ont le droit de faire grève. Ce sont des fonctionnaires, pas des militaires. Mais sans mettre en cause les symboles ou signes distinctifs du service. Nous tolérons qu'un sapeur porte un badge « en grève » ou qu'il y ait un panneau dans le fourgon. Mais barioler les véhicules peut amener un risque. »


La grève se poursuit ?


Oui. Hier, les délégués des centres de secours du Finistère se sont retrouvés à Brest. Ils ont décidé de poursuivre le mouvement. Ils ne veulent pas entendre parler de contraintes budgétaires. « On est déjà le 9e département de France le plus bas en terme de coût par habitant, insiste Yannick Léal. À force de tirer sur la ficelle, c'est la population qui va en pâtir. »

 

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5 août 2010 4 05 /08 /août /2010 21:05

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23 juillet 2010 5 23 /07 /juillet /2010 11:06
les Zapartistes Code Rouge

  les Zapartistes Code Rouge

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19 juin 2010 6 19 /06 /juin /2010 17:28

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samedi 19 juin 2010
Préavis de grève à Briec

La CGT et Sud-PTT ont déposé un préavis de grève illimité à La Poste de Briec à compter du mardi 29 juin pour protester contre la suppression d'une tournée de facteur. Le projet aurait selon eux pour conséquence de dégrader la qualité du service public mais aussi le bien-être au travail : « La CGT, avec les salariés, dénoncent, non plus de mauvaises conditions de travail, mais une véritable souffrance au travail,« Des salariés en souffrance » qu'aggrave chaque réorganisation des bureaux de poste », écrit la CGT dans un communiqué.


« Des salariés en souffrance »


Sud-PTT a tenu une conférence de presse vendredi matin : « On est sollicités de plus en plus par des salariés en souffrance suite à une perte d'emploi ou à une menace sur un poste, il y a un mal-être général, estime Patrice Champion, membre du CHSCT. La direction de la branche courrier nous répond qu'il n'y a pas de problème alors que les arrêts de travail sont en augmentation.

 

Tous les jours, nous sommes contactés pour des détresses individuelles qui touchent tous les secteurs et toutes les catégories. Dans la branche enseigne (les bureaux de poste), nous avons demandé une réunion extraordinaire du CHSCT (comité d'hygiène de sécurité et des conditions de travail). »

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19 juin 2010 6 19 /06 /juin /2010 17:14

19 juin 2010 - Le Télégramme

Le Finistère et le Morbihan ne sont pas épargnés par le mal-être au travail à La Poste, a affirmé, hier à Quimper, le syndicat SUD. Ce mal-être avait été mis en évidence le mois dernier par un rapport du syndicat professionnel des médecins de prévention de La Poste, remis à Jean-Paul Bailly, président du groupe.

«Les gens se mettent à pleurer au téléphone...»

«Les gens nous appellent et se mettent à pleurer au téléphone», précise Patrice Campion, membre du CHSCT, évoquant des «réorganisations permanentes» et un «dérapage des nouvelles méthodes de management». «Dans le Pays bigouden, la semaine dernière, une femme de ménage en arrêt de travail a appris qu'elle allait perdre son travail. Ce sont ses enfants qui l'ont su en répondant à un appel téléphonique. Et La Poste a annoncé à une guichetière qu'elle allait devoir faire le ménage», donne-t-il en exemple. «Le Samu a dû intervenir la semaine dernière dans la région de Concarneau pour un collègue qui a craqué sur son lieu de travail», avance le syndicat SUD. «Dans les bureaux de poste, nous sommes passés de 770 à 600 en trois ans. Douze postes de conseillers financiers sont supprimés sur 60. Il en reste encore cinq à supprimer effectivement, les gens ne savent pas qui va être concerné. Dans le Finistère et le Morbihan, il va y avoir 233 postes en moins sur 3.454 au courrier», précise le syndicat.

«Chasse aux arrêts de travail...»

«Avec les restructurations, des fonctions ne sont plus identifiées, on demande à des collègues d'accepter des rétrogradations, de devenir remplaçants. Les gens n'ont plus de perspectives de carrière, ils sont déboussolés et fragilisés. On connaît tous des gens en souffrance», prévient SUD. Le syndicat dénonce aussi une «chasse aux arrêts de travail» confiée à un cabinet privé «très mal vécue». SUD a demandé la tenue d'une réunion extraordinaire du CHSCT sur le mal-être. Un préavis de grève a aussi été déposé pour la fin du mois contre le projet de réorganisation de La Poste, à Briec.

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17 juin 2010 4 17 /06 /juin /2010 09:43

 

17 juin 2010 - Le Télégramme


Le 7 juin, le conseil de prud'hommes de Vannes a requalifié les contrats à durée déterminée de deux agents des bureaux de Poste de Lorient et Riantec en contrats à durée indéterminée.

 

«La Poste a fait signer les contrats plus de 48 heures après le début de l'embauche. Le Code du travail dit que dans ce cas, c'est un CDI», précise le Syndicat Sud PTT.

 

Le jugement ajoute que la relation de travail perdure au-delà de la date de l'audience. «Pourtant, lorsqu'elles se sont présentées le 12 juin, La Poste a refusé de leur donner du travail», déplore Sud PTT.

 

De son côté, la direction de la Poste précise qu'au moment de l'audience (le 26 avril), les deux agents étaient encore en CDD alors qu'ils ne l'étaient plus lors du délibéré:

 

«Les Prud'hommes n'ordonnent pas de maintenir les agents sur leurs postes mais de verser une indemnité de requalification, ce que la Poste s'est engagée à faire».

 

Le syndicat dénonce de manière générale «l'emploi de centaines de CDD dans le Morbihan» par La Poste et soutient le mouvement de grève illimitée des postiers de Lanester pour réclamer une tournée supplémentaire: «Ils sont constamment en dépassement d'horaires.

 

Alors quand on fait le parallèle avec les deux jugements des prud'hommes... ». La direction de La Poste précise, pour sa part, qu'elle s'est engagée depuis 2006 dans une politique en faveur de l'emploi et pérenne: «Dans le Morbihan et le Finistère, 95% des postiers sont en CDI».

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21 mai 2010 5 21 /05 /mai /2010 08:56

20 mai 2010 à 18h45 - Le Télégramme


La CGT FAPT dénonce "l'arrogance de la direction de La Poste" et envisage de lancer une nouvelle grève, 15 jours après la fin de la précédente.


Dans un communiqué, le syndicat explique : "Les factrices et facteurs de Brest Rive droite ont du faire 18 jours de grève pour sauvegarder leurs emplois afin de pouvoir continuer à assurer la distribution du courrier dans les meilleures conditions ". Résultat : l'accumulation de dizaines de milliers de lettres en souffrance.

"La direction a voulu négocier au rabais"
 


À la reprise du travail, le lundi 10 mai, la CGT s'est dite ouverte à une négociation pour un accord honnête permettant un retour rapide à la normale. Mais le syndicat explique aujourd'hui que "la direction a voulu négocier au rabais et a claqué la porte de ces négociations en décidant de faire appel à des entreprises d'intérim pour écouler le courrier stocké pendant la grève ". Onze jours après la reprise du travail, les plaintes des usagers se multiplient.

Nouvelle grève ?
 


Pour la CGT : "C'est bien à la Poste de répondre aux multiples réclamations générées par ses choix. Facteurs, c'est un métier qui ne s'improvise pas, qui demande formation, expérience, professionnalisme. La direction veut faire porter la responsabilité de cette situation intolérable aux facteurs et à la CGT en incitant les usagers à se retourner contre eux ".

 

La CGT dénonce "cette attitude irresponsable" et organise demain une assemblée générale pour mettre en débat le dépôt d'un nouveau préavis de grève.

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15 mai 2010 6 15 /05 /mai /2010 11:20

8 mai 2010 - Le Télégramme


Jeudi, au 16e jour du conflit qui l'oppose aux facteurs de Brest Rive-droite, la direction du centre de distribution du courrier du secteur avait quitté la table des négociations. Mais, hier matin, elle ade nouveau reçu les organisations syndicales. « À l'issue de ces échanges, un accord sur une nouvelle organisation du travail au sein de l'établissement a été trouvé avec des avancées des deux parties», a communiqué la direction.

Retour à la normale en fin de semaine prochaine

«De leur côté, les facteurs ont accepté une organisation avec le nombre de tournées que nous leur proposions (27 au lieu de 28 actuellement). De notre côté, nous avons proposé un nouveau schéma organisationnel sans transfert d'activité supplémentaire. Ces avancées permettent de mettre en place une organisation du travail conforme aux réalités économiques du centre de distribution du courrier de Brest Rive-droite.

 

Les facteurs reprendront le travail lundi. Concernant la distribution, un retour à la normale est attendu pour la fin de semaine prochaine», a indiqué la direction. Les postiers se sont, eux, montrés plus réservés quant aux conditions de reprise du travail.

 

«Les négociations ont d'ailleurs continué l'après-midi sur un autre point du préavis qui concerne les méthodes de management et le dialogue social dans cet établissement. Le personnel se prononcera par vote, lundi matin, àla prise de service de 7h30, sur l'acceptation ou non des propositions de la direction sur les points de préavis de grève et sur les conditions de reprise du travail pour écouler les milliers d'objets en souffrance».

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