Depuis le début de la crise capitaliste mondiale, l’État espagnol s’est placé dans l’œil du cyclone en tant que l’un des maillons les plus faibles de la chaîne. Après la faillite de Lehman Brothers en septembre 2008 et l’entrée dans la « Grande Récession », le « miracle espagnol » connaît le début de sa fin. The Economist représentait récemment l’image du capitalisme espagnol comme un taureau aux pattes cassées.