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14 avril 2013 7 14 /04 /avril /2013 08:51

 

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Par LEXPRESS.fr, publié le 13/04/2013 à 16:38

Le réacteur numéro un de la centrale nucléaire a été mis à l'arrêt "pour plusieurs semaines", permettant les travaux exigés par l'Autorité de sûreté nucléaire à EDF pour permettre une exploitation prolongée de dix ans. 

Le réacteur numéro un de la centrale nucléaire de Fessenheim, dans le Haut-Rhin, a été mis à l'arrêt dans la nuit de vendredi à samedi, donnant le coup d'envoi des travaux de renforcement de la sûreté exigés pour le prolongement de l'exploitation par EDF de la plus vieille centrale française. 


Il s'agit notamment de renforcer les "radiers", les dalles de béton situées sous les réacteurs, une opération inédite et décidée à la suite de l'accident de Fukushima. Cette série de travaux avait été imposée à EDF par l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) en 2011, afin de permettre une exploitation prolongée de 10 ans pour ce réacteur.  "L'unité de production n°1 de la centrale nucléaire de Fessenheim a été mise à l'arrêt dans le nuit du 12 au 13 avril 2013 pour plusieurs semaines", a annoncé le communiqué. Les travaux devraient être terminés d'ici le 30 juin. 

La plus âgée des centrales nucléaires en France

Mise en service en 1977, la centrale de Fessenheim est la doyenne des installations nucléaires françaises en activité. Selon EDF, elle produit "70% de la consommation d'électricité d'une région comme l'Alsace".  En mars dernier, le réseau Sortir du nucléaire et des associations alsaciennes avaient déposé un recours en référé devant le Conseil d'État, qui l'a rejeté mercredi, pour empêcher les travaux.  Ils mettaient notamment en cause les coûts importants engagés pour le renforcement de la sûreté, compris entre 20 et 30 millions d'euros, dans une centrale dont la fermeture est d'ores et déjà annoncée par le gouvernement à l'horizon fin 2016. 

 

Avec

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http://www.lexpress.fr/actualite/societe/surete-nucleaire-les-travaux-debutent-a-fessenheim-plus-vieille-centrale-de-france_1240039.html

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Commentaire: Dépenser 20 à 30 millions pour une centrale "qui doit fermer"! On a vraiment tant de  pognon à perdre?

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13 avril 2013 6 13 /04 /avril /2013 11:25

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Énergies samedi 13 avril 2013
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Dans un bref communiqué, la direction de la communication de l’usine Areva de la Hague confirme les préparatifs pour un transport de Mox « dans les prochains jours ».

 

Le collectif « Stop Castor » du réseau « Sortir du nucléaire » a promis de s’opposer au départ du convoi de Mox vers le Japon. « Ce transport partira prochainement de Cherbourg et sera réalisé par les navires spécialisés Pacific Heron et Pacific Egret de la compagnie britannique PNTL », annonce Areva.

 

Bien entendu, ce transport se fera sous haute surveillance, notamment lors du parcours terrestre des trois camions transportant les emballages contenant ces matières radioactives. On peut imaginer que les 40 kilomètres qui séparent l’usine de la Hague du port de commerce de Cherbourg seront verrouillés. Selon Greenpeace, le transport jusqu’aux bateaux aura lieu dans la nuit de lundi, de mardi ou de mercredi.


Des manifestations attendues

 

L’organisation écologiste, opposée à la reprise de ces échanges avec le japon a prévu un rassemblement à Cherbourg, sur le rond-point, face à la nouvelle station d’épuration de Tourlaville, dès lundi à 18 h. Des associations et partis, comme le Crilan, Europe Ecologie les Verts, NPA, le Parti de Gauche, appellent également à manifester.


Si ces organisations ont toujours prôné des actions pacifiques, ce n’est pas forcément le cas de l’association antinucléaire « Stop Castor », qui promet de tout faire pour empêcher ce départ. En novembre 2011, des incidents violents avaient opposé les militants et les forces de l’ordre à l’occasion du départ d’un train de déchets nucléaires à destination de Gorleben en Allemagne.

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http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Nucleaire.-Areva-confirme-un-prochain-transport-de-Mox-vers-le-Japon_55257-2182810_actu.Htm

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13 avril 2013 6 13 /04 /avril /2013 11:14

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13 avril 2013 6 13 /04 /avril /2013 11:03

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13 avril 2013 à 09h36

 

Areva s'apprête à envoyer du MOX, un combustible composé de plutonium, au Japon, un convoi des plus contestés
au moment où Pyongyang se dit en état de guerre et que Tokyo n'en finit pas de se battre contre les conséquences de la catastrophe de Fukushima.
 

"Ce transport partira prochainement de Cherbourg et sera réalisé par les navires spécialisés Pacific Heron et Pacific Egret de la compagnie britannique PNTL", a annoncé vendredi dans un communiqué le groupe nucléaire qui présente le MOX comme une opportunité pour recycler le plutonium issu des centrales nucléaires.

L'entreprise est la seule au monde à produire à l'échelle industrielle ce combustible composé de 5% à 10% de plutonium et de 90 à 95% d'uranium, depuis que l'Angleterre a cessé d'en fabriquer. Selon Greenpeace, ce transport "dangereux" aura lieu entre lundi 0H00 et mercredi à minuit.

Selon l'ONG, ces 10 tonnes de MOX doivent quitter l'usine Areva de Beaumont-Hague (Manche) la nuit, à bord de trois
poids-lourds, pour rejoindre le port de Cherbourg et être chargées dans la journée. "La route entre l'usine et le port sera alors bouclée, avec des gendarmes à tous les carrefours", dit Yannick Rousselet, chargé de campagne nucléaire de Greenpeace France. L'usine est distante de 20 km du port mais le convoi en fera 40 pour des raisons techniques selon l'ONG.

  • AFP

http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/france/cherbourg-10-tonnes-de-plutonium-sur-le-depart-vers-le-japon-13-04-2013-2069486.php

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13 avril 2013 6 13 /04 /avril /2013 10:46

mox

Sortir du nucléaire Paris et le Réseau "Sortir du nucléaire" se mobilisent contre l’envoi de MOX au Japon.

Date : Lundi 15 avril 2013
1er RDV : de 12h15 à 14h
2ème RDV : de 17h à 19h

Lieu : La Défense - RDV au pied des marches de la grande arche

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12 avril 2013 5 12 /04 /avril /2013 13:14


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Nous l'avons souvent écrit, et il n'est pas inutile de le répéter :

 

le 11 mars 2011 n'est pas « la date » de la catastrophe de Fukushima, mais seulement la date du début de ce drame, qui va continuer à s'aggraver pendant des siècles. D'ores et déjà, l'opérateur Tepco est dépassé par les évènements. Sans parler du risque d'effondrement d'une piscine de combustible, la « gestion » quotidienne de la centrale en perdition reste insoluble . Par exemple, « chaque jour, le refroidissement produit 400 t d'eau hautement contaminée. ».

Tous les jours, 400 000 litres supplémentaires d'eau hautement radioactive, à stocker tant bien que mal, avec des fuites qui se multiplient, des coupures de courant potentiellement catastrophiques. Pendant ce temps, on trouve encore (en particulier en France) des imbéciles et/ou criminels pour prétendre que « les enseignements de Fukushima ont été tirés » et que « la sûreté nucléaire est désormais assurée ». Qu'ils aillent donc à Fukushima assumer leurs crimes en travaillant dans la centrale en perdition.

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Article du Monde : http://bit.ly/14UNshg  
« Le stockage de l'eau contaminée de Fukushima est de plus en plus problématique »
Article du Monde.fr :
http://bit.ly/10NWzuZ  
« Fukushima : les fuites d'eau très radioactive toujours inexpliquées »

 

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Centrale nucléaire de Penly : on se croirait à Fukushima
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La centrale nucléaire de Penly (Seine-Maritime) est loin d'être une des plus ancienne de France puisqu'elle a commencé à fonctionner en 1990, et non à la fin des années 70 et au début des années 80 comme c'est le cas pour beaucoup de réacteurs de l'Hexagone. Pourtant, la situation de la centrale de Penly ressemble par certains aspects à celle de Fukushima, avec d'innombrables fuites de liquides radioactifs. Jugez un peu : 28 bacs de rétention de liquides radioactifs sur 36 fuient !

Le plus étonnant est probablement que 8 bacs ne fuient pas ! Par contre, il est légitime de penser que cet état de dégradation avancé existe aussi dans les autres centrales. La plupart des installations nucléaires dans le monde sont anciennes et dans un inquiétant état de délitement. Où aura lieu le prochain Fukushima ?
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Article de Paris-Normandie : http://bit.ly/12L9dQB   
« Nucléaire: défauts d'étanchéité généralisés »
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12 avril 2013 5 12 /04 /avril /2013 12:33

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« Niger : slogans anti-Areva lors d'une manifestation d'étudiants à Niamey »
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Avant même la date du 16 avril (cf revue de presse de la semaine dernière), une première manifestation anti-Areva a eu lieu au Niger. Sachant qu'ils risquaient de se voir interdire leur action, les manifestants avaient indiqué que la manifestation concernait "la déconfiture du système éducatif nigérien" : il faut être malin lorsqu'on veut critiquer l'entreprise coloniale dont l'emprise reste totale sur le pays.

En tant que « mauvais patriotes », incapables de voir la beauté de l'atome hexagonal, nous notons avec plaisir les slogans scandés par les manifestants : "Non à Areva !", "A bas l'impérialisme!", "Non au système français" ou encore  "Non à l'exploitation et au néocolonialisme". On ne saurait mieux dire.

Mais cette information fondamentale a curieusement été « oubliée » par l’ensemble des médias français. Pourtant, l'AFP était sur place, comme on peut le constater en lisant le compte rendu fait par Afriqu’Echos Magazine (AEM). D'ailleurs, le texte est estampillé AEM-AFP et on peut y trouver la mention caractéristique «... a constaté un journaliste de l'AFP ».

Il est donc clair qu'une dépêche AFP a été rédigée, et qu'elle est arrivée jusqu'à certains médias africains. Par contre, elle n'a pas été diffusée en France. Comment ne pas soupçonner l'AFP de protéger les intérêts d'Areva et du lobby nucléaire dans l'opinion française ?

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Dépêche AEM-AFP : http://bit.ly/11y217w 

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Source: Observatoire du nucléaire

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12 avril 2013 5 12 /04 /avril /2013 10:29
vendredi 12 avril 2013
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Face à une surcapacité de production, GDF Suez va stopper, en été, ses centrales à gaz. Dont celle de Montoir (Loire-Atlantique).

Trois des centrales à gaz françaises de GDF Suez qui produisent de l'électricité vont réduire leur activité de production dès cette année. Deux d'entre elles, à Montoir-de-Bretagne (près de Saint-Nazaire) et à Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône), seront mises en arrêt saisonnier.

Cela se fera à partir de juin-juillet et jusqu'en novembre. Et ce, pendant plusieurs années.

La seconde unité de Fos-sur-Mer sera mise sous cocon, c'est-à-dire en arrêt total jusqu'en 2016. En revanche, celle de Dunkerque continuera de tourner à temps plein.

Ce projet a été présenté, hier, lors d'un comité d'entreprise exceptionnel.

 

Pas d'inquiétude pour le consommateur, il n'y aura pas de pénurie. Au contraire, cette décision a été prise pour éviter la surcapacité actuelle de production d'électricité en Europe, qui s'explique par une baisse globale de la consommation. Le résultat de la crise économique et d'une baisse sensible du prix du charbon. Le choix de maintenir l'activité en hiver se justifie par une plus grande demande d'électricité durant cette période.


GDF Suez précise, qu'en cas de besoin, ces centrales pourront redémarrer assez rapidement. Ce projet sera validé, dans les jours à venir. Les conséquences sociales seront précisées ultérieurement, avec sans doute des reclassements.


À Montoir-de-Bretagne, l'annonce de cet arrêt partiel a de quoi surprendre. La centrale est toute neuve... et a coûté cher. Elle a ouvert en avril 2011, pour un investissement de 300 millions d'euros. L'équivalent d'un petit paquebot et d'un demi-aéroport Notre-Dame-des-Landes. Elle emploie vingt-huit salariés.

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Éric MARTIN.
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11 avril 2013 4 11 /04 /avril /2013 14:15

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Par Ivan du Roy (11 avril 2013)

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Du plutonium est en partance pour le Japon.

 

Alors que, deux ans après Fukushima, populations et autorités locales se débattent toujours face aux contaminations radioactives, un convoi nucléaire, affrété par Areva, doit appareiller mi-avril de Cherbourg vers l’archipel japonais. Pourquoi l’entreprise continue-t-elle à exporter du combustible nucléaire vers un pays traumatisé ? Quels sont les enjeux commerciaux et industriels qui se cachent derrière le Mox ? Et les menaces potentielles que fait planer ce business nucléaire ? Enquête.

 

Les exportations de combustibles nucléaires reprennent vers le Japon.

 

Après deux ans d’interruption, liée à la catastrophe nucléaire de Fukushima, Areva s’apprête à y expédier une nouvelle cargaison de « Mox », alors même que les contaminations radioactives se poursuivent. Le Mox, c’est cet assemblage d’uranium appauvri et de plutonium, fabriqué par l’usine Melox, située sur le site de Marcoule, dans le Gard. C’est aussi un combustible vivement critiqué par les écologistes ainsi que par des experts indépendants, pour sa haute toxicité et les nombreux problèmes de sûreté nucléaire qu’il pose.

 

Pourquoi Areva s’entête-t-elle à fabriquer et à commercialiser du Mox ?

 

Pourquoi en expédier au Japon, alors même que du Mox a probablement fondu au sein de l’un des réacteurs de la centrale de Fukushima, contribuant à disperser du plutonium alentour ? Quels sont les enjeux qui se cachent derrière ce combustible hautement dangereux ?


Un assemblage de Mox contient environ 500 kg de matières fissiles sous forme de « crayon », dont 7% à 9% de plutonium. Un seul assemblage permettrait, selon Areva, « d’alimenter en électricité une ville de 100 000 habitants pendant un an ». Cette évaluation semble très optimiste, et correspondre à un rendement tout à fait théorique : cela signifierait qu’un seul réacteur, qui compte entre 120 et 250 assemblages en activité dans sa cuve, serait capable de produire assez d’énergie pour alimenter en électricité 12 à 25 millions d’habitants par an.

 

La France comptant 58 réacteurs, elle pourrait, selon le chiffre d’Areva, fournir en électricité entre 696 millions et 1,45 milliard d’habitants... Les calculs de Jean-Claude Zerbib, ancien ingénieur au Commissariat à l’énergie atomique (CEA, principal actionnaire d’Areva), arrivent à une conclusion assez différente : un assemblage produirait en énergie électrique « de quoi alimenter pendant un an 15 736 habitants et non 100 000 », au vu de la consommation d’électricité par an et par habitant en 2009. [1]

 

Lire la suite

 


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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 13:05

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Communiqué commun du Réseau "Sortir du nucléaire" et des associations Alsace Nature, Comité pour la Sauvegarde de Fessenheim et de la Plaine du Rhin, Stop Fessenheim et Stop Transports-Halte au Nucléaire

 

Le 21 mars, le Réseau "Sortir du nucléaire", Alsace Nature, le Comité pour la Sauvegarde de Fessenheim et de la plaine du Rhin, Stop Fessenheim et Stop Transports - Halte au Nucléaire ont déposé un référé pour empêcher la réalisation des travaux prévus sur le radier du réacteur 1 de Fessenheim. Inutiles et coûteux, ces travaux qui n’apportent aucune amélioration de sûreté doivent être annulés et la centrale mise à l’arrêt. L’audience a lieu ce lundi 8 avril au Conseil d’État.

Une prolongation d’exploitation conditionnée à la réalisation de travaux colossaux

À l’issue de la troisième visite décennale du réacteur 1 de Fessenheim, l’ASN a rendu un avis favorable à la poursuite de son exploitation après 30 ans de fonctionnement, sous réserve de respecter différentes prescriptions  [1]. Il s’agit notamment de renforcer le radier du réacteur avant le 30 juin 2013. Le 19 décembre 2012, elle a donné son accord pour qu’EDF procède à la mise en œuvre de la modification proposée, consistant à augmenter à la fois l’épaisseur et la surface de la zone d’étalement du corium en cas d’accident grave avec percement de la cuve.


Colossaux, les travaux prescrits n’ont pas de précédent : il s’agit notamment de couler environ 50 cm d’un béton spécial dans le puits de cuve [2] et dans une zone voisine réaffectée en « local de collecte ». De plus, pour permettre l’étalement du corium entre ces deux zones, il faudra creuser un canal de transfert.


Au vu de l’ampleur de cette modification, celle-ci devrait faire l’objet de la procédure d’autorisation telle que prévue par l’article L 593‐14 du Code de l’environnement, qui impose notamment une enquête publique en cas de modification notable d’une installation nucléaire.

Des travaux coûteux, inutiles, voire dangereux pour une centrale destinée à une fermeture imminente

Alors que les économies d’énergie et les énergies renouvelables manquent cruellement de soutien, il est inacceptable de gaspiller des dizaines de millions d’euros dans de tels travaux. La centrale de Fessenheim est dangereuse et devrait être arrêtée maintenant [3]. Alors même que le gouvernement s’est engagé à la fermer durant le quinquennat, autoriser ces travaux revient à donner un argument à EDF, qui ne manquera pas d’invoquer leur rentabilisation pour justifier la poursuite de l’exploitation du réacteur.


Les travaux se dérouleront dans un environnement extrêmement radioactif, juste sous la cuve du réacteur. En dépit des déclarations d’EDF, qui peut garantir que les personnes qui seront chargées des opérations ne courront aucun risque ? Il serait inacceptable que des travailleurs soient exposés à des radiations intenses pour ce chantier qui n’est même pas destiné à prévenir le risque d’accident. En effet, l’objectif est uniquement, une fois l’accident arrivé, de reporter d’une journée environ (soit 44 h après au lieu de 24) le moment où le combustible en fusion percera le socle de béton du réacteur et entrera en contact avec la plus grande nappe phréatique d’Europe !


Ces travaux ne changeront rien aux risques qui pourraient mener à un accident à Fessenheim : vieillissement, situation en zone sismique, près d’un aéroport, en contrebas du grand canal d’Alsace…


Le 21 mars 2013, le Réseau "Sortir du nucléaire", Alsace Nature, Stop Transports - Halte au nucléaire, Stop Fessenheim et le Comité pour la Sauvegarde de Fessenheim et de la plaine du Rhin ont déposé un référé devant le Conseil d’État afin d’empêcher la réalisation de ces travaux. L’audience a lieu aujourd’hui lundi 8 avril à 11 h au Conseil d’État (1, place du Palais Royal à Paris). La juriste du Réseau "Sortir du nucléaire" et le porte-parole de Stop Fessenheim seront présents sur place.


Pour plus d’informations :

 

Voir notre dossier juridique : http://groupes.sortirdunucleaire.org/Fessenheim-radier

En savoir plus sur Fessenheim : http://groupes.sortirdunucleaire.org/2012-Fermeture-Fessenheim

 

Contacts :

Réseau "Sortir du nucléaire" : Marie Frachisse (juriste) – 07 62 58 01 23

Stop Fessenheim : André Hatz (porte-parole) - 06 82 02 69 79 


Chargée de communication :

Charlotte Mijeon - 06 64 66 01 23

Notes

[1] Décision de l’ASN n° 2011-DC-0231 du 4 juillet 2011

[2] Zone hautement radioactive située juste sous le réacteur

[3] Selon un rapport commandé par le ministère de l’Environnement du Bade-Wurtemberg, Fessenheim aurait déjà dû être fermée si on lui avait appliqué les critères de sûreté en vigueur en Allemagne : http://groupes.sortirdunucleaire.org/Analyse-de-l-Oko-Institut

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http://groupes.sortirdunucleaire.org/fessenheim-audience-refere

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