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29 janvier 2013 2 29 /01 /janvier /2013 14:33

Publié dans : Hebdo Tout est à nous ! 179 (24/01/13)

 

 Le moins que l’on puisse dire, c’est que les confédérations syndicales et leurs structures fédérales ou départementales ne tentent rien pour faire le lien entre les luttes du moment. Heureusement que les salariéEs les plus combatifs s'organisent.

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Dans cette situation marquée par de très nombreuses fermetures d’entreprises, de dépôts de bilan ou de plan de licenciements, la moindre des choses serait que les syndicats fassent le lien entre les salariéEs qui veulent s’y opposer, qu'ils mettent en place des réseaux de solidarité. Car ce qui manque c’est l’espoir de pouvoir changer la donne. Et la plupart du temps, dans des entreprises de quelques dizaines de salariéEs et même de quelques centaines, il est quasiment impossible d’imaginer pouvoir empêcher une fermeture ou même des licenciements.

 

Réseau combatif


Des équipes militantes essaient à la base de trouver des solutions. C’est le cas avec l’initiative de salariées des « 3 Suisses » licenciées qui, en créant une association « Les Licenci’elles », ont lancé une bataille pour l’interdiction des licenciements. C’est au fil des manifestations et de rencontres diverses que se construit un réseau de syndicalistes d’entreprises, convaincus que c’est en sortant de l’isolement et en unissant leurs forces que les salariés pourront agir efficacement.


L’idée est d’élaborer un projet de loi qui protège les salariés en interdisant les licenciements dans les groupes qui font des bénéfices. Une manière de populariser cette réponse nécessaire et urgente. Depuis septembre, les Licenci’elles se réunissent chaque mois et essaient de mettre au point des actions, s’entourant d’équipes militantes comme celles de Goodyear, Fralib, Sodimedical, Faurecia, Valeo, Ford, Sanofi, Arcelor, PSA … une vingtaine d’entreprises en tout.


Un des principes revendiqués est de faire tomber les barrières, d’oublier les étiquettes syndicales, de construire un réseau large et ouvert. Evidemment, cela donne une construction difficile, aléatoire, bricolée, car faite avec les moyens du bord, à savoir la détermination de militantEs à la base. Une action est organisée devant le ministère du Travail le mardi 29 janvier à 14 heures. Elle se prépare depuis plusieurs semaines. Banderole, tee-shirts, tracts ont été discutés et fabriqués pour assurer la visibilité. Comment médiatiser et élargir le réseau font partie des problèmes discutés. L’enjeu est d’amorcer enfin la construction de cette convergence tant espérée.


Philippe Poutou


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29 janvier 2013 2 29 /01 /janvier /2013 11:45

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Économie mardi 29 janvier 2013
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Des débrayages étaient en cours ce mardi matin à l’usine Renault de Douai (Nord), à l’appel des syndicats Force Ouvrière, CGT et Sud.

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Pour protester contre l’accord de compétitivité négocié par la direction de Renault, les syndicats FO, CGT et Sud ont appelé au débrayage ce mardi matin à l’usine de Douai.


500 employés en grève

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« Il n’y a plus de production qui sort », affirme le secrétaire du CE (FO, majoritaire sur le site) Jean-Marie Ravry, qui estimait à environ 500 le nombre d’employés ayant cessé le travail dans la matinée, dans plusieurs bâtiments du site où travaillent 1 500 personnes à cette heure de la journée. FO avait appelé à un débrayage d’une heure.


Des membres du syndicat Sud, qui avait appelé séparément au débrayage, brûlaient des pneus devant l’entrée du site, dégageant une épaisse fumée noire. Des délégués FO ont pris la parole dans la matinée devant les grévistes rassemblés à l’intérieur du site, inaccessible à la presse.


Une réaction face à la menace de fermeture de l’usine

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« À Douai, on n’était pas inquiets au début, puisqu’on a le (projet de plateforme industrielle) 15/40 qui nous permettait de travailler jusqu’en 2020. Aujourd’hui, la direction annonce la fermeture de deux sites et nous dit que personne n’est exclu », a expliqué M. Ravry.


« Ils veulent mettre en concurrence tous les sites, c’est malsain », a-t-il ajouté, dénonçant un « chantage » de la direction de Renault sur des « fermetures de sites et des licenciements secs ». FO dénonce notamment les « détachements obligatoires, remise en cause de l’accord 35 heures […] gel des salaires » prévus dans l’accord.

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http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Renault.-Debrayages-en-cours-a-l-usine-de-Douai_6346-2158417-fils-tous_filDMA.Htm

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26 janvier 2013 6 26 /01 /janvier /2013 14:33

Il est facile de suivre la trace de Montebourg et Hollande dans le paysage social :

 

partout ils sont passés pour s’engager à sauvegarder l’emploi, les sites sont aujourd’hui fermés ou menacés de fermeture.

 

Depuis 6 ans les salariés du site Goodyear d’Amiens se battent contre les licenciements que la Direction du groupe tente d’imposer.

 

Pourtant le groupe Goodyear a annoncé un doublement de ses bénéfices en 2012 à hauteur de 85 millions de dollars (plus de 60 millions d’euros), mais les actionnaires demandent toujours plus.

 

Depuis 6 ans les salariéEs ont mené conjointement batailles juridiques et mobilisations tout en étant à l’initiative de l’indispensable coordination des luttes contre les licenciements et les fermetures de sites.


Le NPA dénonce cette nouvelle annonce de suppressions de milliers d’emplois (1200 chez Goodyear et donc 5 ou 6000 en emplois indirects) et affirme son soutien total à la lutte des Goodyear.

 

Cette annonce rend encore plus indispensable la participation au rassemblement à l’initiative des Licenc’ielles, des Goodyear et des salariés d’une vingtaine d’entreprises, le mardi 29 janvier du ministère du travail, rue de Grenelle à 14h, jusqu’à l’Assemblée Nationale.


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25 janvier 2013 5 25 /01 /janvier /2013 11:50

mittal

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Ce jeudi matin, lors d’un conseil d’entreprise extraordinaire, la direction d’Arcelor- Mittal a confirmé sa décision de démanteler, de fait, l’ensemble de son implantation, en région liégeoise.

 

C’est donc le spectre de la perte de 10 000 emplois, directs et indirects, qui plane sur la région liégeoise.


Après avoir déjà fermé la phase à chaud,  entraînant la perte que quelque 800 emplois, elle vient d’annoncer la suppression de 7 lignes de la phase à froid, avec des usines, présentées pourtant comme l’avenir de la sidérurgie ;  ce qui devrait entrainer  la suppression de 1300 emplois directs, sur les 2000 actuels. Il resterait moins de 1000 emplois directs, dans la sidérurgie liégeoise.

 

Pour combien de temps encore ? On en était encore à plus de 5000, en 2005 !


Cette direction cynique, arrogante et sans scrupules –elle renie systématiquement ses engagements- a trouvé encore un nouveau prétexte pour avancer, dans son nouveau plan de fermetures : les syndicats du secteur avaient eu l’outrecuidance de conditionner leur signature du volet social, pour « le chaud », à un plan d’investissement industriel précis, pour la phase à froid.


L’affaire est entendue. Les syndicats liégeois, le SETCa et la FGTB durcissent le ton : « Mittal Go Home » !


Au-delà du lancement de ce mot d’ordre, qui est le seul à même de donner un véritable coup d’arrêt au bain de sang social,  maintenir l’emploi et sauver la sidérurgie, la question est comment le concrétiser. Ce qui s’est passé, suite à la décision de Mittal de fermer la phase à chaud, est éclairant : les organisations syndicales se sont engluées, pendant plus d’un an, dans la « procédure Renault », sans un véritable plan de mobilisation, une radicalisation de l’action et une démarche offensive vis-à-vis du pouvoir politique, régional et fédéral.


Aujourd’hui, devant ce tremblement de terre, les mots d’ordre de grève sur tous les sites liégeois, de manifestation  à Luxembourg, en liaison  avec les organisations syndicales des sièges Arcelor-Mittal, dans d’autres pays, sont déjà avancés par les organisations syndicales.


Mais l’arme de grève, avec occupation de sites, n’apparait-elle pas, de toute évidence, comme indispensable, pour organiser le mouvement de grève, pour contrôler et empêcher les manœuvres patronales.

 

Mittal aurait-il pu, s’il y avait eu occupation,  vider tous les stocks et les délocaliser un peu partout ? Plus de 7 000 tonnes viennent d’être évacuées, et cela, avant l’annonce de nouvelles suppressions de lignes dans le « froid » !


Dans les années 1970, à Glaverbel-Charleroi, les verriers en grève ont pu faire reculer la multinationale BSN-Gervais-Danone, qui avait décidé de démanteler le secteur verrier régional. A plusieurs reprises, ils ont fait grève, avec occupation de sièges verriers et la création de comités de grève.


La multinationale Arcelor –Mittal se porte bien et son PDG, Lakshmi Mittal est une des plus grosses fortunes mondiales.

 

La multinationale a sucé tout ce qu’elle pouvait, avalant subventions et aides diverses et utilisant, jusqu’à la corde, tous les moyens de ne pas payer l’impôt. Pour les années 2010 à 2012, elle a payé zéro euro d’impôts, sur notre territoire.


Alors, comme Mittal  continue,  de plus belle, sa course au maximum de profit, sur le dos des travailleurs et en les projetant dans des drames familiaux et sociaux, il n’y pas 36 solutions :

 

il faut l’exproprier, sans indemnisation – à la rigueur pour un euro symbolique- et sous contrôle ouvrier. Que le gouvernement de la Région wallonne prenne ses responsabilités, avec le gouvernement fédéral.


Mais, pour cela – cela parait tellement évident-, il s’agit de changer les rapports de force, tant vis-à-vis de Mittal que du pouvoir politique. Ce sont les sidérurgistes liégeois qui doivent compter sur leurs propres forces, avec la solidarité des travailleurs de la région et de la population.


Nous sommes tous concernés par l’enjeu de ce combat et son issue. La solidarité avec les travailleurs d’Arcelor- Mittal se pose en termes concrets.

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http://www.lcr-lagauche.be/cm/index.php?view=article&id=2755:arcelor-mittal-liege-le-bain-de-sang-social-continue-unenseulensolution-lexpropriation-sous-controle-ouvrier-&option=com_content&Itemid=53

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24 janvier 2013 4 24 /01 /janvier /2013 12:34

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24 janvier 2013 à 12h06 

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Le géant mondial de l'acier ArcelorMittal a annoncé jeudi son intention de fermer plusieurs outils de la "phase à froid" dans la région de Liège, en Belgique, ce qui devrait entraîner la perte de 1.300 emplois, a-t-on appris de source syndicale.

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"C'est 1.300 (emplois supprimés) en plus des 790" concernés par la fermeture de la "phase à chaud" annoncée en octobre 2011, a déclaré un responsable local du syndicat CSC, David Camerini. Les outils concernés par une fermeture définitive sont notamment une cockerie, deux "centrales d'énergie", un "train large bande", une filière de laminage à froid, a précisé l'agence de presse Belga, alors qu'un comité d'entreprise extraordinaire était en cours à Liège.

 

ArcelorMittal avait confirmé son intention d'investir dans sa "phase à froid" à Liège

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Lors d'un accord sur le plan social lié à la fermeture de la phase à chaud trouvé le 30 novembre après des semaines de tensions avec les syndicats, la direction d'ArcelorMittal avait pourtant confirmé son intention d'investir 138 millions d'euros dans sa "phase à froid" à Liège, qu'elle décrivait comme "stratégique". Mais les syndicats ont dénoncé depuis plusieurs semaines les retards pris dans la concrétisation de ces projets.

 

Les organisations syndicales ont appelé à la grève sur l'ensemble des sites du groupe à Liège, selon Belga. Réclamant à nouveau une "nationalisation" des outils pour relancer une sidérurgie intégrée à Liège, le syndicat socialiste FGTB avait annoncé dès mercredi "un mot d'ordre de grève immédiate" en cas d'annonce de nouvelles fermetures, ainsi qu'une "manifestation d'envergure" à Luxembourg, le siège du groupe, "en liaison avec des organisations syndicales d'autres pays". "Il faut d'urgence jeter le groupe Arcelor Mittal hors de Liège", avait estimé le syndicat dans un communiqué.

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http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/europe/belgique-arcelormittal-veut-supprimer-1-300-emplois-de-plus-24-01-2013-1982376.php

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http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Arcelor-Mittal.-Suppression-de-1-300-postes-en-Belgique_39382-2156806_actu.Htm

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24 janvier 2013 4 24 /01 /janvier /2013 11:36

 

 

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18 janvier 2013 5 18 /01 /janvier /2013 14:42

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d’une cinquantaine sur 500 la veille. Ainsi on a observé un certain turnover, certains grévistes de la veille étant remplacés par d’autres ouvriers qui ne l’étaient pas mercredi, résultat peut-être des pressions augmentées de la direction qui a fait savoir qu’il suffisait d’être vu à une AG pour être considéré en grève toute la journée, mais certainement aussi signes des hésitations de certains à franchir le pas avant d’entrer dans un mouvement qui pourrait être long.

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Un signe positif tout de même : les 35 travailleurs d’un sous-traitant du nettoyage se sont déclarés grévistes.


Par ailleurs les équipes du matin et de l’après-midi ne se sont pas rencontrées comme il avait été prévu mais ont conservé leurs horaires, les vieilles habitudes ayant du mal à disparaître, surtout au tout début de la grève. Les AG encore par équipe n’ont tout de même pas empêché la constitution du comité de grève, lui pour tous les grévistes, d’une soixantaine pour l’instant, qui a tenu à affirmer tout de suite son autorité en décrétant que les délégués et dirigeants syndicaux étaient les bienvenus mais devaient participer en tant que simples salariés à l’égal de tous.

Et si l’essentiel de la journée a été consacré à la mise en place de l’organisation de la grève (assemblées générales encore par équipe, comité de grève, commissions émanant de celui-ci) une délégation d’un cinquantaine de Citroên s’est rendue à la manifestation des entreprises du 93, la plus grosse délégation de celle-ci... on pourrait presque dire hélas car cela signifie que cette manif était modeste (entre 700 et 1000).
Ce fut l’occasion de s’adresser à d’autres travailleurs et syndicalistes pour affirmer, vraiment explicitement, la volonté de faire de la grève un fer de lance pour construire la convergence des entreprises en lutte, mobilisées ou sous le coup d’une menace patronale.. c’est-à-dire toutes dans la conjoncture actuelle.
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Aulnay-sous bois le jeudi 17 janvier 2013
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Le collectif contre les patrons voyous et licencieurs
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http://www.npa2009.org/licenciements

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18 janvier 2013 5 18 /01 /janvier /2013 12:14

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Social vendredi 18 janvier 2013
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Près de 200 salariés de l’usine PSA d’Aulnay-sous-Bois ont pénétré vendredi matin dans l’enceinte d’une usine du groupe à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) pour protester contre la fermeture de leur usine.

 

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Les manifestants, partis vers 9 h 30 de l’usine d’Aulnay à bord de trois bus, ont pénétré sur le site de Saint-Ouen par un trou situé dans un mur extérieur de l’usine, avant d’aller à la rencontre de leurs collègues, au cri de « Aulnay, Saint-Ouen, même combat ! »


« Toutes ces choses vont vous arriver dans la gueule, comme ça nous arrive à nous.

 

Nous c’est maintenant, vous ce sera après », a assuré Salah Keltoumi, responsable syndical CGT, à l’origine de cette action coup de poing avec le syndicat Sud.


L’usine d’Aulnay-sous-Bois, qui doit fermer en 2014, a été touchée par un mouvement de grève mercredi et jeudi, alors que des négociations ont eu lieu sur les primes de départ.,Le site de Saint-Ouen, qui comporte des ateliers de ferrage et d’emboutissage, emploie environ 700 personnes.

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http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-PSA.-Des-salaries-d-Aulnay-investissent-une-usine-de-Saint-Ouen_6346-2154672-fils-tous_filDMA.Htm

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 14:23

Renault 1938, Renault revient sur les 40h, grève: 1868 licenciements, fin de la grève

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Comme il l’avait annoncé le patron de Renault, Carlos Ghosn, emboîte le pas de PSA avec l’annonce de la suppression de 7 500 postes de travail.

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L’accord dit de « sauvegarde de l’emploi » n’est pas encore réellement validé et déjà la direction de Renault s’en empare. La sauvegarde de la compétitivité est mise en avant pour supprimer des milliers d’emplois.

 

C’est la stratégie de développement du groupe qui est responsable de la situation et les salariéEs n’ont pas à en payer les conséquences. Par le chantage à la fermeture de sites, la direction espère décourager les réactions des salariés et faire pression sur les organisations syndicales.


Dans la suite logique de l’accord qu’il a tant souhaité, le gouvernement, par la voix de Montebourg, trouve normal la stratégie de Renault et ose prétendre qu’il n’y aurait pas de licenciements.


7500 suppressions de postes c’est autant d’emplois directs supprimés et comme chaque fois trois ou quatre fois plus d’emplois indirects. C’est aussi une aggravation des conditions de travail et une pression sur les salaires de ceux qui ne perdront pas leurs emplois.


Comme chez Arcelor, PSA, Sanofi, Virgin et bien d’autres, les patrons, les actionnaires sont exemptés de toute responsabilité.

 

SeulEs les salariéEs sont priéEs de faire des sacrifices.


Nos propositions sont tout autre :

 

interdiction des licenciements et suppressions de poste, réduction massive du temps de travail, suppression du travail de posté, de nuit et de week-end. Et, pour imposer ces mesures, faire toutes les intrusions nécessaires dans le pouvoir patronal : ouverture des livres de comptes, expropriation, nationalisation sous le contrôle des travailleurs/euses.

 

La coordination des mobilisations actuelles dans des dizaines d’entreprises contre les licenciements et fermetures de sites est plus que jamais urgente pour construire le rapport de force nécessaire pour faire reculer les patrons licencieurs.

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http://www.npa2009.org/content/refuser-le-chantage-et-les-licenciements-%C3%A0-renault

 


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15 janvier 2013 2 15 /01 /janvier /2013 11:19

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Social mardi 15 janvier 2013
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A Falaise, les salariés d'Allis bloquent leur usine

Depuis 4 h 30 ce matin, une quarantaine de salariés de l’entreprise Allis bloquent les accès à l’usine qui fabrique des plats cuisinés. Un poids lourd venu prendre une livraison a été contraint de faire demi-tour. Vide.


À 8 h 30, les salariés grévistes ont accueilli Hubert Parry, le directeur du site, par une haie d’honneur. En ce moment, les délégués du personnel sont en réunion avec la direction et l’expert-comptable qu’ils ont mandaté pour étudier la situation financière de l’usine. Celui-ci doit dire si oui ou non l’entreprise est viable.


Allis, à Falaise emploie 86 personnes toutes menacées de licenciement.

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http://www.ouest-france.fr/region/normandie_detail_-Falaise.-Les-salaries-d-Allis-bloquent-l-usine_40793-2153310_actu.Htm

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