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8 juillet 2011 5 08 /07 /juillet /2011 09:16

 

 

 

Précisons que ces personnes ne se rendent pas en Israél, mais en Palestine, ils sont en "transit" en Israél. Ils ne peuvent s'y rendre directement car Israél a détruit les aéroports palestiniens. Ils ne peuvent bien sûr pas passer par les pays voisins qui sont en guerre (Liban, Syrie) et de toute façon, c'est Israél qui contrôle les entrées de Jordanie et d'Egypte. (Une tentative d'entrée par l'Egypte entraîne des morts).

Le Check Point  est désormais à paris.

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7 juillet 2011 4 07 /07 /juillet /2011 11:17

 

vignette_revolarabe.jpg

Par Thierry Pierret le 6-07-2011

 

Le processus révolutionnaire initié par le soulèvement tunisien de la mi-décembre 2010 s’est propagé à l’ensemble de l’aire culturelle arabe. Mais la dynamique et le rythme de la révolution varient d’un pays à l’autre tandis que la contre-révolution des cliques dominantes s’organise à son tour - en combinant [...]

 

Lire la suite ici

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7 juillet 2011 4 07 /07 /juillet /2011 10:54

 

 

Rappelons-nous cette lutte exemplaire s'inspirant de l'exemple égyptien, qui laissera des traces.

Ici les flics et les pompiers défilant avec les autres travailleurs.

 

 

Occupation du "Capitole" de l'Etat
Solidarity for ever, for the Union make us strong.
Solidarité toujours, car le syndicat nous rend plus forts.
"Cops for Labor": Les flics avec la classe ouvrière
Et un article sur la lutte de Madison,  de "La Riposte" , un groupe d'extrême gauche "trotskiste", qui n'a rien de mieux à faire que d'infiltrer (secrètement)  le PCF afin de le "redresser" afin de lui faire adopter une ligne révolutionnaire. Et que Laurent remplace Besancenot comme facteur . Ma doué! 
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5 juillet 2011 2 05 /07 /juillet /2011 14:12

 

 

 

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5 juillet 2011 2 05 /07 /juillet /2011 14:05
" On ne tue pas les idées !"

On ne tue pas les idées ! (Texte pour commémoration de T. Sankara)

 

Une semaine avant sa mort (le 15 octobre 1987), Thomas SANKARA avait rendu un vibrant hommage à Che GUEVARA. Tout un symbole ! Thomas est devenu pour tous les jeunes du monde le symbole de l’engagement, au-delà de son seul pays le Burkina Faso « le pays des hommes intègres ». Cette jeunesse intrépide, assoiffée de dignité, de courage et d’idées qu’il appelait de ses vœux a soif aujourd’hui de boire à la source vivifiante des idées posées par le Che africain Thomas Sankara. Les événements actuels portés partout dans le Maghreb et en Afrique subsaharienne par les jeunes en sont la preuve.

 

Dans son hommage à Che Guevara, Thomas disait que le Che était un Burkinabais alors nous rajouterons aujourd’hui que le burkinabais Thomas Sankara est le Che. Car le Che est une conviction révolutionnaire, une foi dans ses actes, le Che est un don de soi, un internationalisme qui dépasse les frontières. Le Che est une intégrité, le Che est un idéal. Et Thomas était tout cela à la fois. Approchons nous donc de l’esprit du Che car cet esprit est avec nous aujourd’hui, il nous accompagne à chaque fois qu’on parle de Thomas Sankara. Thomas, le frère d’Harlem, Thomas le frère de l’Amérique latine, Thomas, le frère de tous les révolutionnaires du monde. Approchons nous des idées du che africain, de celui qui rêva d’une Afrique fière et debout, ne comptant que sur ses propres forces et dans le courage de ses enfants.

 

En ces temps de révolutions portées partout en Afrique par sa jeunesse qui « refuse désormais de mourir de faim, de soif et d’ignorance », le message de Thomas reste vivace. Il disait : « Notre solidarité militante ira à l’endroit des mouvements de libération nationale qui combattent pour l’Indépendance de leur pays et la libération de leur peuple ». Dans chaque forum international, à chaque tribune internationale qui lui était offerte, Thomas Sankara s’est fait le chantre des opprimés et pas seulement de l’Afrique.

 

Aujourd’hui, 50 ans après les Indépendances, la libération n’est toujours pas acquise. Car l’impérialisme, comme le disait si bien Thomas Sankara « est un monstre qui a des griffes, des cornes, des crocs, qui mord, qui a du venin et qui est sans pitié. Il est déterminé, il n’a pas de cœur ». Aujourd’hui, qu’on l’appelle Françafrique ou néocolonialisme, l’impérialisme est toujours présent en Afrique, il n’a toujours pas de cœur, il est toujours tout aussi déterminé. Son venin nous a enlevé celui qui restera pour nous un Che. Ils nous ont enlevé un homme intègre, un homme de foi, un homme de conviction. Mais, ils ont oublié une chose : on peut tuer les hommes mais on ne tue pas les idées.

 

« Mûrissent partout les moissons des vœux patriotiques. Brillent les soleils infinis de joie. »

  (Hymne national du Burkina Faso).

 

Groupe de Travail Afriques du NPA

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5 juillet 2011 2 05 /07 /juillet /2011 13:29

 

Le "Dignité Al-Karama"Le "Dignité Al-Karama" ©

Le bateau français, le "Dignité Al-Karama", appartenant à la flottille pour Gaza, a réussi à quitter les eaux territoriales grecques et fait route vers le territoire palestinien, ont annoncé mardi les organisateurs du collectif "un bateau français pour Gaza".

Le navire de 19 mètres avec huit personnes à bord, dont l'ex-leader du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) Olivier Besancenot, se trouve dans les eaux internationales.

Le "Dignité Al-Karama" est un bateau de plaisance qui n'avait pas à être répertorié auprès des autorités maritimes grecques, au contraire des autres bateaux de la flottille, dont le but est de briser le blocus exercé par Israël sur Gaza et d'y acheminer de l'aide.

 

 

http://lci.tf1.fr/filnews/monde/gaza-besancenot-sur-le-bateau-francais-de-la-flottille-6562808.html

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30 juin 2011 4 30 /06 /juin /2011 10:29

 


Black-Panther huey
Le groupe "Storlok" avait écrit cette chanson sur la mort de Georges Jackson, autre membre du Black Panthers Party en 1978



« Geronimo » Pratt est mort le 3 juin dernier, en Tanzanie à l'âge de 63 ans. « Geronimo » était le pseudonyme qu'Elmer Pratt avait reçu en rejoignant les Black Panthers, un mouvement né en 1966 en Californie lors de la radicalisation des Noirs américains et dont il fut l'un des militants responsables.

Né à Oakland dans la région de la baie de San Francisco, le parti des Black Panthers, influencé par les idées de Malcolm X, assassiné en 1965, avait choisi ce nom parce que la panthère noire, « si on l'attaque, ne recule pas ». Son programme en dix points exigeait le plein emploi, la fin de l'exploitation capitaliste, des logements décents, une éducation qui prenne en compte l'histoire des Noirs, l'exemption du service militaire, la fin des brutalités policières et de l'assassinat des personnalités noires, la libération des détenus noirs et des jurys noirs pour juger les Noirs.

Le parti lança des dispensaires, des cliniques gratuites et distribua de la nourriture, notamment des « petits déjeuners gratuits pour les enfants » très populaires. Il offrait bien d'autres services : distribution de vêtements, cours divers, leçons d'autodéfense et de secourisme, transports vers les prisons des familles des détenus, ambulances de soins d'urgence, et militait contre l'alcoolisme et la toxicomanie.

En mettant sur pied des patrouilles armées pour contrecarrer les exactions de la police contre les Noirs, les Black Panthers déclenchèrent la réaction de l'État américain. La note d'Edgar Hoover, le patron du FBI, datée du 25 mars 1968, était explicite : le programme de contre-espionnage appelé Cointelpro, utilisé contre les opposants à la guerre du Viêt-Nam, devait désormais « faire comprendre aux jeunes Noirs modérés que, s'ils succombent à l'enseignement révolutionnaire, ils deviendraient des révolutionnaires morts ». Une note du 3 avril expliquait : « Ne vaut-il pas mieux être une vedette sportive, un athlète bien payé ou un artiste, un employé ou un ouvrier, plutôt qu'un Noir qui ne pense qu'à détruire l'establishment et qui, ce faisant, détruit sa propre maison, ne gagnant pour lui et son peuple que la haine et le soupçon des Blancs ? » Le 8 septembre, Hoover qualifiait les Panthers de « menace la plus sérieuse à la sécurité interne du pays ».

Aux techniques classiques de répression (filatures, écoutes téléphoniques, lettres anonymes, agents doubles, provocations diverses), le FBI ajouta l'assassinat. Trente-huit militants furent tués lors de raids organisés par la police contre les locaux des Black Panthers. Le 4 décembre 1969, un de ses dirigeants, Fred Hampton, fut exécuté dans son lit. Trente membres des Black Panthers risquaient alors la peine de mort ; quarante la prison à perpétuité ; cinquante-cinq des peines de prison allant jusqu'à trente ans ; et 155 autres étaient incarcérés ou recherchés.

Les poursuites étaient engagées comme si les organisations militantes étaient des « associations de malfaiteurs en vue de commettre des actes terroristes », y compris quand le dossier était vide, comme celui de 21 militants poursuivis à ce titre et tous acquittés, faute de preuves, en mai 1971.

Geronimo Pratt fut l'une des victimes de cet acharnement de l'État américain, prêt à tout pour empêcher l'embrasement de toute la communauté noire et qui entendait frapper les Panthères noires à la tête. Militant influent, il fut jugé, condamné pour un meurtre qu'il n'avait pas commis et passa 27 ans en prison. Il fallut une intense bataille juridique pour le libérer. L'accusation reposait sur le témoignage d'un membre des Panthères qui était aussi un indicateur du FBI, une précision masquée lors du procès.

La décision de sa libération admettant la machination du FBI, Pratt obtint 4,5 millions de dollars de dédommagement pour les 27 ans de vie que l'État lui avait volés et partit vivre en Tanzanie où il participait à des activités humanitaires.

À sa sortie de prison, Geronimo Pratt résumait ainsi son itinéraire : « Je suis né sous la ségrégation. Il fallait faire face à la terreur du Klu Klux Klan et à toutes les formes d'ignorance qui frappaient notre peuple. Cela m'a donné une sorte de fierté, l'idée que nous pouvons nous diriger nous-mêmes et protéger les nôtres. J'ai été sélectionné pour avoir un entraînement destiné à cette tâche. Mais presque aussitôt, j'ai été envoyé au Viêt-Nam, où j'ai survécu. Quand je suis rentré, Malcolm X venait d'être assassiné. Et on se disait alors : « Il faut faire quelque chose ». Nous étions un groupe de jeunes et nous avons continué d'agir pour notre peuple dans la mesure de nos moyens. » Il ajoutait, sans amertume, qu'il entendait aider les camarades encore en prison, comme Mumia Abu-Jamal par exemple. Et, ne serait-ce que sur ce plan, son combat n'est pas terminé.

Jacques FONTENOY

 

 

Pour approfondir:

 

George-Jackson-funeral-0971-by-Stephen-Shames.jpg Funérailles de Georges jackson

 

Georges Jackson

 

La revolte des-noirs americains

 

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30 juin 2011 4 30 /06 /juin /2011 10:04

 

 

 

Le vendredi 24 Juin la jeunesse a organisé « La liberté en couleurs" pour les enfants de Nabi Saleh, petit village palestinien de 530 habitants près de Ramallah. Cet événement a pour but de dessiner un sourire sur les visages des enfants. Il comprenait des cerfs-volants et des peintures sur les visages. L’armée les a attaqués à la grenade lacrymo et  assourdissante.

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19 juin 2011 7 19 /06 /juin /2011 10:18

France Info ©Reuters/ Vincent Kessler  

 

L’ex-dissidente soviétique Elena Bonner, veuve de Andrei Sakharov, est morte à Boston aux Etats-Unis des suites d’une longue maladie. Elle avait 88 ans.

 

En 1975, le prix Nobel de la Paix est décerné à Andreï Sakharov qu’elle a épousé en 1972. Mais il n’obtient pas le visa qui lui permettrait de se rendre à Oslo. C’est Elena Bonner qui le remplacera et qui prononcera le discours de réception à sa place. Figure essentielle de la dissidence pendant l’époque soviétique, elle avait continué son combat pour les droits de l’homme dans la Russie d’aujourd’hui, à travers notamment les actions du Centre Sakharov. Elle était notamment très critique vis à vis de Vladimir Poutine, une menace selon elle pour les libertés et les droits de l’Homme en Russie.

"Ma vie a été typique, tragique et belle"

En 2009, dans un texte intitulé “Lamentations à Oslo”, Helena Bonner avait elle même qualifié sa vie de “typique, tragique et belle”. Une vie pourtant hors norme.

“A l’âge de 14 ans, je suis restée sans mes parents. Mon père a été exécuté, ma mère a passé 18 ans en prison et en exil. Ma grand-mère nous a élevés, moi et mon jeune frère...Puis est arrivée la guerre. Ma génération a été coupée presque jusqu’aux racines par la guerre ; mais j’ai eu de la chance, j’en suis revenue. Je suis revenue dans une maison vide. Ma grand-mère était morte de famine dans le siège de Leningrad. Puis est venue l’époque d’un appartement commun, l’époque des études de médecine, pendant six années de privations, l’époque de l’amour, de mes deux enfants et de la pauvreté d’un médecin soviétique. Mais je n’étais pas la seule, tout le monde vivait ainsi. Puis vint ma période de dissidence suivie de l’exil. Mais Andreï Sakharov et moi étions ensemble, et c’était un vrai bonheur ! Aujourd’hui, si je fais un bilan de ma vie (à l’âge de 86 ans j’essaie de faire cela chaque jour où je suis encore vivante), je peux le faire avec trois mots. Ma vie a été typique, tragique et belle.”

 

 

Note: Notre courant politique est le seul à avoir défendu les dissidents soviétiques "quelques soient leurs opinions politiques". Pour un aperçu des débats des années 70 sur les "dissidents" :

 

http://www.lutte-ouvriere.org/documents/archives/la-revue-lutte-de-classe/serie-1972-1977-bilingue/article/les-organisations-trotskystes-et

 

Pour le contexte des années 20/30, n'oublions pas que droite comme gauche à l'époque défendaient Staline contre ses dissidents, parce que ceux-ci étaient à sa gauche. Quand ils seront sur sa droite, ce sera une autre affaire.

Les trotskystes en U.R.S.S.

 



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7 juin 2011 2 07 /06 /juin /2011 13:09

 

Décès de Kamal El Omari militant du 20 février à Safi suite à la répression de dimanche.

 

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Kamal El Omari (militant du 20 février de la ville de Safi) vient de décéder à la suite des coups et blessures qu’il a reçu au niveau de la tête le dimanche 29/05 dans la ville de Safi en marge des manifestations du mouvement du 20 février. Ces coups lui ont été portés par les forces de « sécurité », qui s’y sont pris à sept pour le tabasser.

 

Pour rappel le mouvement du 20 février et le comité national regroupant plusieurs organisations qui le soutiennent ont lancé un appel à manifester le 5 juin  partout au Maroc pour la démocratie, la dignité et la justice sociale. Parmi les revendications de cette journée figurera, probablement, le jugement, d’un côté, des criminels qui ont assassiné sauvagement ce militant du 20 février et, d’un autre côté, de tous ceux qui, de prêt ou de loin, ont participé à  la répression des manifestants partout au Maroc le 20 février (qui a causé le décès de Karim Chaib à Sefrou), le 21 février (à Rabat) , le 13 mars (à Casablanca), le 22 mai et le 29 mai (dans plusieurs villes)

 

Source:

 

http://www.mamfakinch.com/

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