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2 septembre 2010 4 02 /09 /septembre /2010 10:14

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2 septembre 2010 4 02 /09 /septembre /2010 10:04

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30 août 2010 1 30 /08 /août /2010 13:17

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30 août 2010 1 30 /08 /août /2010 12:59

Ce samedi matin, dernier jour de l'université d'été du NPA, Galia Trépère, dirigeante du NPA, prévient les plus de 200 militants, qui débordent du chapiteau sur la plage: «Il n' y a dans cette salle ni racistes, ni islamistes.»

 

C'est que sous l'intitulé relativement neutre du débat «Religion, laïcité, féminisme, émancipation» se cache le sujet explosif de la présence sur les listes NPA du Vaucluse, aux régionales 2010, d'une jeune femme portant le voile, Ilham Moussaïd. Une candidature vécue comme un «coup de force» par certains militants qui n'ont pas apprécié d'apprendre la nouvelle par la presse (qui plus est «par Le Figaro!») et qu'une décision prise par un comité local s'impose sans concertation à l'ensemble du NPA.


Pierre-François Grond, numéro deux du NPA, évoque «une petite équipe autoproclamée qui nous est tombée dessus». Certains, comme Ingrid Hayes, dirigeante du NPA, ont même vu, dans la médiatisation d'Ilham Moussaïd et de son entourage du quartier populaire de la Rocade, «une mise en avant du foulard comme un porte-drapeau». D'autres lui imputent une baisse du vote féminin après deux sondages, «pas très clairs» selon le militant nîmois Philippe Corcuff.

 

«Toutes mes copines féministes à Pau, sympathisantes NPA, se sont abstenues parce qu'il y avait Ilham», témoigne Mariève Bodou, une militante, également bénévole au planning familial. «On aborde le problème à bras le corps avec une partie discussions idéologiques sur les relations avec les religions et une discussion sur la représentation électorale», se félicite François Sabado, un intellectuel de l'ancienne LCR.


Après les régionales, le comité du quartier populaire de la Rocade, à Avignon, s'était séparé entre les militants réunis autour d'Ilham Moussaïd et de l'association de quartier AJ-CREV d'Abdel Zahiri, et ceux, qui comme Jacques Fortin, historique de la Ligue, ont dénoncé «une instrumentalisation».

 

«C'est une paix séparée après un épisode très dur, très rock and roll, explique Jacques Fortin. On se donne du temps afin que les questions personnelles s'apaisent et qu'on puisse refaire de la politique.» Parti prendre l'air à l'extérieur du chapiteau, Abdel Zahiri, cheville ouvrière de la candidature d'Ilham, accuse le coup des accusations à peine voilées de prosélytisme. «On a une militante qui se casse la tête, et ils nient tout ce qu'elle est, regrette-t-il. Ilham, on l'a choisie parce que c'était notre meilleure vitrine sur tous les combats à Avignon; elle est très connue sur le mouvement Palestine et une des leaders à la fac. Si elle n'est pas venue à Port-Leucate, c'est qu'elle a morflé.»


Lors d'un premier atelier, Michael Lowy, directeur de recherche au CNRS, avait tenté un parallèle avec la théologie de la libération, ces prêtres et évêques d'Amérique latine, qui, dans les années 1960 et 1970, se sont emparés des idées de Marx, allant jusqu'à soutenir des luttes armées. Mais le «contexte d'islamophobie et de chasse aux Roms» décrié par presque tous les intervenants ne facilite pas le débat d'idées. Surtout quand la laïcité est perçue, avance Emmanuelle Mallet, membre de la commission Palestine à Paris, comme «un bâton répressif». «La gauche française est tombée dans le piège du racisme au nom de la laïcité, estime la jeune femme. Dans le XVIIIe, ce sont quand même des fachos et des laïcards républicains qui ont organisé des apéros saucisson-pinard.»


Porter le voile et être émancipée ?


Plus que le signe religieux, c'est la signification sociale du voile, «qui renvoie à une vision patriarcale de la société», contraire au projet d'émancipation du NPA, rappelle Ingrid Hayes, qui hérisse. «On a constaté la réalité de ce que le foulard signifiait chez beaucoup de gens», ironise Abdel Zahiri. «Le foulard, quelle que soit la motivation de celle qui le porte a une signification», assène ainsi Galia Trépère. Ingrid Hayes a elle aussi «un problème avec la théorie du libre choix»: «Depuis quand les oppressions, les subordinations ne pèsent-elles plus sur les choix des individus?», s'étonne-t-elle.


Philippe Corcuff, militant à Nîmes, en tomberait presque de sa chaise. «Si on disait la même chose à un prolétaire (“Tu te crois émancipé mais tu es aliéné et tu ne peux parler en ton nom”), ça paraîtrait hallucinant!», s'exclame-t-il. «Dans l'idéal, bien sûr, tout le monde serait laïque et révolutionnaire mais la société française est telle qu'elle est, pétrie de contradictions, et l'émancipation passe par une prise en charge des opprimés par eux-mêmes», estime également Christelle, militante dans le XVIIIe arrondissement parisien. Alain Pojolat, membre du comité exécutif, ne dit pas autre chose: «Il faut prendre les gens comme ils sont: c'est la réalité de nos combats qui bien souvent nous fait avancer.»


La direction du NPA semble, elle, faire pression pour un compromis, acceptant le voile pour les militantes mais pas pour les candidates. «Une chose est de militer, une autre est de représenter un parti laïque comme le NPA, explique Pierre-François Grond. Il faut poser la question d'une façon plus large, qui ne stigmatise pas les musulmans : y-a-t-il des critères pour représenter le NPA ?»

 

Un compromis qui ne règle rien pour les militants des quartiers populaires, selon Mohammed Ben Saada, de l'association marseillaise «Quartiers Nord, Quartiers forts»: «Il va falloir qu'on se ramasse les gens en leur disant de rentrer au NPA, mais qu'ils n'auront pas le droit de le représenter à l'extérieur?» «Et avec nos camarades qui luttent pour la Palestine et sont souvent musulmanes et voilées, on fait quoi?», demande Emmanuelle Mallet, de la commission Palestine à Paris.


Implantation dans les quartiers populaires


Pour Olivier Besancenot, cette crise «n’est qu’une illustration d’un des difficultés consubstantielles au NPA, puisqu’on souhaite brasser des militants sur des horizons les plus divers». «Mais je ne pense pas qu’on puisse trancher par une résolution au congrès de novembre des questions de fond qui puisent dans une vieille histoire du mouvement ouvrier», ajoute-t-il. Les problèmes soulevés par l’implantation dans les quartiers, revendiquée par le NPA, dépassent en effet largement la question du voile. «C’est long de passer du “nous et vous” au “nous”: bien plus que le voile, ce sont des façons de militer, de s’engueuler, de discuter traditionnelles de l’extrême gauche qui font la différence», estime Jacques Fortin qui établit un parallèle avec l’arrivée des homosexuels dans les partis d’extrême gauche dans les années 1975 et 1980.


En matière de quartiers, le NPA a préféré mettre en avant à Port-Leucate les militants marseillais et leur Collectif de réflexion et d’action populaire (Crap), destiné à établir un rapport de force des associations de quartiers face au «clientélisme du PS et de l’UMP». Rappelant la marche pour l’égalité de 1983 et sa «récupération» par SOS Racisme et les socialistes, Nicolas Joshua, historique marseillais de la Ligue, veut «redonner la mémoire des luttes aux habitants des quartiers pour rompre avec ce cliché d’une génération spontanée et de quelques jeunes qui décident de casser des voitures, juste comme ça».


«C’est l’expérience pilote, la plus aboutie, peut-être grâce à ce relais qu’a été la marche des Beurs», salue Pierre-François Grond. Olivier Besancenot évoque lui aussi des «militants plus aguerris» et «l’histoire des quartiers qui est différente».

 

«Nous, on est des gens du quartier qui ont repris le NPA, pas l’inverse, répond Abdel Zahiri. Le soir, on va rentrer chez nous, dans le bloc 7 qui sent la pisse.» Le jeune DJ, qui, l’été dernier, discutait avec le philosophe Daniel Bensaïd (mort en janvier), met en garde: «L’analyse et la réponse du NPA (une répartition des richesses, le non-cumul des mandats, etc.), il n’y a pas mieux ailleurs, mais on ne pourra pas le faire sans la population, et la population, ce ne sont pas que des blonds aux yeux bleus.»


Par Louise Fessard.

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30 août 2010 1 30 /08 /août /2010 11:22
28/08/2010

Par LILIAN ALEMAGNA

«Ça a été douloureux, mais on est toujours là !» Jacques se marre. Pour ce jeune retraité, l’année que vient de connaître le Nouveau Parti anticapitaliste (NPA) a été «chaotique», mais «nous sommes dans un chaos créateur», sourit-il, chapeau vissé sur le crâne sous 35°C. Réunies en université d’été à Port-Leucate (Aude), depuis mercredi, les troupes d’Olivier Besancenot peaufinent leur autocritique entamée après leur gamelle aux régionales (2,5%). Sous les chapiteaux, les 1 200 participants revendiqués étouffent et débattent du «socialisme du XXIe siècle».


Sur les tables, à l’ombre de la tonnelle à 200 mètres de la mer, on se livre, autour d’une bière ou d’un café, au bilan d’une saison compliquée.

 

«C’est vrai qu’on s’est pris une énorme tôle électorale, concède Romain. On n’a pas été lisible dans les alliances, on n’a pas fait une bonne campagne.»

 

L’étudiant de Pau, entré au NPA au moment de sa fondation en 2009, estime que son parti a «fait l’erreur de partir tout seul». Son voisin Thomas n’est pas d’accord : «Il aurait fallu être plus clair et être seul partout.»«Mais les élections, ça fout la merde, lui renvoie Romain. Se battre sur les retraites, contre le racisme…C’est plus simple et c’est l’essentiel.»

 

Avec la bataille contre la réforme Woerth et les annonces de Sarkozy, les troupes sont ressoudées. A une table, de jeunes militants préparent un tarot : «Les élections ? C’est pas quelque chose de central chez nous. Cette année on a surtout milité dans nos milieux. Et l’important, c’est la rentrée : on va tout péter», envoie Fanny, étudiante à Nanterre en levant bien haut sa cigarette. Tous rêvent de grève générale après le 7 septembre et la manifestation pour les retraites.


Hier, pour son meeting de rentrée, Besancenot partageait l’estrade avec des représentants de la Fondation Copernic, d’Attac, de syndicats et de partis de gauche pour appeler au retrait du projet de loi.

 

«On a passé une année difficile où l’on s’est posé un peu trop de questions stratégiques, défend Olivier, militant à Lille. Mais la période qui s’ouvre avec les mobilisations est plus stimulante.»

 

Et doit permettre d’arriver regonflés, mi-novembre, au premier congrès du NPA depuis sa fondation. Une échéance pour clarifier les stratégies et préparer le passage de mégaphone entre Besancenot et d’autres porte-parole.

 

Changement qui interpelle la base : «C’est normal qu’il en ait marre de courir les plateaux télé, il fait ça depuis dix ans, concède Romain. Mais en même temps on va avoir un problème parce qu’il est foutrement bon !»

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29 août 2010 7 29 /08 /août /2010 14:28

 




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29 août 2010 7 29 /08 /août /2010 14:27

 




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28 août 2010 6 28 /08 /août /2010 15:37

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Saint Pierre

 

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Plouzané

 

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Bellevue

 

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Le Bouguen

 

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Kérinou

 

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Kergaradec

 

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Route de Quimper

 

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Kérichen

 

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Pontanézen

 

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Dourjacq

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28 août 2010 6 28 /08 /août /2010 10:16

Le NPA a donné le ton à sa rentrée politique en organisant un meeting unitaire contre la réforme des retraites, lors de son université d'été, vendredi 27 août, à Port-Leucate (Aude). Olivier Besancenot avait invité l'ensemble de la gauche syndicale et politique ; mis à part la CGT et le PS, tous avaient répondu présents.


Devant 800 militants, les uns et les autres ont donné de la voix pour appeler à la mobilisation. De Willy Pelletier (Fondation Copernic) enjoignant à "bloquer le pays s'il le faut" à Azwaw Djebara (Unef) appelant les jeunes à se joindre à la manifestation pour "faire entendre la voix de ceux qui cotiseront demain", en passant par Jean Marie Harribey (Attac) réclamant "une grève générale", l'ambiance était à l'unisson : obtenir le retrait du projet. "Il faut multiplier les appels unitaires. Le but, c'est de gagner" a lancé de son côté Christian Mahieux (Solidaires) sous les vivats.


Les politiques invités y sont allés de leur formule : "le 7 septembre, il faut solder les comptes de ce gouvernement ", a lancé Eric Coquerel du Parti de gauche. "C'est la mère de toutes les batailles où on a beaucoup à gagner et aussi beaucoup à perdre", a enchaîné Alain Lipietz des Verts, tandis qu'Eric Corbeaux (PCF) appelait à "une tempête sociale pour balayer cette réforme".


"LA RÉVOLTE POPULAIRE, SEULE ANTIDOTE À LA CRISE ÉCONOMIQUE"


C'était du velours pour le porte-parole du NPA. "Autour de la réforme des retraites, il y a beaucoup du rapport de forces global entre les classes, entre les exploiteurs et les exploités, qui se joue", a-t-il expliqué d'entrée. Il faut donc "agir collectivement" car "la révolte populaire est la seule antidote à la crise économique". Alors foin des désaccords au sein de la gauche, il faut "marcher séparément et frapper ensemble sur les retraites", ajoutait-il reprenant le vieux mot d'ordre trotskiste.


La rentrée de septembre avec sa grève appelé du 7 septembre doit être une bataille victorieuse car - le leader du NPA y croit – "la crise sociale peut se transformer en crise politique puis en crise de régime". Mais ce ne sera possible qu'à une condition, a prévenu M. Besancenot : "c'est que dans le camp de la gauche, on ne tremble pas. Il faut tenir bon pour réclamer, non pas la réécriture du projet de loi mais son retrait".

 

Alors, parce que "la rue a un pouvoir qui peut être plus fort que celui du gouvernement", Olivier Besancenot a appelé bien sûr à "la grève générale dans un mouvement d'ensemble". Avant de mettre en garde l'ensemble de la gauche : "beaucoup de l'issue de 2012 se joue dans la bataille des retraites".


Chauffée après la dizaine d'intervenants, la salle scandait :"tous ensemble, tous ensemble, grève générale". Michel David, un des leaders de la Confédération paysanne l'avait rassurée : "Si vous décidez de faire la grève générale, nous allons vous nourrir pendant ce temps".


Sylvia Zappi
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28 août 2010 6 28 /08 /août /2010 10:13
Contre la politique raciste et répressive du gouvernement,

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En plein été, Nicolas Sarkozy a lancé sa campagne présidentielle de 2012. Lui et ses porte flingues multiplient les propos xénophobes et sécuritaires, proposant même d’appliquer une grande partie du programme du Front National.

Ses cibles privilégiées sont les immigrés, les roms, les gens du voyage, les jeunes des quartiers. S’inscrivant dans la continuité du débat nauséabond sur l'identité nationale L’équipe Sarkozy Hortefeux entend peaufiner une identité « à droite de la droite ». A quand l’entrée de Marine Le Pen au gouvernement ? 

 

Diviser pour mieux règner

A grand renfort de caméras, la chasse aux roms a été lancée en plein mois d'aout : démantèlement des camps, expulsions des Roms vers la Roumanie. Ceci rappelle de bien mauvais souvenirs. Quand aux gens du voyage, non expulsables car français, ils sont chassés des terrains qu'ils occupent faute d'aires d'accueil en nombre suffisant. Cette opération politique pue la discrimination raciale, utilisant les Roms et les gens du voyage comme boucs émissaires.


Les ministres et députés de l'UMP ces dernières semaines se sont livrés à une surenchère de déclarations et de propositions répressives et racistes, ainsi Christian Estrosi, ministre de l'Industrie, assimile délinquants et immigrés. Lui qui n'a jamais levé le doigt face aux patrons voyous et licencieurs ose demander de choisir entre être Français ou voyou !

Les propositions de lois xénophobes et répressives pleuvent : déchéance de la nationalité française, systématisation des peines planchers et application de celles ci dès le 1er délit, peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à deux ans pour les parents d'enfants « délinquants », sans oublier la loi Besson sur l'immigration prévue avant l'été et examinée en septembre

Combattons l’insécurité sociale

La mise sous surveillance policière de certains quartiers avec la création de brigades spéciales de terrain ne peut qu'aggraver les tensions dans les quartiers touchés par des taux de chômage record et qui prennent de plein fouet la crise.

Cette politique menée est l'autre face de la politique libérale du gouvernement. Alors qu'il casse la protection sociale et veut imposer leur loi sur les retraites , le gouvernement tente de diviser la population.

Face au racisme, nous ne battrons pas en retraite !!

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