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9 octobre 2011 7 09 /10 /octobre /2011 11:43


  yotbsoypalestino 



 L'AFPS (Association France Palestine Solidarité) fait une

réunion publique 

de compte rendu de la

 Flotille de Gaza

mardi 18 octobre

à 20h30 à Brest

Claude Léostic, brestoise et une des responsables nationale de l'AFPS, a participé à la Flotille sur le bateau qui a été arraisonné, elle a invité pour cette soirée Annick coupé, responsable de Solidaires, qui participait aussi à la Flotille, où elles se sont rencontrées.


Jo Le Guen le navigateur, également de la Flotille sera aussi présent à cette soirée.



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8 octobre 2011 6 08 /10 /octobre /2011 09:45
Économievendredi 07 octobre 2011

Le mouvement de grève entamé depuis dix jours au Crédit Mutuel Arkéa(Bretagne, Sud-Ouest, Massif central) pour des augmentations salariales a pris fin vendredi après la conclusion d’un accord direction/syndicats, a-t-on appris de source syndicale.

 

Les salariés ont voté la fin de la grève à 17 h 15. Ils étaient encore environ 600 rassemblés devant le siège du Crédit Mutuel Arkéa aujourd’hui. Selon les dirigeants syndicaux, après dix jours d’un mouvement bien suivi, surtout en Bretagne, qui s’est traduit par la fermeture de nombreuses agences, un accord a été trouvé avec la direction.

Hausse de salaires

 

Les salariés obtiennent des hausses de salaires mensuels de 50 € à 100 € (pour ceux qui perçoivent moins de 40 000 € bruts par an). La mesure concerne 4 100 salariés. Par ailleurs, les 6 500 agents de Bretagne, Massif Central et Sud-Ouest percevront 300 € de prime.

 

«Une belle victoire»


Le mouvement était né de la contestation d’une mauvaise répartition des richesses entre cadres dirigeants et salariés, dans ce groupe qui affichait 270 millions d’euros de bénéfices en 2010.

 

Selon Romain Gergaud, élu CFDT, « c’est une belle victoire des salariés. On a réussi à démontrer les excès de la gouvernance, qui commençaient à être mal perçus par les dirigeants des caisses locales ». De 2009 à 2010, la rémunération des six cadres dirigeants avait augmenté de 80 %.

 

 

http://www.ouest-france.fr/region/bretagne_detail_-Credit-Mutuel-Arkea-la-greve-est-finie_39382-1997694_actu.Htm

 

 

Économie

vendredi 07 octobre 2011

Environ 600 grévistes manifestaient encore ce vendredi matin devant le siège du Crédit Mutuel Arkéa, au Relecq-Kerhuon, près de Brest. Au 10e jour de grève, les salariés ont décidé de reconduire le mouvement, au  moins jusqu’à mardi, jour de manifestations sur le thème de l’emploi et du pouvoir d’achat.

 

La direction de ce groupe de 8 700 salariés propose aux salariés des agences bancaires (6 500 personnes) une prime de 1 000 €, une augmentation de l’enveloppe des promotions ou encore un abondement au plan épargne entreprise. Mais le mouvement intersyndical (CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, Unsa) ne veut pas de ces avantages ponctuels. Ce qu’il demande, c’est une hausse des salaires d’environ 150 € par mois pour les plus bas salaires. Un peu moins pour les tranches supérieures. Une façon de contrer la politique de l’entreprise qui tend à favoriser la part variable dans les rémunérations depuis quelques années.

 

D’une manière générale, les meneurs syndicaux se disent « indignés » par les hausses de salaires que se sont octroyées les dirigeants du Crédit Mutuel Arkéa de 2009 à 2010 : + 14 % pour le président, + 17 % pour le directeur général, dont les salaires annuels culminent à 457 000 € et 365 000 €.

 

http://www.ouest-france.fr/region/bretagne_detail_-Au-siege-du-Credit-Mutuel-Arkea-a-Brest-la-greve-reconduite-jusqu-a-mardi_40779-1997601_actu.Htm

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7 octobre 2011 5 07 /10 /octobre /2011 11:37

 

Les salariés du Crédit Mutuel de Bretagne sont en grève, et cette grève est très suivie, entrainant la fermeture de nombreuses agences, surtout dans le Finistère, ce qui fait que le sociétaire n’a plus “personne à qui parler”, et doit se contenter du dialogue, limité, avec les outils électroniques

 

Retour vers la page d'accueil

 

 

Cette grève a deux raisons principales. L’une est classique et se fonde sur les demandes d’augmentation de salaires, dans une entreprise dont les résultats sont bons. L’autre, beaucoup plus originale, est liée à la nature même de cette banque, située dans l’économie sociale et propriété de ses sociétaires et non d’actionnaires cherchant la rémunération maximale de leur capital, facteur dont elle a d’ailleurs fait un support de sa communication (voir Un net changement de ton au Crédit Mutuel)

 

Bien sur la revendication d’une augmentation des salaires est d’autant plus vive  que les dirigeants ont vu, pour leur part, leur rémunération fortement augmentée ces dernières années , avec des avantages annexes du type part variable plus inspirés par les pratiques du capitalisme que par les valeurs du mutualisme.

 

Mais elle surtout exarcerbée par la création dans le Groupe Crédit Mutuél-Arkéa d’une Société anonyme, la “Société des Cadres Dirigeants“  qui fait sortir les 126 plus hauts dirigeants de l’Union Economique et Sociale du Groupe pour les faire rémunérer par cette SA. Pour la direction cette décision se fonderait, car la communication sur cette société a été très discrète jusqu’au présent mouvement social, sur la simplification de la gestion de la carrière de ces dirigents amenés à exercer leur fonction dans différentes composantes du Groupe. Pour les syndicats par contre, cette société a comme conséquence, et peut-être comme but, de faire échapper la rémunération des dirigeants à toute visibilité.

 

Nous sommes là dans un phénomène, malheureusement classique, de confiscation des résultats par la sphère dirigeante, au détriment des sociétaires, propriétaires de plus en plus virtuels, et de la grande majorité des salariés. alors que l’avantage déterminant du statuit de la banque coopérative est de la mettre à l’abri d’une OPA, comme le montre fort bien Charles Milhaud (voir Retour sur les banques coopératives, grâce à Charles Milhaud), et des aléas de la Bourse qui font en ce moment tant de mal aux banques capitalistes, en les fragilisant. Tous se passe comme si les dirigeants, abrités par le caractère mutualiste de ce qu’ils considèrent abusivement comme leurbanque voulaient bénéficier des mêmes avantages que les dirigeants des banques capitalistes, sans être concernés par les mêmes risques !

 

C’est en ce sans que l’action des salariés du Crédit Mutuel de Bretagne contre ce type de dérive, à l’opposé des valeurs du mutualisme est exemplaire et doit être saluée, surtout qu’elle s’inscrit pleinement dans l’attente de l’opinion, comme le montre  le dernier palmarès Posternak-Ipsos-JDD, commenté ainsi par Claude Posternak dans le Journal du Dimanche du 3 Octobre 2011 “La différence de perception observée jusqu’à présent par l’opinion entre banques mutualistes et traditionnelles au profit des premières, s’est encore accentuée en donnant la faveur aux banques non cotées par rapport aux établissements cotés. L’écart entre leCrédit mutuel (11e) et le Crédit agricole (qui recule de la 14e à la 25e place) est particulièrement significatif de cette évolution. En cette période particulièrement incertaine, une banque qui appartient à ses clients rassure apparemment plus les Français qu’une banque soumise aux aléas de la Bourse”


Face à ce qui apparait comme une position à très court terme de dirigeants plus préoccupés de leur rémunération et de leurs avantages que de l’intérêt à moyen et long terme de l’entreprise qu’ils dirigent, ce volet du combat des salariés du CMB et de leurs syndicats devrait être fortement soutenu par les acteurs de l’ESS. En tous cas espérons que nous sortirons rapidement  du dialogue de sourds que constate Le Télégramme du 2 Octobre, et que la réponse ne se contentera pas comme le mentionne Ouest France du 3 Octobre 2011 de proposer que “Le chèque déjeuner passe de 8,50 € à 10,50 €”.


Accessoirement, placer les dirigeants dans une SA a pour conséquence, si les limites de l’Economie Sociale sont déterminées sur une base statutaire, d’en réduire le champ et, vu le niveau de rémunération concerné, de réduire la rémunération moyenne pratiquée dans l’Economie sociale, la rendant ainsi moins attractive !

 

http://alternatives-economiques.fr/blogs/abherve/2011/10/03/greve-signifiante-au-credit-mutuel-de-bretagne-les-valeurs-mutualistes-rappelees-par-les-grevistes-a-une-direction-qui-sen-affranchit-pour-elle-meme/

 

et le Télégramme:

 

http://www.letelegramme.com/ig/generales/economie/credit-mutuel-arkea-mobilisation-sans-precedent-au-relecq-kerhuon-04-10-2011-1451794.php

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6 octobre 2011 4 06 /10 /octobre /2011 08:27
jeudi 06 octobre 2011

La commission nationale du débat public (CNDP) a rendu sa décision dans le dossier de la centrale au gaz. Elle n'organisera pas cette consultation, estimant« qu'elle ne rentre pas, dans l'état actuel du code de l'environnement, dans le cadre des équipements dont elle peut être saisie ».

 

La commission rappelle qu'elle ne pourrait être saisie que si le « coût des bâtiments et infrastructures était supérieur à 150 millions d'euros et inférieur à 300 millions d'euros. En fonction des éléments dont vous disposez, écrit-elle aux membres de Gaspare, ce n'est à l'évidence pas le cas. »

Pour les membres de Gaspare, c'est une déception, mais pas une surprise. Selon eux, « des indices avaient laissé entrevoir cette réponse négative, en particulier un « vrai-faux » courrier qui est parti incidemment du siège de la CNDP adressé à Gaspare, daté du 2 septembre. » Il présentait déjà les arguments de la réponse officielle d'hier.

 

Pour autant, le collectif ne désarme pas.


Vendredi 21 octobre, à Guipavas, il présentera l'étude d'un cabinet d'expertise qui conclut à « l'inutilité sociale » du projet de centrale.

 

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Centrale-au-gaz-il-n-y-aura-pas-de-debat-public-_40734-1997033------29232-aud_actu.Htm

 

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6 octobre 2011 4 06 /10 /octobre /2011 08:14

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mercredi 05 octobre 2011

Les salariés sont inquiets quant à l'avenir de leur entreprise de réparation navale. Ils réclament une table ronde réunissant les collectivités locales, régionales, l'État, les employeurs.

« On se pose beaucoup de questions, explique, tracassé, ce salarié de la Sobrena devant la sous-préfecture. On ne sait pas à quelle sauce on va être mangé ! La direction ne nous dit rien. » L'exaspération gagne du terrain à la Sobrena (Société brestoise de réparation navale), premier chantier français de réparation navale. Son carnet de commandes ne décolle pas depuis juin.

 

« C'est inadmissible de voir la façon dont cela se passe. Il faut que François Meunier (NDLR : le PDG) soit transparent et trouve un avenir à l'entreprise. »Hier, nous avons sollicité à plusieurs reprises la direction qui n'a pas donné suite.

« Notre activité de réparation navale rencontre, c'est vrai, une réelle zone nouvelle de difficultés, a confirmé hier, Frank Bellion, président de la chambre de commerce et d'industrie. [...] Il va falloir se battre pour assurer à Brest toute sa place dans la réparation navale internationale lourde. »

Il y a une semaine, en comité d'entreprise extraordinaire, les salariés (245 personnes) s'attendaient même à ce que leur direction leur présente un projet de mise en place de chômage partiel.

 

« Des personnes replacées »


Hier, une délégation représentant le personnel a été reçue à la sous-préfecture. La CGT a souhaité rappeler à l'État que « le port de Brest est un bien commun financé très largement par les finances publiques ». Pour le syndicat, « il n'appartient pas au patronat de décider à lui seul de l'avenir de la réparation navale qui impacte l'ensemble des activités portuaires ».

 

« Pas question d'accepter des licenciements ni à la Sobrena, ni ailleurs, s'indigne la CGT. Elle déplore que l'avenir industriel d'un territoire puisse se décider sans les salariés ». C'est pourquoi ceux-ci ont réclamé la tenue d'une table ronde « réunissant les collectivités locales, régionales, l'État, les employeurs et les salariés ». Un appel à la mobilisation a été lancé pour le 11 octobre, (journée nationale interprofessionnelle).

 

« La situation reste tendue, relatait plus tôt le cégétiste Thierry Beuzet à la sortie du comité d'entreprise (CE). « Ils (NDLR : la direction) ont replacé un maximum d'intérimaires par des personnes de la Sobrena, environ une trentaine ». Lors du CE, « on n'a pas parlé de chômage partiel, ni de dépôt de bilan ».


« Des garanties de pérennité »


L'essentiel, « c'est que l'activité reprenne au plus vite, poursuit Thierry Beuzet. Il reste une semaine de travail sur un bateau que nous avons actuellement. Un autre doit rentrer le 10 octobre et un ferry, en arrêt technique « classique », devrait venir à la mi-octobre pour quinze jours. »

D'après les salariés, la Sobrena serait également en discussion pour faire entrer un pétrolier pour la mi-octobre. « Mais il nous faut plus que cela, souffle Thierry Beuzet. Il faut des garanties de pérennité ! »

« La direction fonde de gros espoirs sur la compagnie BGT pour faire entrer des méthaniers. BGT a aussi des projets de méthaniers neufs. » Le syndicaliste souhaite que le PDG, François Meunier, « puisse réinjecter de l'argent pour passer ce mauvais cap ». Un comité d'entreprise est fixé au 25 octobre.

 

Sophie MARÉCHAL
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6 octobre 2011 4 06 /10 /octobre /2011 07:55

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Au siège du Crédit mutuel Arkéa, au Relecq-Kerhuon (près de Brest), la séance de négociations organisée ce mardi après-midi n’a pas été concluante.

 

La direction a fait de nouvelles propositions salariales, en complément de celles déjà faites samedi dernier. Elles portaient notamment sur l’octroi d’une prime de 300 € pour l’ensemble des salariés, le versement d’un abondement exceptionnel au plan épargne entreprise (une forme d’épargne salariale) et l’augmentation de l’enveloppe des promotions.


Ces propositions ont été rejetées par l’intersyndicale. Dans la foulée, les grévistes ont voté la reconduction de leur mouvement.

 

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Brest_29019_actuLocale.Htm

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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5 octobre 2011 3 05 /10 /octobre /2011 10:10
Socialmercredi 05 octobre 2011

Elles portaient sur l’octroi d’une prime de 300 € pour l’ensemble des salariés, le versement d’un abondement exceptionnel au plan épargne entreprise de 300 €, l’augmentation de 20 % de l’enveloppe des promotions, la mise en place d’un seuil minimum de rémunération à 24 000 € bruts annuels, l’ajustement des salaires dont le niveau est en dessous de celui du marché et le passage du chèque déjeuner à une valeur faciale de 10,50 €.

 

« Mutualisme »

 

« Le point d’achoppement, c’est l’augmentation salariale de 60 points pour tout le monde explique Pierre Jubil, délégué syndical central CFDT (soit 2 217 € annuels bruts) mais les dirigeants refusent de venir sur notre terrain. » Les syndicats veulent en effet inscrire les acquis dans la durée, refusant les solutions« ponctuelles » proposées par la direction.

 

« On n’est plus dans le mutualisme mais dans une approche capitaliste de gestion de l’entreprise » estime l’Unsa. « Les directeurs actuels ne sont pas issus du sérail. » Jean-Pierre Denis, PDG du groupe, est le premier visé par les syndicats.

 

La CFDT dénonce ce qui constitue à ses yeux un « dérapage » : « Les hauts cadres ont reçu une augmentation de salaire de 30 % entre 2009 et 2010 ». Les employés craignent de ne pas avoir de visibilité sur ce que pourra ou non s’octroyer la direction.« En créant une Société des cadres dirigeants (SCD), ceux-ci se placent en dehors de l’entreprise ». Un argument que réfute Ronan Le Moal : « S’agissant d’Arkéa SCD, comme toutes les sociétés du groupe, elle est soumise à l’obligation de publication de ses données sociales, permettant une totale transparence sur son fonctionnement. »

 

Maintien de l’emploi

 

Dans ce mouvement qui commence à inquiéter le monde économique, chaque camp tente de se faire entendre des administrateurs. Lundi, la direction a organisé des réunions avec les présidents de caisse de chaque département. Tous ont réitéré leur confiance à Jean-Pierre Denis assure la direction. « Ma responsabilité, en tant que directeur général, consiste à trouver la meilleure voie possible pour répondre aux préoccupations des organisations syndicales tout en protégeant les fondamentaux du groupe et la dynamique de développement » rappelle Ronan Moal, précisant que« l’ambition, au final, est le maintien de l’emploi dans nos régions ».

 

De leur côté, les syndicats ont adressé aux administrateurs une motion exposant leur point de vue et demandant leur soutien.

 

 

Françoise LE BORGNE

 

http://www.ouest-france.fr/region/bretagne_detail_-Credit-Mutuel-Arkea-le-conflit-dans-l-impasse_39382-1996695_actu.Htm

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5 octobre 2011 3 05 /10 /octobre /2011 08:57

Agir CMut-4b207

Social

mardi 04 octobre 2011


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4 octobre 2011 2 04 /10 /octobre /2011 08:05
Social lundi 03 octobre 2011

Ce lundi, de 10 h à 12 h, près de la gare, 40 enseignants du centre d’apprentissage de la Chambre de commerce et de l’industrie (CCI) manifestent devant les locaux de l’organisme. Ils demandent la revalorisation des salaires, notamment des plus bas. « Aujourd’hui, quand des enseignants sont embauchés, ils ont un niveau master mais le salaire est seulement de 1 350 € nets. Ce n’est pas beaucoup pour des bac +5. Surtout qu’il y a des apprentis qui touchent plus ! » dénoncent la CGT et la CFDT.

 

Les enseignants demandent également une revalorisation de leurs conditions de travail. L’Ifac (1 700 apprentis) fonctionne avec 53 enseignants titulaires, les 20 autres en CDD ou vacataires.

 

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Apprentissage-40-professeurs-manifestent-devant-la-CCI-a-Brest_40779-1995885------29019-aud_actu.Htm

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4 octobre 2011 2 04 /10 /octobre /2011 08:03
mardi 04 octobre 2011

Dans un contexte difficile, le conseil régional dit vouloir conforter le port comme pôle d'excellence de la réparation navale.

« La Sobrena, une entreprise performante »

Pour Gérard Lahellec, vice-président du conseil régional et président du conseil portuaire de Brest (la Région gère la concession du port), la Sobrena (1) est « performante ». Sa situation financière est « saine » et les accords conclus avec STX Saint-Nazaire lui permettent de se positionner sur le marché des paquebots et de l'offshore.

 

Conditions tarifaires


La Région se dit prête à étudier la question des tarifs sur le port, « dès lors que l'opérateur aura consolidé son positionnement sur le marché de la réparation navale au niveau international ». Elle n'écarte pas la possibilité de participer à la démarche de recherche de ces marchés, y compris financièrement.

 

Un outil d'exception


L'outil de réparation navale a été conçu dans le cadre du plan gouvernemental de relance de l'économie nationale de 1976 afin d'accueillir des navires de 500 000 tonnes. C'est aussi dans ce cadre que fut réalisée la forme de radoub n° 3, « la seule qui demeure en état de fonctionnement dans l'Hexagone ».


Pérennité des équipements


Le plan opérationnel 2009-2014 de soutien à la réparation navale s'élève à 31,334 millions d'euros, financé par la CCI de Brest (45 %), la Région (35 %), le conseil général (10 %), Brest métropole océane (10 %). Il vise à parer au vieillissement des équipements et prévoit le remplacement de la grue de la forme 2.

 

La Région qui admet que ce plan « tarde à monter en puissance » se dit prête « à examiner avec la plus grande attention, cet aspect du dossier ». Tout en s'engageant « à explorer toutes les pistes pour conforter le soutien à la réparation navale sur le port de Brest ».


(1) Ce mardi, se tiendra à la Sobrena, un comité d'entreprise. Le carnet de commandes du chantier qui emploie 245 personnes est à sec.

 

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Sobrena-la-Region-va-explorer-des-pistes-_40843-1996192------29019-aud_actu.Htm

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