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18 novembre 2012 7 18 /11 /novembre /2012 13:23
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de :
Antoine (Montpellier)
  dimanche 18 novembre 2012 - 10h53

 

Montpellier : près de 500 personnes crient leur soutien aux Palestiniens

 

http://bellaciao.org/fr/spip.php?article131606

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18 novembre 2012 7 18 /11 /novembre /2012 12:46

 

Depuis une semaine l’armée sioniste lance des raids violents contre les habitants de la bande de Gaza. Ces raids, qui continuent, ont fait une cinquantaine de morts, dont des enfants.


Que Netanyahou et son parti le Likoud soient alliés avec le parti raciste d’extrême-droite d’Avigdor Liberman n’a pas empêché François Hollande de lui dérouler le tapis rouge. Aucune réserve, aucun mot sur le sort des Palestiniens et leur situation dramatique.


Mais Hollande n’est pas le seul ami d’Israël en Europe et dans le monde, on le sait et Netanyahyou le confirme. Pour justifier ses attaques contre la bande de Gaza n’a-t-il pas affirmé devant quelque 80 ambassadeurs en poste en Israël qu’il avait reçu le soutien de nombreux de ses homologues étrangers, citant par leur nom François Hollande et Barack Obama ?


Aucun de ces honorables diplomates n’a pipé mot.


L’offensive barbare que subissent les habitants de Gaza intervient au moment où les relations entre l’Union européenne et Israël connaissent un renforcement sans pareil avec notamment l’approbation au mois d’octobre dernier de l’accord ACAA qui facilite l’accès des produits industriels israéliens sur les marchés européens, autrement dit qui fait passer les intérêts des lobbies israéliens et européens avant les droits humains, économiques et sociaux les plus élémentaires des populations de Gaza assiégée et des territoires occupés.


Ces circonstances rappellent furieusement le massacre de centaines d’hommes, de femmes et d’enfants de Gaza par l’armée israélienne fin 2008 début 2009. Ce crime était également intervenu suite à un rapprochement entre Israël et l’Union européenne et avant les élections législatives israéliennes !


Il n’y a rien à attendre de cette Union européenne, ni de ses dirigeants, cette petite élite au service du capital qui parle en son nom.

 

Pourtant l’Union européenne vient de recevoir le prix Nobel de la paix 2012 pour sa contribution « au progrès de la réconciliation, la paix, la démocratie et les droits de l’homme en Europe » ! Sinistre farce quand on sait que plusieurs Etats de l’Union, y compris la Belgique, fournissent et importent des armes de l’Etat sioniste et investissent dans les campagnes guerrières, l’arme nucléaire, etc.


Nous ne pouvons pas comprendre cette offensive israélienne en dehors de son contexte et de l’ordre dans lequel elle a lieu.

 

Baptisée "Colonne de fumée", cette offensive s’inscrit avant tout dans la continuité de la politique sioniste. Loin d’être une exception, elle s’accorde parfaitement avec la politique israélienne envers les Palestiniens d’une part, et d’autre part avec toutes ces années de politique impérialiste américaine au Moyen-Orient et est complémentaire avec les aventures guerrières de l’Occident « civilisé » dans le monde arabe. Depuis les guerres du Golfe, aux interventions en Libye, aux menaces d’intervention en Syrie ou de guerre contre l’Iran, les attaques contre les populations civiles sont devenues pour les démocraties occidentales des manœuvres ordinaires « inévitables », des dommages collatéraux d'une banalité absolue.


Intervenant par ailleurs dans le cadre de la campagne électorale pour les législatives israéliennes prévues pour le mois de février 2013, cette campagne est un moyen de restaurer d’une part l’image de l’armée israélienne dont l’efficacité dans la bande de Gaza est fortement critiquée, et d’autre part tenter de réveiller le mythe d’un Etat d’Israël fort et jouissant du soutien des grandes puissances impérialistes au moment où ses adversaires  dans la région se fragilisent sous les coups des révolutions arabes et de l’interventionnisme impérialiste.


Une chose est sûre : l’Etat sioniste vise avant tout la destruction de toute forme de résistance palestinienne et la liquidation de ses éléments et ses structures, et peut-être à moyen terme saboter la candidature palestinienne à l’ONU.


Les Gazaouis comptent certes sur la solidarité internationale qui commence à se manifester, à se sentir, à s’organiser. Des protestations massives ont été eu lieu en Tunisie, au Maroc, en Egypte, au Bahrein, en Jordanie, au Liban… et en Israël même pour dénoncer ces agressions.

 

Egalement en Italie, en France, en Allemagne et en Suisse des manifestations de protestation et de solidarité ont eu lie et un millier de personnes ont manifesté hier à Bruxelles.


Les centaines de milliers de manifestants qui sont sortis ces derniers jours dans les rues de toute l’Europe pour crier leur refus de l’ordre capitaliste sont d’ores et déjà dans la même voie avec les Palestiniens pour frapper là où il faut, pour stopper cet Etat criminel.

 

La solidarité internationale avec les Gazouis et les Palestiniens est le mot d’ordre !

 

http://www.lcr-lagauche.be/cm/index.php?view=article&id=2674:gaza-il-faut-stopper-letat-sioniste-construire-la-solidarite-internationale&option=com_content&Itemid=53


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17 novembre 2012 6 17 /11 /novembre /2012 09:05

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pal npa 1

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17 novembre 2012 6 17 /11 /novembre /2012 08:26

arton38

En se fondant sur les coûts des deux précédentes offensives israéliennes contre Gaza et contre le Hezbollah au Liban, les ministères de la Défense et des Finances israéliens prévoient de payer un prix très élevé dans cette nouvelle opération.

La dernière offensive d'Israël sur la bande de Gaza pourrait coûter à l'économie israélienne des centaines de millions de shekels [1 shekel = 0,20 euro], d'après des estimations fondées sur l'opération Plomb durci [2008-2009, entre Israël et la bande de Gaza] et la deuxième guerre du Liban [2006, entre le Hezbollah et Israël].

En se fondant sur l'opération Plomb durci, lancée fin décembre 2008, des responsables des ministères de la Défense et des Finances peuvent estimer le coût de l'offensive sur Gaza, même si tout dépendra pour une large part de la durée de l'opération Pilier de défense (initiée 14 novembre) et de la dureté des combats.


Plomb durci a duré vingt-deux jours et coûté 3,8 milliards de shekels [753 millions d'euros]. Après la deuxième guerre du Liban (2006), qui a duré un mois, le ministère des Finances a versé à l'armée une allocation spéciale de 8,2 milliards de shekels [1,6 milliard d'euros], assortie d'un important financement destiné à reconstituer ses approvisionnements d'urgence.


Israël va puiser dans son fonds de réserve annuel pour ses dépenses militaires


Le 16 novembre, le shekel a décroché. Le taux de référence du dollar a été fixé à 3,952 shekels. Ainsi, le billet vert a poursuivi sa hausse pendant les combats avec le Hamas et d'autres organisations palestiniennes. Le même jour, le dollar a gagné environ 0,9 % par rapport au shekel, tandis que l'euro progressait de plus de 1 %.


Le secteur de la défense reçoit un financement de réserve annuel d'environ 800 millions de shekels pour les dépenses en temps de guerre. Depuis l'opération Plomb durci, les forces de défense d'Israël n'ont pas puisé dans ces réserves, si bien qu'elles ont accumulé des fonds qui pourraient couvrir directement le coût de plusieurs jours de combat.


Il existe d'importances différences entre les coûts des frappes aériennes actuelles sur la bande de Gaza et une opération telle que Plomb durci, à laquelle les forces terrestres ont participé. Une guerre aérienne, même avec un appui naval, est généralement bien moins coûteuse, même si les armes utilisées peuvent être plus chères que les chars et l'artillerie mis en œuvre pour une offensive terrestre.


Une opération militaire a des effets indirects sur la production


Le coût de fonctionnement d'un avion sans pilote est évalué à 6 000 shekels [1 200 euros]. Une heure de vol d'un hélicoptère revient approximativement à 20 000 shekels [4 000 euros], tandis que l'utilisation d'un avion de combat est estimée à 60 000 shekels [12 000 euros]


Il faut aussi prendre en compte les coûts indirects d'une telle opération, notamment les pertes de productivité liées aux congés que doivent prendre les réservistes. Dans les combats actuels, une bonne partie du sud d'Israël est touchée par les hostilités. Des usines et des bureaux devraient réduire leurs activités ou fermer temporairement.


On compte environ 1 000 usines touchées par le feu des roquettes, sans parler des nombreuses autres entreprises de la région. Si les combats venaient à se prolonger, il pourrait s'ensuivre une perte de production majeure.

Du fait que les écoles du Sud ont été fermées, de nombreux parents ont dû prendre des congés pour garder leurs enfants.


Les allocations versées par la Caisse d'assurances nationale aux travailleurs en congé pourraient également être importantes. Bien entendu, il faut aussi prendre en compte les destructions de biens immobiliers causées par les attaques de roquettes. Plomb durci s'est soldé par 100 millions de shekels [19 millions d'euros] de dégâts immobiliers.

 

http://www.courrierinternational.com/article/2012/11/16/l-exorbitant-cout-de-la-guerre-contre-gaza
*
Commentaire: C'est le pillage du tiers monde par l'impérialisme, le commerce inégal, la "mondialisation" qui permettent aux USA de financer Israël dans ses guerres. Pour aider la Palestine, renversons nos bourgeoisies.
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17 novembre 2012 6 17 /11 /novembre /2012 07:29
Un dessin de Stavro
La guerre contre le Hamas à Gaza torpille les espoirs électoraux de tous les adversaires du Premier ministre actuel Benyamin Nétanyahou, affirme Ha'Aretz.
Les législatives israéliennes sont prévues le 22 janvier 2013.   
[Le chef de la branche armée du Hamas tué le 14 novembre lors d'un raid israélien] Ahmed Al-Jaabari jouait un rôle de sous-traitant ; c'était lui qui était chargé d'assurer la sécurité d'Israël à Gaza. Une notion qui peut paraître absurde alors que, depuis quelques heures, on nous le dépeint comme un "maître terroriste", le "chef d'état-major de la terreur" ou "notre Ben Laden".

Pourtant, il en a bel et bien été ainsi depuis cinq ans et demi. Israël exigeait du Hamas qu'il respecte la trêve au Sud et qu'il l'impose à la mosaïque de mouvements armés présents dans la bande de Gaza. Et l'homme responsable de cette politique n'était autre qu'Ahmed Al-Jaabari.


En échange de ce calme toujours fragile, Israël finançait le régime du Hamas. Ses camions blindés apportaient leur flot de shekels [la monnaie israélienne] aux banques de Gaza, tandis que l'Etat hébreu continuait de fournir des infrastructures et des moyens médicaux à la population.


Jabaari avait également été un partenaire d'Israël dans les négociations pour la libération de Gilad Shalit. C'était lui qui avait garanti le bien-être du soldat prisonnier et sa sécurité, et qui avait veillé à ce qu'il rentre chez lui à l'automne 2011.

Aujourd'hui, Israël affirme que son sous-traitant n'a pas rempli sa part du contrat et qu'il n'a pas assuré le calme promis à la frontière Sud. On ne cesse maintenant de lui reprocher le fait que le Hamas n'est pas parvenu à contrôler les autres mouvements, alors qu'une escalade n'est pas dans son intérêt.


Tu as échoué, tu es mort !


Jaabari ayant été officiellement mis en garde (dans Ha'Aretz, [les deux reporters] Amos Harel et Avi Issacharoff ont signalé la semaine dernière que la campagne d'assassinats de dirigeants du Hamas risquait de reprendre), il a été exécuté le 14 novembre, action qu'Israël s'est empressé de revendiquer. Le message est aussi simple que limpide : tu as échoué, tu es mort. Ou, comme aime à le dire le ministre de la Défense Ehoud Barak : "Au Moyen-Orient, les faibles n'ont pas droit à une seconde chance."


L'assassinat de Jaabari entrera dans l'Histoire comme une opération militaire tape-à-l'œil de plus déclenchée par un gouvernement sortant à la veille d'une échéance électorale. Le conflit extérieur permet à un gouvernement de se consolider sur le plan intérieur parce que l'opinion publique se rassemble derrière l'armée, alors que les problèmes sociaux et économiques se trouvent rejetés à l'arrière-plan.


Une recette que l'on connaît depuis 1955, quand [le fondateur de l'Etat d'israël] David Ben Gourion, rentré de sa retraite dans le kibboutz de Sde Boker, avait lancé les forces israéliennes dans une action de représailles à Gaza, ce qui avait valu au Mapaï, son parti, de remporter les élections.


Depuis, chaque fois que le parti au pouvoir se sent menacé dans l'isoloir, il pose son doigt sur la détente. Les exemples nous sont familiers : le lancement du missile Shavit 2 en 1961, en pleine affaire Lavon [les services israéliens avaient organisé des attentats antioccidentaux en Egypte afin de discréditer le régime de Nasser] ; le bombardement du réacteur irakien Osirak en 1981 ; l'opération Raisins de la colère au Liban en 1996, et l'opération Plomb durci à Gaza avant les élections de 2009. Dans ces deux derniers cas, les opérations militaires ont abouti à une défaite électorale.


Torpiller Ehoud Olmert


L'opération actuellement en cours, dite Colonne de nuée [ou Pilier de défense], appartient à cette catégorie. Le Premier ministre Benyamin Nétanyahou espère neutraliser tous ses rivaux potentiels, et le ministre de la Défense Ehoud Barak se bat pour récolter assez de voix afin de revenir à la Knesset.


Cette offensive contre le Hamas a torpillé les espoirs électoraux d'Ehoud Olmert l'indécis [l'ex-Premier-ministre centriste, 2006-2009], dont les fidèles attendaient qu'il annonce sa candidature le soir du 14 novembre en brandissant un programme axé sur la "question sociale et économique".


Quand tonne le canon, on ne voit plus que Nétanyahou et Barak sur nos écrans, et tous les autres politiciens ne peuvent que les applaudir. Le 22 janvier [date prévue des élections législatives en Israël], le résultat politique de l'opération sera évident. En revanche, ses conséquences stratégiques sont plus complexes : Israël va devoir se trouver un nouveau sous-traitant à la place d'Ahmed Jaabari pour surveiller la frontière Sud.

 

http://www.courrierinternational.com/article/2012/11/15/la-vraie-cible-de-netanyahou-ses-adversaires-politiques

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16 novembre 2012 5 16 /11 /novembre /2012 11:32

http://www.theatrum-belli.com/media/02/02/1350826698.jpg
vendredi 16 novembre 2012 - 11h16

*

Depuis plusieurs jours, l’armée israélienne a intensifié bombardements et incursions sur le territoire palestinien de la bande de Gaza, causant la mort de plusieurs civils Palestiniens, dont des enfants. Une nouvelle étape a été franchie par le gouvernement israélien en assassinant Ahmad Jabbari, chef de la branche militaire du Hamas.


Aujourd’hui, l’Etat d’Israël a officiellement annoncé et repris ses opérations militaires contre Gaza, infligeant à nouveau bombardements morts et destructions à la population gazaouie, soumise à un blocus illégal et inhumain depuis 2007. Ceci entraîne des répliques qui touchent aussi des civils israéliens.


Nous déplorons toutes les victimes civiles, mais nous considérons qu’Israël en rompant le cessez le feu et déclenchant l’agression en porte la responsabilité.


Nul n’a oublié les massacres perpétrés par la même armée israélienne lors de l’offensive « Plomb Durci » de 2008-2009, se soldant par la mort de près de 1500 Palestiniens et que les mêmes prétextes avaient été invoqués par le gouvernement israélien pour justifier cette attaque meurtrière.

 

C’était, comme aujourd’hui, la veille d’une échéance électorale en Israël.

 

Et comme en 2008, les attaques de l’armée israélienne se poursuivent aujourd’hui malgré un accord de cessez-le-feu obtenu grâce à la médiation égyptienne, et respecté par les Palestiniens jusqu’à l’assassinat du responsable du Hamas.


Benyamin Netanyahou, qui a annoncé l’alliance de son parti avec celui du leader d’extrême droite Avigdor Lieberman, utilise à l’évidence cette attaque contre la bande de Gaza pour des considérations électorales. Ce gouvernement œuvre aussi méthodiquement à torpiller la démarche palestinienne à l’ONU. Il clame haut et fort sa volonté de renverser l’autorité palestinienne, voire de liquider sa direction si la Palestine devient membre de l’ONU.


Le Collectif National pour une Paix Juste et Durable entre Palestiniens et Israéliens condamne les assassinats dits ciblés et les attaques contre la population assiégée de Gaza.


Le collectif appelle le gouvernement français à faire pression sur Israël afin que ce déferlement de violence meurtrière cesse, qu’Israël lève immédiatement le blocus de la bande de Gaza et réponde positivement à la légitime demande palestinienne d’adhésion à l’ONU.


Préserver les chances de la paix, suppose de la part de la communauté internationale comme du gouvernement français, de mettre fin à l’impunité d’Israël. Ceci passe par des sanctions et non par des primes à l’occupation comme le fait régulièrement l’Union européenne.


Le collectif national appelle à

un rassemblement de solidarité avec Gaza

Samedi 17 novembre à 15h place de la Bastille

sur les mots d’ordre suivant :


 Levée immédiate du blocus de Gaza
 Arrêt des bombardements sur Gaza
 Halte à l’impunité d’Israël : des sanctions immédiates


Un Etat palestinien admis à l’ONU!


http://www.ujfp.org/spip.php?article2445

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15 novembre 2012 4 15 /11 /novembre /2012 15:23

 

"Colonne de fumée" c'est le nom donné pour cette énième attaque d'envergure contre Gaza.


Il faut se souvenir que "plomb durci" du 27 décembre 2008 au 18 janvier 2009 à causé la mort de plus de 1700 personnes dont femmes et enfants. Il faut se souvenir que ce massacre fut précédé par l'accord de rehaussement des relations entre l'Union Européenne et Israël les 8 et 9 décembre 2008. Il faut se souvenir que des élections législatives israéliennes se tenaient en février 2009 !


Cette nouvelle offensive, fait suite à d'innombrables attaques d'avion et de tirs de chars durant tout le mois d'octobre 2012.

 

Depuis ce mercredi 14 novembre 2012, l'aviation des forces d'occupations bombarde Gaza, assassine un important chef du Hamas, et déjà en quelques heures plus de 7 morts et des dizaines de blessés.


Ce nouveau drame subit par les gazaouis fait suite à l'accord ACAA entre Israël et l'Union Européenne en octobre 2012, accord qui marque les premiers pas pour l'intégration d'Israël à l'Union Européenne. Enfin François Hollande reçoit Benjamin Netanyahu en grande pompe à l'Elysée le 31 octobre 2012 et s'aligne sur les désidératas du gouvernement israélien lors de la conférence de presse.


Cette nouvelle guerre précède les élections législatives israéliennes prévues en février 2013


Par la répétition des accords UE / Israël, par le tapis rouge déroulé devant la droite extrême israélienne en France, le gouvernement israélien se sait soutenu et comprend le langage diplomatique comme un chèque en blanc pour mener ses opérations criminelles.


Le NPA proposera à l'ensemble des organisations soucieuses du droit et de la justice pour le peuple palestinien, de chercher les moyens d’une riposte la plus large possible contre les crimes israéliens perpétrés avec la complicité de fait de l'Union Européenne et du gouvernement français.

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14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 14:12
Publié par Alencontre le 13 - novembre - 2012 Par Ashley Smith

L’ouragan Sandy a ravagé le New Jersey, New York et d’autres régions de la côte nord-est des Etats-Unis, détruisant des bâtiments et privant la population d’électricité et de services essentiels pendant des jours.

 

L’Etat capitaliste le plus avancé du monde a dû se démener pour faire face à cette urgence, mais s’est montré incapable de porter secours à beaucoup de gens de la classe travailleuse et des pauvres, livrés à eux-mêmes et à la générosité de leurs voisins.


Alors que le monde avait les yeux rivés sur les images de désolation de New York, les dégâts encore plus importants entraînés par Sandy à Haïti sont restés presque inaperçus.

 

Par chance, ce pays déjà éprouvé n’a pas été frappé de plein fouet, car l’ouragan en a seulement frôlé la partie sud. Cela a néanmoins suffi à détruire cette partie de Haïti.


Le pays s’était à peine remis du tremblement de terre de 2010, qui avait détruit une grande partie de la capitale Port-au-Prince, tuant près de 300 000 personnes, pauvres pour la plupart. Depuis lors, une série de tempêtes tropicales et d’ouragans, dont le plus récent a été Isaac, s’est acharnée sur les habitants démunis et a entravé la reconstruction du pays. Plus de 370 000 Haïtiens sont toujours bloqués dans des camps de réfugiés, vivant dans des tentes et des abris de fortune.


En 24 heures seulement, Sandy a déversé près de 70 centimètres cubes de pluie sur l’île, inondant les camps, détruisant les logements improvisés et jetant à nouveau près de 200 000 personnes à la rue. Seules 17 000 parmi elles ont reçu un abri d’urgence. Plus de 54 personnes sont mortes, 20 sont reportées disparues et on s’attend à trouver de nombreux autres cadavres lorsque le gouvernement et les associations d’aide auront pu atteindre les régions qui sont actuellement inaccessibles suite aux dommages occasionnés par l’ouragan.


Sandy a eu un effet particulièrement dévastateur sur le secteur agricole, détruisant près de 70% des récoltes dans le sud et tuant une grande partie du bétail.

 

Le directeur du Ministère de l’agriculture pour le Département du sud, Jean Debalio Jean-Jacques, a déclaré:  «Tout ce que les paysans avaient en réserve, les céréales, les tubercules – tout a été dévasté. Certains avaient déjà préparé leurs champs pour les cultures d’hiver, et ceux-ci ont été ravagés


S’il n’y a plus de récoltes à vendre, les paysans vont être appauvris, et la population urbaine dépendra encore plus des biens alimentaires importés, qui sont déjà très chers. Avant la tempête, les Haïtiens avaient participé à une vague de protestations contre la hausse des prix des denrées alimentaires dans le pays. Des experts ont prédit une augmentation du coût des biens alimentaires à l’échelle internationale, ce qui signifie que Haïti se dirige vers un état d’urgence sur le plan alimentaire.

 

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14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 13:25
Grève en Chine
13 novembre 2012
 

Le 18e congrès du Parti communiste chinois s'est réuni du 8 au 14 novembre 2012.

 

Il va renouveler les organes dirigeants : Xi Jinping, 59 ans, doit devenir le nouveau secrétaire général, avant qu’en mars 2013 l’Assemblée nationale populaire ne l’élise président de la République – et Li Keqiang, 57 ans, Premier ministre.


Le congrès a été précédé d’intenses luttes de fractions qui se sont soldées par la condamnation pour corruption et l’exclusion du Parti de Bo Xilai, patron de la municipalité autonome de Chongqing, dans le sud-ouest du pays. Il est difficile de juger de la portée réelle de ces déchirements fractionnels derrière le langage codé propre au PCC et alors que l’information reste soit censurée soit manipulée. Mais ils annoncent peut-être d’importantes fractures au sein de ladite « gauche » (néo)maoïste.


Les courants dits « maoïstes », nationalistes et opposés à des réformes néolibérales trop prononcées, opèrent au sein du régime.

 

Ils se réclamaient souvent du « modèle de Chongqing » garantissant (officiellement au moins) une plus grande protection sociale face au développement d’un capitalisme sauvage. Ils se sont cependant violemment divisés face à la chute de Bo Xilai et une partie d’entre eux déclarent maintenant ne plus vouloir s’aligner sur l’une ou l’autre des fractions du PCC, mais en appeler à une nouvelle révolution.


La question est d’importance.

 

Cependant, pour l’heure, aucun courant de la « gauche » du PCC n’a remis en cause les pouvoirs autoritaires du parti. Même s’ils s’élèvent contre des procès truqués qui frappent leurs proches, ils ne défendent toujours pas une séparation des pouvoirs politiques et judiciaires. Ils affichent une sensibilité sociale, mais ne rompent pas avec le modèle d’Etat hérité du maoïsme historique.


Le monopole du pouvoir dont bénéficie le PCC est certes par ailleurs remis en cause, ou pratiquement contesté, en particulier sur la Toile, avec des blogs qui peuvent connaître une immense popularité. Mais ces milieux – comme hier les promoteurs de Charte 08 – s’en tiennent généralement à l’exigence de droits démocratiques politiques, mais restent silencieux sur les droits démocratiques sociaux. Ils expriment plus les aspirations de nouvelles élites que les intérêts des secteurs surexploités de la population.


La fusion entre les aspirations démocratiques et le combat contre les inégalités de classes n’est semble-t-il pas encore réalisée par des courants politiques d’ampleur significative. Les élites et le régime gardent la main. Cependant, les résistances sociales se multiplient et commencent même à emporter des victoires revendicatives. Surtout, la corruption généralisée interdit au Parti et à l’Etat de gérer rationnellement (de leur point de vue) le développement du nouveau capitalisme chinois.


Le régime postmaoïste est né de la corruption – de la privatisation des biens sociaux –, elle fait partie de son ADN. Tous les discours moralisateurs de congrès n’y changeront rien. C’est bien le talon d’Achille du pouvoir.

ROUSSET Pierre

* Article écrit pour l’hebdomadaire « Tout est à nous » à paraître le 14 novembre 2012.

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6 novembre 2012 2 06 /11 /novembre /2012 11:43

 

Le 25 octobre dernier, Layli, un militant de la campagne BDS, s’est fait arrêter. Son procès aura lieu le 9 novembre à 15h au tribunal de Chalon-Sur-Saône.


On lui reproche d’avoir interrompu le match de Basket d’Euroligue entre Chalon-Sur-Saône et l’équipe israélienne du Maccabi de Tel-Aviv dans le cadre de la campagne de boycott sportif visant toutes les compétitions sportives organisées en partenariat avec des institutions israéliennes.


Le gouvernement israélien poursuit la construction des colonies, refuse le droit au retour des réfugiés palestiniens de 1948 et 1967, mène une véritable politique d’apartheid, continue son embargo inhumain et les assassinats ciblés à Gaza, maintient des milliers de prisonniers politiques dans ses prisons.


Face à l’impunité d’Israël, la campagne BDS est une campagne internationale, conduite à la demande du peuple palestinien pour que justice lui soit rendue et pour la fin de la politique d' apartheid menée par l'Etat d'Israël.


Les militant(e)s du NPA y seront présent(e)s pour demander la relaxe immédiate pour Layli, comme ils et elles l'ont fait et le feront pour tous les militant(e)s de la campagne BDS inculpé(e)s.

 

Plus que jamais, face à l'alignement de la diplomatie française sur les exigences d’un état criminel comme celui d’Israël, le NPA appelle au renforcement des actions dans le cadre de la campagne BDS France.

 

Palestine vivra - Palestine Vaincra.

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