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Pourquoi ? Toujours pour la même raison. Soutenir la lutte contre les dégats causés par l'agro bizness et ses relais. Soutenir les associations qui se battent contre ce fléau qu'est la pollution générée par l'agro bizness.
De la porcherie industrielle de Trébrivan aux algues vertes qui souillent nos plages, il suffit de suivre la rivière dans laquelle ton marchand de flotte ( non choisi) pompe l'eau qu'il te facture. Les antibios et autres salopries sont compris dans le tarif.
L'agro bizness nous empoisonne par la nourriture, par l'eau, par l'air. Il n'est jamais trop tard pour foutre en l'air ce système absurde et nihiliste imposé par les industriels et les financiers.
Pour ceux qui ne connaitraient pas encore les Ramoneurs, une reprise de bellaciao par les keupons déjantés qui seront bien sûr accompagnés de plein d'autres artistes.
21.09.2011 | El País
http://www.courrierinternational.com/breve/2011/09/21/greve-massive-des-enseignants
Pierre Laurent, au nom du PCF, (intervenant après Jean-Luc Mélenchon) a cru nécessaire de préciser son propos. S'adressant aux dirigeants socialistes il leur a demandé « d'être de gauche ». C'est
donc qu'à ses yeux, ils ne le sont pas.
S'adressant cette fois aux militants et aux sympathisants du PCF, il a ajouté : « Amis et camarades, tenez-vous prêts... Le lendemain de la victoire, c'est la grève, c'est la mobilisation, c'est
la lutte, c'est la poursuite du mouvement qui permettra que l'espoir devienne la politique de la France ». Est-ce une manière de préparer les esprits en disant que la victoire ne sera acquise
qu'avec les luttes, ou un de ces vœux pieux sans importance que l'on émet dans les fêtes et banquets ?
Si on se réfère à l'expérience et à la pratique de la direction du PCF, en 1981 et en 1997, c'est-à-dire à chaque fois qu'elle a accepté d'envoyer des ministres siéger dans un gouvernement, sous
la direction des socialistes, la seconde hypothèse est certainement, et malheureusement, la bonne.
http://www.lutte-ouvriere-journal.org/?act=artl&num=2251&id=4
Lorsque Jean-Luc Mélenchon a déclaré, devant les caméras qu'il se trouvait comme chez lui à la Fête de L'Humanité, ce n'était pas seulement qu'il s'y sentait bien. Il avait aussi l'attitude, un
tantinet suffisante, de ces nouveaux propriétaires, fiers d'exhiber leur résidence.
Il est vrai qu'au cours de la fête du 16 au 18 septembre, les dirigeants du PCF avaient tout fait pour dérouler le tapis rouge, politique et médiatique, sous ses pas, et avaient mis à son
service l'activité des milliers d'hommes et de femmes qui avaient permis que cette fête rassemble des centaines de milliers de personnes.
Ainsi l'ex-ministre de Jospin avait été chargé de prononcer le traditionnel discours du dimanche sur la scène centrale de la fête !
Prenant des poses de tribun, il a développé les thèmes qui seront au cœur de la campagne du Front de gauche. Non sans emphase !
Il appelait, par exemple à la révolution. Sans doute pour rassurer ceux que cela aurait pu effrayer, il précisait aussitôt qu'il s'agirait d'une « révolution citoyenne », par les bulletins de
vote, sans expliquer par quel miracle on pourrait, cette fois, imposer aux capitalistes de sacrifier leurs intérêts pour l'intérêt commun.
Il menaçait les banques de leur appliquer des règles qui brideraient leurs appétits sans préciser comment il réussirait, par la simple force d'une majorité électorale, à imposer à ces banques un
comportement différent de celui qu'elles pratiquent aujourd'hui.
Restent quelques propositions qui peuvent paraître plus concrètes, comme celle d'un salaire minimum de 1 700 euros brut, sans dire comment l'imposer. Ou encore celle de limiter les
rémunérations des dirigeants des entreprises à vingt fois le salaire minimum, sans préciser que les revenus de ces gens-là ne proviennent pas que de leurs salaires ; et surtout sans expliquer en
quoi le salaire légèrement limité de ces dirigeants permettra à ceux qui sont au bas de l'échelle de mieux vivre. Sans parler de ceux qui n'ont plus de travail et donc pas de salaire.
Mais, par-delà ces objections, ce que le candidat du Front de gauche omet de préciser, c'est que la mise en place de ce programme dépend de l'accord des dirigeants socialistes, que le Front de
gauche veut rallier entre les deux tours de l'élection présidentielle. Et les socialistes disent et redisent qu'ils y sont opposés.
Rien que cela suffit à vider de tout contenu les propos de Mélenchon et du Front de gauche.
Jean-Pierre VIAL
http://www.lutte-ouvriere-journal.org/?act=artl&num=2251&id=3
L'Opus Dei au coeur d'un procès qui s'ouvre ce matin à Paris : une association qui lui serait liée est poursuivie pour travail dissimulé. Nous ne reviendrons pas sur cette affaire, mais plutôt sur les pratiques de l'Opus Dei, l'une des institutions les plus réactionnaires de l'église catholique, épinglée par ses détracteurs pour ses dérives sectaires.
L'Opus Dei : beaucoup n'en avaient jamais entendu parler avant le Da Vinci Code, ce best seller vendu à 50 millions d'exemplaires devenu un film au succès planétaire. Dans ce polar ésotérique, l'Opus Dei était décrit comme un syndicat du crime. Mais au-delà de la fiction, l'Opus Dei, c'est d'abord l'une des institutions catholiques les plus controversée, y compris au sein de l'église, pour plusieurs raisons :
Ses liens avec le franquisme. L'Opus Dei a été créée en 1928 en Espagne et ses membres ont joué un rôle politique majeur sous Franco.
Son statut unique au sein de l'Eglise, celui de "prélature personnelle". C'est Jean Paul II qui lui accorde cette reconnaissance en 1983, avant de canoniser son fondateur, Josemaría Escrivá de Balaguer, en 2002.
Ses positions réactionnaires. L'Opus dei estime notamment que le modernisme est un cancer et qu'elle seule peut "sauver" l'Eglise.
Ses règles et pratiques très strictes pour ses 80.000 membres à travers ds le monde, dont un millier en France.
La place St-Pierre à Rome le jour de la canonication du fondateur de l'Opus Dei © Reuters - 2011 / Paolo Cocco
Bruno Devos a été membre de l'Opus Dei pendant 13 ans. Il a fait partie des "numéraires", ceux qui forment le noyau dur. Ils ont un travail, sont avocats, médecins ou managers. Mais ils vivent en vase clos dans un centre de l'Opus Dei. Ils font voeu de célibat et de pauvreté et versent l'intégralité de leur salaire à l'institution.
Il y a aussi les pratiques d'auto-flagellation, dites de mortification corporelles...
Ces pratiques, Bruno Devos les a dénoncées dans un livre, La face cachée de l'Opus Dei. L'institution n'a jamais attaqué pour diffamation. D'ailleurs, quand on parle de ces pratiques à la porte-parole de l'Opus Dei, Béatrice de la Coste, elle dément sans démentir.
L'Opus Dei s'investit également dans l'éducation. Elle contrôle de nombreuses universités et écoles de management et nouveauté, des écoles pour les plus jeunes. Bref, l'institution diversifie ses débouchés, comme l'explique Christian Terras, rédacteur en chef de la revue catholique progressiste Golias.
En France, l'Opus Dei compte un millier de membres, une quinzaine de centres de formation dans les grandes villes et elle gère les aumônerie de trois écoles.
PAR (20 SEPTEMBRE 2011)
http://www.bastamag.net/article1742.html
PAR (20 SEPTEMBRE 2011)
Brest
06 42 22 96 37
brest.npa@gmail.com
Quimper
06 59 71 42 21
Le blog sur les
questions maritimes
Le blog de solidarité avec
Pour plus de détails voir les liens:
Soirée prisonniers palestiniens
mardi 16 avril
20H30
Maison des syndicats
Quimper Gourmelen
vendredi 19 avril
8 h 45
Fermez Cofrents
(pays Valencian)
Concert à Lannion
Dimanche 28 avril
Brennilis
Mardi 7 mai
Yves-Marie Le Lay,
Président de
Sauvegarde du Trégor
Douarnenez
Librairie l'Ivraie à 20h00