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22 mai 2011 7 22 /05 /mai /2011 14:23
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22 mai 2011 7 22 /05 /mai /2011 10:34

 

 

 

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22 mai 2011 7 22 /05 /mai /2011 10:17

 

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21 mai 2011 6 21 /05 /mai /2011 20:43

France Info - 17:24

Le Havre, capitale de la contestation anti G8.
Des milliers de manifestants ont défilé bruyamment cet après-midi au Havre. Une ville déserte. Les altermondialistes ont protesté contre le sommet du G8, représentant les pays les plus puissants de la planète. Le sommet est prévu le week-end prochain.





affiche 1 g8 0.column

 

G8 dégage, les peuples d’abord, pas la finance”, indique la banderole de tête, devant les représentants des 35 organisations altermondialistes, syndicalistes, anti-nucléaires, décroissants, mouvements sociaux, citoyens ou défenseurs de droits de l’Homme.
Sur une autre banderole, en forme de globe terrestre gonflable on peut y lire“ Allo le G20 ? Ici le reste du monde”.

 

 

 

 

 

 

 

Le cortège mené par la CGT, le FSU, les anarchistes du CNT, avec des groupes de la Ligue des Droits de l’Homme, du Comité catholique contre la famine, des Verts, de la Confédération paysanne, de Sortir du nucléaire ou d’ATTAC, est parti après 15H00 de la gare du Havre. De nombreux commerçants ont baissé leurs rideaux par crainte de débordement comme cela avait été le cas à Strasbourg en mars 2009.

Mais la manifestation s’est déroulée dans la bonne humeur.

Une partie des manifestants doit séjourner dans un “campement autogéré” au Havre, qui restera ouvert jusqu’au dimanche 29 mai pour maintenir une présence militante durant le sommet.
Un accueil chez l’habitant sur le thème “adoptez un altermondialiste le temps d’un week-end” est également organisé pour la nuit prochaine.

Une réunion est prévue lundi pour décider de la suite des événements et notamment des modalités d’organisation d’une manifestation “au plus près” du sommet des chefs d’Etat et de gouvernement, jeudi prochain.
Deauville et ses proches alentours étant impraticables aux manifestants en raison de l’ampleur du dispositif de sécurité déployé pour l’occasion.

Le sommet du week-end prochain à Deauville, sera notamment consacré aux révolutions arabes et à la catastrophe nucléaire au Japon.

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21 mai 2011 6 21 /05 /mai /2011 10:57
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21 mai 2011 6 21 /05 /mai /2011 09:59
samedi 21 mai 2011

L'avenir de Girex-Mazal et de ses 170 salariés se jouera lundi devant le tribunal de commerce de Versailles. La décision ne devrait plus tarder. D'ici la fin de la semaine prochaine, les 170 salariés de Girex-Mazal (chimie fine et pharmacie) devraient connaître leur avenir. Lundi prochain, les deux candidats à la reprise seront entendus par les juges du tribunal de commerce de Versailles. Ces derniers étudieront le détail des offres. Ils rendront leur décision au plus tard dans les huit jours qui suivent. C'est en tout cas le calendrier qui a été annoncé.

Critères prioritaire On connaît depuis la mi-avril l'identité des deux candidats. Il s'agit de Genopharm et Elixens. Deux sociétés aux profils bien différents. Mais, pour le moment, seuls les représentants du personnel connaissent le détail de leurs plans de reprise. Jeudi, un comité d'entreprise s'est réuni à Quimper. Les élus du personnel ont formulé un avis, spécifiant ainsi leur préférence pour une des deux propositions. 

Mais, pour ne pas provoquer de changement d'attitude des repreneurs potentiels, l'administrateur judiciaire a demandé au secrétaire du comité d'entreprise de réserver cette information aux juges versaillais. Demande respectée par les élus du personnel.

 

Les critères qui sont jugés prioritaires par les représentants du personnel sont « le volume d'emplois assurés, la garantie de pérennisation du site et les garanties financières des candidats ». C'est en fonction de ces données qu'ils ont formulé un avis.

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21 mai 2011 6 21 /05 /mai /2011 09:17

 

Social vendredi 20 mai 2011
La cour d’appel de Rennes vient d’annuler le plan social de la fédération ADMR du Finistère. Annoncé en septembre 2010, celui-ci prévoyait de supprimer 86 postes sur 129 à la fédération. 52 salariés devaient être licenciés et 34 autres reclassés en interne. La cour d’appel a constaté l’insuffisance du plan de sauvegarde de l’emploi présenté par l’ADMR 29. Elle a donc prononcé sa nullité conformément à ce que souhaitaient le comité d’entreprise et le syndicat CFDT de l’ADMR 29.

« C’est une décision importante pour tous les salariés, commente Me Ronan Tigréat, avocat de la CFDT et du comité d’entreprise. Malheureusement, il ne faut pas se faire d’illusions. Il y aura sans doute des licenciements. On peut toutefois espérer qu’avec la décision de la cour d’appel, les conditions de départ seront plus favorables pour ces personnes. »

 

http://www.ouest-france.fr/region/bretagne_detail_-Le-plan-social-de-l%E2%80%99ADMR-29-annule-par-la-cour-d%E2%80%99appel_40779-1804241_actu.Htm

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20 mai 2011 5 20 /05 /mai /2011 12:20

 

 

Par Maxime Combes (19 mai 2011)


Trouver des solutions à la crise financière, réfléchir aux grands enjeux écologiques… des sujets ambitieux à l’ordre du jour du G8 qui se déroulera à Deauville les 26 et 27 mai prochains. Et du G20 qui se réunit à Cannes en novembre. Que peut-on espérer de ces rencontres ? Entretiens avec Naomi Klein, Susan George, l’ambassadeur de la Bolivie à l’Onu Pablo Solon, et des militants altermondialistes, pour qui ces réunions de « clubs de riches » sont un déni de démocratie.

Au plus fort de la crise financière, les pays du G8 ont consenti à élargir le cercle des gouvernements invités à la table des grands de ce monde. Avec les 12 heureux nouveaux élus, ils ont formé le G20. Objectif : remédier aux conséquences de la crise financière et agir pour en éviter de prochaines. Incapables de faire face aux enjeux, ils ont ensuite tenté de mondialiser l’austérité. Après cinq réunions pour rien, à Washington, Londres, Pittsburgh, Toronto, Séoul, une sixième réunion du G20 se profile à Cannes les 3 et 4 novembre 2011. Sans pour autant que le G8 ait disparu : cette institution du siècle passé se réunit lui les 26 et 27 mai prochains... à Deauville. Et ce n’est pas du cinéma.

 

Ce G8, Nicolas Sarkozy le voulait coûte que coûte. Peut-être parce qu’il a du mal à trouver sa place sur la photo du G20. À 8, c’est plus facile ! Et tellement gratifiant. Taper dans le dos d’Obama, faire la bise à Angela Merkel. Les photos feront le tour du monde. Au détriment des dossiers de l’agenda officiel du G8 : internet et croissance verte, paix et sécurité, partenariat avec l’Afrique et grands enjeux planétaires... Ce n’est pas rien.

 

Des réunions inefficaces et illégitimes


Au G8, l’impression doit être donnée d’une simple discussion amicale de concertation. Sans que personne ne soit dupe. Pablo Solon, ambassadeur de la Bolivie à l’ONU, dénonce une véritable « séquestration de la démocratie ». « Illégitimes » pour Naomi Klein, journaliste : « les G8 et G20 n’ont pas été créés par des processus démocratiques ». Passer de « 8 à 20 voleurs, ça ne s’appelle pas la démocratie », souligne Vinod Raina, militant altermondialiste indien.

 

Les G8-G20 face aux crises financières


Que ce soit à 8 ou à 20, Naomi Klein considère que les pays les plus puissants de la planète profitent de « ces clubs de riches » pour « faire adopter des mesures d’austérité et obtenir que le coût de la crise économique soit assumé par les personnes les plus vulnérables ». Au point « d’avoir remis en selle l’industrie financière », remarque Susan George, présidente d’honneur d’Attac. Avec G8 et G20, « ça peut changer... pour le pire », note Michael L. Guerrero.

 

Quand les G8–G20 décident de l’agriculture du monde


Incapables et sans volonté de réguler les marchés financiers mondiaux, G8 et G20 ont également la prétention de s’occuper des crises alimentaires et environnementales. Sans que les pays, et encore moins les peuples, les plus concernés ne soient présents. Pourtant, « ce sont les petits paysans et l’agriculture vivrière qui permettront de nourrir l’humanité », fait remarquer Hima Fatimatou de la Via Campesina. Et « leur maintien dans les campagnes est aussi une solution face aux dérèglements climatiques », souligne Nnimmo Bassey, de l’ONG internationale Les Amis de la Terre.

 

 

Se mobiliser pour que les peuples soient entendus


« Les gens en ont marre », clame Bagna Djibo, paysan du Niger. « Le monde ne peut plus être géré comme au 20e siècle. » Pablo Solon en appelle à des « référendums mondiaux », assurant que ce nouveau siècle doit être celui de la démocratie mondiale. Avant d’obtenir ou construire cette démocratie, Nnimmo Bassey appelle à « renverser » ces réunions. Ils sont nombreux à appeler les mouvements sociaux européens à se mobiliser contre les prochains G8 et G20, « pour que les peuples soient entendus ».

Maxime Combes

Ces vidéos ont été réalisées par Sophie Chapelle et Maxime Combes dans le cadre du projet Écho des Alternatives, à partir d’interviews menées à Dakar, lors du Forum Social Mondial (février 2011).

Site de la coordination française contre le G8 et le G20 : www.mobilisationsg8g20.org

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20 mai 2011 5 20 /05 /mai /2011 12:15

 

 

 

Par Sophie Chapelle (20 mai 2011)


Qualifiée de « génération perdue » par le Fonds monétaire international, la jeunesse espagnole montre qu’elle ne s’est pas endormie. Depuis le 15 mai, ils sont des centaines de milliers dans la rue, avec pour mot d’ordre : « Nous ne sommes pas des marchandises aux mains des politiques et des banquiers ». Face aux mesures d’austérité, la révolte gronde...

 

Sur La Puerta del Sol, célèbre place de Madrid, il plane comme un parfum de révolution de jasmin. Les premiers manifestants sont arrivés dimanche 15 mai, alors que le mouvement gagnait une trentaine d’autres villes espagnoles. Lundi, à l’aube, la police a démantelé le camp. Mais le lendemain les manifestants sont revenus plus nombreux. A Madrid, mais aussi à Barcelone, Bilbao, Córdoba, Valence, Séville, Saragosse ou Grenade, des centaines de milliers de jeunes, chômeurs, migrants, retraités, travailleurs précaires sont descendus dans la rue pour réclamer une Democracia Real Ya, « une vraie démocratie, maintenant ».

 

Un chômage à 21%


L’impression d’être une génération sacrifiée, condamnée à la précarité perpétuelle, a poussé nombre de jeunes à occuper les rues. Avec 4,2 millions de chômeurs, l’Espagne compte aujourd’hui le taux de sans emploi le plus élevé de l’Union européenne. Soit 21 % de la population active. Chez les moins de 30 ans, ce taux avoisine les 44 %. La crise économique frappe de plein fouet la jeunesse espagnole. Au point que le Fonds monétaire international (FMI) a récemment qualifié ces jeunes de « génération perdue ». Dans les cortèges, beaucoup sont des « Mileuroista », « ceux qui gagnent 1000 euros par mois », fatigués du chômage et de la corruption des politiques. « Vous prenez l’argent, nous prenons la rue », proclame une banderole dépliée sur la Puerta del Sol.

 

Les slogans montrent une certaine défiance envers le gouvernement. Les manifestants veulent « que les coupables de la crise paient ». Pas question pour ces Espagnols de payer la facture d’une crise financière qui n’est pas la leur mais « celle des banquiers et des politiques », selon les organisateurs du mouvement. L’austérité mise en place par le gouvernement depuis plusieurs mois, pour réduire à toute vitesse la dette du pays conformément aux injonctions de Bruxelles et du FMI, défait un à un les filets de la protection sociale. Le gouvernement socialiste de Zapatero opère une réduction drastique des dépenses publiques : les enseignants par exemple ont vu leur salaire réduit de 5 %.

 

Un mouvement structuré par les réseaux sociaux


Le ras-le-bol envers la classe politique se nourrit aussi d’affaires de corruption, impliquant des hommes politiques de gauche comme de droite. Sur les pancartes, les manifestants demandent la fin des privilèges de la classe politique et l’arrêt de la privatisation du secteur public, ainsi que de vrais moyens pour lutter contre la fraude fiscale et la fuite des grandes fortunes vers les paradis fiscaux. Des élections municipales et régionales partielles se tiennent le 22 mai prochain. Une « assemblée » s’est tenue jeudi 19 mai sur la place Puerta del Sol, au cours de laquelle ont été annoncées les principales revendications. Les manifestants appellent notamment à la réforme de la loi électorale en Espagne qui façonne le paysage politique du pays, le condamnant à une hégémonie du système bipartite, entre le PSOE (sociaux-démocrates) et le Parti populaire (droite), qui a montré ses limites.

 

 

L’assemblée demande que soit accordée la priorité aux droits fondamentaux des citoyens : droits au logement, au travail, à la culture, à la santé, à l’éducation, à la participation citoyenne, au libre développement personnel et à la consommation des biens nécessaires pour une vie saine et heureuse. Le mouvement exige la comptabilisation du vote blanc, la moralisation de la vie politique à travers l’adoption d’une loi sur la responsabilité politique, l’interdiction d’inscription sur les listes électorales pour les hommes politiques poursuivis en justice, et la prohibition du financement privé des partis politiques. Le slogan Democracia Real Ya prend tout son sens.

 

A la Une des journaux espagnols, le mouvement du 15 mai – surnommé « el movimiento 15-M » – a surpris. Spontané, dépourvu de signes politiques ou syndicaux, il s’est forgé dans les réseaux sociaux, dont Facebook et Twitter, et a été organisé par des « citoyens anonymes ». A la source de ce mouvement, on retrouve des collectifs comme Democracia real ya - une plateforme en ligne lancée par un groupe de blogueurs et d’internautes qui a réussi à agréger en quelques mois des dizaines d’associations, Toma la Plaza (Occupons la place) et Juventud sin futuro (Jeunesse sans avenir). Le mouvement, présenté comme citoyen, participatif et démocratique par les organisateurs de la marche du 15 mai, se poursuit par l’occupation permanente de l’espace public, des places et des rues.

 

Vers un naufrage de la gauche de gouvernement ?


Mais à l’approche des élections locales et régionales, cette mobilisation fait l’objet de mesures d’interdiction de la part de la commission électorale, qui estime que de telles manifestations risquent « de perturber la campagne électorale et la liberté des citoyens dans leur droit de vote ». Aucun appel formel à l’abstention ou au vote blanc n’a été lancé par le mouvement du 15 mai. Même si l’une des principales revendications de ces « indignés » est la fin du bipartisme.

Alors que la société civile espagnole sort de l’apathie, la gauche, au pouvoir, se prépare à un naufrage électoral le 22 mai. Les récentes réformes du gouvernement Zapatero ont, pour de nombreux analystes, démobilisé l’électorat de gauche. La mairie de Barcelone tenue par le Parti socialiste (PSOE) pourrait être perdue au profit des nationalistes catalans de Convergence et Union (CiU). La droite conservatrice du Parti populaire (PP) est donnée grande gagnante des scrutins de dimanche. Elle pourrait l’emporter dans des fiefs socialistes, comme la région de Castille-la-Manche. Un avant-goût des législatives prévues pour mars 2012 ? Les partis de gauche tentent de reprendre à leur compte le mouvement du 15 Mai. Et c’est peut-être Izquierda Unida (Gauche unie), la coalition ancrée à gauche du PSOE, qui pourrait profiter des retombées du mouvement.

 

Angela Merkel demande aux Espagnols de faire « des efforts »


En Europe, on voit ce mouvement d’un très mauvais œil. A commencer par la chancelière allemande Angela Merkel, qui n’a pas hésiter à railler, en termes peu amènes, « les Européens du Sud peu travailleurs », le 17 mai lors d’une manifestation de son parti : « Il faudrait que dans des pays comme la Grèce, l’Espagne, le Portugal, on ne parte pas à la retraite plus tôt qu’en Allemagne, que tous fassent un peu les mêmes efforts, c’est important ». Outre-Rhin, l’âge de la retraite a été porté à 67 ans. Et les conseillers économiques du gouvernement allemand préconisent de le fixer progressivement à 68 ou 69 ans. « Nous ne pouvons pas avoir une monnaie commune et accepter le fait que certains aient beaucoup de vacances et d’autres très peu », a-t-elle ajouté.

 

Un ton et des propos qui ne devraient pas plaire à ceux qui se reconnaissent dans le Mouvement du 15 mai... Et allant à contrario des données d’Eurostat, publiées par le Wall Street Journal le 14 février, révélant que les Grecs ont la plus longue semaine de travail en Europe, avec une moyenne de 42 heures, suivis par les Espagnols et les Portugais avec 39 heures par semaine. Sans oublier l’inégalité des salaires : 2980 euros bruts en moyenne en Allemagne contre 2260 euros en Espagne.

Malgré la répression policière et les dizaines de comparutions immédiates pour « trouble de l’ordre public et atteinte aux biens publics », les sit-in persistent. Comme le conclut le manifeste du Mouvement du 15 mai : « c’est mieux de risquer et de perdre, que de perdre sans avoir risqué ».

Sophie Chapelle

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20 mai 2011 5 20 /05 /mai /2011 11:48

 


 


de : Madrid
vendredi 20 mai 2011

 

Une foule de manifestants remplissait à nouveau, jeudi 19 mai au soir, la place de la Puerta del Sol, dans le centre de Madrid, occupée depuis trois jours par des milliers de personnes qui protestent contre les retombées de la crise économique et le chômage.

 

Répondant à des appels lancés sur des réseaux sociaux, les manifestants se relaient depuis mardi sur la place, où ils ont installé un village de tentes, qui a continué jeudi à s’étendre et à s’organiser.

 

La commission électorale espagnole (JEC) a appelé jeudi soir à une interdiction des manifestations de rue durant le week-end, au cours duquel doivent se dérouler des élections municipales et régionales, estimant qu"’elles sont contraires à la législation électorale". Selon les médias espagnols, la commission a voté par cinq voix contre quatre en faveur de cette interdiction à manifester, après plus de six heures de délibération.

 

La JEC affirme qu’il est de son devoir de garantir "la transparence et l’objectivité du processus électoral et le principe d’égalité". "Durant les journées de vote, notre législation interdit tout acte de propagande électorale", précise la Commission.


BEAUCOUP DE FRUSTRATION


Le ministre de l’intérieur, Alfredo Perez Rubalcaba, avait auparavant déclaré que le gouvernement attendait la décision de la commission pour donner ordre à la police de disperser les manifestants. Il avait toutefois indiqué que la police "cherchait plutôt à résoudre les problèmes qu’à en créer".

 

Surnommés "los indignados" (les indignés), des milliers de jeunes Espagnols se sont rassemblés pour la cinquième journée consécutive dans plusieurs villes du pays. Ce mouvement inédit marque un tournant dans un pays où jusqu’à présent la population manifestait rarement contre les difficultés économiques et exprime beaucoup de frustration face aux retombées de la crise et au chômage, qui atteint un taux record de 21,19 %, et grimpe à 45 % pour la tranche des 18-25 ans.

 

Les manifestants ont des revendications très disparates, parfois confuses, dénoncent le système politique dominé par deux grands partis, socialiste et conservateur, la "corruption des politiciens" ou réclament plus de justice sociale. Des rassemblements semblables, mais de moindre ampleur, sont organisés depuis le début de la semaine dans la plupart des grandes villes d’Espagne.

 

Selon le quotidien El Pais, les responsables du mouvement des jeunes ont convoqué une assemblée générale pour décider ou non de se plier à l’interdiction de manifester. Mais à la Puerta del Sol, à Madrid, épicentre de la contestation, la majorité des manifestants ont déjà décidé qu’ils poursuivraient la mobilisation ce week-end et demandent aux électeurs de ne voter dimanche pour aucun des deux grands partis du pays, le PSOE (socialiste) du président du gouvernement, José Luis Rodriguez Zapatero, et le PP (opposition de droite).

 

 

http://bellaciao.org/fr/spip.php?article117239

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