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25 mars 2012 7 25 /03 /mars /2012 16:05

Publié le vendredi 23 mars 2012 à 08h02

 

 

Philippe Poutou, le candidat du Nouveau parti anticapitaliste, tiendra un meeting aujourd’hui au théâtre de Furiani. Le successeur d’Olivier Besancenot livre des propositions pour la Corse contre la crise


Avec moins de 1% d'intentions de vote, le programme du NPA laisse-t-il les électeurs sceptiques ?


Le choix de présenter un candidat inconnu ne nous favorise pas, mais la politique n'est pas réservée à des professionnels. Nos préoccupations contre la crise et les politiques d'austérité recueillent bien plus d'assentiment que cela.


Avec l'égalité du temps de parole désormais en vigueur, pensez-vous améliorer votre score ?


Nos propositions vont franchir le blocage médiatique. Nous verrons alors qu'un candidat non professionnel qui défend des idées anticapitalistes est bien plus populaire que ce qui transparaît aujourd'hui.


Les 4 % atteints par Olivier Besancenot en 2007 vous paraissent-ils inaccessibles ?


Nous ne faisons pas de pronostics. Notre objectif est de convaincre les électeurs de refuser la politique de Nicolas Sarkozy, de ne pas accorder de confiance à François Hollande.


Lors du meeting de Furiani, quel discours tiendrez-vous à l'adresse des Corses ?


Il est organisé par nos camarades d'A Manca et nous reprenons leurs propositions comme le droit à l'autodétermination du peuple corse. C'est en levant progressivement la tutelle de Paris que les Corses mettront en place les lois dont ils ont besoin pour se protéger des spéculateurs et des mafias. Les gouvernements libéraux destinent la Corse à être le bronzodrome de l'Europe mais votre peuple mérite un autre avenir.


Vous militez pour la rupture démocratique, vos propositions pour l'île ?


Une réforme institutionnelle doit s'accompagner d'un véritable pouvoir législatif et la moralisation de la vie publique implique une refonte du code électoral. Le fonctionnaire de passage ne peut voter en lieu et place du peuple corse.


L'avenir énergétique fait débat avec le choix du combustible pour la future centrale de Lucciana, votre avis ?


Les alertes d'associations de l'environnement sur les effets sanitaires de la centrale du Vazziu auraient dû inciter à opter pour un autre choix. En Corse, il est possible de concilier emplois, environnement et indépendance énergétique.


Vous n'êtes pas favorable à l'augmentation des effectifs de police, quelles solutions avez-vous à offrir aux Corses confrontés fréquemment à la violence ?


A Manca dénonce le lien entre organisations politico-mafieuses et spéculation immobilière. La violence que connaît l'île est davantage liée aux appétits que suscite un développement basé sur le tourisme et l'économie résidentielle. La solution, c'est de promouvoir un schéma économique plus conforme aux intérêts populaires.


Êtes-vous pour l'officialisation de la langue corse ?


Cette revendication est légitime. La langue est un outil important pour bâtir la communauté de destin dont le peuple a besoin pour garantir sa survie, elle doit être préservée.


Veolia qui veut céder la SNCM pour l'euro symbolique ?


La Corse doit pouvoir maîtriser ses transports, c'est une nécessité stratégique. Si la CTC a la possibilité de mettre sur les rails une véritable compagnie régionale de service public, il ne faut pas hésiter.


En quoi vos idées diffèrent-elles de celles du Front de Gauche ?


Nous partageons des combats communs. Cependant, la dénonciation de la finance ne suffit pas. Le Front de Gauche laisse la question de la construction d'une majorité parlementaire avec les socialistes sans réponse. Nous devons dire clairement que nous refusons l'austérité de droite comme de gauche et que nous préparons une opposition de gauche unitaire à un gouvernement Hollande. C'est notre proposition au Front de Gauche et à Lutte Ouvrière.


Faut-il réformer le système de présentation des candidats à l'élection présidentielle ?


Nous sommes favorables à un parrainage d'électeurs, 50 000 par exemple, qui apporteraient leur « caution administrative ».


Comment sauvegarder l'emploi en suggérant l'interdiction des licenciements ?


Il y a urgence à mettre en place une politique pour l'emploi en commençant par retirer le droit exorbitant du patronat à licencier. Il faut réduire le temps de travail à 32 heures sans perte de salaire ni flexibilité. Tout salarié doit pouvoir disposer d'un emploi stable à plein-temps.

 

La campagne a-t-elle pris une autre tournure depuis la tuerie de Toulouse ?


Certains vont tenter d'en profiter pour faire disparaître les questions économiques et sociales. Aussi tragiques que soient ces meurtres que nous condamnons, il est impensable d'oublier les dégâts de la crise économique. L'Histoire nous apprend que ces périodes favorisent les replis racistes et la stigmatisation de l'autre. Il est urgent de s'unir pour combattre l'austérité et renverser la tendance actuelle.

 

http://www.corsematin.com/article/bastia/philippe-poutou-npa-la-corse-merite-mieux-que-detre-le-bronzodrome-de-leurope.613626.html

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25 mars 2012 7 25 /03 /mars /2012 16:03
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25 mars 2012 7 25 /03 /mars /2012 12:55

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25 mars 2012 7 25 /03 /mars /2012 12:53

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25 mars 2012 7 25 /03 /mars /2012 10:37
Le NPA et les Alternatifs s'associent pour présenter des candidatures communes sur les circonscriptions de Brest Ville et Brest Rural lors des élections législatives 2012.

Le NPA et les Alternatifs veulent poser des jalons pour tracer la voie d'une gauche en rupture avec les politiques capitalistes et libérales menées par les gouvernements au pouvoir ces dernières années. Une gauche sociale, démocratique, féministe et écologiste.

Les candidats NPA et Alternatifs défendront des propositions alternatives vraiment à gauche, anticapitalistes et anti productivistes.

Propositions qui répondent aux besoins des citoyens pour une autre répartition des richesses, par une véritable transition écologique et un refus du système capitaliste, inhumain au plan national et international : pour un moratoire et un audit citoyen de la dette, pour la défense et la consolidation des services publics, pour le refus de la marchandisation de la santé, pour développer le secteur public dans les maisons de retraite et les structures psychiatriques, pour la priorité à la culture, à l'éducation, à la recherche plutôt qu'aux dépenses d'armement.
Pour la sortie rapide du nucléaire civil et militaire, pour le développement des énergies alternatives, pour développer et soutenir l'agriculture paysanne et la pêche artisanale, pour lutter contre la dérive du « tout sécuritaire »...

Des candidats «  rouge et vert » :

- Sylvie GOURMELEN et Erwan QUELENNEC sur la circonscription de Brest Ville.

- Chris PERROT et Michèle LE ROUX sur la circonscription de Brest Rural.


Les candidats NPA et Alternatifs entendent porter la voix du peuple à l'Assemblée nationale, la voix de celles et ceux qui n'ont jamais le droit de cité dans cet hémicycle.

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25 mars 2012 7 25 /03 /mars /2012 10:25

24 mars 2012 à 18h35 

 

Plusieurs milliers de personnes - entre 3.000 et 10.000 selon les sources - ont manifesté ce samedi après-midi à Nantes contre le projet de nouvel aéroport de Notre-Dame-des-Landes, sous haute surveillance policière, de crainte de débordements.


 

Les manifestants, au nombre de 3.000, selon la préfecture, et de 10.000, selon les organisateurs, dont certains sur quelque 200 tracteurs, ont défilé de 13 h à 16 h avant de tenir meeting au milieu du Cours des 50 otages, une des principales artères nantaises.

Devant une reconstitution en terre, arbres et végétaux d'un "coin de bocage", avec vaches et chevaux, les organisateurs de toutes obédiences, autant agriculteurs qu'écologistes ou anarchistes, ont parlé sur une même tribune, pour demander l'arrêt du projet d'aéroport et de tous les "grands projets inutiles".

Ambiance festive


"C'est une réussite, on attendait une mobilisation, un soutien, et on l'a eu", a estimé Dominique Fresneau, porte-parole du collectif des organisateurs de la manifestation. Les discours devaient être suivis de concerts et animations jusqu'à 22 h.
Dès la mi-journée, plus de 200 tracteurs, selon les organisateurs, accompagnés de vélos, de piétons et d'animaux dont des vaches, ont bruyamment convergé en cortèges sur la ville en empruntant trois grands axes - deux venant du nord et un du sud. Des pancartes jaunes et rouges "Non à l'aéroport" étaient fixées sur les carrosseries. Les trois cortèges se sont retrouvés devant la préfecture de Nantes d'où la manifestation a commencé dans une ambiance festive, sur fond de percussions et de klaxons.

Possibles débordements


Pour parer à tout débordement, la préfecture avait mobilisé plus d'un millier d'hommes ainsi qu'un hélicoptère de surveillance et des canons à eau. Un policier en civil a été pris à partie le long du cortège par des jeunes cagoulés en noir et des jets de peinture ont eu lieu le long du cortège, encadré par de très importantes forces de police.


La manifestation était appelée par les principales associations d'opposants à l'aéroport, ainsi que des syndicats et des groupes politiques comme Europe Ecologie-Les Verts (EELV), les Alternatifs, la Confédération Paysanne, Attac ou le Parti de Gauche. L'aéroport contesté, qui doit remplacer l'actuel aéroport de Nantes Atlantique, doit être construit d'ici à 2017 par le groupe Vinci à Notre-Dame-des-Landes, à 30 km au nord de Nantes.

 

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/nantes/nantes-plusieurs-milliers-de-personnes-contre-l-aeroport-24-03-2012-1644357.php

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24 mars 2012 6 24 /03 /mars /2012 14:12

Alors que trois cadres du NPA ont signé ce jeudi une tribune dans Libération appelant les militants à rejoindre le représentant du Front de gauche Jean-Luc Mélenchon, Philippe Poutou a affirmé mercredi soir lors d’une visite à Grenoble qu’il ne changerait rien à sa stratégie.


La journée de mercredi promettait d’être sportive : après avoir rencontré des salariés de Swisstex à Romans en matinée, Philippe Poutou s’est rendu sur le campus de Grenoble pour tenir une réunion publique devant près de 200 étudiants. Une manière de marquer sa différence avec les autres candidats qui délaissent souvent les bancs de la fac.


Offensif, celui qui promet de "faire péter la logique libérale et le règne du capitalisme" a même alterné entre plaisanteries et autodérision pour capter son jeune auditoire. "Après le facteur, vous avez l’ouvrier", s’amuse Philippe Poutou. Crédité de 0, 5 % des voix selon les derniers sondages, contre 10, 5 à 11% pour son rival Jean-Luc Mélenchon, Philippe Poutou a plus que jamais besoin de convaincre. Et de faire ses armes à travers des rencontres de proximité. Après la fac, le candidat du NPA s’est offert une petite pause avec son staff, avant de rejoindre une manifestation pour le logement des sans-papiers en centre-ville.


"Après le dépôt des 500 signatures, nous entrons dans une nouvelle phase où nous pourrons profiter du temps de parole égalitaire qui nous est accordé pour mettre en lumière toutes les luttes que l’on peut…", rappelle le candidat, arrivé en jean et T-shirt au beau milieu des passants. Autour de lui, aucun garde du corps, mais quelques militants qui veillent à ce que les caméras ne demeurent pas trop près de leur candidat. "On ne s’habitue jamais vraiment à ça", glisse M. Poutou, un sourire timide en direction des journalistes.


Aux curieux qui lui parlent du Front de Gauche, le candidat du NPA martèle : "Pour nous, la révolution ne se fera pas dans les urnes comme le pense M. Mélenchon, mais dans la rue, avec des rassemblements et des collectifs citoyens". Il ajoute : "La première manche est de dégager Sarkozy, mais comme il n’y a rien à attendre du PS, nous travaillons déjà à bâtir une opposition qui rassemble toutes les forces à la gauche de la gauche".


Reste que ce rassemblement semble déjà bien compromis par la défection de trois anciens cadres du parti (Myriam Martin, Pierre-François Grond et Hélène Adam) annoncée hier soir. Interrogé à plusieurs reprises lors de son meeting qui se tenait ce soir-là à Saint-Martin-d’Hères devant une centaine de personnes, Philippe Poutou a tenu à maintenir le cap : "Je ne leur en veux pas.

 

C’est un désaccord politique qui doit pouvoir s’exprimer, même si on peut le regretter. Il y aura bien sûr des morceaux à recoller mais on ira jusqu’au bout car on a une bataille à mener". Le combat continue, même si certains pestent déjà en coulisses contre "un mauvais coup".

 

http://www.npa2009.org/content/poutou-maintient-le-cap-malgr%C3%A9-les-remous-m%C3%A9tro

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24 mars 2012 6 24 /03 /mars /2012 14:04

 

"Partisan de l’unité de la gauche radicale", Olivier Besancenot, soutien actif de Philippe Poutou, réagit à la tribune de dirigeants du NPA appelant jeudi 22 mars à voter pour Jean-Luc Mélenchon. "L'unité est un combat", dit-il.


Mercredi 21 mars, la nouvelle tombait. Le lendemain, des dirigeants du Nouveau parti anticapitaliste, dont Philippe Poutou est le candidat officiellement investi, s’exprimaient dansune tribune pour appeler à voter Jean-Luc Mélenchon, candidat du Front de gauche, dès le premier tour de l’élection présidentielle

.

En meeting à Evreux pour battre la campagne pour Philippe Poutou, le double-candidat à l’Elysée Olivier Besancenot a réagi en exclusivité pour FTV 2012, admettant que "la dynamique est du côté du Front de gauche".


Comment réagissez-vous à la tribune appelant à voter pour le Front de gauche et Jean-Luc Mélenchon?


Olivier Besancenot. C’était un peu attendu. Nous on ne peut rien faire d’autre que d’acter la décision de ces camarades sans injurier l’avenir. On espère que nos routes se recroisent rapidement. Nous, on continue à mener une campagne qui reste plus indépendante et plus à gauche que celle du Front de Gauche.


Quid alors de l’avenir du NPA?


Il faudra poser la question à eux, aux auteurs de cette tribune. Ils ont visiblement pris une décision et fait leur choix. Celui de quelques camarades de la direction. Il ne s’agit ni de pleurer ni de rire mais de comprendre. On doit poursuivre la campagne et chercher à démontrer dans les faits qu’on peut continuer à offrir une alternative politique concrète. Je pense que c’est plus efficace que tous les discours du monde.


Vous étiez pourtant favorable, à l’origine à une candidature commune de la gauche de la gauche?


Je suis un partisan de l’unité de la gauche radicale et étais favorable à une candidature unitaire. C’est une question politique et l’unité est un combat. L’unité doit se faire sur un contenu. Lutte ouvrière nous a dit non, et avec Jean-Luc Mélenchon, nous n’avons même pas pu en parler, il rêvait déjà tellement d’être candidat.


Le Front de gauche est néanmoins mieux placé que le NPA.


Je ne vais pas nier que la dynamique est du côté du Front de gauche. Tant mieux si cela peut redonner du courage à des militants. Mais si on se débarrasse de Nicolas Sarkozy, on sait tous qu’avec le PS, ça ne changera rien ou pas grand-chose. Il faut un front social - appelez-le comme vous voulez - à la gauche d’un éventuel gouvernement socialiste. Et le NPA en sera.

 

http://www.npa2009.org/content/pour-olivier-besancenot-la-dynamique-est-pour-le-front-de-gauche-de-jean-luc-m%C3%A9lenchon


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24 mars 2012 6 24 /03 /mars /2012 13:42

Par Rédaction (23 mars 2012)


Alors que s’achève le Forum alternatif mondial de l’eau à Marseille, la Via Campesina réaffirme le droit à l’eau.

 

Pour ce mouvement international qui rassemble des millions de paysannes et de paysans, de petits producteurs, de sans terre, de jeunes du monde rural, ou de travailleurs agricoles, l’eau est un bien commun au bénéfice de tous les être vivants. Il doit être soumis à une gestion publique, démocratique, locale et soutenable.


Nous, organisations paysannes de différents pays du monde, membres de La Via Campesina nous sommes rencontrés du 12 au 17 mars 2012 à l’occasion du Forum Alternatif Mondial de l’eau à Marseille, en France. Des délégués venus entre autres de Turquie, du Brésil, du Mexique, du Mali, ont exprimé la détresse des « affectés » environnementaux et particulièrement, ceux qui sont touchés par la construction des barrages, les gaz de schistes, les mines, l’accaparement, la marchandisation, la rareté de l’eau, les pollutions généralisées, les répressions et les meurtres envers les militants défenseurs de l’eau.


Nous revendiquons que le droit « de » et « à » l’eau soient respectés dans le cadre de la souveraineté alimentaire. Le droit « de » l’eau étant le respect permanent du cycle de l’eau dans son intégralité.


Nous affirmons que la privatisation et la marchandisation de l’eau et de tout autre bien commun (semences, terre, connaissances locales et traditionnelles, etc.) sont un crime contre la terre et l’humanité. Les grands projets de barrage et de centrales hydroélectriques emprisonnent et accaparent l’eau, ne tenant compte ni des besoins, ni des pratiques traditionnelles ni de l’opinion des communautés locales, et faisant fi de la préservation de l’écosystème.


Les crises de l’eau, de la biodiversité, les crises sociales, énergétiques et financières sont toutes liées et sont les conséquences du néolibéralisme et du modèle d’agriculture industrielle promu par les institutions financières internationales (Banque Mondiale, Fond Monétaire international, Organisation Mondiale du Commerce), les traités de libres échanges, le Conseil Mondial de l’Eau, les multinationales et la majorité des gouvernements.


L’économie verte est une fausse solution face au changement climatique et à la pénurie d’eau. La marchandisation de l’eau, du carbone, de la biodiversité, les OGM, les nanotechnologies, la géo-ingénierie [1] sont les nouveaux débouchés du néolibéralisme pour répondre aux crises. La fuite en avant continue alors que ces réponses technicistes et marchandes sont les principales responsables des chaos écologiques et sociaux que nous subissons.


Le modèle de production industrielle, les monocultures, l’agrochimie, ont pollué nos eaux, mis en péril notre santé. Nous défendons les pratiques agro-écologiques et l’agriculture paysanne qui mettent en pratique la souveraineté alimentaire et contribuent à la préservation et l’utilisation soutenable de l’eau.


L’eau est un bien commun au bénéfice de tous les être vivants et doit être soumise à une gestion publique, démocratique, locale et soutenable [2]. Les connaissances locales et traditionnelles de gestion de l’eau, qui protègent et considèrent l’écosystème dans sa globalité, existent depuis des millénaires. Elles ont fait preuve au fil du temps de leur efficacité. Les politiques publiques et les lois sur l’eau doivent reconnaître et respecter ces connaissances.

Pour la souveraineté alimentaire : stop à l’accaparement de l’eau !


La Via Campesina

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24 mars 2012 6 24 /03 /mars /2012 13:36

Par Rachel Knaebel (23 mars 2012)


Les études se suivent et se ressemblent en Allemagne, et montrent à quel point la précarité s’étend dans la population. Mi-mars, l’Institut allemand sur le travail (IAQ) soulignait encore la progression des bas salaires dans le pays : près d’un salarié sur quatre, soit quelque 8 millions de personnes, gagnait moins de 9,15 euros brut de l’heure en 2010.

 

Donc moins que le Smic horaire français (9,22 euros) ! 4 millions d’entre eux travaillaient même pour moins de 7 euros brut, et 1,4 million pour moins de 5 euros… Cette main-d’œuvre ultracompétitive est en passe de concurrencer les salariés chinois !


Sans surprise, les femmes et les Allemands de l’Est [1] sont les plus touchés par ces ridicules rémunérations. Le nombre de travailleurs à bas salaire a augmenté de 2,3 millions en Allemagne entre 1995 et 2010.

 

Dans un contexte où l’âge légal de départ à la retraite va progressivement passer de 65 à 67 ans. Ce qui promet de sympathiques pensions pour ces 8 millions de salariés.

Notes

[1] Où un salaire est considéré comme bas quand il est inférieur à 7,04 euros brut de l’heure, le seuil est à 9,54 euros à l’Ouest.

 

http://www.bastamag.net/article2229.html

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