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1 septembre 2010 3 01 /09 /septembre /2010 12:20

1er septembre 2010 Le Télégramme

Syndex, cabinet d'expert-comptable mandaté par les élus du comité d'établissement de la fédération ADMR, placée sous procédure de sauvegarde depuis fin 2009, a présenté l'audit mené sur l'ensemble du réseau, hier, à Saint-Ségal, au cours d'une réunion tendue.

 

Cette étape fait préambule à la réunion extraordinaire du comité d'établissement, programmée, aujourd'hui, à Saint-Ségal également. Le plan de restructuration du réseau (une fédération et 92 associations) et le plan social qui concerne 84 des 135 salariés fédéraux seront avancés par YvesDerrien, président du conseil d'administration et du CE. «Cela se fait dans la continuité de la réunion avortée du 15juin, à Guipavas», a-t-il indiqué.

Les élus du CE consternés

«Lundi, le conseil d'administration a validé les comptes de la fédération présentés par le cabinet Price, pour 2009. Le commissaire aux comptes, dans l'attente de précisions, ne les a pas certifiés mais ils sont conformes à ceux donnés par Syndex».

 

Toutefois, Yves Derrien ne nous les communiquera pas. «Je ne souhaite pas qu'ils soient étalés dans la presse». À l'issue de la réunion du CE, hier, les représentants du personnel se sont dits consternés par la qualité des échanges et de l'information. «Nous voyons bien qu'il y a de nombreux dysfonctionnements dans la procédure. Nous attendions beaucoup de réponses. Nous en avons eu très peu. Aujourd'hui, un plan social va être amorcé sans que nous ayons connaissance de l'état comptable 2009 et début 2010 du réseau...».

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1 septembre 2010 3 01 /09 /septembre /2010 12:17

 

1er septembre 2010 Le Télégramme


Depuis ce matin, une employée du Pôle emploi de Concarneau occupe son poste malgré la fin de son contrat aidé. Cette quinquagénaire bénéficiant du statut de travailleur handicapé devait cesser le travail le 31 août après 12 ans de collaboration avec l'ex-ANPE.

 

Affirmant n'avoir jamais signé son dernier CDD entamé début mars, elle a décidé de se maintenir à son poste sa situation valant, selon les syndicats qui la soutiennent, une requalification en contrat à durée indéterminée. La direction de l'agence a fait constater cette occupation par un huissier tandis que le reste du personnel doit se réunir en fin de matinée pour décider d'une action à mener, un préavis de grève pourrait ainsi être déposé.

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1 septembre 2010 3 01 /09 /septembre /2010 12:13

1er septembre 2010 - Le Télégramme


À l'appel de l'association Baie de Douarnenez Environnement, avec le renfort d'une trentaine d'autres associations régionales, un rassemblement est organisé «pour un vrai programme contre les algues vertes», le dimanche 19 septembre, sur la plage de Sainte-Anne-la-Palud, à Plonévez-Porzay (29).

 

«Les marées vertes ne sont pas une fatalité. Les études multipliées, les programmes successifs ont prouvé leur inefficacité. Des actions préventives sont possibles. Mais pour l'instant l'État fait la sourde oreille. Les pratiques agricoles doivent changer et pour cela, les agriculteurs ont besoin d'être aidés», expliquent les promoteurs de cet événement.

 

Pique-nique, à 13 h, puis rassemblement à 15 h, en présence du comédien militant Jean Kergrist et de la troupe Bococo.

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1 septembre 2010 3 01 /09 /septembre /2010 12:10

1er septembre 2010 - Le Télégramme


À la veille de la rentrée, le FSU, un des syndicats de l'enseignement, est fréquemment sollicité par des professeurs de collèges et lycées des Côtes-d'Armor, notamment depuis l'annonce des affectations des enseignants stagiaires, jeudi 26 août.

 

À l'IUFM de Saint-Brieuc, hier matin, Brigitte Jacob, co-secrétaire de la FSU 22 a senti «l'inquiétude» chez les nouveaux professeurs. Certains stagiaires ignorent concrètement le nombre d'heures qu'ils auront à faire.

 

Trois professeurs remplaçants costarmoricains ont appris que le poste qu'ils pensaient occuper toute l'année était attribué, le 26 août, à un stagiaire. Pas idéal pour préparer ses cours. Avec les nouveaux programmes en seconde ou encore la mise en place de l'accompagnement personnalisé, les questions sont nombreuses.

 

«On gère la détresse des gens mais elle a déjà l'air formidable cette rentrée!», formule Brigitte Jacob qui assure n'avoir jamais vu une situation si chaotique. Le FSU appelle à la grève lundi 6 septembre et à un rassemblement des professeurs costarmoricains le même jour, à 10h30, devant l'inspection académique de Saint-Brieuc, pour faire un premier état des lieux.

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1 septembre 2010 3 01 /09 /septembre /2010 11:46

1er septembre 2010 - Le Télégramme

Suite de notre série consacrée à la rentrée scolaire. Aujourd'hui, gros plan sur l'école maternelle et l'épineuse question de la scolarisation dès deux ans.

En cette rentrée, 34% des enfants bretons entre deux et trois ans fréquenteront les bancs de l'école maternelle. C'est quasiment cinq points de moins que l'an dernier. Et à la rentrée 2011, ils ne seront plus que 31%. La baisse de la scolarisation des enfants de deux ans se poursuit donc, inexorablement. La Bretagne, qui avait le taux de scolarisation à deux ans le plus élevé de France, perd sa spécificité. En trois-quatre ans, il a été divisé presque par deux.

Aucun interlocuteur

«C'est une volonté d'exclure les enfants de deux ans de l'école, une volonté qui va contre l'attente des familles et des collectivités territoriales», assure Jacques Brillet, secrétaire général adjoint du SNUipp-FSU et membre du collectif Maternelles en danger. Malgré une pétition signée par 20.000 familles et les délibérations de 660 conseils municipaux, rien ne semble, en effet, devoir arrêter cette tendance.

 

«Nous n'avons aucun interlocuteur, ni le recteur, ni les préfets, ni le ministre ne veulent nous recevoir», déplore JacquesBrillet. Le recteur de l'académie de Rennes, Alain Miossec, ne fait pas mystère de cet objectif de réduire sensiblement la scolarisation des enfants de deux ans. «Pour des raisons budgétaires et pédagogiques, nous ne pouvons plus accueillir tous les enfants de deux ans», déclarait-il lors de la rentrée dernière, dans nos colonnes. L'ancien ministre de l'Éducation, Xavier Darcos, s'était, lui, placé sur un autre terrain estimant que le rôle des enseignants n'était pas de «changer les couches». Forcément, les enseignants y ont vu un mauvais procès et du mépris. Et, surtout, une manière simpliste de mettre fin au débat sur l'intérêt ou non d'une scolarisation des enfants dès deux ans.

Principe d'égalité

Ce débat, le collectif Maternelles en danger entend continuer à le porter. D'autant qu'aucune alternative n'est proposée aux familles. «C'est une question importante. Ce n'est pas par hasard si ce sont les enfants des catégories les plus aisées qui sont les plus scolarisés dès deux ans. Ces familles savent qu'il y a un intérêt».

 

Un certain nombre de communes ont décidé de faire de la résistance. À Langonnet (56), pas question de refuser un enfant de deux ans s'il est propre. «C'est le maire qui inscrit les enfants. Nous appliquons la loi et accueillons les enfants s'ils ont deux ans révolus. Il s'agit d'un principe d'égalité», explique Anne-Marie Gloaguen, adjointe. Pour l'heure, l'élue reconnaît que la municipalité n'a pas été l'objet de pression de la part de l'Éducation nationale. Mais ce n'est, semble-il, pas le cas partout.

 

À suivre demain De nouveaux rythmes scolaires à l'essai

  • Yvon Corre

Note du blog:

 

Le gouvernement peut remercier les "spécialistes" qui matraquent depuis quelques années que les enfants de 2 ans sont trop petits pour aller en maternelle: "pas assez socialisés". Alors que bien sûr la maternelle est précisément là pour les socialiser, leur faire oublier leur relation "tyrannique" à leur mère, leur faire accepter le partage, la coopération avec d'autres petits "amis" et pas "ennemis".

 

Deuxio, en Bretagne, il y a un problème de "conflit linguistique". Celui entre le breton et le français est résolu par l'extinction du breton. Gagné! Mais le breton n'a pas complètement disparu. Il reste l'accent et plein de traits spécifiques dans le "français populaire" de Bretagne. Sans compter les petits immigrés qui eux aussi n'entendent pas de français standard à la maison. Or il est évident, quoiqu'on pense des patois, langues et dialectes, que parler autrement que le français standard est discriminant dans une société jacobine comme la nôtre.

 

Tercio, le besoin d'école et particulièrement de maternelle est tout naturellement  fort en Bretagne, que ce soit en pays "bretonnant" comme en pays "gallo". L'instit est souvent le seul avec la télé, qui ne parle pas si bien que cela, à offrir aux enfants un niveau de langage conforme à ce que la société attend de l'enfant pour s'intégrer "par le haut". (Ceci dit encore sans mépriser le parler populaire ou "relâché").


Or, les études ont prouvé que l'enfant, pour répéter un bon niveau de langage, doit être dans un petit groupe, sinon ce n'est pas le français de l'instit qu'il réemploie, mais celui de ses copains!  Non seulement il faut des maternelles, mais des petits effectifs, sinon pas de "bon français". Et donc pas d'intégration "valorisante" dans la vie sociale et professionnelle. Ce qui est la cadet des soucis du gouvernement, j'en conviens!

 

 

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31 août 2010 2 31 /08 /août /2010 10:29

 

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31 août 2010 2 31 /08 /août /2010 10:26

 

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31 août 2010 2 31 /08 /août /2010 10:13


mardi 31 août 2010

Ils doivent être présentés aux élus, ce mardi, à Saint-Ségal, lors d'un comité d'entreprise fédéral. Demain, place au plan de réorganisation et de licenciements.

« Un PSE bénéfique »


« Nous avons besoin que ces deux réunions se passent bien. Il faut que ce plan social soit bénéfique ». Cet élu du comité d'entreprise de la fédération d'Aide à domicile en milieu rural (ADMR) attend beaucoup de la présentation des comptes inscrite au programme du CE, ce mardi, à Saint-Ségal. « Un expert-comptable de Syndex, cabinet que nous avons sollicité en juin dernier, sera présent. De même qu'un commissaire aux comptes. Nous n'allions pas nous prononcer sur un dossier économique avant d'avoir eu connaissance des chiffres définitifs », explique-t-il. Le salarié dénonce la manière dont est conduit ce dossier : « Nous sommes dans le flou total, au niveau des comptes mais également de la restructuration ». Restructuration qu'il juge pourtant comme inévitable, mais pas à n'importe quel prix : « Les administrateurs fédéraux veulent aller vite, sans respecter les salariés. Jusqu'à présent, nous n'avons eu aucune garantie sur la pertinence de leur choix ».

 

51 postes supprimés

Le plan de retour à l'équilibre prévoit le « reclassement » de 51 postes, soit le tiers de l'effectif de la fédération. Chaque président d'association a reçu, en juin, un courrier leur demandant de recruter les personnes issues de la fédération dont les postes seraient supprimés. « Avant même que cette proposition soit validée dans les instances, » contestent alors les élus du comité d'entreprise et du CHSCT (1).

 

D'autre part, les associations n'ont aucune obligation à reprendre le personnel fédéral. Et elles n'en ont pas les moyens ». Associations parfois mises dans une situation financière délicate en raison de la péréquation : un système de répartition financière géré par la fédération faisant payer les structures saines au profit des plus fragiles. Provoquant des situations négatives pour certaines associations.

En procédure de sauvegarde depuis 7 décembre 2009


Un passif de 900 000 € en 2008 et d'1,7 million d'euros en 2009 : composée de 130 salariés, la fédération départementale d'Aide à domicile en milieu rural a été placée sous procédure de sauvegarde, le 7 décembre 2009, par le tribunal de grande instance de Brest. L'objectif de la procédure étant de réorganiser, de maintenir les emplois et d'apurer le passif.

 

Au mois de juin, le tribunal a répondu positivement à la demande faite par la fédération de prolonger de six mois la procédure de sauvegarde. L'ADMR, c'est aussi un réseau de 92 associations locales, 3 700 salariés, 28 000 personnes aidées et 10 millions d'euros de pertes cumulées en 2009. Repas, ménage, aides aux familles... A la demande de l'État, les personnels se sont qualifiés, générant une hausse des salaires de 10 à 15 % depuis trois ans.

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31 août 2010 2 31 /08 /août /2010 10:06

Par Thierry Pierret le Samedi, 28 Août 2010 PDF Imprimer Envoyer

Les négociations pour la formation du gouvernement achoppaient sur de grandes difficultés à l’heure d’écrire ces lignes. S’il est impossible à ce stade d’en prévoir l’issue, on peut déjà discerner les dangers de certaines mesures pour la cohésion sociale et le bien-être de la population. La N-VA de Bart De Wever, forte de son raz-de-marée électoral du 13 juin, était déterminée à déplacer le centre de gravité du niveau fédéral vers les « entités fédérées ».

 

Dans le système actuel, le pouvoir fédéral a tous les pouvoirs sauf ceux qu’il délègue explicitement aux « entités fédérées ». Il lève les principaux impôts dont il leur alloue une partie du produit via des dotations. La N-VA veut renverser la pyramide : tout le pouvoir et tout l’argent aux « entités fédérées » sauf les matières qui seraient explicitement confiées au Fédéral avec dotations à la clé.

Un imbroglio institutionnel

 Le problème, c’est que lesdites entités fédérées sont doubles : il y a les Régions qui s’occupent de matières liées à un territoire et les Communautés qui s’occupent de matières liées à des personnes. Si les Communautés exercent sans partage leurs compétences dans la région linguistique unilingue qui leur correspond, les Communautés flamande et française se font concurrence dans la région bilingue de Bruxelles-Capitale. Tous les habitants, quelle que soit leur langue, y ont un accès égal aux services des deux Communautés.


La coexistence de Régions et de Communautés fait obstacle au projet de la N-VA, car elle implique la prééminence du niveau fédéral sur les entités fédérées. Plus on leur transférera de compétences et de moyens budgétaires, plus cette coexistence deviendra problématique voire impossible. Or le préformateur Elio di Rupo a déjà mis sur la table un transfert de compétences pour une masse budgétaire de 15,8 milliards d’euros. La question est de savoir quelles entités vont en bénéficier et à quelles conditions. La polémique sur les allocations familiales est assez révélatrice des difficultés et des dangers à venir.

Un enfant égalera-t-il encore son propre frère ?

Les négociateurs se sont vite mis d’accord sur le principe du transfert des allocations familiales. Mais une polémique a éclaté lorsque la N-VA a exigé leur transfert aux Communautés plutôt qu’aux Régions comme le souhaitent la plupart des autres partis. Si la N-VA devait avoir gain de cause, cela signifierait que deux familles bruxelloises habitant le même palier toucheraient des allocations différentes pour leurs enfants selon qu’ils les ont placés dans une crèche de l’ONE ou de K&G.

 

Les enfants d’une même famille pourraient même dépendre de régimes différents si l’un a été placé à l’ONE et l’autre à K&G ! En effet, c’est le critère proposé par la N-VA pour distinguer les enfants qui dépendraient de l’un ou de l’autre régime d’allocations familiales. Cela impliquerait de rendre obligatoire le placement en crèche alors qu’il y a un manque criant de places à Bruxelles comme ailleurs dans le pays. Et que se passera-t-il si les parents inscrivent plus tard leur enfant dans une école maternelle qui ne dépend pas de la même Communauté que sa crèche ? Vont-ils basculer dans l’autre système ? Une autre « solution » serait d’obliger tous les Bruxellois à déclarer officiellement leur appartenance linguistique. Cela mettrait fin à la liberté de choix et ouvrirait la voie à un véritable apartheid social.

Une mesure antisociale

Quelle que soit la solution retenue, les allocations familiales sortiront du giron de la Sécurité sociale puisque la Sécu reste fédérale. Cela signifie qu’elles seront désormais financées par l’impôt et plus par les cotisations sociales. Il y a fort à parier qu’on en profitera pour accorder une nouvelle baisse de charges sociales aux patrons. Ils pourront garder l’argent qu’ils payaient pour financer les allocations familiales de leurs salariés.

 

En revanche, ceux-ci vont devoir payer des impôts plus élevés pour avoir droit aux mêmes allocations qu’avant. A moins qu’on ne diminue drastiquement leur montant. C’est ce qui se passera certainement à Bruxelles et en Wallonie. En effet, ces deux entités n’ont aucune raison de mener une politique nataliste vu que la natalité y est en hausse.

 

A Bruxelles, on frôle même le taux de remplacement des générations avec 2,06 enfants par femme. Or ce sont aussi les deux entités qui ont le moins de marges budgétaire. Le transfert des allocations familiales aux entités fédérées est aussi une première brèche dans la solidarité interpersonnelle nationale que d’aucuns vont s’efforcer d’élargir à d’autres pans de la Sécurité sociale comme l’assurance maladie/invalidité. On parle déjà d’élargir les compétences des Communautés en matière de soins de santé…

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31 août 2010 2 31 /08 /août /2010 10:04


En se sur-endettant auprès de riches capitalistes (plutôt qu'en imposant ces derniers) les collectivités et l'état espagnol n'arrivent plus à payer les entreprises qui travaillent pour elles.

Dés lors l'enchainement est implacable, ces dernières entreprises licencient , c'est la réaction en chaîne.

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