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18 mars 2011 5 18 /03 /mars /2011 14:09
Faits de société jeudi 17 mars 2011

« Les jeunes dans la galère, les vieux dans la misère ! » ou « Les prix flambent, les retraites flanchent ! » Les slogans des retraités ont la vie dure. Ce jeudi matin, une centaine d’entre eux, à l’appel de la CGT et de la FSU, arpente les quais, à Quimper (Finistère). Les revendications montrent combien le fossé se creuse : depuis vingt ans, les retraités ont perdu 25 % de pouvoir d’achat.

 

Au micro, place de La Résistance, Marie-Andrée Bernard donne le « la ». La militante liste les augmentations de prix : « Gaz, électricité (20 % en un an), alimentation, dépenses de soins avec les franchises qui explosent, les mutuelles santé (entre 5 et 8,5 %) transports, logement, impôts, loisirs. » Au passage, elle rappelle que « les retraites des femmes représentent 67 % de celles des hommes. Que 64 % des femmes touchent moins de 900 € par mois, une sur trois, moins de 700 €. »

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18 mars 2011 5 18 /03 /mars /2011 14:02

 

 

vendredi 18 mars 2011
Le syndicat CGT des aides à domicile du Finistère appelle l'ensemble des salariés à cesser le travail, entre 12 h et 14 h, ce vendredi 18 mars. La CGT se joint donc à la CFDT santé sociaux dans son appel à la grève lancé le mercredi 16 mars.

La CGT appelle tous les salariés à se rassembler ce vendredi, à 14 h, au juvénat à Châteaulin, pour accompagner leurs délégués, à l'occasion de l'assemblée générale de la fédération.

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18 mars 2011 5 18 /03 /mars /2011 11:36

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CFDT -  CGT – FSU – SOLIDAIRES – UNSA


La situation sociale est grave : 5 millions de demandeurs d’emploi, 8 millions de français vivant sous le seuil de pauvreté, accroissement de la précarité, conditions de travail dégradées… L’accroissement des inégalités et des injustices mine la cohésion sociale. L’absence de perspectives, un dialogue social insuffisant, provoquent interrogations et désarroi face à l’avenir.

Dans ce contexte, les organisations syndicales, ne peuvent rester indifférentes à l’utilisation de la situation sociale pour promouvoir certaines thèses dans le débat public comme le fait le Front national. La thèse de la préférence nationale est antinomique avec les valeurs fondamentales du syndicalisme. L’exclusion, le rejet de l’autre, le repli de la France sur elle-même et la fermeture des frontières, la désignation de boucs émissaires, la dénonciation de l’immigration comme responsable de tous les maux sont des attitudes qui, l’histoire en témoigne, ne peuvent conduire qu’au pire.

Les organisations syndicales agissent quotidiennement pour rechercher et exiger des réponses face à cette situation sociale ; en matière d’emploi, de pouvoir d’achat, d’égalité des droits… Leur action est portée par les valeurs qui sont celles du syndicalisme au cœur desquelles figurent la solidarité entre tous les salariés et la lutte contre toutes les formes de discrimination.

Les organisations syndicales CFDT – CGT – FSU – SOLIDAIRES – UNSA sont déterminées à empêcher l’instrumentalisation du syndicalisme par le Front national qui n’est pas un parti comme les autres et dont les orientations sont à l’opposé des valeurs qu’elles portent. Les organisations syndicales sont aussi garantes du respect de ces valeurs au sein de leurs organisations et par leurs militants.

Le 17 mars 2011

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18 mars 2011 5 18 /03 /mars /2011 11:33

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17 mars 2011 4 17 /03 /mars /2011 12:03

La crise nucléaire au Japon renvoie inévitablement à Tchernobyl. Pourtant, les scénarios diffèrent pour le moment. Explicateur.

Le réacteur numéro quatre de la centrale nucléaire de Fukushima-Dai-Ichi 1, au Japon, en octobre 2008 (Kyodo/Reuters).

Certes le président de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) française a estimé qu'on était désormais dans une catastrophe de niveau 6 (« accident grave ») sur une échelle internationale qui n'en compte que 7, le dernier étant celui atteint une seule fois dans l'Histoire, en 1986 en Ukraine, à Tchernobyl. Mais l'échelle de gravité ne dit pas tout.

Sur l'origine de la catastrophe

A Tchernobyl, le 26 avril 1986, l'incident est venu de l'intérieur, d'un emballement du réacteur alors que la centrale était en marche et effectuait un exercice. Une série d'erreurs humaines lors de cet exercice de sûreté a déclenché une suite d'événements incontrôlables. Le réacteur de Tchernobyl était déjà assez instable à bas régime, l'expérimentation a fragilisé encore plus le système.

Mycle Schneider, consultant indépendant, explique :

« C'est une combinaison de facteurs humains et de conception. Manuellement, les systèmes de sûreté ont été stoppés. En 4 secondes, le réacteur a atteint environ cent fois sa puissance habituelle, une libération d'énergie, donc une explosion, qui a ensuite entraîné la destruction du réacteur. »

A Fukushima, le 11 mars 2011, l'incident est venu de l'extérieur : c'est le tsunami qui a provoqué l'avarie, et alors que la centrale avait été stoppée au moment du séisme juste avant. L'arrêt des réacteurs aurait fonctionné comme prévu, selon les autorités. En revanche, c'est le système de refroidissement qui n'a pu se mettre en marche à cause du défaut d'électricité.

Sur le type de centrale

Michèle Rivasi a déjà expliqué pourquoi, selon elle, une « réaction de type Tchernobyl est envisageable » :

« Si le cœur entre en fusion, il risque de faire fondre la cuve du réacteur. […] Si l'enceinte a été détruite par l'explosion, il n'y a plus de barrière au relâchement de particules radioactives. »

Néanmoins, la députée européenne (EELV) précise qu'il y a deux différences importantes dans la conception des centrales :

  • Tchernobyl est une centrale « RBMK » qui comprend du graphite, et non une centrale à eau bouillante comme au Japon. Le graphite a alimenté un incendie durable ;
  • il n'y avait pas d'enceinte de confinement en Ukraine, c'est-à-dire une double couche de béton.

Sur le déroulé de la catastrophe

« Fukushima se situe entre Tchernobyl et Three Mile Island en termes de mécanisme de déroulement », selon Mycle Schneider : il y a explosion d'hydrogène comme à Tchernobyl (mais pas d'emballement) et fusion du cœur comme à Three Mile Island (où il n'y a pas eu d'explosion).

Ce qui reste inquiétant : deux bâtiments réacteurs (1 et 3) sont abîmés et, pire encore, l'enceinte de confinement l'est aussi dans le cas du réacteur 2.

Jean-Marc Jancovici, auteur de « C'est maintenant ! Trois ans pour sauver le monde » et concepteur de la taxe carbone, affirme qu'il n'y a rien de comparable entre les deux scénarios :

« A Tchernobyl, ce qui a causé la dissémination de matières radioactives est essentiellement l'incendie des 600 tonnes de graphite que contenait le cœur (ce graphite servait de modérateur aux neutrons), incendie qui a entraîné dans l'atmosphère l'essentiel des produits de fission contenus dans le cœur.

Cet incendie a pu avoir lieu parce que l'explosion d'hydrogène a eu lieu à l'intérieur de l'enceinte de confinement et a rompu cette dernière, et exposé le graphite à l'oxygène de l'air.

A Fukushima, l'explosion d'hydrogène a eu lieu en dehors de l'enceinte de confinement du cœur. A l'instant où je tape ce message, les matières radioactives sont donc toujours confinées dans la cuve, exception faite des lâchers de vapeur. »

La fonte du cœur de Fukushima peut transformer le combustible en corium, sorte de lave à plus de 2 000°C qui peut alors soit transpercer la cuve, soir rester sur place. S'il s'échappe hors de la centrale, il se répand dans l'atmosphère. « Alors, personne ne sait comment arrêter le corium ni les réactions chimiques qu'il entraînerait, c'est l'inconnue totale », estime Mycle Schneider.

Sur les conséquences sur la santé

Si le bilan sanitaire de Tchernobyl est impossible, celui de Fukushima est prématuré. La Cité des sciences écrivait en 2006 :

« Combien de morts, de cancers, de maladies cardiovasculaires ou de malformations dus aux irradiations comptabilise-t-on vingt ans après l'explosion du réacteur n° 4 de Tchernobyl ?

4 000, comme l'affirme un rapport très critiqué publié sous l'égide de l'ONU en septembre 2005 ? Entre 30 000 et 60 000, comme l'annonce une nouvelle étude de scientifiques britanniques publiée en avril 2006 ?

Ou plusieurs centaines de milliers comme l'affirment certaines organisations, telles l'Organisation internationale des médecins pour la prévention de la guerre nucléaire (IPPNW), ou Greenpeace ? Il est probable qu'on ne le sache jamais précisément. »

Il est certain que les personnes travaillant sur le site de Fukushima reçoivent des contaminations radioactives. A 20 km autour de la centrale, tout le monde a été évacué ; entre 20 et 30 km, c'est l'ordre de confinement. L'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire français explique ce mardi matin :

« Compte tenu des débits de dose, il est à craindre que les conditions d'intervention deviennent très difficiles. […] Compte tenu de l'altération de l'enceinte de confinement du réacteur n°2, l'IRSN estime que les rejets sur ce réacteur sont désormais non filtrés et pourraient être permanents. »

Pour Jean-Marc Jancovici, « si le confinement du cœur est rompu, c'est l'iode radioactif qui est la préoccupation principale ». Il précise encore :

« L'administration d'iode normale va aller saturer la thyroïde, qui du coup n'aura plus envie de fixer de l'iode radioactif (car le danger est d'avoir cette iode fixée pour longtemps dans la thyroïde, si l'iode rentre et ressort du corps ca ne provoque pas de conséquences sanitaires particulières). »

Et de conclure :

« Oui, c'est un accident industriel majeur, mais non ce n'est pas susceptible de changer significativement le bilan du tsunami. »

Le sarcophage de la centrale nucléaire de Tchernobyl, en Ukraine, le 22 février 2011 (Gleb Garanich/Reuters).

Photos : le réacteur numéro quatre de la centrale nucléaire de Fukushima-Dai-Ichi 1, au Japon, en octobre 2008 (Kyodo/Reuters) ; le sarcophage de la centrale nucléaire de Tchernobyl, en Ukraine, le 22 février 2011 (Gleb Garanich/Reuters).

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17 mars 2011 4 17 /03 /mars /2011 11:54

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Par Sophie Chapelle (17 mars 2011)


Les Français ont plus de pesticides et de PCB dans le sang que les Américains et les Allemands.

 

C’est ce qui ressort d’une étude de l’Institut national de veille sanitaire (InVS). Les concentrations biologiques de différents polluants – métaux, pesticides et PCB – ont été mesurés sur un échantillon de près de 5.000 personnes représentatif de la population. L’étude révèle que 90% de la population est contaminée par les organophosphorés, des pesticides utilisés en milieu agricole depuis les années 1970. Peu connus et pourtant largement répandus, les pyréthrinoïdes ont également été retrouvés à des taux élevés dans l’organisme des Français. Ces insecticides synthétiques sont largement utilisés dans l’agriculture, l’horticulture mais aussi comme insecticide d’intérieur ou pour la protection des textiles.

 

Les niveaux de PCB observés dans les organismes des Français demeurent très élevés. Utilisés comme isolants dans l’industrie jusqu’en 1987, les PCB se sont accumulés dans les sols et les eaux, et se retrouvent aujourd’hui tout au long de la chaîne alimentaire. Pour l’association Générations Futures, cette étude démontre « une contamination généralisée des organismes des Français par des produits dont beaucoup sont des cancérigènes suspectés et/ou des perturbateurs endocriniens ». L’association demande aux pouvoirs publics de « tout mettre en œuvre pour réduire de manière importante l’utilisation de pesticides en France ». Elle exige en particulier le bannissement de l’incinération des déchets, source importante de pollution par les PCB.

Sophie Chapelle

 

L’intégralité de l’étude de l’InVS est en ligne ici.

 

 

t/http://www.bastamag.net/

 

 

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17 mars 2011 4 17 /03 /mars /2011 11:50

Vraiment aucune raison de rejoindre les anti-nucléaires!

 

Cartographie: où se trouvent les installations nucléaires en France ?

Par Agnès Rousseaux (17 mars 2011)


Le Réseau Sortir du nucléaire a édité fin 2010 une carte avec l’implantation des installations nucléaires en France. Centrales, usines, sites de stockage de déchets, sites militaires... Cette carte montre l’ampleur de la présence du nucléaire en France.

 

© Réseau Sortir du nucléaire

 

Alors que l’Allemagne a décidé de fermer ses 7 plus vieux réacteurs et que la Suisse suspend son programme de renouvellement de centrales nucléaires suite à la catastrophe japonaise, la France, pays le plus nucléarisé au monde, poursuit son programme de construction de réacteurs dans des conditions parfois inquiétantes.

Le Réseau Sortir du nucléaire demande la « fermeture immédiate des 16 réacteurs nucléaires en service depuis plus de 30 ans en France » et un référendum sur la sortie du nucléaire. Développer des énergies alternatives ne coûterait pas plus cher que de conserver le nucléaire. Selon l’association, 340.000 emplois ont été créés en Allemagne en moins de 10 ans grâce aux alternatives énergétiques.

 

La carte en grand format

 

Pour commander des versions imprimées de la carte : http://www.sortirdunucleaire.org/carte/

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17 mars 2011 4 17 /03 /mars /2011 11:43

 

Une chronique ironique sur "France Info"


 
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La cata au Japon selon "Lutte Ouvrière":
"Et là, il ne s'agit plus de forces naturelles déchaînées. Il s'agit de forces que l'homme a mises à son propre service. Oh, ce n'est pas l'énergie nucléaire en elle-même qui est en cause ! Une société humaine consciente et responsable de ses actes pourrait développer cette forme d'énergie au fur et à mesure qu'elle la maîtrise. Mais l'inquiétude de la population est d'autant plus légitime que l'économie, la société, ne sont pas dirigées de façon consciente et responsable".

 
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Et selon le PCF:
"La France et son industrie nucléaire devront tenir compte des conclusions produites notamment par l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) qui précisera les causes de ses accidents. Ils devront en retirer les enseignements susceptibles d’éclairer les conditions d’exploitation de la filière nucléaire dans notre pays".

 
Et nous nous pensons que c'est par ces positions "scientistes" que ces deux organisations ont retardé la mise en place d'un mouvement de fond antinucléaire en France, contrairement à l'Allemagne!
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17 mars 2011 4 17 /03 /mars /2011 11:39

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Par Yoko Akimoto (16 mars 2011)


D’heure en heure, la situation se détériore au Japon. Les réacteurs nucléaires de la centrale de Fukushima semblent hors contrôle. Pour Yoko Akimoto, membre d’Attac Japon, ce que redoutaient ceux qui se sont battus, il y a 40 ans, contre la construction de ces centrales nucléaires, est en train de se produire. Témoignage.


Au fil des heures qui passent, la réalité s’impose à nous. De nouveaux chiffres, toujours plus élevés, s’affichent sur l’écran, et je me dis que cela devait être la même terrible expérience pour nos amis au Pakistan et en Haïti, qui souffrent encore aujourd’hui du désastre naturel dont ils ont été victimes. Hier, le gouverneur de Miyagi annonçait que le nombre de morts allaient dépasser les 10.000. Et aujourd’hui le réacteur n° 3 de la centrale nucléaire de Fukushima a explosé, et voilà que le cœur du réacteur n° 2 est en fusion (à 2 heures du matin le 15 mars, heure locale). Il est évident que les réacteurs nucléaires de Fukushima sont hors contrôle.

 

Il y a quarante ans, nos aînés se sont battus contre la construction de centrales nucléaires : ils avaient compris le danger de telles centrales dans un pays sujet aux tremblements de terre. Malheureusement, ce qu’ils redoutaient vient de devenir réalité ! À l’époque, le gouvernement a exproprié les coopératives de pêcheurs et les communautés locales pour construire les centrales nucléaires. Il a détruit la source de subsistance de ces gens pour ces centrales, en affirmant que l’énergie nucléaire était sans danger.

 

Aujourd’hui, le gouvernement et la société d’électricité de Tokyo, TEPCO, répètent à l’envi qu’un tremblement de terre d’une amplitude inhabituelle a frappé le nord du Japon. Pourtant, Hiroaki Koide, professeur associé en recherches sur le nucléaire à l’université de Kyoto a déclaré : « Puisque le Japon est un des pays où les tremblements de terre sont les plus fréquents, il ne devrait jamais y avoir tremblement de terre imprévu si le gouvernement soutient le nucléaire. » Beaucoup de citoyens ordinaires verront bien qui est responsable de l’accident.

 

Hier, la TEPCO a commencé à opérer des coupures programmées à Tokyo et d’autres municipalités, elles continueront jusqu’à la fin avril, avec comme explication que l’accident nucléaire a provoqué une pénurie d’électricité. Beaucoup de trains vont être mis hors service. Hier moins de la moitié des lignes roulaient normalement. Les magasins et les supermarchés de la zone métropolitaine n’ont pas suffisamment de nourriture pour les consommateurs. Le lait, l’eau, le poisson, le pain, le riz se font rares. Certains rayonnages sont vides. Les problèmes de distribution sont une explication. Des voies rapides sont bloquées et les camions ne peuvent arriver.

 

Les habitants de Tokyo ont pris l’habitude d’un certain confort. Nous pouvions facilement trouver n’importe quoi comme nourriture sans nous rendre compte des centaines de kilomètres parcourus. Nous ne nous souciions pas de qui l’avait produit et comment. Le tremblement de terre et la fusion au cœur des réacteurs nous rappellent combien la distribution est aléatoire et qu’il y a d’autres façons de vivre.

 

Comme la surproduction, la surconsommation et le gaspillage produisent des failles dans la planète, accompagnés d’émissions de gaz à effet de serre et de destruction de la Terre Mère. Notre plus grande tâche aujourd’hui pourrait être de redéfinir une façon de vivre sans détruire l’environnement.

 

Quatre jours ont passé depuis la tragédie. Des informations alarmantes se suivent et se ressemblent. Nous n’avons pas encore de nouvelles de certains de nos proches dans des zones sinistrées. La contamination par radiation se répand. Il paraîtrait qu’elle atteint déjà Tokyo. Nous sommes enveloppés d’une angoisse invisible.

En solidarité, avec espoir et amour,

 

Yoko Akimoto, Attac Japon, le 15 mars 2011

Traduction : Christine Pagnoule

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17 mars 2011 4 17 /03 /mars /2011 11:23
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