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25 janvier 2013 5 25 /01 /janvier /2013 11:09
doux 2
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Agriculture jeudi 24 janvier 2013
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Les aides à l’exportation dans la filière avicole étaient au cœur des discussions cet après-midi à l’union locale de la CGT à Quimper où une trentaine de représentants syndicaux FO, CGT et CFDT des entreprises Tilly-Sabco de Guerlesquin, du groupe Doux et de l’entreprise de transport Tans Avis Ouest étaient réunis.

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La commission européenne a décidé de réduire de moitié les aides à l’exportation, aussi appelées restitutions. Une baisse des aides qui inquiète fortement les syndicats, d’autant plus qu’ils craignent que ces subventions ne soient tout simplement supprimées. « Si elles sont supprimées, ce sera une catastrophe pour la filière et des emplois seront supprimés », estime Nadine Hourmant, déléguée FO du groupe Doux.

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Les syndicats proposent notamment de ne plus verser ces aides aux industriels mais de créer des coopératives qui intégreraient tous les acteurs de la filière et qui redistribueraient ces sommes. Ils demandent également un peu de solidarité de la part des céréaliers.

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http://www.ouest-france.fr/region/bretagne_detail_-Quimper.-Les-syndicats-inquiets-de-la-baisse-des-aides-a-l-exportation-pour-la-filiere-avicole_40820-2156947_actu.Htm

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25 janvier 2013 5 25 /01 /janvier /2013 10:48

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25 janvier 2013 

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Environ 150 salariés d'Alcatel-Lucent ont manifesté hier matin, devant la sous-préfecture. Réclamant sans détour l'intervention de l'État et fustigeant «l'inertie» du gouvernement, les syndicats ont promis de durcir le ton. Notamment lundi, pour la venue du boss.

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«Faudrait faire comme si tout allait bien/Ne rien dire, ne rien voir et surtout passer son chemin» 11h, hier, au pied de la sous-préfecture. La sono de l'intersyndicale CGT-CFDT-CFE/CGC bat le rappel des manifestants, distillant, avec ironie, un titre de HKet les Saltimbanks, une mélopée sociale bien dans le ton du rendez-vous. Tandis qu'à l'Assemblée nationale, une délégation met au même moment la pression sur les parlementaires, à Lannion, on fait chambre d'écho sous la fenêtre du représentant de l'État. Quitte à hausser le ton par rapport aux derniers débrayages et manifs, cantonnés depuis l'annonce du plan de restructuration, au seul plateau télécom.


«Notre cri n'a pas été entendu»

«Il semblerait que notre cri de citoyen n'ait pas été entendu, puisqu'à ce jour le gouvernement n'annonce aucune solution alternative qui permettrait de sauver notre travail» tonne au micro Bruno Laouénan, de la CGT. Galvanisant les maigres troupes (environ 150 personnes sur les 861salariés trégorrois), le déléguéCGT se fait le porte-voix d'une colère grandissante, d'un sentiment d'abandon, explique-t-il, alors que 140 emplois sont localement sur la sellette. L'État lâcherait-il Alcatel-Lucent comme le déplorait déjà mercredi la CGC, dans un communiqué? «Le gouvernement oserait-il oublier ses promesses électorales et son étiquette qu'il prétend sociale?», renchérit Bruno Laouénan.

«Arrêter les discours hypocrites»

Pour les syndicats, la réponse est manifestement dans la question. «Il est temps d'arrêter les discours hypocrites» embraye le leader cégétiste qui digère mal l'absence d'engagement financier de la part de la ministre Fleur Pellerin, rencontrée le 17 janvier à Paris. «Que fait-il (le gouvernement) pour lutter contre les excès de la finance? Comment ose-t-il affirmer que les télécommunications - et donc Alcatel-Lucent France - sont des enjeux stratégiques pour notre pays?» Dans l'assemblée, des visages acquiescent, d'un hochement de tête.

 

«Le site de Lannion setrouve encore plus fragilisé par la création d'un pôle unique Alcatel-Lucent France à Villarceaux»,développe Bruno Laouénan. «Déjà satellite de moindre importance depuis plusieurs années, sa visibilité et, de fait, son importance dans la stratégie d'ALF tend dangereusement vers le point de non-retour: sa disparition totale». Un discours bien plus tranché que ces dernières semaines. Et qui n'apparaît pas outrancier pour Paul Le Bihan, présent parmi les manifestants. Premier adjoint au maire de Lannion, l'ingénieur connaît bien la maison: il y est développeur «depuis 82». Problème: pour cet «énième plan social», l'avenir est plus que jamais en balance. «On n'a aucune perspective à moyen terme», résume l'élu qui trouve la situation «très inquiétante».

Le Trégor à nouveau debout?

Une inquiétude qui, pour les syndicats, mérite d'être prise en compte à l'échelle du territoire, «car un emploi détruit chez nous, c'est trois emplois de perdu en Trégor» assène Bruno Laouénan, pour qui le plan de revitalisation, «c'est du pipeau». Appels lancés à tous les élus du secteur? «Il va falloir se faire entendre» résume, en tout cas, le représentant de la CGT qui avant d'être reçu, en délégation, par le sous-préfet, annonce un changement de braquet. Première salve d'une nouvelle étape dans le plan de lutte médiatique: le comité d'accueil qui attend le patron d'ALF à son arrivée, lundi prochain, à l'aéroport (la visite du 17 janvier avait été reportée à cause de la neige). Àsuivre, une grande manifestation, le 16février. Le début d'une nouvelle épopée, façon «Trégor debout»? Comme dirait la sono qui reprend HK et les Saltimbanks à fond la gomme: «On ne lâche rien!».

  • Arnaud Morvan

http://www.letelegramme.com/local/cotes-d-armor/lannion-paimpol/ville/alcatel-lucent-on-risque-de-disparaitre-25-01-2013-1982817.php

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25 janvier 2013 5 25 /01 /janvier /2013 10:39

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25 janvier 2013 

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La séance du conseil général du Finistère qui se tenait hier, à Quimper, a été annulée et reportée à aujourd'hui. En cause, une manifestation du personnel des services.

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On avait déjà connu des séances du conseil général interrompues par des manifestants. Mais c'est la première fois, à notre connaissance, qu'une séance de l'assemblée départementale est purement et simplement annulée pour cause de manifestation et reportée au lendemain. C'est la décision prise, hier midi, par Pierre Maille alors que, depuis plus d'une heure, la session consacrée au budget 2013 était interrompue par l'arrivée de personnels grévistes des services du conseil général.
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Contrairement au rituel des manifestations en ces lieux, ils n'ont pas quitté la salle après avoir été autorisés à prendre la parole pour exprimer leurs revendications.
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Ils y sont restés, annonçant même leur intention de revenir occuper les lieux à 14h. Peu enclin à voir le scénario de la matinée se reproduire, Pierre Maille a annulé la séance du jour, annonçant simplement qu'il était prêt à recevoir une délégation des manifestants dans l'après-midi.


«Dialogue social rompu»

Cette manifestation, qui a rassemblé environ 200 agents grévistes, est un nouvel épisode de tensions récurrentes, depuis quelques mois, dans les services du conseil général, principalement celui des routes et des travailleurs sociaux, deux services en cours de restructuration.

 

Dans le premier cas, ce sont les modalités de transfert du service des routes, de la DDE vers le conseil général, qui sont remises en cause. Entendant «rationaliser» ce service, le Département a décidé des regroupements de centres routiers voisins en un seul site (Châteaulin et Pont-de-Buis, par exemple) mais ce redécoupage se heurte à l'hostilité des agents concernés.

 

Pour les travailleurs sociaux, c'est aussi une réorganisation qui est en cause, le personnel dénonçant un «saucissonnage des tâches au détriment de la continuité relationnelle» mais aussi des propos tenus par Pierre Maille, jugés «méprisants». Ce dernier a d'ailleurs répondu qu'il les regrette s'ils ont choqué ou été mal interprétés. Tour à tour, des représentants syndicaux se sont exprimés (CGT, CFDT, FO) devant l'ensemble des conseillers, estimant tous trois que «le dialogue social est rompu» et qu'il est impératif «de repartir sur des bases saines».

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http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/finistere/conseil-general-une-manifestation-fait-annuler-la-seance-25-01-2013-1982684.php

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25 janvier 2013 5 25 /01 /janvier /2013 10:28

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25 janvier 2013 

FSU. «Défendre la fonction publique et le service public» (le Télégramme)

La Fédération syndicale unitaire(FSU), c'est l'Éducation. Mais pas seulement.

 La FSU22, c'est aujourd'hui 25 syndicats dans l'Éducation, donc, mais aussi dans des secteurs aussi divers que la recherche, l'emploi (Pôle emploi), l'action sociale (assistantes sociales), les infirmières, l'enseignement agricole,etc. Un grand ensemble de syndicats qui s'est réuni, mercredi, au lycée Jean-Moulin à Saint-Brieuc, à l'occasion de son congrès départemental, organisé tous les trois ans.

 

«C'est pour nous l'occasion de revenir sur les trois dernières années écoulées, de faire le point sur les actions, les réflexions menées, avec, à chaque fois, un débat à la clé entre nous», explique Jean-PierreLecoq, l'un des trois co-secrétaires départementaux. Ce congrès permet aussi aux syndicats FSU de se projeter sur l'avenir et de définir les grands axes de son action future. L'un concernera notamment «la défense de la fonction publique et du service public, avec un appel à la grève pour le 31 janvier prochain (*)», annonce la fédération. Car, même si le gouvernement a décidé de réenclencher les recrutements de professeurs, c'est encore loin d'être suffisant aux yeux de la FSU. «La priorité à l'école, oui, c'est bien, mais cela va se faire au détriment du reste de la fonction publique», souligne Marylène Le Maux, co-secrétaire départemental.

* Avec la CGT et Solidaires, rassemblement départemental, place de la préfecture, à Saint-Brieuc, à 10h30.
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http://www.letelegramme.com/presse-ecole/fsu-defendre-la-fonction-publique-et-le-service-public-25-01-2013-1982712.php

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24 janvier 2013 4 24 /01 /janvier /2013 15:32
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24 janvier 2013 4 24 /01 /janvier /2013 15:20
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23 janvier 2013
 

La FIDH est fortement préoccupée par la multiplication des exécutions sommaires et autres violations des droits humains commises par des soldats maliens, dans le contexte de la contre-offensive menée par les armées française et malienne contre les djihadistes, et appelle à la mise en place immédiate d’une commission d’enquête indépendante afin d’établir l’ampleur des faits et sanctionner les auteurs.


La FIDH a pu établir qu’une série d’exécutions sommaires a été perpétrée par des éléments des forces armées maliennes, à partir du jeudi 10 janvier 2013, particulièrement à Sévaré, Mopti, Niono et d’autres localités situées dans les zones d’affrontements. A Sévaré, au moins 11 personnes ont été exécutées dans le camp militaire, à proximité de la gare routière, et près de l’hôpital.

 

Des informations crédibles font état d’une vingtaine d’autres cas d’exécutions dans la même localité où les corps auraient été enterrés en toute hâte notamment dans des puits. Dans la région de Niono, deux maliens d’origine touareg ont été exécutés par des soldats maliens. D’autres allégations d’exécutions sommaires continuent de nous parvenir du centre du pays.


Par ailleurs, la FIDH fait état de l’enlèvement de l’imam Cheik Hama Alourou par des militaires maliens le 21 janvier au soir, à Gnimi Gnama, un village entre Bore et Douentza. A Bamako, une dizaine d’habitations de touaregs ont fait l’objet de perquisitions par l’armée malienne dans la semaine du 14 janvier, émaillées d’actes de pillages et d’intimidations.

Les victimes de l’ensemble de ces exactions sont des personnes accusées d’être complices des djihadistes ou des infiltrés, des personnes en possession d’armes, des individus ne pouvant justifier de leur identité lors de contrôles de l’armée, ou ciblés simplement en raison de leur appartenance ethnique et communément appelés les « peaux claires ».


« Cette série de graves exactions confirme nos craintes exprimées depuis plusieurs semaines.

 

Ces actes de représailles alliés à la tension extrême entre les communautés constituent un cocktail explosif qui fait craindre le pire, notamment dans la perspective de la reconquête du Nord », a déclaré Souhayr Belhassen, présidente de la FIDH.


Si les autorités politiques et militaires maliennes et françaises ont appelé de façon répétée au respect du droit international humanitaire et des droits de l’Homme dans le cadre de la contre-offensive, notre organisation est préoccupée par l’absence d’enquêtes et d’informations publiques concernant ces violations, les difficultés d’accès aux zones dans lesquelles les exactions se sont déroulées et l’absence de sanctions contre leurs auteurs.


« Ces exactions entachent la légitimité de l’opération de restauration de l’intégrité du territoire et doivent faire l’objet de poursuites par la justice nationale et, le cas échéant, par la Cour pénale internationale qui a ouvert une enquête le 16 janvier sur la situation au Mali », a déclaré Sidiki Kaba, président d’honneur de la FIDH.


La FIDH appelle les autorités maliennes, françaises et la communauté internationale à immédiatement mettre en place une commission d’enquête indépendante pour faire la lumière sur les graves violations du droit international humanitaire et des droits de l’Homme commises par l’ensemble des belligérants dans le cadre du conflit au Mali, y compris les exactions des groupes armées au Nord du pays sur lesquelles notre organisation publiera des informations prochainement.


La FIDH appelle à la mise en œuvre urgente du volet de formation aux droits de l’Homme des forces armées et des mécanismes spécifiques de documentation et de protection en matière de droits de l’Homme prévus par la Résolution 2085 du Conseil de sécurité des Nations unies.


Fédération internationale des Droits de l’Homme (FIDH)


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24 janvier 2013 4 24 /01 /janvier /2013 14:20

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Social mercredi 23 janvier 2013
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Les salariés de la fonderie de Bretagne, filiale de Renault et implantée à Caudan, se sont mis en grève ce mercredi.

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Ils protestent contre la remise en cause de leurs acquis, dans le cadre des négociations en cours au niveau national entre le groupe automobile et les partenaires sociaux.

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Hier soir, après avoir rencontré le directeur du site, les salariés ont décidé de poursuivre le mouvement, dans l'attente d'une nouvelle rencontre ce jeudi avec la direction.

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http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Caudan-greve-a-la-fonderie-de-Bretagne_40811-2156578------56121-aud_actu.Htm

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24 janvier 2013 4 24 /01 /janvier /2013 14:12

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Économie jeudi 24 janvier 2013
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Environ 150 salariés d’Alcatel-Lucent France ont manifesté ce jeudi matin devant la sous-préfecture de Lannion.

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Hier, la première phase de la procédure du plan de réduction des effectifs s’est terminée sur par l’examen des mesures d’accompagnement. Hier encore, l’agence d’informations financières Bloomberg a annoncé que le prêt de 1,6 milliard avait obtenu un tel succès à la bourse que les banques prêteuses, le Crédit suisse et Goldman Sachs, ont accepté de le porter à 2 milliards avec des intérêts revus à la baisse. Syndicats et salariés interpellent aujourd’hui l’Etat sur plusieurs points et depuis des positions différentes.


Diminuer le nombre de suppressions d’emplois


Avec 1 430 suppressions de postes prévus en France, sur 9 000 salariés, il est très probable que la période de départs volontaires et les conditions d’accompagnement prévues dans le plan ne soient pas suffisantes et que des lettres de licenciements tombent. Difficile de voir où retrouver du travail à Lannion où 140 emplois sur 861 sont menacés.

 

La Direction des ressources humaines de l’équipementier télécoms a évoqué, en décembre, des reclassements dans le domaine de la Défense, sans donner de détails. Les salariés en appellent à l’Etat pour les aider à diminuer le nombre d’emplois supprimés dans la négociation qui va bientôt s’ouvrir. Des élus suivant le dossier se souviennent de la promesse d’Alcatel-Lucent de ne pas toucher aux effectifs de Recherche et Développement et défendent le caractère stratégique de l’activité (Alcatel-Lucent fournit les équipements des réseaux de télécommunication dont se servent les opérateurs de téléphonie).


Modifier les conditions du prêt


Le groupe Alcatel-Lucent est lourdement endetté. Le prêt passé maintenant de 2 milliards a été obtenu en gageant les brevets du groupe. En cas de défaillance du groupe dans ses remboursements, les prêteurs pourraient exiger ces brevets. Cela signifierait le démantèlement rapide du groupe. Le 16 novembre, dans cette sous-préfecture de Lannion, Fleur Pellerin, la ministre de l’économie numérique, avait évoqué avec les syndicats la possibilité d’une intervention de l’Etat via le Fonds stratégique d’investissement lui-même financé par la caisse de dépôts et consignations.

 

Mais hier, selon le syndicat CFE-CGC, « le gouvernement aurait aujourd’hui renoncé à étudier toute solution alternative du prêt Goldman Sachs et Crédit Suisse et envisagerait plutôt d’intervenir comme pompier » en cas de difficulté et de demande des prêteurs d’être remboursé. Dans cette situation, alors qu’il reste quelques jours pour signer ce prêt, les syndicats attendent au minimum, que « le gouvernement clarifie publiquement sa position ».


Favoriser le marché d’Alcatel-Lucent


Le groupe franco-américain Alcatel-Lucent est soupçonné d’« américanisation », notamment parce que les marchés sont plus importants aux USA qu’en Europe et ce pour deux raisons. La première : les Etats-Unis bloquent le développement des équipementiers chinois qui ont pris des parts de marché à Alcatel-Lucent en Europe. La deuxième, c’est le bas niveau des réseaux américains sur de vastes territoires. Les opérateurs américains sont prêts à investir massivement dans des réseaux 4G alors qu’en Europe, les réseaux 3G existent déjà et l’investissement nécessaire pour développer la 4G est important. Dans ce contexte, le plan en faveur du numérique du gouvernement qui doit être annoncé d'ici deux semaines est très attendu.


Des syndicats aux positions différentes


La manifestation de ce matin a donné l'occasion aux représentants de deux syndicats de s'exprimer. Et leurs discours ont été sensiblement différents. Pour Bruno Laouenant, représentant CGT, «les salariés ne peuvent pas comprendre qu'une entreprises qui est devenue un fleuron de l'industrie française soit ainsi laissée à l'abandon par leur gouvernement». Cette position rejoint celle de la CFE-CGC qui s'est exprimé hier. Pour Hervé Lassalle, de la CFDT, le travail avec l'Etat est encore d'actualité: «Alcatel-Lucent est une piève maîtresse sur l'échiquier numérique pour la France et pour l'Europe et nous pensons que l'Etat joue un rôle pivot pour amener des initiatives qui pérénise cet atout», a-t-il déclaré.

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http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Lannion.-Les-salaries-d-Alcatel-Lucent-demandent-l-intervention-de-l-Etat_40805-2156810------22113-aud_actu.Htm

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http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Alcatel-Lucent-le-pret-gonflerait-les-conditions-de-departs-proches-du-minimum-legal_40805-2156576------22113-aud_actu.Htm

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24 janvier 2013 4 24 /01 /janvier /2013 13:51
Faits de société jeudi 24 janvier 2013
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Interruption de la séance plénière
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200 agents ont interrompu la séance plénière du conseil général ce jeudi matin, à Quimper. Ils demandent un moratoire sur la fermeture des centres d’exploitation des routes et sur l’action sociale.

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Routes et action sociale

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« Maille la moutarde nous monte au nez ! » Le jeu de mots est facile mais les salariés du conseil général sont « excédés ». Hier, ils se sont réunis devant le conseil général avant d’aller interrompre la séance plénière. L’intersyndicale CGT, CFDT, FO demande le retour « d’un vrai dialogue social.

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 Aujourd’hui, un gouffre s’est créé, ce n’est plus du dialogue, c’est un monologue. »

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Ils ont interpellé les élus sur la fermeture des centres d’exploitation des routes : « Une insécurité pour les agents et les usagers ». L’action sociale est également au cœur des revendications. « Il n’y a aucune réflexion avec les équipes de terrain. Résultat, aujourd’hui, nous sommes dans une situation inextricable. »

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« Le service public ne recule pas »

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Pierre Maille a interrompu la séance plénière pour laisser parler les représentants syndicaux. Il leur répond : « Les conditions de travail changent en permanence, l’organisation et les méthodes doivent aussi évoluer. Nous n’abandonnons pas les routes. Je n’accepte pas qu’on laisse penser que le service public recule. » Les salariés ne voient là que du « bla-bla » « La moindre des choses, c’est qu’on ait des réponses. » Pierre Maille a quitté la salle avant 12 h. Les agents, eux, sont restés sur place.

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http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Quimper.-Les-syndicats-interrompent-la-seance-du-conseil-general_6346-2156823-fils-tous_filDMA.Htm

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Commentaire:

 

Hou, les syndicats, hou! les vilains! Gentils les salariés, pauvre innocents manipulés par les vilains rouges! Grand-père Maille règne si bien, laissez le tranquille!

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24 janvier 2013 4 24 /01 /janvier /2013 13:36

autocollant-gaspare 19-02-2011

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24 janvier 2013 à 11h04 

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L’arrêté pris le 10 janvier dernier par Delphine Batho et paru vendredi dernier au Journal Officiel, sera annulé. Pour un défaut de localisation que nous avions épinglé dès mardi !

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L’arrêté d’autorisation d’exploitation de la centrale à gaz de production d’électricité de Landivisiau comporte en effet  une erreur de localisation. Ce futur outil énergétique étant localisé au 13 avenue Coat-Meur, à proximité de l’église classée de Saint-Thuriau, en plein centre-ville. Alors qu’elle devrait être construire zone du Vern en bordure de la voie express.
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Contacté ce matin, le ministère a admis qu’il y a avait effectivement une erreur de localisation et que, de ce fait, l’arrêté pris le 10 janvier dernier par Delphine Batho et paru vendredi dernier dans le Journal Officiel, sera annulé. Un autre arrêté rectificatif devrait être pris dans les semaines à venir.
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Reste que cette bourde va ralentir le projet de Direct Energie qui espérait pouvoir déposer sa demande de permis de construire en préfecture au mois de février. On ne peut pas demander aux conseillers du ministère de connaître comme leur poche les rues de Landivisiau. Mais une simple consultation de Google Map ou de Mappy aurait pu éviter ces désagréments... 

  • Didier Déniel

http://www.letelegramme.com/local/finistere-nord/morlaix/landivisiau/landivisiau/centrale-au-gaz-l-arrete-d-autorisation-d-exploitation-va-etre-annule-24-01-2013-1982359.php

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Commentaire: Alors c'est qui les amateurs?

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