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22 mars 2013 5 22 /03 /mars /2013 13:10

sarkodalton

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Justice 22/03/2013 à 00h19 Pierre Haski | Cofondateur 
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 L’ancien Président est soupçonné d’avoir bénéficié de financements non déclarés de Liliane Bettencourt pour sa campagne de 2007. 

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Comment le nier ? Une partie de la France se réjouit de la mise en examen de Nicolas Sarkozy, jeudi soir, pour « abus de faiblesse » dans l’affaire Bettencourt. Et une autre, à l’unisson de Christian Estrosi, le député-maire UMP de Nice, dénonce « des méthodes au relent politique évident ».


 

Ce fut la surprise de la soirée, après plusieurs heures d’audience de l’ancien président de la République, convoqué par le juge bordelais Jean-Michel Gentil, et des confrontations avec au moins quatre membres du personnel de Liliane Bettencourt, l’héritière de l’empire L’Oréal. A l’issue de cette longue séance, un communiqué du Parquet a annoncé :

« Au terme de cet acte, M. Nicolas Sarkozy – qui bénéficie de la présomption d’innocence – s’est vu notifier une mise en examen du chef d’abus de faiblesse commis en février 2007 et courant 2007 au préjudice de Mme Liliane Bettencourt Schuller. »

Mise en examen ne signifie pas culpabilité, et le Parquet est dans son rôle de rappeler que Nicolas Sarkozy bénéficie comme tout justiciable de la présomption d’innocence.

« Le mal est fait »

Mais il est évident, comme le disait d’un air dépité sur France Info le député UMP « droite populaire » Lionnel Luca, que « le mal est fait ». Une procédure longue est en effet lancée, qui s’achèvera peut-être un jour sur un non-lieu ou sur un procès, mais qui vient plomber immédiatement l’image de l’ancien président, à un moment où il commençait à se croire en posture de revenir. Un récent sondage lui donne même un meilleur score qu’au vainqueur de la présidentielle, il y a moins d’un an.


L’accusation est en effet infamante :

 

« abus de faiblesse » sur une riche héritière âgée, cela signifie, comme le faisait observer Lionnel Luca, carrément de l’extorsion de fonds. Il s’agit du financement de la campagne présidentielle de 2007, et Nicolas Sarkozy est accusé d’avoir bénéficié de financements non déclarés de Mme Bettencourt, ce qu’il dément. L’avocat de Nicolas Sarkozy, Me Thierry Herzog, a annoncé qu’il allait former un recours contre cette mise en examen, qu’il a jugée « incohérente sur le plan juridique, et injuste ». Mais il est rare qu’un juge d’instruction soit ainsi désavoué.

Dix-sept mises en examen

Pas moins de 17 personnes sont désormais mises en examen dans les différents volets de l’« affaire Bettencourt » depuis un peu plus d’un an. Mais il est clair que celle de Nicolas Sarkozy, qui était loin d’être acquise, est la plus importante, car elle a une dimension politique inévitable s’agissant d’un ancien président de la République.


Le personnage de Nicolas Sarkozy a été tellement clivant pendant sa présidence que l’opinion risque d’être partagée entre ceux qui, tout en se défendant de tout sentiment de vengeance, penseront très fort « on vous l’avait bien dit », et qui se réjouiront de le voir sommé de rendre des comptes à la justice. Et de l’autre ceux qui n’y verront qu’une manœuvre politique pour abattre un homme politique qui n’a pas exclu de revenir dans le jeu.


On ne saura évidement pas ce que pensent réellement ceux de ses anciens lieutenants, qui croyaient que leur heure était arrivée de diriger, et qui n’appréciaient guère l’ombre tutélaire de l’ancien chef de l’Etat... Ni Jean-François Copé ni François Fillon n’ont immédiatement réagi. Le hasard judiciaire fait que cette mise en examen survient 48 heures après l’ouverture d’une enquête qui a précipité la chute de Jérôme Cahuzac, le ministre du Budget, soupçonné d’avoir possédé un compte bancaire non déclaré en Suisse.


Dans les deux cas, son camp politique l’a soutenu en parole, tout en acceptant le fait que la procédure judiciaire le mettait hors course. Dans le cas de Nicolas Sarkozy, il est clair que l’ancien président n’a pas dit son dernier mot.

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http://www.rue89.com/2013/03/22/sarkozy-mis-en-examen-pour-abus-de-faiblesse-sur-liliane-bettencourt-240742


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22 mars 2013 5 22 /03 /mars /2013 11:43

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vendredi 22 mars 2013
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Ce vendredi, Thierry Lepaon succédera à Bernard Thibault comme leader de la centrale. Au congrès à Toulouse, plongée chez les syndicalistes qui se heurtent au chacun pour soi. Toulouse. De notre envoyé spécial  

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Devant les délégués du congrès, il lâche : « On a été liquidés. » Sébastien Ozor, militant de 32 ans, tout intimidé, a deux minutes chrono pour dire ce qu'il a sur la patate. Il raconte comment son entreprise de mobil-home, ShellBox, a fermé au début du mois, dans le Gard. Comment le patron est parti en laissant onze millions de dettes. Comment lui et ses « camarades » se démènent pour trouver des repreneurs.


« Sur les soixante salariés, on est à peine une vingtaine à se battre. C'est comme si c'était pas leur boîte, aux autres (soupirs). Il y a dix ans, ce n'était pas comme ça. L'impression qu'il y a une nouvelle génération qui s'en fout. » Au congrès, seuls quatre délégués ont moins de 25 ans. Sur un millier. Signe de la difficulté des syndicats à accrocher les jeunes.


Poussées de violence


La crise mine le socle social, allonge les files à Pôle emploi. Elle fait aussi de sérieux dégâts dans les têtes. « Il y a beaucoup de fatalisme, confirme Valérie Besnard, déléguée dans les télécommunications dans le Nord. Pour que les salariés se battent, faut vraiment les convaincre ! » Jeune métallo de 31 ans à Arcelor Méditerranée, en Lozère, Grégory Rolland fait le gros dos et serre les dents. « Chaque jour, on se bagarre pour essayer de garder ce qu'on a. En quelques années, on a dû perdre cent ans de lutte. »


Thomas Baudouin, 32 ans, chez PSA depuis l'âge de 18 ans, ne dit pas autre chose : « On a perdu plein de petites choses. Les grilles de salaires ont été 'remastérisées' et les nouveaux embauchés sont moins bien payés. Aujourd'hui, les gars sont démotivés. Mais nous, les délégués, on n'a pas le droit d'avoir du ras-le-bol. » Parfois compliqué, comme en témoigne Ghyslaine Raouafi, depuis trente ans à l'hôpital de Nice où elle est entrée à 18 ans.

 

« Tout a été individualisé, les solidarités ont été cassées.

 

Plutôt que de se battre pour des augmentations de salaires, les gens cherchent des solutions individuelles, les heures sup' par exemple. On vient nous voir, comme une assurance, mais ce n'est pas pour autant qu'on en fait des militants. »


Alors, de temps en temps, sous la cendre de la résignation, il y a ces poussées de violence.

 

Comme chez Goodyear, chez PSA. « Ce qui me choque, c'est qu'il n'y a pas de discussion possible, insiste Didier Triquoire, 52 ans, militant à Toulouse. Quand vous n'êtes pas écoutés, quelle possibilité il reste ? » Ghyslaine Raouafi enfonce le clou : « C'est violent ce qui se passe. Heureusement que le syndicat est là. C'est le dernier rempart ! »


Dans ce contexte, l'accord du 11 janvier sur la « sécurisation de l'emploi » est souvent revenu sur le tapis du congrès. Et les oreilles de la CFDT, qui a signé avec le Medef, ont dû siffler. « Une trahison, tranche Alexandre Borla, militant dans les Bouches-du-Rhône. Avec la CFDT, on a l'habitude. Mais, en même temps, on en a besoin. Sur le terrain, les salariés veulent l'unité d'action. Faut faire avec. »


Marc PENNEC.
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22 mars 2013 5 22 /03 /mars /2013 09:56

catastroika

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Participation de Pascal Franchet (CADTM, CAC)
Débat sur les privatisations des services publics en Grèce, et sur le rôle de la France et du gouvernement socialiste dans ce programme de privatisations

Résumé du film

 

Le film documentaire CATASTROÏKA (par les créateurs de Debtocracy) cherche les conséquences de la liquidation totale de la Grèce. En revisitant des privatisations dans plusieurs pays développés au cours des 20 dernières années, CATASTROÏKA essaie de prévoir ce qui va se passer si ce même modèle de privatisation des biens publics s’applique à un pays sous surveillance économique.


CATASTROÏKA balaye des exemples de privatisations dans les domaines de l’eau, de l’énergie, des transports:

 

Russie post-soviétique, Allemagne de l’Est lors de la réunification, Grande-Bretagne sous Thatcher, les Etats-Unis et le scandale Enron, la distribution de l’eau à Paris sous Chirac… cette « méthode » conduit à l’explosion du chômage et/ou à une baisse de la qualité des services proposés.


CATASTROÏKA fait retentir la sonnette d’alarme par le manque de volonté politique en Grèce, un état qui accuse ses propres fonctionnaires de tous les déboires financiers du pays. Les services publics sont volontairement laissés à l’abandon par un État qui ensuite vend ses entreprises à un prix sous-évalué. Le film interviewe les philosophes Slavoj Zizek et Naomi Klein, le réalisateur Ken Loach, le Center for Economic and Policy Research de Washington, et bien d’autres. C’est un film co-produit par le public, et qui peut être visionné librement sur Internet.


Il semblerait que la crise financière nuise gravement à la démocratie, et peut-être que la Grèce serve de cobaye pour le reste de l’Europe.

 

Quand nous connaîtrons le bilan de cette liquidation qui nous est passé comme « la croissance », que ferons-nous ? Quelle croissance attendre quand des secteurs stratégiques de l’économie appartiendront à des entités privées ? Que répondre à ces arguments de croissance et de nouveaux emplois que prêchent les gouvernements ?

 

CAC Cornouaille

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21 mars 2013 4 21 /03 /mars /2013 15:36

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Publié dans : Hebdo Tout est à nous ! 187 (21/03/13)

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Chypre connaît une brusque exacerbation de sa crise sociale et politique suite à la décision de son nouveau président, Nicos Anastassiades, d'imposer un plan dit de sauvetage, un véritable racket.

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Ce plan dicté par la troïka (le FMI de Lagarde, la commission européenne et la Banque centrale européenne, la BCE) visait à taxer de 6, 75 % toute épargne à partir de 1 euro et de 9, 9 % au dessus de 100 000 euros. Devant la révolte de la population, le gouvernement a été contraint de faire un geste en exemptant les épargnes de moins de 20 000 euros sans pour autant avoir la garantie que le Parlement se pliera lui aussi aux ordres de la troïka. Ces ponctions sont censées rapporter 5, 8 milliards d'euros exigés en contrepartie et complément d'une aide de 10 milliards d'euros pour renflouer les banques du pays.


Ces dernières sont au bord de la faillite suite à leurs aventures et spéculations financières et menacent d’entraîner toute l'économie dans leur chute.

 

Le gouvernement de Chypre, le FMI et l’Union européenne n'ont pas trouvé mieux que de prendre dans la poche des travailleurs et des classes populaires pour les sauver. Le ministre des Finances a le cynisme de se vanter d'avoir évité « des coupes dans les salaires et les retraites ». Mensonge évident puisque la ponction concerne en premier lieu les salariéEs et les retraitéEs. Les riches, les affairistes, russes ou autres, habitués à passer par les banques chypriotes pour blanchir leurs milliards en profitant du paradis fiscal qu’était Chypre, ont déjà pour l’essentiel sorti leur fortune.


« Le cas de Chypre et de son secteur bancaire est unique », nous dit-on.

 

La méthode est certes particulièrement brutale mais elle est en cohérence avec les politiques d'austérité imposés à la Grèce comme à tous les peuples d'Europe. Les classes dominantes s'approprient grâce à la politiques des États une part croissante des richesses qu'elles volent à la collectivité, aux travailleurs qui les produisent, et elles les dilapident en les jouant au casino de la finance mondialisée.


À Chypre comme ici, en finir avec cette politique, c'est taxer le capital en faisant payer la dette aux financiers, en expropriant les voleurs pour créer un monopole public bancaire sous le contrôle de la population.


Yvan Lemaitre

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21 mars 2013 4 21 /03 /mars /2013 15:31

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Publié dans : Hebdo Tout est à nous ! 187 (21/03/13)

 

Depuis quelques semaines, par voie de presse, sur internet, voire dans des réunions publiques, ça chauffe entre dirigeantEs du Parti de gauche et du Parti communiste. Budget, prochaines élections municipales, positionnement par rapport au Parti socialiste… les occasions ne manquent pas. Derrière les mots, les maux.


«Plus l’échec du PS devient patent, plus les appareils s’arcboutent pour essayer de marginaliser la voix d’une alternative à gauche. Pour cela tous les moyens sont bons. Et tous les relais sont bienvenus (…) Diviser le Front de gauche ne mènera nulle part ceux qui en ont fait leur fonds de commerce. Il leur reste à apprendre que sa majesté PS ne permet pas à ses commensaux mieux que de manger à la table des domestiques. »

 

Celui qui s'exprime ainsi est Jean-Luc Mélenchon à propos de ses ennemis du moment, à savoir Olivier Dartigolles, porte-parole national du PCF, et André Chassaigne, président du groupe du Front de gauche à l'Assemblée nationale. Ambiance…


Depuis plusieurs mois, les coups de semonce contre la politique du PS, avec le verbe toujours très haut du co-président du Parti de gauche, sont sous le feu de la critique des dirigeantEs du PCF, beaucoup plus soucieux de ne pas se couper de la rue de Solférino à quelques mois des élections municipales.

 

Abstention ou chaise vide sur le vote du budget d'austérité du gouvernement, abstention sur la loi d'orientation sur l'école sur fond d'opposition des enseignantEs et des parents à la réforme des rythmes scolaires, rapprochement avec la gauche du PS via le club de Marie-Noëlle Lienemann, « gauche d'avenir »…

 

Le PCF n'économise aucun effort pour tenir les deux bouts : exprimer le rejet populaire de la politique de Hollande et Ayrault, tout en prenant la peine de « ne pas creuser de fossés à gauche », pour reprendre les mots de Dartigolles dans le journal Libération.


Les urnes comme révélateur


La raison de toute cette agitation, c'est que les grandes manœuvres ont commencé… sur le terrain électoral. Au-delà du blabla des textes de congrès – celui du PCF est passé il y a quelques semaines, celui du PG a lieu en ce moment – le Front de gauche, en particulier ses deux principales composantes, va se retrouver en plein cœur de ses contradictions originelles.

 

Dans beaucoup de collectivités locales, de municipalités en particulier, les dirigeantEs du Front de gauche, issuEs du PCF dans leur quasi-totalité, sont plongéEs au cœur de la cogestion libérale sous hégémonie socialiste. Et ça se voit ! Ainsi, lors d'une réunion publique à Toulouse, devant des participantEs et des salariéEs de Sanofi et de Pilpa méduséEs, le secrétaire fédéral du PCF 31 et le responsable national communiste de l'intervention en direction des entreprises ont défendu tous les deux la bonne gestion municipale des éluEs communistes, dénigrant au passage les luttes et les tentatives de convergence…


Au menu de 2014 donc, au premier tour des élections municipales une autonomie annoncée des listes du Front de gauche… sauf dans la plupart des villes où le PCF cogère avec le PS. Et pour le second tour, jusqu'où iront les accords pour battre la droite ?


En critiquant à juste titre les politiques d'austérité menées par les gouvernements européens, mais en refusant de se donner pour ici une orientation afin de construire une opposition politique unitaire au gouvernement Ayrault, le Front de gauche va continuer un numéro d'équilibriste difficilement supportable pour ses militantEs et pour certaines de ses composantes politiques. Jusqu'à quand ?


Manu Bichindaritz

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21 mars 2013 4 21 /03 /mars /2013 15:27

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Le Premier ministre dans son discours de réponse à la motion de censure de l'UMP a pris la pose du chef de gouvernement courageux qui assume l'impopularité au nom de la rigueur !

 

Et bien, aucun doute, il va en avoir de l’impopularité tant il n'a convaincu personne, obsédé qu’il est de réduire les déficits en imposant l'austérité. Il n’a pu redonner le moindre crédit à son gouvernement déconsidéré par sa politique, qui prétend lutter contre le chômage alors qu'elle est entièrement soumise à la course à la rentabilité financière, à la compétitivité exigée par le Medef.


La démission forcée du ministre du budget, Jérôme Cahuzac, soupçonné de blanchiment de fraude fiscale, intervient comme un symbole des faux-semblants et du mensonge officiel, du cynisme du pouvoir.


Il y a urgence à construire une opposition de gauche à ce gouvernement pour oeuvrer à la convergences des luttes contre les licenciements, pour imposer l'abrogation de l'ANI, l'accord Medef-gouvernement contre les salariés, pour mettre un coup d'arrêt à une politique qui fait le lit de la droite extrême et de l'extrême-droite.

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http://npa2009.org/node/36220

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21 mars 2013 4 21 /03 /mars /2013 13:17

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Social jeudi 21 mars 2013
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Les retraités de l’Union confédérale des retraités CGT, de la FSU, la FGR-FP et Solidaires appellent à une manifestation jeudi 28 mars à 10 h 30 devant la préfecture de Quimper (Finistère) pour la défense de leur pouvoir d’achat.

 

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Ils demandent notamment le rattrapage immédiat de 300 € par mois pour tous les retraités. « Ce n’est pas un chiffre en l’air. On a calculé que ça correspond à la baisse des pensions ces dix dernières années », explique Michelle Lollier de FGR fonction publique.

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http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Quimper.-Appel-a-la-manifestation-pour-la-defense-du-pouvoir-d-achat-des-retraites_40820-2175457------29232-aud_actu.Htm

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21 mars 2013 4 21 /03 /mars /2013 13:06

 

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Défense jeudi 21 mars 2013
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Quelques dizaines de personnes ont manifesté sous la pluie ce midi, devant la préfecture maritime de Brest pour défendre le statut d’ouvrier d’État.

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Répondant à l’appel national des syndicats CFDT, CGT et Unsa, les manifestants entendaient défendre le statut d’ouvrier d’État dans la Défense.

 

À Brest, ils sont encore environ 2 500 à bénéficier de ce statut particulier, plus avantageux que celui de fonctionnaire, autrefois créé pour les salariés attachés à la production industrielle au sein des arsenaux.


Il y aurait actuellement une centaine de départs par an à Brest, remplacés la plupart du temps par des contractuels. Si bien que, selon Yvon Velly, secrétaire CGT arsenal, « la question du financement des retraites va se poser ». Des embauches d’ouvriers d’État sont réclamées. Les syndicats demandent aussi au gouvernement de débloquer les salaires, alors que ceux-ci sont gelés depuis trois ans.

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Une pétition ayant recueilli 1 700 signatures a été remise au préfet maritime.

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http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Defense-les-ouvriers-d-etat-defendent-leur-statut-a-Brest_40771-2175500-pere-bre_filDMA.Htm

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21 mars 2013 4 21 /03 /mars /2013 12:52

21 mars 2013 à 12h03 

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Éclatement des services, effectifs à la baisse…

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Le ras-le-bol des agents de la DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes) se traduira par un mouvement de grève, ce jeudi. Les agents "estiment ne plus être en mesure d’assurer la défense des intérêts économiques des consommateurs : loyauté des transactions, qualité et sécurité des produits, maintien d’une saine concurrence", indiquent les syndicats CFDT et Solidaires.

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Dans les Côtes-d’Armor, les effectifs à la répression des fraudes seraient passés de 27 agents en 2007 à 14 aujourd’hui. À noter qu’une manifestation nationale aura lieu à Paris le samedi 6 avril.

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http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/bretagne/repression-des-fraudes-mouvement-de-greve-demain-chez-les-agents-20-03-2013-2041875.php


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21 mars 2013 4 21 /03 /mars /2013 12:35

21 mars 2013 

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Anticancéreux, anticoagulants, vaccins... Chaque jour, 5 % des médicaments commandés par les pharmaciens de ville sont en rupture de stock, avec la moitié des interruptions dépassant les quatre jours.

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« C'est un phénomène mondialisé et qui s'est aggravé ces dernières années », explique Philippe Liebermann, pharmacien à Strasbourg et vice-président de la fédération des syndicats pharmaceutiques de France. Pour l'Académie de pharmacie, ces pénuries sont le résultat de problèmes et de blocages à tous les stades de la chaîne du médicament.

Fabriqués en Inde ou en Chine
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Il peut s'agir d'une difficulté d'approvisionnement en matières premières pharmaceutiques, d'autant plus difficile à compenser que 60 à 80 % des principes actifs sont aujourd'hui fabriqués hors d'Europe, principalement en Inde et en Chine, contre 20 % il y a trente ans.

 

Pour éviter cette dépendance, l'Académie préconise « d'engager une politique volontariste de relocalisation » de la fabrication des principes actifs. Mais les pénuries concernent également les pharmacies hospitalières, seules habilitées à dispenser les traitements les plus lourds, notamment les chimiothérapies, en cas de cancer.

 

« On essaie toujours de trouver une solution de substitution, mais parfois cela peut prendre un peu de temps », indique Jean-Michel Descoutures, un pharmacien hospitalier qui préside le Club des acheteurs de produits de santé. Même s'il n'a jamais entendu parler d'un décès lié à une rupture de stock, il reconnaît que le changement de traitement peut avoir des conséquences importantes pour le patient.

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http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/france/medicaments-d-inquietantes-ruptures-de-stock-21-03-2013-2041989.php

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